Suite :
Au fur et à mesure que la sortie approchait, mon cur battait de plus en plus fort et ma culotte était de plus en plus trempée. Finalement, excitée au point dêtre dans un état second, je rentre dans lair et me rend directement aux toilettes pour homme.
Deux mecs sont déjà en train de se soulager lorsque je pousse la porte.
— Excusez-moi messieurs, cest occupé chez les dames dis-je innocemment.
Puis je rentre dans une cabine et commence à faire pipi (leffet du café) en poussant de grands soupirs de soulagements qui déclenchent des commentaires amusés des deux pisseurs.
— Oh que ça fait du bien ! Jai cru que jallais mouiller ma petite culotte Mmmmhh
Je me saisis alors du papier, le fait disparaître dans la cabine voisine et ouvre la porte de ma cabine, toujours assise, en demandant aux messieurs du papier. Ils se retournent et me voient assise, la petite culotte sur les chevilles et la robe remontée jusquaux hanches.
Un des deux me passe du papier et sans me soucier deux, je messuie le sexe devant leurs yeux ébahis. Les jambes écartées, jouvre bien mes lèvres avec deux doigts et messuie la vulve de bas en haut en finissant sur mon clito. Immédiatement, celui-ci est réceptif et me procure une décharge de plaisir. Je ne peux alors résister et commence à me masturber devant ces deux gaillards.
Ils restent fixes en me regardant me doigter. Je me fais du bien mais ce nest évidemment pas ça que je veux. Je leur jette alors :
— Il vous faut quoi les gars pour que vous veniez me faire ma fête ??
— Ha, tu veux quon te fasse ta fête, salope ? Et bin tu ne vas pas être déçue
Ils se jettent alors sur moi en sortant leur sexe, de tailles normales, presque petits, et mentourent pour que je les suce. Je my applique avec plaisir et passe dune bite à lautre en les gobant entièrement sans difficulté. Ils me sortent les seins de ma robe et me les palpent et me doigtent la chatte.
Je me lève alors, fait sassoir sur les toilettes le plus maigre et, en me débarrassant de mon string, me place à cheval sur lui et massois sur sa bite. Ma chatte est totalement trempée et avale sans difficulté cette modeste queue. Je continue de pomper lautre, un peu gras, pendant que je décris des vas et viens avec mes hanches. Celui qui est assis mécarte les fesses avec ses mains et demande à son camarade de me mettre un doigt dans le cul.
Le gros sexécute aussitôt et menfile son doigt dans le fion sans résistance. Les kilomètres de queues que je me prends régulièrement dans le derrière commencent à porter leurs fruits ! Je gémis de plaisir à lentrée de ce doigt et accélère le mouvement.
— Putain, elle aime ça la salope ! Elle en redemande, on dirait !
Sans hésiter, il menfonce un deuxième doigt entièrement.
— Alors sale chienne, deux doigts dans le cul, ça te calme un peu, hein ?
— Je les sens à peine tes doigts, si tu menculais plutôt ?
— Faut pas me le dire deux fois !
Le gros que je suçais passe donc derrière moi, retire ses doigts et présente son sexe devant mon anus. Il enfonce son gland puis, sans vraiment de résistance, enfile tout sa queue. Le maigrichon sous moi sactive dautant plus dans ma chatte. Me voilà donc double pénétrée dans les toilettes publiques par deux inconnus un peu laids Cela ma pris trois minutes pour en arriver à ce stade !
Cette DP est plutôt agréable mais bien moins intense et jouissive que ce que jai pu vivre dans le passé. Mes gémissements sont très exagérés et sont surtout faits pour motiver mes deux gaillards.
Regardant celui sous moi, je lui demande :
— Toi aussi tu veux menculer, je suppose ?
— Carrément !
— Aller, on change de position, déclarais-je alors fermement.
Je me relève donc en « expulsant » les queues de mon corps et me débarrasse de mon soutien-gorge, ma robe, elle, se résumant à une ceinture de tissu sur ma taille. Je massois à nouveau sur le maigrichon, mais dans lautre sens et jenfonce sa bite dans mon cul. Je mallonge sur lui, écarte les jambes bien hautes et offre ma chatte au petit gros. Celui-ci ne se fait pas prier et menfile dun coup et fait dans la foulée de grands allers-retours. La position est un peu acrobatique et celui assis sur les toilettes peut à peine bouger dans mon cul. Le gros essaie de membrasser mais je lui refuse ma bouche. Vexé, il mattrape par la gorge, fait mine de métrangler et redouble de brutalité dans ma chatte. Puis, sans consulter son compagnon du jour, il me prend par les cheveux, se retire et me fait magenouiller à ces pieds. Il se masturbe puis, très vite me jute sur le visage son sperme chaud.
Lautre se relève et, apparemment frustré par une sodomie pas vraiment terrible, me plaque à quatre pattes et mencule directement pendant que le petit gros se rhabille.
— Aller, bonne fin de journée, salope ! me dit-il en sortant des toilettes.
Le maigrichon, pendant ce temps, continue de menculer mais, décidément, nest pas vraiment doué dans ce trou là Je tente alors de le motiver un peu.
— Oh oui, mon salaud, tu me défonce bien le cul ! Vas-y accélère, déchire-moi le fion ! Oh oui !!!
— Oh putain, je vais venir Arrrhh oui, tiens je te remplis le cul ! Salope Me dit-il gentiment en se vidant dans mes entrailles
— Mmmmhh mon salaud, tu mas bien défoncée, lui dis-je, faussement satisfaite.
Il se relève et remonte son pantalon alors que jessaie de mettre la main sur mes sous-vêtements.
A ce moment précis, jentends la porte des toilettes souvrir et plusieurs hommes font leur apparition devant la cabine. Je suis alors quasiment nue, à genoux devant le siège des toilettes, le visage dégoulinant de sperme. Les trois mecs semblaient être des motards vu leur look et étaient carrément balèzes par rapport aux deux qui venaient de me baiser.
Un des trois demande alors en me regardant :
— Cest bien ici quil y a une salope qui se fait enculer gratos ??
— Je vous le confirme, répond alors le maigrichon en train de partir, et on lui a bien détendu le cul ! Vous allez pouvoir vous amuser
Sans même sadresser à moi, les trois motards me relèvent, me plaque contre la cabine des toilettes, cul tendu vers eux et commencent à me prendre dans le fion à tour de rôle. Ils sont tous les trois trois déjà très durs et mieux membrés que les autres. Ils me prennent sans ménagement, se concentrant uniquement sur mon cul. Ils minsultent copieusement, me crachent sur les fesses et mes gémissement ne sont plus là pour les encourager ils sont là parce que je me fais totalement dominer et jadore ça ! Mon cul est en feu, bien dilaté, et ma chatte dégouline de plaisir et dexcitation. Je crie comme une chienne tant je prends mon pied.
Le plus grand me saisis alors sous les aisselles, me soulève et me fait saccrocher à lui, les jambes autour de sa taille. Je ne suis quun fétu de paille dans ces bras. Il pénètre ma chatte et écarte mes fesses pour montrer le passage à ses copains. A nouveau, ils se succèdent dans mon cul et, enfin, je sens que cette double pénétration puissante va me faire jouir.
Je me sens totalement à leur merci ainsi portée, nue, par les trois colosses en combinaison de bickers. Je mouille tellement et mon anus est si détendu quils ne prennent plus la peine de viser à chaque fois quils échangent de place, se contentant de bourrer pour que sa rentre.
Justement, lors dun changement de place, lun deux vise mal et sa queue vient senfoncer dun coup dans ma chatte alors que le géant occupe toujours la place. Je pousse un hurlement de surprise et de douleurs car, même si je deviens coutumière de la double vaginale, jaime bien quand même me préparer à cette idée Lui-même semble surpris que ça rentre tout seul et après quelques instants où il se demande sous doute sil ne ma pas déchiré, continue sur sa lancée en me défonçant la chatte.
— Putain, les gars, on est tombés sur une salope de compétition !! Deux bites dans la chatte et elle prend son pied, cette chienne !
Il est vrai que, passé la surprise, je suis immédiatement envahie de plaisir par cette double et je sens que je ne serais pas longue à venir. Ils échangent à nouveau de place, dans ma chatte cette fois-ci. Mes gémissements devenant des cris de jouissance de plus en plus rapprochés, ils accélèrent la cadence jusquà ce quun puissant orgasme marrache un hurlement digne dun film porno. Le géant qui me soutient me soulève alors un peu plus, me libère le vagin des deux bites qui le remplissaient et écarte à fond mes fesses pour bien exposés à ses copains ma chatte dilatée et dégoulinante de mouille. Mes lèvres sont encore agitées des derniers soubresauts de mon orgasme.
Ils me replacent alors à quatre pattes, et se remettent à menculer brutalement à tour de rôle. Ma tête est plaquée de coté sur la cuvette puante des toilettes. Mon anus est matraqué, écartelé et dès quun des gars sort de mon fion béant, il vient me baiser la bouche et est immédiatement remplacé par un autre. Ce cercle infernal (mais qui mexcite terriblement et satisfait mon envie de soumission) dure de longues minutes jusquà ce quenfin, ils se décident à jouir. Ils me font massoir sur les toilettes et se vident sur mon visage et ma poitrine les uns après les autres. Ils éjaculent tous de grandes quantités de spermes que jessaie de récupérer un maximum dans ma bouche tant je suis affamée !
Les trois motards commencent à se rhabiller devant moi tandis que je reste assise sur les toilettes, jambes écartées et buste dégoulinant de foutre, totalement épuisée mais comblée. Je suis en train de jouer avec le sperme des gars sur mes seins quand jen entends un dire :
– Bon, cest pas le tout mais jétais venu pour pisser, à la base.
Mais alors quil est en train de se diriger vers les urinoirs, une étincelle de perversion me donne soudain une envie de soumission incontrôlable. Je linterpelle alors :
— Fais ça ici
— Pardon ?? me dit-il en se retournant.
— Pisse-moi dessus ! Pisse-moi sur la chatte
Tout en prononçant ces mots, je lève les jambes bien écartées, toujours assise sur les toilettes.
— Tes une grande malade, toi ! Me dis alors un des gars sur le coté.
— Attends, y a pas de problème, dit son copain. Elle veut se faire pisser dessus, alors on va tous sy mettre.
Le premier me vise alors avec sa bite et un jet durine jaillit de son sexe mou pour atterrir sur ma chatte puis ruisselle dans la cuvette des toilettes. La sensation de soumission est totale et limpression dêtre un objet offert à tous me rend folle. Je fixe droit dans les yeux cet inconnu en train de muriner dessus puis je sens au bout de quelques secondes le jet faiblir pour finalement sarrêter.
— A votre tour les gars !
Les hommes changent donc de position et lun après lautre, ils se vident la vessie sur mon sexe. Ils visent aussi mon ventre et ma poitrine. De lurine sabat sur mes seins mais je ne proteste pas. Au contraire, je me surprends à mettre ma main sous ce jet chaud pour jouer avec.
— Putain, jai jamais vu une salope pareille !
Soulagés mais aussi un peu déstabilisés par la scène, les motards quittent les toilettes sans un mot pour moi, me laissant ainsi souillée. Jentreprends de me nettoyer un peu au lavabo au moment où un petit gros, à peu près lâge de mon fils ainé, entre dans les toilettes. Il ne me regarde pas trop, apparemment timide et va vers les urinoirs. Je lignore totalement et une fois débarrassée du sperme et de lurine sur mon corps, je réajuste ma robe et récupère mon string et mon soutif quand jentends la chasse deau couler. Je me retourne et vois le gamin rouge comme une pivoine. Il me regarde bizarrement et finit par me demander :
— Madame, je peux encore vous voir nue ? Les mecs dehors mont dit que vous étiez daccord
Attendrie par ce jeune homme, apparemment puceau, mais surtout toujours aussi animée par la perversion, je me retourne face à lui et baisse entièrement ma robe, jambes légèrement écartées.
— Satisfait du spectacle ? lui demandais-je alors.
— Ouaa, carrément, vous êtes superbe !
— tu peux te branler si tu veux
— Ah je voulais juste voir heu bon ok.
Il sort alors son sexe, assez petit, il commence à se branler comme si sa vie en dépendait. Je tente de le motiver un peu en me massant les seins, mécartant le vagin, jouant avec mon clito et en lui parlant de la manière la plus aguicheuse possible. Au bout dune minute, je vois quil est à deux doigts de craquer.
— tu veux jouir dans ma bouche ?
— Oh oui !
Je maccroupis alors et en deux secondes, il me balance son jus que javale avec plaisir. Je lui pompe les dernières gouttes, enfile ma robe, lui pose un baiser sur les lèvres et sort en vitesse des toilettes avant que dautres pervers ne rentrent. Ma robe est tachée de pisse et de sperme et me cheveux sont en bataille eux aussi enduits de foutre. Je baisse les yeux à chaque personne que je croise tant jai honte du spectacle que joffre. Honteuse mais satisfaite !
Je remonte en voiture et finis le trajet vers la maison dune traite. Sitôt rentrée, je prends une longue douche chaude et me promets, non pas de ne plus recommencer mais de prendre une tenue de rechange la prochaine fois
Quand est-ce que mon mari rentre déjà ? Dans 2 jours jai hâte daller le chercher !
A bientôt.