Je suis bien obligé de commencer cette histoire après mon 18ème anniversaire. Je ne pourrai donc pas raconter comment peu à peu je me suis rendu compte que mes parents avaient une vie sexuelle très… "riche". Je crois que je m’y suis fait progressivement sans que rien ne me choque. C’est quand j’ai compris comment cela se passait dans des familles dites normales que j’ai réalisé que notre maison n’était qu’un baisodrome. Mais il n’y a que dernièrement que la libido de mes parents m’est apparue sous l’angle de la plus complète débauche, débauche fort contagieuse et aux aspects les plus inattendus.
Mes parents sont encore jeunes, ils se sont mariés très tôt.
Papa a 43 ans, maman 40 et ma grande sur Patricia 21. Il n’y a que neuf mois d’écart entre elle et mon frère Gilles qui sont de la même année et moi j’ai juste un an de moins que mon frère, donc 20 ans dans quelques semaines.
Papa est conducteur d’engins. Il n’est pas grand mais très baraqué. Il a une calvitie précoce mais autrement il a le poil très noir.
Maman est légèrement plus petite, 1,70m, mais encore très belle. Elle fait attention à sa ligne car elle est vendeuse dans une grande enseigne de fringues. Elle a une paire de seins qui, à défaut d’être très gros, quoique de taille respectable (je ne saurais pas en dire plus) sont très ronds et proposent une gorge serrée et attirante dès qu’un décolleté peut la mettre en valeur.
Entendre mes parents faire l’amour m’a toujours rassuré car je suis content qu’ils s’aiment comme au premier jour. Enfin, ils baisent plus qu’ils ne font l’amour, c’est plus sauvage que sentimental. Ils forniquent hard et très souvent.
La maison n’est pas grande mais nous avons chacun notre chambre à l’étage, le rez-de-chaussée étant constitué de l’entrée, du garage et d’un vaste sous-sol. Les cloisons sont peu épaisses. On entend tout tout tout.
Il faudrait d’ailleurs être sourd pour ne pas profiter des orgasmes de Valérie (c’est maman vous l’avez bien compris, Valoche pour les intimes, balloches pour mon père quand le désir le submerge et qu’il le manifeste par ce jeu de mots qu’il trouve irrésistible) tellement ils sont démonstratifs. Quand nous étions plus petits, ils descendaient souvent tirer leur coup en bas mais les bruits assourdis nous parvenaient quand même. Ma chambre est face à la leur et maintenant qu’ils nous savent tous au fait des choses de l’amour et du sexe, ils ne descendent plus. Je suis aux premières loges.
Papa ne fait pas non plus dans la discrétion : pendant l’amour sa logorrhée est sonore et très répétitive. Il jure, il gueule, il éructe à tel point qu’il m’est arrivé, rentrant tard de l’entendre depuis le portail du jardin.
— Taimes ça hein, t’aimes la queue salope ! Bouffe-moi la bite, suce cochonne, suce ! Tu la sens bien là hein, t’en veux encore du manche sale pute ?
Ces insultes au départ me consternaient avant de comprendre que, plus qu’un jeu, elles sont une expression profonde de leur passion réciproque.
La chambre de ma sur est à côté de la mienne et, face à elle, jouxtant celle des parents, il y a celle de mon frère qui en entend donc autant que moi.
Je ne dirais pas que mes parents sont exhibitionnistes, non, mais le sexe leur parait naturel et ils n’ont aucune pudeur.
Combien de fois ai-je vu papa se plaquer dans le dos de maman, lui pétrir les nichons et elle, le repousser en riant et en lui demandant d’attendre. Quand mon père joue à cela et qu’il est en survêt, je vois la grosse bosse bien excitée se déployer amplement.
Du reste, je sais comment il est fait car il m’est arrivé de mâter par le trou de la serrure ou même par la porte entrebâillée, sans compter les fois où je l’ai vu nu dans la salle de bain.
Cette situation peut avoir des inconvénients. Je n’ose pas ramener une fille à la maison, au vu de ce qui est arrivé à mes aînés. A chaque fois qu’ils ont fait l’amour à la maison, ça s’est entendu et ça s’est propagé. Il suffit que ma sur crie sous l’homme ou que mon frère ahane sur une nana pour qu’aussitôt mes parents, gagnés par l’excitation, se mettent à baiser à leur tour. Même portes fermées le couloir s’emplit aussitôt des râles du rut. Quand ils entendent le raffut de la chambre paternelle, les partenaires de mes ainés comprennent que toute la maisonnée profite de leur propre performance et on ne les revoit plus après, surtout s’ils ont eu le malheur de croiser papa le lendemain matin ; car il ne fait pas dans la dentelle, comme avec cette rouquine ramenée par mon frère un samedi soir.
— Dites donc vous deux c’était la fête hier soir… Il t’a fait chanter mon fils hein ! On t’a bien entendue. Il faut dire que dans la culotte il a de quoi satisfaire une femme exigeante… C’est de famille.
Et la fille de devenir rouge comme un camion de pompiers.
Et à l’amant d’une nuit de ma sur !
— Dis donc garçon, t’a les yeux en trous de pine ! On vous a entendus toute la soirée. T’a la’ir de l’avoir bien bourrée dis-donc ! Elle est bonne ma fille, hein ?
Que voulez-vous dire à ça ? Même mon frère et ma sur en sont gênés mais ils ont compris que ces sorties grivoises sont impossibles à contenir. Donc, si on veut s’attacher un peu il est recommandé de venir quand les parents ne sont pas là ou d’aller s’accoupler ailleurs.
Néanmoins, il y a aussi des avantages dans cette situation, c’est l’extraordinaire liberté sexuelle qui règne à la maison. Je vous laisse juges amis lecteurs, avec les anecdotes suivantes :
D’abord celle-ci, qui doit dater un peu. Le samedi après-midi, c’est ménage. Maman est une fée du logis. Elle dit que quand on n’habite pas dans un palais ça doit être plus propre qu’un palais et nous sommes bien priés de passer par ses ordres, même si Gillou, beaucoup plus bordélique, a toujours du mal à ranger sa chambre et à la laisser propre.
— Les garçons, venez là !
Il y a un ton, chez mes parents qui n’admet pas de discussion même à notre âge. Nous voilà donc tous les deux en un clin d’il dans la salle de bain.
— Combien de fois il faut vous dire que quand vous vous tapez une queue dans le lavabo, faut faire attention à ne pas éclabousser la glace !
— Ouais, désolé, m’man, j’ai pas fait dèche.
— Allez hop nettoie-moi ça Gillou.
Vous l’aurez compris, on ne se cache pas. Combien de fois mest-il arrivé de rentrer dans la chambre de mon frère, après avoir frappé bien sûr, et de le voir allongé dans son lit en train de se branler devant un porno… et de le rejoindre parfois ?
— Gillou ! Ta chambre est une porcherie ! T’as des kleenex partout même sous ton lit !
— Y’a pas que moi m’man, Tonio aussi il s’est branlé et a foutu son mouchoir par terre.
— Nan, c’est pas vrai, j’lai foutu dans ta poubelle !
Ou cette autre fois encore !
— Gillou… viens là ! Combien de fois faut-il que je te dise de rincer la baignoire. Elle est encore pleine de poils de cul !
— C’est pas moi m’man c’est les poils de chatte de Patou, répond-il en rigolant.
D’où la frangine qui sort de sa piaule comme un diable de sa boîte.
— Mon cul ! J’épile tout si tu veux savoir gros con !
— Que tu dis ! Je demande à voir !
Et ma sur de baisser son jean juste ce qu’il faut pour qu’on voie le haut du pubis et la naissance de la fente !
— T’es content gros dégueulasse ?
— Alors c’est les poils de couilles de Tonio !
— J’ai les boules aussi lisses que la chatte de Patou.
— Ah ouais, mince, c’est vrai.
La curiosité, une fois, m’a poussé à explorer la chambre paternelle.
Mes parents ont leur propre télé. Ils peuvent brancher l’ordi dessus. L’historique de l’ordi est plein de consultations de site de cul et il y a un stock impressionnant de fichiers avec des photos et des films. Je consultai les trois premiers… mes parents se filment pendant leurs ébats et c’est très très hot.
Dans la table de nuit, des sextoys, godes, menottes, pinces à tétons et du gel… mais pas de présos… maman s’est fait ligaturer les trompes après ma naissance, c’est plus commode.
J’étais donc fixé sur la vie sexuelle de mes parents, du moins le croyais-je. J’allais bientôt découvrir qu’elle était beaucoup plus débridée et finalement beaucoup plus discrète que ce que je pensai et que croyant tout savoir, on nous cachait beaucoup de choses. Il a fallu un détonateur pour que mes parents décident de ne plus prendre de précautions pour nous taire les parties les plus tordues de leur libido.
C’est un samedi soir en février dernier qu’un tournant radical a été pris dans la vie sexuelle de la famille. Y’a rien à dire, cela devait arriver. A force de s’écouter, de se voir nus, de repousser aux dernières limites les vestiges de la pudeur, ça ne pouvait pas ne pas se produire.
Nous avions dîné au restaurant pour l’anniversaire de Patou. C’est une tradition. On fête les anniversaires en famille au resto puis on rentre à la maison et on prend le champagne en ouvrant les cadeaux.
Maman peut avoir des prix sur les fringues et article de la boutique, moi je m’étais cotisé avec Gillou pour offrir deux places de concert mais, mon frangin, jamais à court des blagues du meilleur goût et de plaisanteries fines, offrit un autre cadeau. Le papier enlevé, nous découvrîmes dans sa boîte de plastique un gode realistic de forts belles dimensions.
Eclats de rire généralisés.
— T’es vraiment trop con Gillou ! Putain quel obsédé T’as vraiment le cerveau dans la bite hein ! Que veux-tu que je foute d’un truc pareil ?
— Demande à m’man, elle en a plein son tiroir !
— Oh, tu fouilles dans mes affaires ! dit mon père ! (Tiens je n’étais pas le seul !)
— Euh… non non, je prêchais le faux pour savoir le vrai ! bredouilla mon frangin qui avait parlé trop vite.
— Mon il !
Puis, après avoir encore bu et parlé de choses et d’autres chacun fut se coucher. La façon qu’employait mon père pour flatter en douce la croupe maternelle fixait le programme du reste de la soirée.
Je ne fus pas long à entendre leurs gémissements. L’histoire du gode avait dû les émoustiller… s’ils avaient besoin de ça. Peut-être étaient-ils en train de jouer avec les leurs m’imaginais-je et j’essayais de me représenter ce que pouvait être la fente de ma mère élargie par les trucs monstrueux que j’avais découverts dans leur chambre.
Je ne bande pas à chaque fois que j’entends mes parents copuler, mais ça m’arrive assez souvent quand même, d’autant plus qu’ils sont assez endurants. C’est rare que cela dure moins d’une demie-heure, c’est souvent 45 à 60 minutes, c’est même parfois beaucoup plus.
J’allumai l’ordi, tout excité, et me passai un de mes boulards préférés, une nana offerte en tournante par un mec à ses potes pour payer ses dettes de poker.
Le son ne couvrait qu’en partie les bruits de la chambre d’en face. Tout à coup, la porte s’ouvrit alors que j’étais en train de me secouer l’asperge gentiment.
— Putain, viens voir, viens voir !
C’était Gillou, il était nu et il bandait. Comme moi.
— Quoi ?
— Bouge ton cul !
Je le suivis, sans prendre la peine de m’habiller. Ce n’était tout de même pas exceptionnel d’apercevoir, ne serait-ce que furtivement, un sexe en érection dans la maison.
— Regarde, dit-il en me désignant la serrure de la chambre de ma sur.
— J’vais rien voir !
— Si, si ! Mate !
Patou n’avait pas fermé ses persiennes et la lumière du réverbère projetait une lueur blafarde sur son lit où, allongée, jambes écartées, elle enfonçait d’une main le gode du frangin dans la chatte et se caressait un téton de l’autre. Elle aimait, c’est sûr. Ce n’était pas la première fois, bien sûr que je voyais ma sur nue (la salle de bain ne ferme pas à clef, faut-il le dire ?) mais jamais je ne l’avais vue en train de prendre du bon temps.
— Putain t’as vu comme elle kiffe, c’est trop bon, j’y vais !
— Déconne pas Gilles, c’est notre sur.
— M’en fous.
Et il ouvrit la porte. Je restai en arrière dans le couloir
Ma sur arrêta de se goder et essaya tant bien que mal de rabattre les draps sur elle.
— Mais t’es dingue ou quoi Gilles ! Dégage !
— Tu l’aimes bien mon jouet hein !
— Allez, casse-toi, j’te fous la paix moi, est-ce que je te dérange quand tu te tripotes toi ?
— Eh, oh ! Dis que tu m’as pas déjà maté quand j’me branle ?
— T’es gonflé ! Le nombre de fois où tu laisses ta porte entrouverte pour exhiber ton gros zob !
— Tu le trouves gros mon zob ?
— Ta gueule, fous le camp !
— Allez, laisse-moi regarder merde, toute façon j’vais mater derrière la serrure.
Alors elle le laissa approcher. Il s’agenouilla à sa droite sur le rebord du lit. Toujours à ma place, profitant du bruit que faisaient mes parents, je me branlai fasciné par le gros gode qui allait et venait dans la chatte et les mouvements du bassin de ma sur qui profitait du plaisir qu’elle se donnait. Depuis l’épisode des poils de cul, elle s’était laissé repousser les poils de la chatte qu’elle avait entretenus avec soin et qui dessinaient un triangle parfait.
D’où il était, Gillou put allumer la lampe de chevet, et la lumière mit davantage en valeur les chairs boursouflées de la vulve qui engloutissait le nud artificiel.
Tout à coup, Gilles posa sa main gauche sur le sein gauche. Elle le dégagea violemment :
— Bas les pattes gros porc ! Tu touches pas !
— T’as tort… comme ça tu pourrais tenir le gode à deux mains ou te toucher la chatte avec la main libre et moi, je te ferais du bien avec tes nichons.
L’idée de se tripoter le frifri dut lui plaire car elle y porta aussitôt la main dont elle s’était servie pour chasser celle de mon frère. Il reposa aussitôt sa paluche sur le globe majestueux sans rencontrer de résistance. Il monta alors carrément sur le lit et me fit signe d’approcher. Je fis comme mon frère, tenant toujours ma bite dans la main droite, je posai l’autre sur le sein de ma sur en imitant les mouvements de mon frère, calmes et doux ou rapides et sauvages sans compter les pincements qu’il pratiquait parfois.
Le sein était gros, ferme et aussi agréable que de la soie et le téton était très dur. C’était troublant à l’excès, très agréable. L’excitation montait, je transpirai et sentis la la sueur humidifier mes aisselles.
Le couloir raisonnait des cris de maman qui s’amplifiaient prélude à l’imminente extase.
A suivre