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Une femme temporaire – Chapitre 1

Une femme temporaire - Chapitre 1



Une femme temporaire

Coulybaca / Omega

Je m’appelle Frank Hawkins, et mes voisins, Kathy et Billie Baxter.

Billie travaille dans une compagnie de vente d’ordinateurs, et Kathy à temps partiel dans un cabinet de notaire.

Je n’ai jamais compris pourquoi Kathy avait épousé Billie, c’est un vrai rebu d’humanité alors qu’elle est resplendissante. Chaque fois que je la reluque je me mets à bander come un âne.

Elle a de longs cheveux bruns qui cascadent sur ses épaules; mais ce que je préfère en elle ce sont ses lèvres pulpeuses. Elle se tient généralement la bouche légèrement entrouverte comme si elle se préparait à sucer une bonne bite.

Je ne savais pas encore comment, mais je savais que je me la ferai.

Je vivais seul, ma salope d’ex-femme Amanda m’avait quitté pour la simple raison que je la giflais lorsqu’elle émettait une opinion contraire à la mienne.

C’est cet événement qui me plongeait dans mes problèmes actuels. Mes parents voulaient désespérément être grand parents. Ils étaient très heureux lorsque je m’étais marié, ils se voyaient déjà emmenant leur petit fils, ou leur petite fille à l’école puis dans la meilleure université.

Ils m’envoyaient de l’argent chaque mois pour les déposer sur un compte ouvert à son nom. Je me servais de cet argent puisque je n’avais aucune raison de le thésauriser.

Et voila qu’ils avaient pris un vol les amenant de la cote ouest pour me rendre visite pendant quelques jours.

Ils n’avaient jamais vu Amanda, nous nous étions mariés à Las Vegas et je leur avais envoyé quelques photos assez floues de notre mariage.

J’avais besoin d’une femme pour quelques jours si je ne voulais pas qu’ils me coupent les ressources, c’est là que les Baxter entrent en jeu.

Lorsque j’étais marié que nous sortions souvent avec eux.

Nous mangions au restaurant avant d’aller au cinéma, ou nous faisions un barbecue chez l’un ou chez l’autre tout en jouant aux cartes. Lorsque cette salope m’eut quitté je continuais à les fréquenter de temps à autre, me rendant souvent chez eux pour dîner. J’aimais flirter avec Kathy, Billie était visiblement jaloux, mais elle ne semblait pas s’en soucier.

Ce soir, en allant les rejoindre pour dîner j’avais décidé de mettre en ouvre un plan subtil.

Je leur dis que mes parents venaient passer quelques jours chez moi, et qu’ils me couperaient les vivres s’ils se rendaient compte que ma femme s’était envolée.

Billie pensait que j’étais un salaud de décevoir mes parents, Kathy gloussait en me traitant de "vilain petit garçon".

— Je suis d’accord avec toi Billie, et comme je ne veux pas les décevoir, j’aurai besoin de t’emprunter ta femme pour une paire de jours.

Je vis Billie s’empourprer alors que je poursuivais :

— Bien sur ce serait totalement innocent, je ne toucherai en aucun cas à ta femme! Ma chambre conjugale est meublée avec deux lits séparés, je donnerai à ta femme le lit de deux personnes et je dormirai dans le lit d’une personne. Je resterai certainement très tard à discuter avec mes parents au salon, de ce fait ta femme sera totalement endormie bien avant que je monte coucher.

— Ce ne sera qu’un simulacre de vie familiale, une parodie. Mes parents m’envoient une forte somme d’argent tous les mois et je ne veux pas la perdre… Faite cela pour moi et lorsque ce sera fini je vous offrirai un séjour de trois jours à Mexico… Qu’en dites-vous?

— Je… Je ne sais as… Balbutia Billie…

— Cela me semble moche de mentir à tes parents pour quelques billets de banque!

— Ne joue pas les rabats joie Billie… Le coupa Kathy

— C’est juste pour quelques jours… J’aimerai bien prendre des vacances à Mexico, pas toi? Mais Frank, je veux que tu me promettes : pas un geste douteux!

— Vous avez ma parole d’honneur Kathy!

Le marché était donc conclu.

Kathy emménagerait chez moi la veille de l’arrivée de mes parents. Elle amènerait quelques valises de vêtements, des fleurs ces différentes choses qui montrent qu’une femme vit au logis.

Kathy avait encore sa robe de mariage, elle l’enfila et nous nous sommes rendus dans un studio pour faire quelques bonnes photos de mariage.

Tandis que le photographe développait les photos nous nous sommes rendus sur le mail. Je voulais acheter quelques peintures et une tenue sexy pour Kathy, elle voulait acheter une longue sortie de bain.

— Je ne veux surtout pas te donner des idées… Me confia-t-elle déterminée à me faire respecter ma parole.

De retour chez moi, Kathy se rendit dans la chambre pour enlever sa robe de mariage, je l’y suivis. Je lui roulais un patin passionné sur les lèvres et lui empoignant les fesses je la serrais contre mon corps.

— Arrête Frank… Tu n’es qu’un pervers! Ce n’est pas parce que de m’avoir vue dans ma robe de mariée t’as donné des idées que… Billie serait malade s’il savait que tu m’as m’embrassé!

— Je te rappelle quand même que tu m’as allumé toute la journée ma petite chérie! Et maintenant ôte moi ta robe de mariée ou c’est moi qui vais te l’arracher! De toute manière j’ai décidé de me faire ta petite chatte ma chérie!

— Tu m’as promis de ne pas chercher à avoir de rapports sexuels avec moi Frank!

— arrête de me rappeler cela salope… Fous-toi à poil… Si tu ne veux pas que je sois plus rude avec toi… Comment expliquerais-tu à Billie que t’es couverte de bleus?

— Ne me force pas à… Ce n’est pas bien!

— Je commence à perdre patience petite pute… Fous-toi à poil rapidement si tu ne veux pas que je te colle une raclée…

— Je t’en prie Frank… Le supplia-t-elle en commençant à se déshabiller.

— Dès que tu seras nue, agenouille-toi et viens me sucer la bite! Je veux être sur que tu comprennes où est ta place!

La larme à l’oil elle lui obéit servilement.

— Attends un peu avant de me sucer, j’ai envie de pisser!

Je pissais allégrement sur sa robe de mariage qui gisait au sol face à moi.

— C’est bon salope, suce-moi!

Cela faisait un bon moment que je rêvais à cela : Kathy à genoux devant moi faisant de son mieux pour tailler une pipe.

— Regarde-moi dans les yeux quand tu me suces salope! Ne sais-tu pas que toutes les putes regardent dans les yeux les hommes qu’elles sucent pour savoir si cela lui plait?

J’avais l’intention de la baiser, mais sa fellation m’excitait tant que je n’avais aucune envie de l’interrompre, aussi empoignais-je sa tête, et la bloquais sur ma mentule alors que j’éjaculais à gros bouillon dans sa gorge.

Elle toussait et crachotait alors qu’elle cherchait à détourner la tête, mais je la tenais fermement l’obligeant à déguster ma semence onctueuse.

— Sais-tu ma chérie que tu dois toujours nettoyer la bite de celui que tu viens de sucer avant de te relever?

Elle se releva et enfila un jean et un chemisier sans oser me regarder.

Très bien, j’avais cassé sa résistance.

— Et maintenant comporte toi comme d’habitude et Billie ne saura jamais ce qui vient d’arriver!

Le soir même, comme elle préparait le souper, je lui dis de faire de son mieux car j’avais invité Billie à manger avec nous.

Je vis à l’expression renfrognée de son visage que cela lui déplaisait profondément, mais elle ne protesta pas.

— Tu porteras une mini jupe et cette petite brassière sexy que je t’ai achetée… Je veux que tu te fasses belle pour Billie!

Lorsque Billie arriva, je vis qu’il n’était pas plus content que sa femme.

— Puisque ta femme est chez moi j’ai pensé que tu aimerais te joindre à nous pour souper! Lui assénais-je un sourire railleur aux lèvres.

— Ce n’était pas vraiment nécessaire, je sais faire la cuisine!

J’ai particulièrement apprécié ce repas tandis que Billie et Kathy se regardaient extrêmement gênés. Ils ne parlaient sur très peu, je faisais donc les frais de la conversation.

— Billie, comme tu le sais, mes parents seront là demain, cependant Kathy ne se comporte pas comme le ferait ma véritable femme… Kathy, viens m’embrasser!

Elle s’approcha de moi et me donna un bisou sur la joue.

— Tu vois ce que je veux dire, cela ne ressemble en rien à un baiser de femme amoureuse de son mari! Ne crois-tu pas que cela serait plus vraisemblable si elle m’embrassait sur la bouche?

— Je suppose que oui…

— Kathy, tu as entendu ce vient de dire ton mari! Embrasse-moi amoureusement sur les lèvres!

— Si ses yeux étaient des revolvers, je serai mort sur le champ, mais elle s’exécuta docilement. Bordel elle aurait pu me fourrer sa langue dans la bouche! Je lui ferai payer cet oubli plus tard!

Billie intervint alors :

— Je ne me sens pas très bien ce soir, je préfère rentrer chez moi!

Dès qu’il fut parti, Kathy, ivre de fureur me morigéna :

— Quel besoin aviez-vous de l’humilier?

Je n’aime pas que les femmes discutent mon comportement. Il allait falloir que je lui apprenne quelques bonnes manières…

Une fois qu’elle eut lavé et essuyé la vaisselle, nous nous sommes assis dans le salon et avons regardé la télé en sirotant quelques verres. Je savais que Kathy ne buvait pas habituellement, elle buvait surement parce qu’elle se doutait de ce qui allait arriver ensuite.

— Viens chérie, je me sens tout excité, aussi montons baiser!

Kathy s’était résignée, cependant elle protesta pour la forme :

— Je veux bien coucher avec vous, mais ne m’appelez pas chérie, c’est ainsi que mon Billie aime m’appeler!

— C’est d’accord, dorénavant je t’appellerai salope, et maintenant magne-toi le cul de grimper dans les étages, allonge-toi dans mon lit et attends-moi, j’arrive!

Je m’attendais à ce qu’elle proteste à nouveau, mais elle changea d’idée et monta l’escalier se dirigeant vers ma chambre. Je m’assis et m’envoyais une paire de verres de plus… Cela lui donnait le temps de se demander avec anxiété ce que je lui réservais!

Lorsque je montais coucher, Kathy faisait semblant de dormir.

— Réveille-toi stupide salope… Je veux que tu te réveilles et que tu fasses de ton mieux pour me satisfaire! Je ne baise pas avec un cadavre!

— Je ne me sens pas bien Frank… Je dois avoir trop bu…

— La prochaine fois tu on observera tes limites… Et maintenant vire-moi ce pyjama de merde et demain tu iras t’acheter plusieurs chemises de nuit sexy et tu me foutras tes maudits pyjamas aux ordures! Et maintenant prépare-toi à me donner satisfaction!

— Frank, je t’en prie, enfile une capote… Mon cycle est trop irrégulier pour que je prenne la pilule, c’est pourquoi Billie porte toujours un préservatif quand nous faisons l’amour!

— Apprends stupide petite pute, que je ne mets jamais de capote! Je vais t’engrosser! Tu pourras envoyer Billie me remercier de faire de lui un père!

Mais on avait assez discuté… Je l’enfourchais et l’embrochais sans vergogne… Je suis très bien monté, mais elle m’accueillit aisément, tant sa chatoune était trempée… Je voulais prendre mon plaisir rapidement en la frustrant du sien, mais après quelques coups de bite elle referma ses chevilles dans mon dos et eut son premier orgasme avant même que je ne gicle dans ses profondeurs… Lorsque je jouis, j’extirpais rapidement ma bite de sa foufoune embrasée, un second orgasme menaçait de la submerger!

Le lendemain matin, lorsque je me réveillais elle gisait sur le dos les draps et couvertures repoussés sous ses miches.

Je pense qu’elle voulait se faire baiser, mais j’avais une autre idée en tête.

— Mes parents vont arriver bientôt et je n’aime pas ton attitude… Tu ferias mieux de commencer à te comporter en femme aimante si tu ne veux pas que je déboucle ma ceinture pour te coller une rouste!

Mes parents arrivèrent peu de temps après le déjeuner.

Après moult embrassades, ma mère remarqua que Kathy était exactement la même que sur les photos de mariage, celles que j’avais fait encadrer et disséminé ça et là dans le salon.

Après souper, ils complimentèrent Kathy pour ses talents de cuisinière et e dirent que j’avais une sacré chance d’avoir une gentille femme comme elle!

Ils allèrent au lit assez tôt, ils étaient fatigués après leur long vol, je restais avec Kathy dans le salon, le temps de siroter quelques verres.

Kathy monta la première dans notre chambre et je la rejoignis lorsque j’eus terminé mon dernier verre.

Lorsque j’entrais dans la chambre, Kathy se tenait au pied du lit dans une affriolante chemise de nuit rouge, si fine que je distinguais clairement ses sombres aréoles et l’ombre de sa chatoune velue.

— Cela te convient-il mieux? Me demanda-t-elle un timide sourire éclairant son visage.

— C’est bien mieux! Tu fais de gros progrès ma salope…

Elle semblait heureuse lorsqu’elle se plongea dans le lit à mon coté, elle m’enlaça tendrement, mais moi je voulais mignoter ses tétons, aussi écartais-je ses bras et embouchais ses mamelons.

Elle gémit sourdement alors que je suçais ses tétins… Même lorsque je la mordis assez cruellement, elle poussa un petit cri de douleur mais serra ma tête sur ses miches.

Le contraste de la douceur du satin avec la raideur de ses mamelons dardés m’excitait follement.

Je voulais la baiser à couilles rabattues avant de me vider les couilles dans ses profondeurs, mais je ne voulais pas qu’elle jouisse.

Je pense qu’une femme doit se concentrer sur le plaisir de son mari, sans se soucier de ses propres émois. Une fois qu’elle a entièrement satisfait la lubricité de son homme, elle peut alors assouvir ses propres besoins en se masturbant.

Je plongeais à nouveau en elle, légèrement ennuyé de la pénétrer aussi facilement. Une femme devait endurer un minimum de douleur lorsqu’on l’entreprenait.

En moins de deux minutes je sentis monter son orgasme, je cherchais à le prévenir en lui mordant sauvagement le cou… C’eut exactement l’effet contraire…

Kathy eut un orgasme sauvage, ses tortillements m’amenèrent à gicler en elle précocement…

Je ne voulais pas la baiser de cette manière! Je volais sentir son plaisir monter lentement et lorsqu’elle serait sur le point de jouir, cracher mon foutre et extirpais rapidement ma bite de sa chagatte la laissant frustrée.

Le lendemain nous tous sommes allé à la ferme de Knox Berry, un parc d’attraction peu éloigné de mon domicile.

Kathy se comportait maintenant comme je l’attendais. Elle gloussait souvent et riait tout en marchant à mon bras.

J’invitais à nouveau Billie à partager notre repas du soir, je voulais préciser leur rôle dans mon scénario. Lors de son arrivée, j’expliquais à mes parents que Billie était notre voisin célibataire. Je leur indiquais que la femme de Billie était partie avec un autre homme et que, comme nous étions désolés pour lui, nous l’invitions souvent à dîner avec nous.

Ma mère était pleine de commisération à son égard, et bien qu’il me jeta des coups d’oil furieux, il endossa son rôle et nous remercia de notre gentillesse.

— Je pense qu’il aime bien ma femme… Je l’ai souvent vu la regarder avec des grands yeux émus… Kathy pourquoi ne pas lui faire plaisir, assieds toi sur ses genoux et embrasse le tendrement!

Kathy me dévisageait abasourdie, mais elle s’exécuta docilement.

Ma mère dit alors :

— Nous repartons après demain, ce soir nous vous invitons tous à déguster un bon repas et danser. Billie semble un bon gars, je suis certain que vous pouvez lui trouver une nana pour demain, nous allons bien nous amuser.

— Je connais justement la fille qu’il lui faut! Je vais la contacter… Dis-je un large sourire aux lèvres.

Cette nuit se déroulera comme les autres, une fois mes parents au lit nous sommes restés à partager quelques verres, puis Kathy monta se préparer pour moi.

La nuit dernière elle portait une baby-doll rouge, ce soir elle était noire.

— Aimerais-tu que je te refasse comme la première nuit que nous avons passée ensemble?

— Kathy, si tu veux me donner du plaisir, Dis-le franchement!

Rougissant comme une tomate elle reprit :

— Aimerais-tu que te suce comme il y a deux jours?

— Non Kathy, tu n’es as une bonne suceuse! Tu as besoin de t’entraîner… Auparavant je veux cracher mon foutre dans ta foufoune embrasée et t’engrosser si tu ne l’es pas encore! Et je veux que tu me parles vulgairement, cela m’excite énormément…

— Frank, je voudrais que tu me baises!

— C’est un bon début, mais dis m’en plus…

— Je veux que tu fourres ta grosse bite dans ma petite chatte!

— Ce n’est pas une petite chatte, mais une grosse chagatte baveuse, dis-moi que tu m’aimes…

— Je t’aime Frank, j’ai besoin n de sentir ta grosse mentule dans ma chatoune embrasée…

— C’est bien mieux… Et maintenant empoigne-ma queue, écarte les cuisses et enfourne mon gros chibre dans ta cramouille détrempée…

Sa douce main me branlait langoureusement, j’étais sur le point d’éjaculer avant même de la pénétrer. Je l’ai emmanchée d’un brutal coup de boutoir et ais tout de suite craché mon foutre à la fin fond de son utérus.

Elle gémissait tout en psalmodiant mon prénom alors qu’elle jouissait dès ma pénétrée.

Bordel, et moi qui voulait qu’elle ne tire aucune jouissance de notre baisouille.

Le lendemain, lorsque Billie protesta qu’il ne voulait pas de son rendez-vous, je l’avisais qu’il était trop tard, j’avais déjà conclu le marché. J’avais payé 300 $ une prostituée pour le séduire et passer la nuit dans ses bras et un 200 $ un détective privé pour prendre des photos de leur rencontre.

Je passais une excellente nuit à danser et embrasser encore et encore sa femme devant lui alors que la prostituée lui caressait insidieusement les burnes. Lorsque nous sommes rentés à la maison, mes parents gagnèrent tout de suite leur chambre, leur avion partait tôt dans la matinée. Je bus mon traditionnel coup de l’étrier en compagnie de Kathy avant d’aller coucher.

Kathy était désolée pour Billie.

— Je sais que je l’ai blessé en dansant dans tes bras alors que tu me roulais pelle sur pelle. Je l’ai vu clairement dans ses yeux…

Je ne voulais pas écouter ces giries

— grimpe à l’étage et fous-toi à poil…. J’arrive dans une minute, il vaudrait mieux pour toi que tu sois prête à m’accueillir.

Lorsque je gagnais notre chambre, elle était étendue dans notre lit dans sa froufroutante baby-doll rouge

— A quatre pattes salope! Je veux t’enculer…

— S’il te plait Frank, je n’ai jamais… Je n’ai jamais fait ça!

-Parfait j’adore être le premier à casser le cul des pucelles du fion! Prends ce tube de vaseline et lubrifie ma hampe…

J’adorais sentir ses mains se promener sur ma bite tendue, cherchant à la graisser de son mieux pour diminuer la douleur de l’enculage!

Bien que je préfère me faire sa chatoune, je voulais trouver un moyen de jouir de ses charmes sans la faire orgasmer… Ce devait être le meilleur moyen…

— Et maintenant tortille ton cul et demande moi de te sodomiser et tâche d’être convaincante…

Je me réjouis alors de l’entendre me demander de lui dépuceler le trou du cul. Je ne parvins pas à la fourrer aussi rapidement que les autres nuits, son anus était bien trop serré.

Comme je lui labourais lentement l’oillet annelé, je l’entendais, avec ravissement, sangloter, lorsqu’elle tourna la tête vers moi je vis de grosses larmes noyer ses yeux.

Dès lors les événements s’enchaînèrent rapidement.

Convaincu d’avoir couché avec une pute, Billie fut d’accord pour divorcer à l’amiable, Kathy récupéra la moitié de leurs avoirs, la moitié de la vente de la maison, et la moitié de ses investissements.

Peu après je l’épousais, et elle accepta que je gère ses finances, on signa un contrat de mariage et je lui donnais une petite semaine pour aménager notre petit nid.

J’étais entièrement satisfait de la tournure des événements, mais, dès que Kathy ferai une erreur je serai obligé de lui filer une rouste pour lui montrer la bonne voie, mais cependant la vie me souriait.

Traduction Coulybaca

[email protected]

Texte anglais d’Omega (Stories on line)

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