J’avais vaguement entendu parlé d’une exacerbation de la libido à l’aube de la quarantaine, mais je n’y avais jamais vraiment prêté attention.
J’aurai 40 ans le 6 novembre prochain. Il me semblait que tout était normal chez moi. Divorcée, un enfant, en concubinage avec un nouveau mec sympa… la norme quoi !! Du moins c’est ce que je croyais !!
Peu de temps avant mon anniversaire, je décidai de faire un truc que je n’avais jamais fait de ma vie. Je décidai de partir seule pour deux jours sur Paris, sans intention arrêtée, sauf celle de m’éclater et de m ’amuser. Je débarquai donc dans la capitale, et, m’empressai dès mon arrivée de jouer les touristes. Je m’installai à un petit café, sirotant naïvement un coca. Je me savais femme, jolie. J’avais pris soin de vêtir cette jupe courte, qui donnait belle allure à mes jambes bronzées. J’avais un joli corsage légèrement décolleté sur ma poitrine que je jugeais un peu lourde et pleine, mais qui faisait jolie ainsi mise en valeur.
Avant de partir, je m’étais caressée dans la chambre d’hôtel, nue face au miroir, les jambes écartées. Je prenais des poses, j’ondulais du bassin , je pinçais mes tétons, les soupesais. Je caressais aussi mon clito, mes doigts pénétrant profondement en moi… j’alternais entre mon clito gonflé et ma chatte humide et mouillée. Du coup je léchais mes doigts, j’humais ceux-ci. Je fis gaffe de ne pas me rendre au point de non retour. Je voulais un sexe… une grosse bite… pas mes doigts… ma quête était fort simple… jeter mon dévolu sur le premier inconnu… et me faire baiser comme une putain… mais j’avais comme critère… la grosseur du sexe… je ne voulais pas d’un bite de grosseur banale… j’en voulais une grosse. J’en ai marre de toute ces femmes qui prétendent que la grosseur de la queue n’a aucune importance… elle m’emmerdent… je voulais une baise anonyme, rapide, sans aucune sensualité, bestial quoi !
C’est ainsi que je partis à ce café. Je n’avais pas revêtu de culotte, me voulant prête à être baisée… j’étais une chatte en chaleur, une femme à emplir, un con a bourrer… je n’étais que désir… comme si je ne réfléchissais plus qu’avec mon clito qui palpitait de ce manège.
J’attirais les regards, j’affrontais certains. Un homme vint s’assoire à ma table me demandant poliment si je lui autorisais. Je lui répondis de but en blanc :
— Tu peux t’asseoir, si et seulement si, tu possèdes une queue au dessus de la moyenne et que tu sois prêt a baiser sous peu… sinon, passe ton chemin… je te remercie, lui dis-je d’un sourire charmant et enjôleur qui contrastait avec la teneur de mes propos.
Il répondit au défi et pris place à mes côtés.
— Je crois que j’ai ce qu’il faut, répliqua-t-il.
— Encore faut-il le prouver de ce pas, le provoquais-je.
Alliant le geste à la parole, j’entrouvris mes jambes exposant ainsi à sa vue, mon con rasé brillant de cyprine. Ma main descendit d’une façon provocante sur la bosse qui déforma le pantalon et dédaigneuse , je lui dis:
— Tu ne fais pas de la fausse pub par hasard ?? même si je sentais très bien que ce sexe était effectivement au delà des normes.
Il me prit la main brusquement, immobilisa mon geste… et me souffla à l’oreille:
— C’est une baise que tu veux… une vraie… suis-moi… tu n’es qu’une vulgaire chatte en chaleur… je vais te bourrer ce con comme tu n’as jamais été bourrée… tu demanderas grâce… mais peut-être te défileras-tu ?? persifla-t-il entre ses dents.
Je me levai d’un élan, le précédant, et ondulant des fesses me dirigeai vers la salle de bain des hommes et avec un dernier regard en arrière, y pénétrai.
Le type me suivit. Aussitôt entré, il me plaqua brusquement sur le mur… je le toisais… allez allez fourre-moi… allez baise-moi… sale petit prétentieux… lui murmurais-je à l’oreille.
Mes propos étaient volontairement agressifs, je voulais me faire baiser comme une sale pute… Il me plaqua violemment contre le mur et immobilisa mes deux bras dans une seule de ses mains au dessus de ma tête.
— C’est ça que tu veux hein ?? répliqua t-il en ouvrant brutalement mon corsage et en s’emparant de mes seins lourds.
Sa bouche descendit sur ceux-ci et il se mit a mordre la chair tendre de mes seins. Je gémis bien malgré moi sous la morsure mais je me mordis les lèvres par la suite pour ne pas qu’il se croie vainqueur.
Il passa sa main toujours libre sous ma jupe et sans ménagement enfonçant brutalement deux doigts profondément en ma chatte détrempée. Je frémis de plaisir, je me relevais sur la pointe des pieds et retombait sur mes talons accentuant ainsi son emprise dans mon vagin
— Salope, vulgaire salope… tu aimes trop ça salope… montre-moi que tu sais y faire, me nargua t-il en me poussant brutalement à genoux et en baissant sa braguette. Il enfonça son sexe en ma bouche que je reçus gloutonnement. J’enroulai ma langue sur son gland que je titillais en même temps. Son sexe était large, très large, ma bouche en faisait le tour avec difficulté, je l’y enfonçais profondément
— Hum !!
Je dus basculer la tête vers l’arrière pour l’enfoncer complètement en moi. Il me tira violemment les cheveux à ce moment et se mit à baiser ma bouche. Il accentua le rythme, j’haletais, il me pilonnait la bouche comme un sexe de femme, je manquais d’air… que j’aime cette sensation… à cet instant précis, j’aurais voulu mourir ainsi… étouffée par son sexe qui s’enfonçait profondément en moi.
Il s’agitait, pris de soubresauts, il serra doucement ma nuque, très conscient de ce qu’il faisait… je manquais littéralement d’air… il demeurait exprès complètement au fond de ma gorge… une main autour de mon cou et l’autre me tirant toujours les cheveux vers l’arrière. Je ne voulais pas m’avouer vaincue et je persistais a basculer la tête et à engouffrer ce sexe en moi…
— La vache !! dit il en me relâchent brutalement.
Pendant que je cherchais à reprendre mon souffle, il me mit dos à lui et me fit basculer. Ses doigts s’enfoncèrent profondément dans la chair de mes fesses. Je pouvais sentir ses ongles s’enfoncer dans ma chair. Il pénétra ma chatte sans ménagement, d’un seul coup, et ce seul assaut eu raison de mon excitation. Je sentis en moi déferler les spasmes annonciateurs du plaisir. Je gémissais et râlais. Et lui furieux de voir que je prenais mon pied, se mit a m’assener des coups de butoir en même temps que de sa main il claquait mes fesses brutalement.
Ma jouissance fut intense, explosive, mes jambes se dérobant sous mes pieds, mon bassin ondulant frénétiquement sur son sexe dressé.
— Salope… c’est ça que tu voulais hein ? Juste une baise, qu’une simple baise, une queue, une bite… sans importance le type hein ? ’
En même temps qu’il m’insultait il dégagea son sexe et me l’engloutit à nouveau profondément dans ma bouche. Je l’aspirai gloutonnement encore une fois et le pompai vigoureusement. Ses deux mains emprisonnant mon visage, il me défonça la bouche de son sexe.
— Tiens chienne… avale maintenant. Avale le tout.
Pendant que dans ma bouche je sentais gicler très profondément les premiers jets de son foutre. Ma gorge en fut pleine, je respirais difficilement, j’avalais toute en longues lampées , consciente d’être parfaitement salope. J’aspirais le tout, léchais ce sexe frémissant.
Aussitôt brutalement qu’avait été cette baise, il recula et me relâcha. Je me relevai très lentement, langoureusement, le défiant du regard. J’ajustai mon corsage, plissai la jupe sur mes jambes, mordis doucement mes lèvres gonflées et lui dit, narquoise:
— J’ai déjà vu mieux !!!
Et de lui tourner le dos, impertinente et je sortis de la salle de bain.
Je prête maintenant une oreille différente aux propos sur l’exacerbation de la libido chez la femme à l’aube de la quarantaine. Ceux qui demeurent sceptiques, c’est qu’ils n’ont pas encore croisé une femme qui l’assume.
Penny