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Une drôle de belle famille – Chapitre 10

Une drôle de belle famille - Chapitre 10



Jarrive devant la maison des futurs beaux parents de mon fils, il est 19 heures et jai rendez vous avec Pierre le père.

Il est comptable dans une petite PME et dune nature effacée face à sa femme et aux personnes en général.

Alors que javais abusé de Martine, Pierre avait fait une réflexion tout à fait justifiée, javais intentionnellement provoqué Pierre en lui imposant une rencontre avec lui et Martine chez eux pour en discuter.

Je sais quil est seul et jai demandé hier à Martine darriver vers 20H00. Ça tombe bien car elle est au cheval ce soir.

Mon objectif est damené Pierre à être dominé par sa femme. Jai  réparti les rôles avec Martine, elle restera la femme dominatrice et exigeante et moi je vais jouer le mec à lécoute, compréhensif et de bons conseils.

Je sonne, Pierre vient mouvrir et minvite à entrer, il minforme que Martine arrivera plus tard. Nous entrons dans le salon et il m’invite à masseoir dans le canapé.

Il y a deux verres sur la table basse et Pierre me demande si je souhaite boire un verre. Je le sens très stressé et il a besoin de soccuper pour ne pas le laisser paraitre. Il me sert un whisky avant de sinstaller face à moi dans un fauteuil.

« Michel, je tenais avant tout à mexcuser pour mon comportement de dimanche, javoue que lorsque je vous ai vu arrivé ensemble, Martine avait lair tellement épanouie à vos coté que jai vu rouge. En fait Michel ce nétait pas contre vous, mais je suis très attaché à ma femme et je ne supporterais pas de la perdre »

Je minstalle confortablement dans le canapé et prend mon temps pour répondre à Pierre. Je trouve que çà débute bien puisquil commence par sexcuser.

« Mon cher Pierre, jaccepte vos excuses, mais si je peux me permettre je pense que cest plus votre comportement très en retrait voire soumis, qui peut être dangereux pour votre couple, non ? »

Pierre baisse les yeux avant de me répondre.

« Oui vous avez raison, je la sens dailleurs se détourner de moi depuis quelques mois, mais je ny peux rien, je suis comme ça et jaime son tempérament supérieur  et je dois vous lavouer, jaime lorsquelle mhumilie »

Je suis étonné par la réponse de Pierre qui me livre aussi franchement un tel secret.

«Jimagine que se doit être difficile de parler de cela et japprécie que vous me fassiez suffisamment confiance pour me lavouer, Ce doit être un vrai problème dans vos relations intimes ? »

Pierre est un peu plus en confiance et me répond.

« Oui, nous navons presque plus de relation ensemble et ça accroit mes peurs de la voir méchapper »

« Mais pourquoi cette attitude soumise, comment pouvez vous expliquer un tel comportement »

Pierre boit dun seul trait son verre et se positionne au fond de son fauteuil.

« Oui je peux,  vous me semblez un homme sincère puis je vous faire confiance ?» je lui réponds quil na aucune crainte à avoir

« Très bien mon histoire commence dès mon plus jeune âge.

Mes parents étaient catholiques très pratiquant. Mon père nous a abandonné. Il a quitté ma mère pour une jeune femme. Ma mère ne sen est jamais relevée, elle est tombée en dépression et est devenue plus dure. Elle continuait à  fréquenter léglise régulièrement.

Alors que jétais ado, jai découvert la masturbation par le plus grand des hasards sous la douche. Voir ce liquide blanc giclé de mon gland fut une très grande surprise et une découverte très agréable.

Jai commencé alors à me caresser régulièrement, le soir lorsque jétais couché.

Un jour allongé nu sur le lit, les draps retroussés je mastiquais et jétais au bord de lorgasme, quand ma mère surgit dans la chambre. La honte me monta aux joues alors quelle me hurlait dessus.

« Lève-toi petit vicieux » Je me suis levé, nu face à elle qui me toisait de son regard furibond. Elle saisi ma verge qui se ramollissait  dans sa main. Le contact de sa main chaude fit repartir mon érection. Voyant ça ma mère menvoya une gifle énorme. Et soudain sans pouvoir le contrôler, la conjonction de la douleur et de la main de ma mère, me fit éjaculer sur son poignet.  

« Petit salaud tu ma giclé dessus !!! je suis ta mère et tu mas giclé dessus comme si jétais une de ses nanas qui se montrent nues pour les petits branleurs dans ton genre  »

Elle enserrait ma bite tendue avec force et jaimais cette douleur, ce qui avait pour effet de maintenir mon érection.

« Je tinterdis de bander devant moi et de te branler cest péché de faire ça » Puis elle lâcha ma queue pour me tendre sa main mobligeant à la nettoyer avec ma langue. Je dus lécher mon sperme qui souillait la main de ma mère.

Puis elle quitta la chambre et me demandant que cela ne se reproduise plus.

Enfoncé dans mes draps alors que jentendais encore ses pas séloigner, je saisi ma queue raide et jouis une nouvelle fois avec une vigueur encore inconnue jusqualors. »

Je regardais Pierre et essayais de ne pas montrer mon étonnement, pour le tranquilliser et quil continu son histoire, je lui confis que moi aussi javais été surpris par ma mère en pleine masturbation et que javais eu la honte de ma vie.

Pierre repris, presque sans faire attention à mon commentaire, il est comme en transe.

« Ma mère était une assez belle femme, assez ronde, des beaux seins lourds et tombant, des hanches saillantes et arrondies, des fesses larges et généreuses. Depuis cette aventure, mes envies de me branler étaient encore plus fortes et je profitais de la moindre occasion pour madonner à cette pratique.

Lorsque ma mère allait se doucher, jattendais quelle soit entrée dans la douche pour la mater. Javais auparavant préparé mon coup. Javais placé le miroir de larmoire de toilettes de manière à avoir le reflet de la douche sans avoir à passer la tête dans la pièce. De cette manière je pouvais voir ma mère dans toute son intimité et me branler sur cette belle image.

Cest lors dune de ces séances que jai découvert sa chatte noire et poilue. Elle ne sépilait pas et son tablier de sapeur était bien fourni. Ses aisselles étaient aussi très touffues. Ces poils noirs sur sa peau laiteuse mexaltaient et leffet sur ma raideur était immédiat. Lorsque ces doigts, emplies de savon,  sinsinuaient et disparaissaient entre les lèvres de sa fente rose, jimaginais quelle savait que je lobservais et quelle se caressait pour moi. Je ne tardais jamais à jouir fort.

Autre source dexcitation, je partais à la chasse aux petites culottes portées dans la panière à linge, je choisissais la plus odorante ou la plus tachée, je la respirais tout en me masturbant et finissais toujours par éjaculer dessus. Les collants pareils surtout ceux quelle portait sans culotte, jadorais. Mais je ne me rendais pas compte que je laissais des traces partout et que ma mère sapercevait de mes activités. Inconsciemment je voulais quelle le sache, je voulais la faire réagir.

Un jour alors que je me branlais dans ses sous vêtement elle me surprit. En fait elle attendait tapie que je passe à laction.

Elle avait acheté une sorte de cravache en cuir avec un bout plat. Arrivant derrière moi elle me donna un grand coup sur les fesses nues. Je criais de surprise et de douleur.

« Je tavais prévenu, tu crois que je ne vois rien Hein » alors que la cravache retombait sur mes fesses. Une douleur vive irradiait dans mon cul et alors je senti ma queue imperceptiblement se tendre encore plus. Sa punition  stimulait mon excitation. Ma mère sen aperçu et sa colère nen fut que plus exacerbée, elle me retourna, ma bite alors lui faisait face, tendue et gonflée. Soudainement elle leva la cravache et fouetta le membre avec. La douleur fut si forte que je faillis trèbucher.je vis un sourire sesquisser sur son visage et un nouveau coup sabattre. Mon érection navait pas faibli au contraire lexcitation était au summum et je sentais lorgasme monter. Les derniers coups eurent raison de celui-ci et le foutre explosa de mon gland meurtri.

« Ce nest pas possible, tu aimes ça, tu es un vrai pervers mon pauvre garçon, nettoie moi tes cochonnerie tout de suite » finit elle en  quittant la pièce.

Je savais à cet instant que mon plaisir passait par la conjonction du désir sexuel et la soumission physique et jaimais ça.

Les mois passèrent ainsi, je grandissais et mon corps changeait, ma musculature se dessinait, quelques poils apparaissaient et mon sexe devenait bien plus gros au creux de ma main.

Ma mère elle abhorrait la gente masculine et ne fréquentait que ces collègues féminines ou les culs bénis de léglise.

Depuis quelques semaines une femme venait régulièrement à la maison. Dabord pour boire un café, elles passaient des heures à discuter, puis le week end elle venait après diner et restait tard.

Ma mère me demandait daller me coucher car elle avait à discuter entre adulte. Je me retrouvais seul dans ma chambre.

Un samedi soir, alors que je mettais assoupi dans mon lit,  je suis réveillé par des sons. Intrigué je me lève et me dirige vers la porte. Collant mon oreille jentends effectivement comme des gémissements. Jessaye douvrir ma porte et maperçois quelle est fermée à clé. Impossible de louvrir.  Frustré je retourne dans mon lit et me dis que si ma mère a pris soin de fermer ma porte, cest quelle doit avoir une sacrée bonne raison et il faut impérativement que je la découvre.

Pendant les jours qui suivirent je me mis en quête de trouver la clé,  car ma mère lavait ôté de la porte. Elle commençait à bien me connaitre. Je profitais de ses moindres absences pour fouiller sa chambre.

Je découvrais des trésors, des lingeries intimes très sexy, des bas noirs. Je nimaginais pas quelle puisse porter des sous vêtements aussi sexy alors que limage quelle me renvoyait était plutôt celle dune femme stricte, psychorigide et loin des attraits du sexe. Il faut croire que je me trompais. En continuant ma fouille, je trouvais une culotte féminine cachée sous son oreiller. Plutôt surprenant pourquoi cacher sa culotte ainsi. Je la portais à mon nez, elle était encore très odorante et fit enfler ma queue de désir. Elle était fort jolie en dentelle noire, mais le plus étonnant est quelle portait des traces de rouges à lèvres !!! Et ma mère nen portait que dans les grandes occasions.

Il fallait que je trouve cette clé. Je furetais maintenant dans les livres quelle collectionnait. Les déplaçant un à un pour être certains de ne rien louper. Au bout dune bonne minute ma persévérance fut récompensée. Javais trouvé une clé, mais elle ne correspondait en rien à celle de ma chambre. Donc une nouvelle quête commençait, et cest finalement dans le grenier après de très longues minutes que je trouvais la boite métallique que cette clé ouvrait. Elle nétait pas spécialement cachée, et facilement accessible, je glisse la clé et ouvre la serrure.

La boite contenait différents objets. Dabord je trouvais enfin la clé de ma porte, jallais pouvoir en faire confectionner un double. Puis il y avait aussi dautres objets, une sorte de ficelle à laquelle était attachée deux boules de la taille dun callot. A lextrémité un anneau en plastique bleu, du maquillage ombre à paupière et rouge à lèvre. Un objet aussi insolite, de couleur noir, cétait une sorte de stylo mais arrondie et évasé à un bout. Percé en son centre et relié par un tuyau flexible à une poire en caoutchouc. Etrange attirail et pourquoi ces objets sont ils fermer à clé dans une boite au grenier avec ma clé de chambre.

Je commençais à penser que ma mère avait son petit jardin secret, mais tenant compte du comportement quelle avait vis-à-vis de moi surtout ce qui touchait au sexe de près comme de loin, javoue que je restais ébranlé par ces découvertes ne sachant que penser.

Je  pris une empreinte de la clé de porte dans de la patte à modeler et replaçais tout exactement au même endroit, il ne fallait surtout pas que jéveille les soupons de ma mère.

Le lendemain javais montré lempreinte au serrurier, il navait eu aucun mal à reproduire la clé et cest avec un double en poche que je rentrais à la maison.

Après avoir trouvé une cachette sure, il ne restait plus quà attendre le moment pour essayer de découvrir ce que ma mère ne voulait pas que je découvre.

Je dus attendre une semaine, ayant prétexté une grosse fatigue après le diner je pars dans ma chambre. Mallongeant pour faire semblant de dormir, je dus attendre une bonne heure pour entendre ma mère toquer doucement à ma porte. Sans réponse jentendis la clé glisser dans la serrure et verrouiller la porte. Excité par la situation je fis un bond de mon lit pour écouter à la porte. Quinze minutes plus tard je perçus des bruits. Une personne était entrée dans lappartement et une discussion, inaudible pour moi, avait suivi.

Je décidais de jouer la prudence  et mimaginais que ma mère avait du aussi récupéré en même temps que ma clé, les différents objets dans la boite. Ils devaient être tous associés à la même utilisation, mais laquelle !

Mon excitation était à son comble, et cela faisait plus dune heure que je patientais avec la clé à la main. Javais perçus des sortes de gémissements comme la dernière fois. Ny tenant plus je tente et ouvre la porte avec la plus grande précaution.

Je pénétrais dans le couloir qui, par chance était dans le noir. Je pouvais entendre plus distinctement les bruits qui venaient du salon.

Mapprochant à pas de loup jétais en sueur et fébrile de découvrir enfin ce qui métait interdit.

Le spectacle qui soffrit à moi me stupéfia et me troubla au plus au point.

Ma mère était installée dans le fauteuil, ces jambes reposaient sur les accoudoirs. De cette façon elle offrait son intimité à une femme qui était agenouillée devant le fauteuil. Ma mère me faisait face et je ne voyais linconnue que de dos, enfin je devrais dire que je ne voyais que son cul vu sa position.

Elles étaient toutes les deux nues, habillées de bas noirs. Les gémissements que javais perçus étaient émis par ma mère qui à cet instant se caressait ces deux gros seins tout en essayant de lécher ses tétons.

Jétais comme ensorcelé par cette vision et ma main était déjà à luvre dans mon pyjama.

Linconnue avait la tête entre les cuisses écartées de ma mère. Je ne voyais pas mais jimagine aisément quelle lui bouffait la chatte. Cest dingue ma mère qui me prend la tête parce que je me branle, elle qui va à léglise tout les dimanches, qui joue la pudique et la sainte, est en train de se gouiner dans le salon avec une inconnue. Je comprends mieux toutes ces précautions.

En attendant ma bite palpitait sous mes doigts et je ne boudais pas le plaisir de mater ces deux cochonnes.

Une chose mintriguait, linconnue qui me tendait son cul bien ouvert, avait quelque chose qui pendait de son anus. Je dus me concentrer pour mapercevoir que cétait lanneau en plastique bleu. Jen déduis donc quelle avait les deux boules enfoncées dans son fondement. Mais je repensais à leurs tailles plutôt grosses pour les enfiler dans un petit trou aussi serré.

La voix de ma mère trahissait une grande excitation alors quelle demandait à linconnue de lui enfoncer sa langue dans son anus. Ces mots résonnèrent en moi comme une décharge et de longs jets de sperme vinrent sécraser sur le papier peint du couloir, alors que javais eu un mal fou à étouffer un râle de plaisir.

Jessuyais comme je pus mes saletés et aussi discrètement quà laller je retournais dans ma chambre, prenant soin de refermer la porte.

Cette nuit fut très agitée, ponctuée de rêves érotiques et de cauchemars ténébreux.

La nuit mavait porté conseil et javais pris conscience que ce nétait pas le sexe que ma mère abhorrait, mais les hommes et leurs bites. Le sexe elle aimait ça et jen avais eu la preuve la veille. Mais une question restait pour moi essentielle. Qui était lamante de ma mère ?

Cette nouvelle situation changea beaucoup ma manière de percevoir ma mère. Les jours qui suivirent, lorsque nous sortions en course, je lobservais, dans ces attitudes et ses manières. Ses regards sarrêtaient effectivement sur de belles femmes matures et  nhésitant pas lorsquelle les sentait réceptives, à les provoquer en prenant des attitudes mutines. Bien sur je pouvais voir cela car je savais ce quelle était et son attitude loin de me heurter, mexcitait.

Bien sur jai continué à jouer les voyeurs lorsque ma mère recevait. Jai découvert que son amante était Mme Marie, une fervente et assidue pieuse de léglise, mariée et mère de deux enfants dont lun était au lycée avec moi. Si il pouvait imaginer ce que sa mère était en réalité une sacrée salope qui aimait avoir la bouche remplie de la mouille de la mienne et se fourrer le cul dobjets de tout genre. Cétait une très belle femme de quarante cinq ans environs. Toujours très élégantes ; elle portait des ensembles chics une vraie bourgeoise catho. Pour lavoir maintenant bien observée, elle possédait une paire dobus à damner un prophète, ses jambes étaient fines et longues, son cul plutôt mince et petit. Mais sa chatte alors cétait lenfer. Son pubis méticuleusement épilé était rebondi. Les lèvres étaient saillantes et assez grosses et offraient une vision presque indécente de son intimité, quest ce quelle était bandante, surtout lorsque je voyais la langue de ma mère les ouvrir pour en lécher le jus et ensuite senfoncer en elle.

 

A ce stade de lhistoire, je suis des plus studieux et écoute avec une grande attention les détails salaces que Pierre me livre sur  sa mère et son apprentissage sexuel. Je suis intimement persuadé que je vais pouvoir exploiter ses petits travers, et les utiliser à bon escient pour Martine.  Je dis à Pierre que je suis effaré mais également curieux de savoir comment cette histoire va finir Il sourit en reprenant

 

« Oui cest en effet effarant. Mais la perversité va des fois se cacher chez les personnes qui nous paraissent les plus vertueuses.

Toujours voyeur des ébats lesbiens de ma mère, je prenais de plus en plus de plaisir à les observer. Jusquau jour ou par inadvertance et manque de vigilance je me suis fais repérer. Jétais âgé à ce moment de 17 ans, et étais quasiment formé comme un homme, pratiquant léquitation, jétais assez musclé. Mon sexe aussi avait pris de lampleur et je pouvais maintenant être plutôt fier de ma virilité.

Pour des raisons pratiques, jétais nu lors de mes excursions voyeuristes, de plus le risque, augmentait mon excitation.

Alors lorsquelles ont compris quelles étaient épiées, elles se sont littéralement jetées sur moi, me projetant au sol, avant que jaie pu rejoindre ma chambre. Ma mère cria à Mme marie de me tenir. Elle me plaquait au sol tout en maintenant mes mains dans le dos. Ma mère revint avec une ceinture en cuir et lenroula autour de mes poignets très fortement. Alors Madame marie accroupie au dessus de moi me retourna. Elle vit que la séance nétait pas venue au bout de mon excitation et cest avec la queue bandée à mort quelle me découvrait. Ma mère minvectivait me traitant de sale petit merdeux, dobsédé sexuel, de voyeur pervers. Elle était debout à ma tête et nue. Du sol ou jétais maintenue par Madame Marie assise sur mes jambes, je pouvais voir la vulve de ma mère dégoulinante de mouille, certainement due au traitement buccaux de son amante. Elle navait pas pris conscience que pendant quelle brayait je matais son con. Jen bandais plus fort car en plus de cette vision je sentais les lèvres de celui de Madame Marie caresser et détremper mon genou.

Ma mère était dans tous ses états. Eh oui son fils était le témoin de ses séances de gouinages plutôt sexe ?

«  Quallons nous faire Marie, je tavais prévenu que ce môme était un pervers, mais comment a-t-il fait pour ouvrir cette porte. Je suis mal il nous a vu baiser ensemble et il ne va jamais tenir sa langue » Marie saisit alors ma queue à pleine main, décalotta le gland puis commença à serrer de plus en plus fort. De lautre main elle enserra mes testicules et en fit de même.

La douleur irradiait dans tous mon bas ventre et paradoxalement jétais excité. Mon gland était maintenant violacé et mes couilles très douloureuse, lorsque Madame Marie me dit

« Alors petite merde, tu vas nous faire des ennuis » ces deux mains sétaient rejointes et enserraient maintenant mes couilles et ma queue. Elles remontaient lensemble vers le haut occasionnant une douleur bien plus intense.

« Non je vous jure Madame Marie, je ne dirai rien de ce que jai vu, je vous jure de vous obéir en tout mais arrêter »

Ma mère me regardait avec un sourire vicieux au bord des lèvres. Elle jouissait du spectacle de ma souffrance par le sexe.

Si elle savait quand fait cette douleur me transportait au paroxysme de mon plaisir. Dailleurs je failli jouir, mais heureusement Madame Marie cessa avant. Elle se releva et dit

« Viens on va le mettre dans sa chambre, cette séance ma particulièrement excité et jai envie que tu me baises, je moccuperais de ton môme après. »

Elles minstallèrent sur mon lit les mains liées et repartir finir leurs affaires dans le salon. Madame Marie avait pris soins de refermer la porte derrière elle, et me glissa avant de sortir

« ne bouge pas je reviens moccuper de ton cas »

La position était des plus inconfortables et je nosais bouger de peur que madame Marie arrive au même moment. Je dus attendre une bonne heure pour entendre la serrure claquée.

Madame Marie apparut dans le chambranle. Elle était nue face à moi et me regardait. Les seins tendues et sa fente brillante exhibées ainsi, me redonna  presque instantanément une nouvelle vigueur à ma queue qui se redressa devant ces yeux, ne laissant ainsi aucun doute sur leffet quelle me faisait.

Elle sapprocha de moi et me dit doucement.

« Ta mère ma confié la tache de te punir pour tes nombreuses désobéissances, quand penses tu ? »

Alors quelle faisait le tour du lit je lui répondis

« Oui Madame, cest vrai. Je lobserve depuis longtemps, je ne peux pas men empêcher, jaime ça. »

« Que fais tu lorsque tu nous regardes jouer ensemble ? »

« Vous voir me fais bander dure, alors je sors mon sexe et je me caresse »

« Tu veux dire que tu sors ta grosse bite et tu te branles en matant ta mère à poil qui baise »

« Oui Madame cest exactement ça »

« Et tu finis par juter, comme tout petit puceau qui ne sais que mater »

Sa voix cest durcie et javoue

Elle détache ensuite mes mains qui me font extrêmement mal.

Mordonnant de mallonger sur le dos, elle pose un genou à coté de ma tête puis passant son autre jambe au dessus de mon visage, elle dépose son autre genou. De cette manière jai sa chatte au dessus. Je ne lai jamais vu daussi prés. Elle est trempée de jus et à cette distance déjà très odorante. Alors que Madame Marie sassoie sur ma bouche, elle saisit ma bite et me dit.

« Jai remarqué tout à lheure que tu appréciais mes caresses brutales et je ne pense pas me tromper beaucoup en disant que tu aimes avoir mal Dis-moi la vérité ? »

Sa main est à nouveau à laction sur mon membre. Sa poigne est vigoureuse.

« Oui cest vrai madame Marie, jai découvert ça avec Maman un jour et depuis ça ne fait quempirer »

A ces mots elle se pose sur moi, jai sa fente sur la bouche. Sa chatte sent fort et sa mouille inonde mon visage et ma bouche. Son gout alors envahit mon palais et je déguste alors sa succulente liqueur. Elle menivre

De son coté Marie a commencé à me masturber, mais sans relâcher la pression. Elle force donc sur mon gland et jai limpression quil va sarracher de ma tige à chaque manuvre. Elle est assez experte car elle sent que je vais jouir et stoppe net.

Je suis vraiment au bord de léjaculation. Ma langue a maintenant pris possession du vagin de Marie qui en profite pour remuer et appliquer une pression sur mon visage.

Puis se relevant elle me demande de lui lécher le cul et de faire pénétrer ma langue dedans. Je mexécute et commence par passer ma langue sur son anneau strié. Jadore. Puis tendant ma langue pour la faire durcir je la pointe dessus et enfonce. Je sens quelle sinsinue dedans. Marie gémit doucement et glisse un doigt sur son clito. Je suis maintenant dans son cul, et son gout gagne ma bouche, il est fort et acre, mais jaime savoir que cest celui de Madame Marie. Je la sens dailleurs prête à jouir. Tout son corps se tend et frémit. Puis les gémissements laissent place aux cris de jouissances quelle libère en même temps que son orgasme la terrasse. Sa mouille coule, abondante et épaisse sur mon visage. Marie continue à frotter sa fente dessus le recouvrant de son jus parfumé.

Maintenant cette position, elle a saisi ma bite par la base et la maintien droite. Je bande terriblement. Alors elle saisi la ceinture, ne laissant que 10 centimètre de libre. Elle commence à fouetter ma tige. Le premier coup me surprend, mais est assené avec douceur.

Les autres vont montés en intensité, pour devenir violent. Je sens ma jouissance montée avec la douleur et cest lorsquelle décalotte mon gland et que le cuir mors dedans que je gicle. Oh que cétait bon de jouir comme çà, cétait une première mais que de sensations nouvelles.

Pour finir Madame Marie est venue frotter sa fente sur mon sexe gluant de foutre puis ma demandé de lui nettoyer sa fente.

Je dus lécher à nouveau son sexe recouvert de ma jute mélangée à son propre jus.

Avant de quitter la chambre madame Marie me demandait mon numéro de portable et minformait quelle me mettra certainement encore à contribution pour son plaisir et quil était  Inutile den parler à ta mère.

 

Inutile de vous dire que jai attendu fébrilement son appel. Je dus attendre quinze jours pour avoir de ces nouvelles au travers dun message déposé dans ma messagerie. Madame Marie me donnait rendez vous chez elle. Elle était bien renseignée sur mes disponibilités, certainement par ses enfants.

 

Jétais très fébrile lorsque je sonnais à la porte de la grande maison bourgeoise. Marie mouvrit la porte, elle était splendide, habillée dune robe noire très près du corps, ornée dun profond décolleté qui laissait presque apparaitre les auréoles des seins. Elle portait également des bas résilles noirs et je pouvais aisément voir la dentelles qui ornait le haut de ceux-ci tellement la robe était courte. Et la touche finale était les bottes à haut talons dont les pointes étaient habillées de fers chromée.

Avant même de pénétrer dans la maison, ma queue était tendue.

Elle minvita à entrer, le salon était immense, les murs tout blanc augmentait cette impression, lameublement était moderne et très classieux. Un grand canapé dangle blanc me faisait face et Marie y prit place me laissant debout face à elle.

Elle avait les jambes légères ouvertes et javoue que mon regard ne pouvait sen écarter.

Marie me demandait de me mettre nu et il ne fallu pas longtemps pour la satisfaire. Ma queue battait contre mon ventre et je voyais dans son regard une grande lubricité.

Elle mordonna alors de me branler doucement pour elle, tout en écartant les jambes pour me montrer sa culotte en tulle transparente qui laissait distinguée les grosses lèvres de son sexe.

Jattrapais mon sexe et commençais à me caresser, le tendant à lextrême pour lériger, la vision de sa chatte voilée mélectrisait.

Soudain elle mordonna de venir magenouiller à ses pieds, puis elle ôta sa botte droite et présenta son pied et le déposa sur ma bouche.

« Ouvre la bouche, sors ta langue et lèche moi, je veux la sentir entre mes orteils,  tu finiras en me les suçant tous, Applique toi sinon tu seras puni.

Joignant le geste à la parole, elle dépose sa botte gauche sur mon entrejambe. Je sens la pointe froide de son talon sur ma bite, prête à sy enfoncer.

Je jubile, complètement sous le jouc de cette Maitresse femme, jouvre la bouche et mexécute.

Alors que ma bouche sactive, son doigt caresse ses lèvres au travers du tissu transparent. Je vois le tissu shumidifier et jai envie dy poser ma langue pour retrouver la saveur de cet élixir qui mavait tant enivré.

Mais pour le moment je moccupe de son pied, man sinsinuant entre les mailles de son bas résille, je pourlèche. Sentant lors de mes moments de relâchement, le talon aiguillonné ma bite.

Puis Marie me pria de faire lautre pied.

Une fois ce travail terminé, elle ma demanda de lui ôter sa culotte. Alors quelle se soulevait pour que je puisse la faire glisser elle en profita pour dégager ses deux gros seins de son décolleté. Soutenus par le tissu ils tendaient leurs mamelons excités.

« Oui cest bien, maintenant, nettoie la car je crainte davoir mouillée dedans. »

Ma langue se remit au travail et se régala avec appétit la grosse tache blanchâtre qui ornait le fond de la culotte.

Pendant ce temps Marie avait glissé ses fesses sur le bord du canapé et remontant ses jambes en lair, elle me présentait son sillon fessier. Quelle ne fut pas ma surprise de voir celui-ci enjolivé dun superbe Plug argenté.

Alors que je continuais sa lessive intime assis sur le sol et face à elle, elle attrapa lobjet et sous mes yeux lôta tous doucement de létroit trou dans lequel il était planté. Il était maintenant dans sa main et je pouvais constater sa taille, beau plug anal !

Attrapant mes chevilles, elle les souleva, mobligeant ainsi à mettre sur le dos. Continuant sa pression vers le haut, je me retrouve les dos contre le bord du canapé, les jambes ouvertes et ramenées sur le coté de mon torse, joffre à Marie mon entre jambe, ma bite, mes couilles et mon trou. Elle caresse dabord mes couilles dune main les enserrant fermement. Puis me dit

« Fourre ma culotte dans ta bouche et branle toi, mais je tinterdis de jouir sans mon autorisation. »

De son coté Marie joue, triturant mes testicules dune main, elle fait glisser le Plug le long de mon sillon fessier. Sarrêtant sur mon anus et repartant. De temps à autre elle crache dessus et nétant pas dupe je sais à quoi mattendre. Jen ai envie autant que jen ai peur. Soudain je sens son index se poser sur ma rondelle et en forcer le passage. La salive aidant il ne tarde pas à être entièrement dedans. Ma première impression est plutôt agréable.

« Tu es prêt maintenant, je vais tenculer petite salope, je te conseille un truc si tu ne veux pas que je texplose le cul. Au moment ou je vais te fourrer, pousse comme si tu voulais chiez et tu verras ça passera tout seul » finit elle avec un sourire pervers.

Jai accéléré mon branlage lorsquelle pose le bout du gode sur mon anus. Jai senti le froid de lacier. Puis elle a commencé  à mettre la pression, je sentais que de peur jhésitais et ne tenais aucun compte de ce mavait conseillé Marie. Une douleur gagnait mon fourreau et dinstinct jai poussé. Alors le plug a progressé plus facilement dépassant mon sphincter pour finir par prendre totalement possession de lespace. Je sentais mon cul ouvert et rempli et jaimais cette sensation.

Puis tout saccéléra, Marie saisit ma bite pour me branler à son tour. Son autre main toujours affairée sur les couilles. A ce régime je ne tardais pas à sentir ma sève se levée. Marie me dit alors.

« Ouvre la bouche petite pute, et comme une bonne salope que tu es tu vas jouir dedans puis avaler tout »

Ny tenant plus jouvre en grand la bouche alors que Marie oriente les jets jexplose. Recevant lénorme dose de mon foutre, dans le fond de ma gorge se remplie pour sa plus grande joie. Puis mon éjaculation terminée, elle observe intriguée. Alors javale et le foutre disparait dans mon estomac.

Puis Marie marrachant le plug du cul me congédiât sèchement.

Je garde un souvenir ému de cette première, ainsi que plaisir malsain davoir été traité de salope et de pute.

Je vécu plusieurs séances avec Madame Marie qui finirent de me convaincre que jaimais être contraint et soumis.

Cest à cette époque que jai rencontré Martine au centre équestre. Javais 18 abs et elle correspondait à mon idéal féminin. Sportive, tenace, obstinée,  et surtout très dominatrice avec la gente masculine.

 

Je suis en pleine concentration, jobserve Pierre, qui soit dit en passant à la braguette plutôt gonflée à cet instant, lorsque je suis surpris par le bruit de la porte qui souvre. Cest Martine qui arrive

 

 

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