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Une éducation un peu spéciale – Chapitre 7

Une éducation un peu spéciale - Chapitre 7



Chapitre VI : Souvenirs (suite)

Henry s’était déshabillé et ils  étaient tous les trois nus dans cette chambre. La relation qu’entretenait Nathalie et sa fille ne semblait pas le gêner. Au contraire à en juger par son sexe cette relation incestueuse l’excitait. Laura se tourna vers lui et le regarda avec admiration.

« – Qu’il est beau s’exclama-t-elle. Oh merci maman.

— De rien ma chérie  mais Henry est notre invité. Il faut le mettre à l’aise. Tu vas devoir le sucer. Ne t’inquiète pas je vais te montrer d’abord comment on fait.

Elle s’approcha du jeune homme qui voyait enfin son désir se réaliser. Il allait enfin baiser la femme qu’il désirait tant. Si la perspective de dépuceler sa fille ne l’avait pas de prime abord enchantée, les voir toutes les deux se caresser avait réussit à nuancer son premier avis. Si tel était le prix à payer pour pouvoir prendre son pied avec Nathalie il le paierait volontiers.

Les premiers coups de langue de celle-ci ne démentirent pas son avis. Sa langue experte savait où lécher et sucer. Elle s’appliquait autant dans l’exécution de cette tâche que dans les explications qu’elle donnait à sa fille. C’est après quelques minutes de plaisirs intenses qu’Henry se fit conduire dans le lit où il fut allongé. Nathalie demanda alors à Laura de reproduire ses gestes et très vite le jeune homme sentit deux langues, deux bouches s’affoler sur son sexe. La sensation qui en résultait était sublime. Ce fut ensuite à Laura de reproduire seule les gestes qu’avaient fait sa mère. Elle commença par lécher le gland du bout de sa langue puis l’embrassa. Elle s’attarda sur le frein du  jeune homme puis commença à le sucer entièrement tandis qu’elle le branlait en même temps. Ce n’est pas aussi bon qu’avec sa mère mais la petite se débrouille plutôt bien pour une pucelle pensa Henry. Sur les encouragements de sa mère elle le suça plus rapidement été effectua un mouvement de pression comme pour aspirer la queue de son amant. Henry semblait apprécier et Nathalie intensifiait le rythme de ces allers et venues en poussant et tirant la tête de la jeune fille. Tout allait pour le mieux pour elle. Sa mère semblait fier de ses talents au lit et Henry par en juger par les cris qu’il poussait appréciait son travail. C’est après un râle terrible de ce dernier qu’elle le sentit se contracter puis un liquide chaud remplir sa bouche. Elle aurait voulu ne pas l’avoir en bouche mais sa mère l’avait forcée à le sucer jusqu’à cet instant où elle la libéra.

« – Maman un liquide chaud vient de sortir d’Henry que dois-je en faire ? demanda Laura.

— Avale le ma chérie.

— Ca a un goût très bizarre.

— Tu verras bientôt tu ne pourras plus t’en passer alors n’en gâche pas une goutte d’accord.

— Oui maman. »

Laura avala entièrement le précieux liquide et sur la demande de sa mère nettoya le sexe d’Henry. Elle fit tant et si bien qu’il devint à nouveau dur en quelques instants. Galvanisé par cette formidable fellation, Henry se releva et décida de préparer la jeune fille avant sa première fois. Il l’allongea sur le lit et l’embrassa tendrement. Leurs langues se mêlaient tandis que les mains du jeune homme se baladaient sur son cou puis ses seins et enfin s’arrêtèrent sur sa chatte. Il continua à l’embrasser partout sur le corps notamment sur la poitrine ce qui fit pousser quelques gémissements à la jeune fille. Enfin il atteignit l’antre tellement désirée. Il lécha délicatement son clitoris tandis que deux doigts la pénétraient. C’était différent de ce qu’elle avait pu ressentir jusqu’à présent avec sa mère. Les gestes du jeune homme étaient plus rudes moins délicats mais aussi plus bestiales. Elle se sentait fragile et totalement soumise dans les bras de ce jeune mâle viril. Cette sensation de possession, cette odeur de sueur masculine ou de ces bruits rauques poussés par un mâle en rut elle ne les avait jamais entendu sinon sur des pornos. Bien souvent exagérés ils ne les avaient jamais excité. Là c’était un stimulant puissant.

Henry fit tant et di bien que Laura était complètement humide. Elle sentit alors ses muscles se contracter et le plaisir monta avant de se libérer d’un seul coup. Elle sentit alors le jeune mâle remonter sur elle. Sa queue toute dure était à l’entrée de son vagin. Il plongea son regard dans ses yeux. Elle se sentit alors totalement en confiance. Elle savait qu’Henry savait ce qu’il faisait et sa mère la rassurait à côté.

Sous le coup d’une émotion intense Laura passa ses bras autour du cou de son amant et prononça ses mots :

« Viens en moi je suis prête. Je te veux dans ma chatte remplis-moi. »

Elle l’embrassa tandis que la queue d’Henry rentrait en elle. L’entrée fut facile tellement son sexe était lubrifié par la cyprine. Toutefois elle sentit une résistance sans doute son hymen. Elle allait arriver à cet instant qui mêlait douleur et plaisir, cet instant qui allait la voir passer de petite fille à femme. Henry donna quelques petits à coup. Laura émit quelques cris de douleur. Sa mère s’en inquiéta :

« – Ca va ma chérie, ça ne te fais pas trop mal ?

— C’est douloureux mais je sens que c’est en train de passer. Continue Henry.

Il se remit donc à la pénétrer avec une infinie douceur. Laura rassurée par sa mère et galvanisée par l’idée qu’elle commençait sa vie sexuelle qui s’annonçait débridé, encourageait son amant à la prendre. Petit à petit ses cris devinrent soupirs et gémissements. Elle sentit une chaleur humide partir de son sexe pour inonder son corps. Elle se sentait bien et si détendue. Cela était si bon d’avoir cette bite en elle qui allait et venait. Un déclic se fit alors en elle. Elle enroula ses jambes autour du bassin d’Henry et commença à bouger ses hanches. Les effets ne tardèrent pas à se faire ressentir et l’ami de sa mère poussa de longs gémissements.

« – Vas-y viens ! Je veux te sentir plus profond l’encouragea-t-elle.

— Ok grogna Henry. »

Il intensifia ses mouvements et bientôt la jeune fille se mit à crier de plaisir. Sa mère en était estomaquée. Etait-ce elle la petite fille si douce qui venait réclamer la langue de sa mère sur sa chatte comme un chien demande sa pâtée ? Elle venait de changer. Elle voyait dans les yeux lubriques que posait  sa fille sur son amant la future perverse qu’elle serait et cela l’excitait. Mais ce n’était pas que ça. Non les doigts de la jeune femme s’étaient mis à caresser son clitoris puis commençaient maintenant à la doigter. Elle ne tiendrait pas longtemps avec cette vision face à elle. Les deux amants ne tiendraient pas longtemps non plus de toute façon à en juger par leurs gémissements qui s’intensifiaient.  Henry pilonnait maintenant Laura qui l’incitait à aller toujours plus fort et plus loin. Elle se mit à hurler et trembler. Henry fit encore quelques saccades rapides et profondes avant de se répandre en  elle. Laura était aux anges. Elle connut son premier orgasme dans les bras d’un parfait inconnu et cela n’avait fait qu’augmenter son excitation.

Alors que Nathalie sentait l’orgasme s’emparer d’elle comme ce jeune couple, elle eu une pensée pour son fils. Elle se représenta sur lui à le chevaucher. Cette idée l’excita au point que la jouissance se fit plus forte et qu’elle mêla ses cris à ceux de ses compagnons. Elle se promit un jour de rendre réalité cette image et de faire l’éducation de Stéphane comme elle le faisait avec Laura.

Ce n’est qu’après de nombreuses caresses et cris de jouissance qu’ils s’endormirent. Laura tenant d’une main la queue d’Henry et l’autre posée sur la chatte de sa mère.

Après une nuit bien reposante, Henry se leva le premier et se dirigea vers la douche. Il commença sa toilette car après la nuit dernière il sentait le mâle. Il ne remarqua pas la silhouette qui se glissait derrière lui. Il sentit juste une main saisissant son sexe et l’autre sur ses yeux :

« – C’est qui, demanda la voix.

— Nathalie ? »

Henry se retourna pour voir Laura.

« Ce n’est que moi dit-elle. Je sais que tu veux baiser ma mère. J’ai bien vu qu’elle t’excite. Tu penses qu’à lui foutre ta queue dans le cul depuis que tu es monté hier soir nous voir. Mais laisse-moi une chance. Laisse-moi te montrer que je peux te faire jouir au moins autant qu’elle. »

Sur ce elle se mit à genoux devant Henry et engouffra son pénis dans sa bouche. Elle eu d’abord quelques hauts de cur mais très vite elle s’habitua à cette sensation. Elle le sentait lui remplir entièrement et cela continuait. Sa queue ne cessait de gonfler et durcir à la vue de cette jeune fille plaine d’assurance et de lubricité. Sous l’effet de l’excitation il posa ses mains sur la tête et lui imposa des mouvements d’allers et venues sur sa queue. Tout était si bon pour Laura qui voulait garder ce sexe entier dans sa bouche. Sa langue le léchait, le caressait et l’humidifiait avec sa salive. Tandis qu’Henry gémissait sous l’effet de ses coups de langue, elle caressait avec ses mains les bourses de son amant. Il était prêt maintenant pensa Laura. Elle se releva, se mit de dos à Henry et se cambra. Sa croupe était tout contre le sexe du jeune homme qui ne put résister à cette invitation. Il saisit son bassin des deux mains et commença à la pénétrer mais Laura d’abord réceptive à cette première pénétration la refusa et gémit à son partenaire :

« Pas ici.

— Pas ici ? répondit Henry surprit.

— Oui. Plus haut dit-elle en frottant sa rondelle contre le sexe d’Henry.

— Mais je viens à peine de te dépuceler. Attends un peu. Peut-être que ta mère.

— J’en ai marre d’attendre. Pas besoin de ma mère maintenant. Je suis une femme qui sait ce qu’elle veut et ce que je veux c’est ta bite dans mon cul. Alors mets la moi ! »

Henry bien que surpris par cette vive réaction de Laura fut séduit par la jeune fille. Elle savait ce qu’elle voulait et cela lui plaisait. Il plaça donc sa queue face à l’anus de Laura et y imprima une pression. Son sexe rentra doucement mais sans grande résistance dans l’arrière train de son amante. Henry était aux anges. Bien qu’il ne supportait plus les filles sans expériences timides, il avait toujours adoré les mettre en confiance, vaincre leurs peurs et leurs résistances pour les prendre par derrière. L’idée de voir une jeune ingénue toute timide et prude se faire défoncer le petit trou interdit à la pénétration par la plupart des femmes l’excitait à mort. Il n’y allait jamais de main morte avec elle  et les défonçait sans aucune pitié. Leurs cris, leur douleur et souffrance étaient pour lui un véritable stimulant de même que l’étroitesse de leur trou qui enserrait sa queue. Mais avec Laura c’était différent. Il ne lui avait rien demandé et elle s’offrait à lui. Ceci ne lui était encore jamais arrivé. Il voulait donc faire les choses correctement avec elle. Ceci n’était cependant pas du goût de Laura qui le suppliait :

« Vas-y plus fort. Défonce-moi. Ne t’inquiète pas ma mère m’a préparé avec ses doigts. »

Enhardi par les supplications de la jeune fille et la sensation de ses intestins chauds qui enserraient sa queue, Henry lui céda. Il commença des mouvements saccadés sur les fesses de Laura qui émettaient de légers claquements. La jeune fille se sentait comme déchirée par l’engin d’Henry. Elle avait pensé que les préparations multiples de sa mère avec ses doigts avaient assez dilaté son anus pour accueillir une queue mais il n’en était rien. Elle savait qu’elle souffrirait mais elle n’avait jamais imaginé souffrir autant. Elle émit alors un cri qui résonna dans toute la maison :

« Ah putain ! Ca fait mal.

— Tu veux que j’arrête ? demanda Henry qui arrêta ses allers et venues dans le cul de Laura.

— Non, non. Je t’en supplie continue. Continue défonce moi comme si j’étais ta pute. Tant pis si j’ai mal ou je hurle. Prends-moi comme une chienne. »

Henry était sous le choc. Il besogna néanmoins à nouveau Laura avec toute la rapidité dont il était capable. Il l’entendait hurler, crier sous l’effet de la douleur. Mais il ne s’arrêta pas, son amante en réclamant toujours plus. Il n’avait jamais vu une telle volonté, une telle force d’esprit chez une femme si jeune. Ce qu’il ne savait pas c’est que Laura avait quelque chose à prouver à sa mère et à elle-même. Depuis les débuts de son éducation elle s’était sentie inférieure, soumise à la volonté maternelle. Lorsqu’Henry avait brisé son hymen, il avait également brisé cette impression d’infériorité et de soumission. Laura voulait maintenant se sentir libre, s’émanciper et connaître toutes les sensations, tous les plaisirs possibles. Elle voulait être cette femme perverse et dépravée qu’elle avait toujours été au fond d’elle-même.

La douleur était insoutenable pour Laura qui avait le cul en feu. Elle sentait pourtant poindre un soupçon de plaisir sous cette intense souffrance. Motivée par cette sensation elle ne cessait d’encourager Henry pour qu’il la baise. Celui-ci avait toutes ses hormones en ébullition. Il défonçait Laura à peine dépucelée qui le voulait. Les cris et hurlements de la jeune fille ne cessaient de le faire frissonner de plaisir. Il aimait la voir souffrir ainsi sous ses coups mais plus encore c’est la détermination et la perversion de sa partenaire qu’il admirait, qui l’enivrait.

Les cris de Laura étaient incessants. Ce pendant, les cris de douleur laissaient peu à peu la place à des gémissements, des soupirs. Elle se sentait bien et le plaisir commençait à monter progressivement dans en elle. Enfin les cris de plaisir prirent le pas sur ceux de douleur et tout ne fut que bonheur et jouissance. Laura se faisait de plus en plus exigeante avec Henry et ne cessait de réclamer plus de force ou de rapidité dans ses mouvements.

« Oh oui. C’est bon ! C’est bon. Baise moi, baise moi plus fort s’exclama Laura.

— Je je n’en peux plus Laura. Je ne sais pas si je vais pouvoir maintenir cette cadence encore très longtemps haleta Henry.

— Ok puisque tu ne peux plus rien faire c’est moi qui prends les rênes. »

Elle se retira d’Henry et l’assit par terre. Sa bite toute tendue se dressait face à Laura qui ne perdit pas un instant. Elle l’avala d’un seul trait. Henry de son côté ne contrôlait plus rien et se laissait aller aux plaisirs procurés par Laura. Il laissa son regard aller au hasard quand il vit la porte de la salle de bain ouverte et Nathalie derrière. Elle se caressait à la vue des deux amants. Ses cuisses étaient pleines de cyprine quelques gouttes étaient même tombées par terre. Ses doigts dans sa chatte son visage était marqué par des vagues de plaisir intense. Elle ne reconnaissait plus sa fille, cette douce petite fille qui jouissait sous ses coups de langue. C’était une bête qui était dans cette pièce. Une bête dépravée qui ne voulait qu’une chose : du sexe. Elle ne pouvait croire qu’à peine dépucelée elle se faisait défoncer le cul et pire encore elle suçait la bite d’un mec qui sortait tout juste de son cul. Elle vit sa fille lécher, sucer Henry avec une avidité qu’elle ne lui connaissait pas. Elle vit alors le jeune homme qui ne cessait de la dévisager parcourut par des soubresauts. Elle lui montra alors ses fesses et son anus. Elle y mit un doigt puis le pointa du doigt. Henry comprit alors qu’après Laura, Nathalie lui offrirait son cul. Ne supportant plus les coups de langue de Laura il éjacula. Celle-ci ne s’arrêta pas pour autant. Elle avala tout, continua à le masturber et le lécher jusqu’à ce qu’il devienne à nouveau dur. Elle l’allongea ensuite par terre saisit son sexe et le chevaucha. Elle émit un petit gémissement lorsque le sexe masculin pénétra à nouveau son petit trou. Tandis qu’elle commençait des mouvements de va-et-vient elle sentit une vague intense de plaisir la saisir. Elle sentit un frisson parcourir son échine. Elle s’empala alors sur la queue de son amant avec plus de hargne. Henry quant à lui s’abandonnait totalement à Laura dont qu’il voyait aller et venir rapidement sur son entre jambe. Il était comme hypnotisé par le ballottement des seins de sa cavalière au rythme de son déhanché. Il ne pouvait plus rien faire, plus rien contrôlé. Pourtant, il fit un effort pour se ressaisir et caressa d’une main le sein gauche de Laura et de l’autre son clitoris. Laura se mit alors à hurler :

« Ah Henry ! Ce que c’est bon continue à me caresser. Continue je vais accélérer, retiens toi. »

Et en effet elle accéléra. Le sexe du jeune homme était caressé par les nombreux mouvements sur sa queue. Pour se retenir, il se concentrait sur les caresses qu’il donnait mais son cerveau ne suivait pas, seule sa volonté lui permettait de continué.

« Oh, j’en peux plus. Je vais jouir Henry haleta Laura.

— Moi aussi.

— Alors viens. Viens. Fais-moi jouir du cul. Remplis mon ventre de ton sperme. »

Henry ne pu longtemps subir ces assauts répétés. De même Laura ne se contrôlait plus et les deux amants se laissaient saisir par un orgasme d’une puissance qu’ils n’avaient encore jamais connu. Ils s’effondrèrent par terre sous le coup de cette intense sensation. Ce n’est que quelques minutes plus tard qu’ils se relevèrent et se dirigèrent vers la chambre. Là Nathalie se glissa derrière Henry et lui chuchota à l’oreille :

« Continue à t’occuper de ma fille comme ça et je serais ta chienne. Je te rendrais au centuple le plaisir que tu lui donnes. »

Henry s’était alors particulièrement attaché à s’occuper de Laura et il ne l’avait pas regretté. Nathalie s’était montrée plus que reconnaissante. Elle avait rompu sa promesse et était la chienne du jeune homme. Elle répondait à toutes les envies de son amant peu importe le lieu ou le moment. Henry avait particulièrement envie d’elle au travail et bien souvent il la prenait dans les toilettes ou se faisait tailler une pipe. Ils l’avaient même une fois fait dans le bureau du patron. Nathalie se plaisait dans cette situation jusqu’au moment où Henry fut muté à l’autre bout de la France. La séparation fut difficile mais c’était surtout pour le sexe. Il n’y avait jamais eu d’amour entre eux. Nathalie recommençait sa traversée du désert jusqu’à l’anniversaire de son fils.

C’était de merveilleux souvenirs pensait Nathalie. Elle avait eu de merveilleux moments à cette époque. Elle revint brusquement à la réalité. Sa fille l’avait allongée. Elle s’évertuait à la sucer et lui procurait de petites vagues de plaisir. Des gouttes de cyprine goûtaient sur la tête de Nathalie. La partie avait commencé et Nathalie était en train de la perdre.

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