CHAPITRE V : Surprise !
La vie semblait un peu plus gaie pour Stéphane depuis cette nuit avec Catherine. Certes elle ne pourrait jamais remplacer sa mère mais sa tendresse, ses baisers et ses câlins lui avait fait un temps oublié son chagrin. Aussi quand Catherine lui dit qu’elle reviendrait le voir samedi prochain avec un air coquin, il décida de mettre le paquet. Bain aux senteurs de lavande, nouveaux vêtements et parfum rien n’était trop beau pour cette soirée qui promettait d’être magique.
Catherine avait prétexté d’avoir des potins à raconter à Laura sur ce qui se passait au travail pour venir voir Stéphane. Sa sur ne s’était pas montrée curieuse après la soirée arrosée du week end. Stéphane en avait donc conclu qu’elle n’était au courant de rien et il tenait à garder cette relation secrète. Après le repas, Laura voulu se coucher tôt car elle était fatiguée. Comme d’habitude Catherine pouvait rester dormir ce qu’elle ne manqua pas de faire. Une demi heure plus tard, elle ouvrit la porte de la chambre du jeune homme. Ce dernier allait lui parler mais Catherine le coupa :
« – Chuuut. Tais-toi et laisse-moi parler. Tu as été si tendre et doux avec moi la dernière fois que je voudrais te remercier. D’habitude les mecs ne sont pas comme ça avec moi. Pour cela je vais réaliser un de tes fantasmes. Tu sais je t’ai entendu soupirer quelque chose quand je te suçais. »
Stéphane devint rouge d’un coup.
« – Ne t’inquiète pas la rassura Catherine. Tu sais y a rien de mal à avoir ce genre de fantasme et bon nombre de jeunes adolescents fantasment sur leur mère. C’est sans doute le côté expérimenté qui les attire. Aussi mets ce bandeau autour de tes yeux et je serais ta mère pour ce soir. »
Elle lui banda les yeux et s’assura qu’il ne voyait plus rien.
« – On va jouer à un jeu lui dit Catherine. Je vais rentrer à nouveau dans ta chambre et je serai ta mère. Je te surprends à te branler. Je ne suis pas contente que tu fasses cela tout seul et te punit. Cela te plait ? »
Catherine n’eut pas besoin d’attendre la réponse de Stéphane pour comprendre qu’il était d’accord. Sa bite en érection lui suffisait.
« – Ah au fait comment est la voix de ta mère lui demanda Catherine. Ca m’aidera pour te mettre dans le bain.
— Elle est plutôt douce, pas trop forte. Une voix enivrante et avec un petit côté charmeur coquin quand elle veut obtenir quelque chose.
— Ok. Je te laisse avec elle alors. »
Catherine sortit de la chambre. Stéphane se mit alors à se branler comme cela était prévu. Il pensa à ce qui allait suivre. Tout d’abord il eu peur d’être déçu mais l’arrivée de Catherine allait tout changer. Comme elle l’avait dit elle le surprit et joua la mère outrée. Elle s’approcha néanmoins de lui, lui caressa le front d’une main et saisit son sexe de l’autre. Elle commença à faire de lents mouvements de va et vient avec sa main lui chuchotant à l’oreille :
« – Tu ne devrais pas faire ça tout seul mon chéri. Laisse maman s’occuper de ça. »
Stéphane sentit alors s’ajouter à cette masturbation une délicieuse sensation sur son frein. Catherine avait sans doute léché un de ses doigts pour le rendre humide et le caresser pensa-t-il. Quoiqu’il en soit il était aux anges. Cette masturbation était juste géniale, il sentait le plaisir partir de son sexe pour venir décontracter chacun de ses muscles. Mais ce qui était par dessus tout excitant c’était la voix qu’avait pris Catherine. Elle avait pris exactement la voix de sa mère et bientôt Stéphane la vit dans son esprit le branler à la place de Catherine.
Tandis qu’il était dans ses pensées, les mouvements sur son sexe s’arrêtèrent.
« – Mais j’y pense tu as été méchant en te faisant plaisir tout seul. Je vais devoir te punir. Pour la peine tu devras faire jouir ta mère ce soir dit-elle sur un ton de réprimande. »
Après ses paroles elle s’assit sur la tête de son amant et colla son sexe aux lèvres de Stéphane. Elle sentit sa langue sortir de sa bouche caresser timidement son clitoris puis s’attaquer à ses lèvres intimes. Elle était considérablement excitée et mouillait abondamment. Elle commanda alors à Stéphane d’avaler tout le liquide qui sortait de sa chatte. Celui-ci s’exécuta et comme il avait vu Catherine le faire sur sa queue, il pompa avec avidité le sexe de sa partenaire. Il fit rentrer sa langue à l’intérieur pour sucer le précieux jus. Sentant qu’elle allait venir, sa maîtresse se trémoussa sur son visage. Elle frottait ses lèvres et son clitoris contre celles de Stéphane tandis qu’il s’agrippait aux fesses de la jeune femme. N’y tenant plus, elle fit un long gémissement qu’elle essaya sans succès d’étouffer.
« – Mon amour tu as été merveilleux. Mais maman n’est pas encore totalement satisfaite. J’ai envie de ta queue en moi lui avoua-t-elle. »
Ni une ni deux elle chevaucha en quelques secondes Stéphane qui se sentait déjà défaillir. Les mouvements de hanche qu’elle effectuait sur son sexe étaient lents mais le rythme des allers et venues augmentait petit à petit. Sentant qu’il allait venir, la jeune fille reprit un rythme lent. Elle prit les mains de Stéphane en plaça une sur son clitoris et l’autre sur sa poitrine. Les caresses qui suivirent la déstabilisa pourtant elle commença à parler à Stéphane :
« -Ca te fait du bien mon chéri ? Tu aimes ?
— Oh oui maman. C’est magique.
— Je sais bien. Ma chatte ne t’a pas trop manqué depuis la dernière fois qu’on a fait l’amour ?
— Si tu m’as manqué, ta chatte, tes seins tout chez toi m’a manqué. »
Alors qu’il finissait de répondre Stéphane se rendit compte de son erreur. Emporté par le jeu il venait d’avoué à Catherine qu’il avait couché avec sa mère. Mais quelle ne fut pas sa surprise quand il entendit une voix nouvelle et familière s’écrier :
« Je le savais. »
On lui enleva son bandeau.
« Surprise ! » s’exclama sa sur.
Stéphane était totalement déboussolé. Il venait non seulement d’avouer à sa sur qu’il avait fait l’amour à sa mère mais en plus elle était en train de le baiser. Il était comme paralysé et ne savait comment réagir. Mais Laura ne lui laissa pas le temps de réfléchir et s’activa sur la bite de Stéphane. Elle approcha son visage du sien et lui murmura :
« – Petit frère je peux t’aider si tu veux mais pour l’instant je veux ta queue. Fais-moi jouir et j’essaierai de t’aider. »
Sur ces mots, elle embrassa son frère qui lui rendit son baiser. Celui-ci se remit à caresser les seins et le clitoris de sa sur tandis qu’elle gémissait. Le fait de s’être dévoilée à son frère et de le voir prendre son pied sous elle l’avait considérablement excitée. Elle alla plus vite sur la bite de celui-ci tandis que lui faisait des mouvements avec son bassin pour la pénétrer plus profondément. N’y tenant plus elle le défia :
« – C’est tout ce que tu sais faire ? Maman me baisait dix fois mieux. Montre-moi ce que tu vaux vraiment petit frère ! »
Laura le poussait à bout. Elle adorait cette sensation de le contrôler, le dominer. Mais elle voulait sentir davantage sa queue en elle et elle ne fut pas déçue. En effet, Stéphane augmenta ses mouvements de bassin et Laura se mit à hurler. Elle ne pouvait plus se retenir et cria :
« – Ah je jouis ! p’tit frère oui c’est bon ! viens, viens encore un peu. »
Stéphane se mit alors à titiller le clitoris avec insistance. Il s’occupa également des tétons des petits seins de sa sur les durcissant, les pinçant de temps en temps. Se fut les caresses de trop pour Laura qui sous le coup de l’émotion embrassa Stéphane. Elle se sentait si bien avec cette bite en elle. Tout était parfait hormis un détail. Stéphane se retenait.
« – Te retiens pas. Viens en moi, remplit ma chatte le supplia-t-elle.
— Non je ne veux pas te mettre enceinte.
— Et moi je veux que tu me foutes en cloque. Alors tu vas obéir sale chien. »
Sur ces mots elle plaqua Stéphane contre le lit à l’aide de ses mains qu’elle posa sur la poitrine de son amant. Elle s’appuya sur celles-ci pour retirer la bite de Stéphane puis y empaler à nouveau. Ce dernier ne pu s’empêcher de gémir alors que son sexe s’engouffrait à nouveau dans celui de sa sur.
« -Si tu penses pouvoir me résister petit frère tu te trompes. J’en ai fait jouir bien d’autres plus endurants avant toi bien le prévint-elle.
— Non je je dois résister, haleta Stéphane.
— Chut. Laisse toi aller petit frère. N’ai pas peur je te protégerai toujours et si tu es sage tu auras même le droit à une gâterie. Remplis-moi petit frère, remplis moi de ton sperme et tu baiseras à nouveau maman je te le promets. »
Etait-ce le ton autoritaire de Laura, était-ce ses promesses ou ses caresses toujours est-il que Stéphane se relâcha.
« -Oui c’est bien comme ça c’est parfait gémit Laura.
— Laura je peux plus me retenir, je vais jouir.
— Oui viens, viens et remplis moi la chatte ! »
Ils hurlèrent tous les deux de plaisir. Laura fut parcourue par un orgasme intense tandis que Stéphane déversait en elle plusieurs longs jets de sperme. Elle fit un superbe sourire à son amant et l’embrassa. Elle roula sur le lit puis se plaça entre ses jambes. Le sexe de son frère était mou mais elle réussit à le faire durcir à nouveau à l’aide de ses mains.
« – Et maintenant ta récompense pour m’avoir ensemencée » lui dit-elle avec un sourire coquin.
Elle avala entièrement la bite de son frère et lui fit une superbe gorge profonde. Les doigts de Stéphane se crispèrent sur ses draps. Il ne pensait pas qu’une telle sensation était possible. Il ne pouvait s’empêcher de gémir à chaque coup de langue sur sa queue et savait que sa sur devait adorer savoir qu’il était complètement à sa merci sous son emprise. Les mouvements de succion s’intensifièrent. A chaque aller et venue Stéphane sentait son gland caresser le palet de la bouche de sa sur. Cette sensation si douce et agréable lui était insupportable. Il éjacula dans la bouche de sa maîtresse qui ne laissa pas une seule goutte lui échapper.
Ils s’allongèrent ensuite tous les deux l’un à côté de l’autre sur le dos. Stéphane lui demanda :
« – Tu penses vraiment convaincre maman de me reprendre ?
— Bien sûr. Tu sais tu es le premier qu’elle éduque mais pas la première.
Stéphane ouvrit la bouche de surprise.
— Et oui maman m’a appris elle-même comment donner du plaisir à une femme. Il nous arrivait même de nous prendre l’une l’autre avec un gode ceinture. Avec les hommes c’était différent. Elle me regardait me faire baiser par mes petits copains de l’époque mais jamais ne participait. Je pense qu’elle se réservait pour toi. Elle m’expliquait et me conseillait. La plupart du temps elle se caressait devant nous. Parfois quand mon amant était particulièrement doué elle venait avec nous mais s’occupait uniquement de moi. C’était une sorte de récompense pour lui. Cela m’a valu une vraie réputation de salope au lycée et les garçons ne faisaient pas la queue que pour mes beaux yeux. Toujours est-il que je sais exactement comment m’y prendre pour qu’elle continue ton éducation. Demain c’est les vacances pour toi. Je vais téléphoner à maman pour qu’on puisse venir la voir quelques jours. Crois-moi tu ne m’accompagneras pas quand je reviendrai ici.
— Merci ma sur chérie. Tu es la meilleure.
— Attention ne crois pas que je fais ça gratuitement. En échange je veux que tu me rendes un service.
— Quel service ?
— N’importe quelle sorte de service. Un jour je te demanderai quelque chose et tu ne pourras pas dire non peu importe ce que ce sera. Qu’en penses-tu ?
— C’est d’accord.
Laura sourit.
