CHAPITRE I: Un joyeux anniversaire.
Demain Stéphane aurait 19 ans. Il s’en faisait une joie. Un monde nouveau semblait lui tendre les bras : le permis, bientôt la fac et ses soirées. Il faut dire que Stéphane avait été toujours un grand rêveur plein d’optimisme. Pourtant, sa vie n’était pas des plus brillante. Ayant un excellent niveau scolaire, le jeune homme passionné de lecture ne se faisait pas beaucoup d’amis.
Il était pourtant plutôt mignon avec son mètre quatre-vingt dix, ses cheveux noirs, ses soixante dix kilos et de superbes fesses bien fermes. En toute objectivité Stéphane était un beau jeune homme. Malheureusement il était énormément timide et la proximité des filles le paralysait. C’est pourquoi il n’avait encore jamais goûté aux joies du sexe hormis un ou deux baisers volés étant enfant.
Mais tout changerait bientôt.
Ignorant ce qui allait lui arriver, Stéphane se leva comme tous les jours. Il prit sa douche et se dirigea à nouveau vers sa chambre quand il entendit sa mère :
« Stéphane ! Tu peux descendre s’il te plait.
— Oui maman je m’habille et je viens tout de suite.
— Pas besoin, mets une serviette ça ira.
— Ok. »
Il s’exécuta, descendit les marches et se dirigea vers la cuisine. Il se trouva face à sa mère assise buvant du café.
Nathalie était ce qu’on pouvait appeler un canon. A 38 ans elle était le fantasme de tous les jeunes adolescents du quartier. Elle était mince, élancée avec une opulente poitrine et des fesses bien rebondies. Chose assez rare, elle était plus petite que son fils de seulement quelques centimètres. Mais ce que Stéphane adorait par-dessus tout chez elle, c’était sa longue cascade de cheveux roux légèrement bouclés tombant jusqu’aux fesses. Elle avait quelques taches de rousseur sur le visage et sur le reste du corps, mais cela n’enlevait rien à son charme, bien au contraire.
« Je voudrais que tu sois bien habillé aujourd’hui. C’est le jour de tes dix neuf ans lui dit-elle. Je t’ai préparé des vêtements. Ne les salis pas, je veux que tu sois beau ce soir. »
Stéphane finit son petit déjeuner, s’habilla avec la chemise blanche et un jean noir moulant que lui avait mis sa mère de côté. Il trouva étrange qu’il n’y ait aucun sous-vêtement mais il s’exécuta. Après tout sa mère avait toujours été autoritaire et il ne fallait pas la contrarier. Toutefois, elle avait toujours été très attentionnée avec son fils et l’aimait par-dessus tout. Depuis la mort de son mari alors que Stéphane était encore très jeune, elle s’était interdite toute vie sexuelle et se dévouait uniquement à sa vie de famille.
La journée de Stéphane se déroula sans accrocs. Il finit même par s’habituer à l’absence de sous vêtements et trouva cette sensation pas si désagréable.
Arrivé à la maison, il monta dans sa chambre faire ses devoirs. Demain on serait samedi et il avait l’intention d’aller s’amuser, peut-être aller au cinéma. Quand il fut 18h, sa mère l’appela pour manger. Elle était au salon et l’accueillit avec une coupe de champagne.
« Bon anniversaire chéri » lui dit-elle.
Stéphane resta bouche bée. Sa mère ne portait qu’une robe qui recouvrait à peine son sexe et moulait toutes ses formes.
« – Mer… mer… merci maman, bredouilla Stéphane.
— Ca va ? Tu n’as pas l’air très bien ?
— Si, si ça va.
— Tiens mange un de ses canapés, je viens de les faire. Ils sont excellents. »
Nathalie se pencha pour saisir un plateau et se faisant laissa à son fils tout le loisir d’admirer sa forte poitrine. Malgré le fait qu’il soit assis, elle remarqua son sexe gonflé. Elle sourit
Le reste du dîné se passa bien. Nathalie était bonne cuisinière et avait préparé un véritable festin en vue de cette occasion. La conversation s’orienta sur les projets de Stéphane à la fac, de son envie de devenir enseignant plus tard quand sa mère l’interrogea sur sa vie au lycée :
« Et au lycée ça se passe bien avec tes camarades de classe ?
— Oui ça peut aller. J’ai quelques amis.
— Et ces amis ce sont des filles ?
— Non ce sont surtout des mecs.
— Ah j’ai toujours cru … enfin j’ai toujours pensé que tu aimais les filles dit Nathalie d’un air déçu.
— Non, non c’est juste que … je ne sais pas trop comment m’y prendre avec elles.
— Tu veux dire que tu n’as pas encore …
— Non, hélas avoua le jeune homme.
— Oh tu verras ça viendra vite, peut-être même plus vite que tu ne le penses. »
Sur ces paroles, Nathalie lui fit un grand sourire et lui dit d’aller se coucher. Elle lui apporterait son cadeau dans la nuit. C’était une habitude chez eux. Stéphane était né à 23h 27 et sa mère lui offrait toujours ses cadeaux à cette heure. Comme il était généralement endormi elle le déposait au pied du lit et ce dernier l’ouvrait à son réveil.
Il était seulement 22H mais Stéphane se sentait fatigué et tout cet alcool lui faisait tourner la tête. Il se leva et s’effondra dans son lit et tomba dans les bras de Morphée.
Cette nuit là Stéphane fit un rêve étrange. Il rêva que sa mère entrait dans sa chambre sans doute pour y déposer son cadeau. Mais elle n’en fit rien et se glissa dans le lit. Elle était en nuisette très sexy et tenta de réveiller son fils en lui chuchotant :
« Chéri, réveilles-toi je t’apporte ton cadeau. Tu vas avoir tes 19 ans. »
Mais son fils semblait profondément endormi et ne réagissait pas aux parles de sa mère. Déçue, Nathalie allait quitter la chambre de l’adolescent quand elle se dit qu’elle pouvait en profiter. Elle en rêvait depuis si longtemps. Tant pis s’il dormait. C’est donc d’un air décidé qu’elle lui retira sa chemise puis lui défit son pantalon. Nathalie était aux anges. Son fils était parfait. Mince sans être maigre, musclé sans ressemblé à un acteur bodybuildé poilu là où il fallait. Et cette bite ! une belle taille au reps, un joli gland tout rose. Bref le pied. Et qu’est-ce que ce sera quand il bandera, pensa-t-elle.
Nathalie était au bord de l’implosion. Son sexe était tout humide et chaud. N’y tenant plus elle saisit de la main droite l’engin entre les jambes de son enfant et commença à le caresser délicatement. De son autre main elle s’occupa de son entre-jambe, baladant ses doigts sur son clitoris ou les laissant rentrer dans sa grotte.
La bite de son fils grossit rapidement tandis qu’elle gémissait déjà sous les coups de ses propres caresses. Et quelle ne fut pas sa fierté quand elle l’a vit toute dure. Elle était d’une très belle taille, environ 18 cm et quelle épaisseur jugea-telle. Les filles ne savaient vraiment pas ce qu’elles rataient. Une bite comme la sienne méritait qu’on s’occupe d’elle.
Et c’est ce qu’elle fit. Elle posa d’abord doucement ses lèvres sur son gland. C’est si doux, se dit-elle. Stéphane émit un grognement dans son sommeil. Nathalie eu peur mais elle décida de continuer. Il fallait qu’elle se calme, il ne fallait pas qu’il se réveille.
Sa langue descendit jusqu’à son prépuce et elle avala son sexe entièrement. Elle sentit d’abord un haut le cur puis s’habitua progressivement à cette sensation. Elle fit quelques mouvements de va et vient avec sa bouche ce qui eu pour résultats de faire pousser quelques gémissements à Stéphane. Elle le pompa alors avec plus de vigueur en s’attardant parfois sur son frein tout en lui caressant les boules. Elles sont bien pleines, il était temps que je m’en occupe observa-t-elle.
Lorsqu’elle vit que le corps de Stéphane était parcourut par de légers spasmes, Nathalie comprit très vite qu’il était sur le point de venir. Elle donna alors tout ce qu’elle pouvait de sa bouche et de ses lèvres léchant son frein comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge. Ses mains ne restaient pas inactives et le bas de sa nuisette fut rapidement trempée par la cyprine qu’elle sécrétait. Elle était sur le point de jouir mais se calma. Elle voulait venir en même temps que son fils. Les spasmes s’accentuèrent il allait bientôt venir. Nathalie augmenta encore le rythme jusqu’à ce qu’il ne tienne plus. Stéphane, plongé toujours dans ses rêves, émit ce qui semblait être entre un cri et un gémissement de plaisir. Trois jets puissants de sperme puis deux plus modérés inondèrent sa bouche et se répandirent sur sa queue alors que Nathalie jouissait après bien des années d’abstinence. Il était 23h 28.
Honteuse de n’avoir pas pu tout avaler, elle lécha jusqu’à la dernière goutte de sperme sur la bite de son garçon. Nathalie était heureuse. Non seulement elle avait joui comme jamais mais surtout elle avait fait découvrir pour la première fois à son fils les joies du sexe même si celui-ci n’était pas conscient. Elle se leva, couvrit son fils avec les couvertures puis lui murmura à l’oreille :
« Joyeux anniversaire mon chéri. »