Cela faisait près de 20 ans que Sylvie travaillait dans le service en tant que secrétaire. Toutefois, l’ambiance avait changé depuis quelque temps avec l’arrivée d’un nouveau chef. Plus jeune qu’elle, celui-ci se faisait semble-t-il fort de remettre le service "en ordre de marche". Il oscillait pour cela entre des numéros de charme ponctuels, plutôt réussis, et une froide autorité. Ces deux facettes étroitement imbriquées laissaient Sylvie dans une certaine fébrilité face à lui. Il avait ainsi plusieurs fois émis des critiques sur son travail mais il lui arrivait aussi de la complimenter, sur ses tenues notamment. Ce matin encore, c’était donc avec une légère appréhension qu’elle se dirigeait vers son bureau. Elle avait été convoquée pour 10h précise par un mail sibyllin du secrétariat.
— Vous vouliez me voir, Monsieur ?
Visiblement absorbé dans son travail, il leva sur elle un regard froid :
— Ah oui, Sylvie, fermez la porte derrière vous.
Elle s’exécuta et revint se positionner au milieu de la pièce, triturant ses mains dont elle ne savait que faire. Il ne lui avait pas proposé de s’assoir et elle n’osa pas en prendre l’initiative. Sa gêne était renforcée par le regard scrutateur qu’il posait désormais sur elle. Il semblait la détailler des pieds à la tête. Enfin, il reprit la parole pour lui faire une nouvelle fois des remontrances sur la qualité de son travail. Il lui expliqua qu’elle avait les compétences pour faire mieux mais qu’elle pêchait souvent par étourderie, manque de concentration. Il lui apprit ensuite que le service allait devoir réduire ses effectifs. Seuls les meilleurs resteraient et pour le moment son cas à elle ne penchait pas du bon côté. A cette nouvelle, elle sentit un poids tomber sur sa poitrine et ses jambes faiblir. Imperturbable, il poursuivit :
— Je souhaite néanmoins vous donner une chance, considérant que vous possédez de toute évidence des qualités… intéressantes.
Il sembla alors à Sylvie qu’il détailla ses jambes en esquissant un sourire mais elle n’en était pas sûre.
— Je vais donc essayer d’appliquer avec vous une méthode radicale, pour vous permettre de prouver votre valeur.
Sans trop réfléchir, elle le remercia.
Il se leva, contourna son bureau pour se retrouver face à elle. Elle se sentit encore plus intimidée, fut un instant comme hypnotisée par les plis de sa chemise alors que son odeur masculine semblait lui avoir sauté au visage. Puis il se recula, s’appuya contre le bureau et croisa les bras pour prendre un ton doctrinal :
— Nous fonctionnerons désormais ensemble dans un mode "zéro tolérance". C’est à dire qu’à partir de maintenant chacune de vos erreurs donnera lieu à une sanction, jusqu’à ce que vous ayez atteint le niveau souhaité.
Etrangement, Sylvie ressentit alors un certain soulagement, en même temps qu’une forme de gratitude. Elle appréciait que son chef prenne les choses en main pour l’aider à s’améliorer. Elle aurait voulu dire quelque chose mais ne parvint qu’à balbutier indistinctement. Il reprit la parole :
— Naturellement, l’objectif est que vous vous repreniez dés maintenant, que vous vous concentriez sur votre travail et que nous n’ayons pas à appliquer quelconque sanction. Soyez néanmoins assurée que si vous veniez de nouveau à fauter, je n’hésiterai pas à vous infliger la punition adéquate. Nous allons vous remettre dans le droit chemin, ma petite Sylvie. Vous verrez, vous serez étonnée de ce que vous vous découvrirez capable de faire. Vous en êtes d’accord ?
Prise au dépourvue, Sylvie ne put qu’acquiescer timidement et remercia de nouveau. Bien sûr, dès qu’elle fut sortie du bureau, elle se reprocha sa passivité. Elle aurait en particulier dû demander des précisions sur les sanctions envisagées. Elle imaginait qu’il s’agissait de retenus sur son salaire, d’heures d’astreinte ou de tâches rébarbatives. Il lui semblait qu’il avait utilisé le terme de "punition", ce qui la troublait et éveilla en elle des réminiscences d’écolière, dans des rêveries douces-amères somme toute pas désagréables. Elle se reprit toutefois rapidement : il s’agissait maintenant de se remettre au travail, et de le faire avec application. A dire vrai, elle avait moins peur de la sanction éventuelle, qu’elle ne désirait donner satisfaction à son chef, voire même peut-être l’impressionner.
Les semaines qui suivirent, Sylvie mit dans son travail une ardeur inédite. Son chef, particulièrement prévenant avec elle, ne manqua pas de le lui faire remarquer ses progrès à plusieurs reprises. Elle en ressentit une fierté légitime et se dit que c’était au fond de ce genre d’autorité dont elle avait besoin pour exprimer le meilleur d’elle-même. Toutefois, plus les jours passaient, plus grandissait elle une certaine frustration, qu’elle eut dans un premier temps du mal à s’expliquer. Elle finit par se rendre compte qu’elle regrettait quelque part que cette nouvelle méthode ait trop bien marché, trop rapidement. Un processus plus chaotique aurait sans doute incité son chef à s’impliquer encore plus auprès d’elle, ce qu’elle n’aurait pas vu d’un mauvais il. De plus, l’inconnue des sanctions dont il l’avait menacé la titillait. De quoi s’agissait-il au juste ? Ce n’était peut-être que du bluff ? Elle conçu alors l’idée de faire un petit test. Il lui suffisait de bâcler sciemment un travail que son chef lui demandait, pour voir ce qui se passait… Après tout, s’agissant d’une erreur isolée au milieu d’une nette amélioration, cela ne devrait pas être bien méchant. Peut-être même ne se passerait-il rien ? Elle décida de tenter le coup pour en avoir le cur net.
Plusieurs jours passèrent de nouveau dans le train-train habituel. Puis, le vendredi soir, alors que les bureaux commençaient à se vider, le téléphone de Sylvie sonna. C’était son chef :
— Sylvie, venez dans mon bureau.
Sa voix semblait empreinte de colère. C’était inhabituel et elle se douta de quoi il s’agissait. Sa gorge se noua un peu mais elle devait y aller sans attendre.
Le chef l’accueillit en effet dans son bureau avec un regard noir :
— Refermez la porte derrière vous.
Elle s’exécuta. Il saisit alors du bout des doigts un courrier qui trainait sur son bureau :
— Vous savez ce que c’est, Sylvie ?
— Non, Monsieur.
Elle baissa les yeux. Elle savait très bien ce que c’était.
— C’est la lettre que vous avez tapé pour le maire de Tourcoing. Un vrai torchon, bourré de fautes et même des mots oubliés !
Elle le regarda sans rien dire, n’osant soutenir son regard. Il jeta le document sur son bureau avec mépris.
— Sylvie, votre travail s’était nettement amélioré ces dernières semaines, c’est une régression à la fois décevante et inquiétante. Ce n’est surtout pas le moment de vous relâcher !
— Je sais, Monsieur.
Elle tenait ses mains jointes dans son dos, comme une écolière prise en faute.
— Vous savez ce que ça signifie ?
— Oui, Monsieur.
— Qu’est-ce que ça signifie ?
Elle hésita entre le terme de "punition" et celui de "sanction". Elle avait envie d’utiliser le premier mais n’osa pas :
— Vous allez devoir me sanctionner, Monsieur.
— En effet…
Il s’adossa à son fauteuil et croisa ses mais sur son ventre il esquissa un sourire carnassier puis fronça les sourcils comme pour reprendre son sérieux :
— J’ai longtemps réfléchi à la sanction qui vous conviendrai le mieux. C’était une question difficile; vous êtes une femme particulière, je l’ai tout de suite senti, d’apparence froide, vous êtes à la fois passionnée et sensuelle, pour ne pas dire plus. Je crois que toute sanction professionnelle n’aurait que peu d’effet sur vous. Il faut quelque chose de plus… personnel. Je crois que j’ai fini par trouver le châtiment idéal…
Sylvie tiqua sur le mot. Un frisson lui parcourut l’échine.
— De quoi s’agit-il, Monsieur ?
Il resta un instant silencieux, plantant son regard d’acier dans le sien. puis, le visage impassible, il annonça d’un ton glacial :
— Je crois que la punition adéquate pour vous, c’est une fessée.
Elle ne put retenir une exclamation de surprise et de réprobation mais ne put prononcer un mot.
Il ricana :
— Votre réaction me démontre que je ne me suis pas trompé ! Cela vous fera passer l’envie de négliger votre travail.
Enfin, Sylvie, agitée de nombreux sentiments contradictoires, se ressaisit quelque peu :
— Mais, Monsieur, vous ne pouvez pas…
— Je ne peux pas quoi ? Je vous avez prévenue, c’est désormais à vous d’assumer les conséquences de vos erreurs.
— Mais pas comme ça ! Ça ne se fait pas…
— C’est soit ça, soit vous êtes renvoyée, dit-il calmement.
— Oh, Monsieur, vous savez que je ne peux pas me permettre d’être renvoyée. Mon mari vient de perdre son travail et j’ai mes deux enfants à charge.
— Acceptez simplement votre punition, comme nous en avions convenu. Je peux vous assurez que vous en tirerez une bonne leçon.
— Mais Monsieur…
Elle se sentait coincée, contrainte et en même temps désireuse de donner satisfaction à son chef qui, après tout, s’efforçait de l’aider.
— Cessez vos jérémiades, Sylvie. Vous avez vu le torchon que vous m’avez rendu ? Vous ne croyez pas que vous méritez une bonne correction ?
— Si, Monsieur, mais…
Il lui coupa la parole :
— Ecoutez, je n’ai pas de temps à perdre : c’est la fessée ou la porte ! Alors, que choisissez-vous ?
Il y eut un instant de silence. Sylvie le regarda comme si elle cherchait une alternative sur son visage. Il restait impassible, grave, autoritaire. Elle balbutia quelque chose, à peine intelligible.
— Quoi ? Je n’ai rien entendu ?
Dans un souffle, elle lâcha :
— La fessée, Monsieur.
De nouveau, il esquissa un sourire et se redressa sur son fauteuil.
— Très bien. Alors, baissez votre pantalon !
Cette phrase fit à Sylvie une étrange sensation. Elle savait qu’elle devait s’exécuter mais elle était comme paralysée. Elle se disait qu’il fallait qu’elle arrête de penser. Qu’elle se laisse aller, qu’elle s’en remette à lui. Il fallait qu’elle fasse ce qu’il disait, juste faire ce qu’il disait. Alors, elle déboutonna son pantalon, glissa ses mains contre ses cuisses qui étaient tièdes puis fit glisser l’étoffe jusqu’aux genoux.
— Plus bas, ordonna-t-il.
Elle abaissa le pantalon jusqu’à ses chevilles, dévoilant un tanga gris qui mettait en valeur ses cuisses. Elle avait des jambes parfaites.
— La culotte aussi.
Sans trop réfléchir, elle baissa sa culotte jusqu’à mi-cuisse. Elle sentit l’air frais sur ses fesses, sur son bas-ventre. Elle n’osait le regarder mais sentait son regard avide sur son corps mis à nu.
— Les mains sur la tête !
Elle obéit aussitôt. Ce geste eut pour effet de relever son haut, offrant à son chef une vue imprenable sur son intimité, sur son ventre, sur ses reins. Il se leva lentement et tourna autour d’elle à distance respectable pour profiter du spectacle. Il s’arrêta derrière elle :
— Tu as un cul superbe, parfait pour une bonne fessée !
Elle ne savait pas s’il fallait répondre quelque chose. Elle se tut. Elle n’avait même pas noté que, pour la première fois, il l’avait tutoyée.
Il revint s’appuyer contre son bureau, face à elle, contemplant son bas-ventre :
— Tu ne t’épiles pas le maillot ?
— Si, Monsieur.
— Tu devrais le faire mieux que ça.
— Oui, Monsieur…
Il vint alors se placer à côté d’elle.
— Va t’appuyer contre mon bureau en te penchant en avant.
Se cambrant légèrement comme par défi, toujours entravée par son pantalon qui encombrait ses chevilles, elle s’avança lentement vers le bureau et y posa ses avant-bras.
— Mieux que ça… Relève les fesses… Ecarte les jambes… Voilà.
Elle imaginait la vue qu’il pouvait ainsi avoir et sentit le sang palpiter entre ses cuisses. Il y eut un silence. Elle l’entendait dans son dos. Il l’observait sans doute. Soudain, sa main chaude se posa sur ses reins, relevant son haut pour l’exposer encore un peu plus. Sans dire un mot, sa main caressa son dos puis ses fesses, qu’il palpa généreusement, pinça légèrement pour en éprouver la tendreté :
— Tout ceci est vraiment très joli. Tu n’es peut-être pas la meilleure en rédaction mais tu es assurément la mieux foutue. C’eut vraiment été dommage de se passer de tes services. Grace à mon traitement spécial tu vas vite devenir indispensable, si tu fais bien tout ce que je te dis.
— Je ferai de mon mieux, Monsieur.
Elle ne pouvait s’empêcher d’onduler légèrement sous ses caresses. Elle souhaitait ardemment qu’il en vienne au fait :
— Oh, Monsieur, fessez-moi, je l’ai bien mérité !
Il fut surpris par ce changement de ton mais pas complètement étonné :
— C’est très bien, Sylvie, je vois que tu comprends vite. Tu iras loin !
Une première claque s’abattit alors sur sa fesse gauche. Elle sursauta mais n’eut pas le temps de s’en remettre qu’une claque frappa sa fesse droite. Ce fut soudain un déluge de coups, retenus mais fermes. Peu à peu, une irritation envahit ses chairs. Cette douleur sourde, ce sentiment d’abandon à un homme, ramenait à son esprit des souvenirs indistincts de l’enfance et faisait en même temps croître en elle une étrange, une incomparable excitation. Elle ne pouvait contenir quelques petits gémissements de plaisir et surtout elle avait envie de plus.
Quand les coups cessèrent, elle sentit une douce chaleur irradier de ses fesses rougies. Son chef les contemplait avec satisfaction :
— Voilà, je crois que ça suffira pour une première fois.
Disant cela, il caressait langoureusement son postérieur comme pour jauger de son uvre. Il se risqua ensuite sur son dos, puis sur le haut de ses cuisses. Enfin, il glissa sa main entre ses cuisses, immisça un doigt entre ses grandes lèvres glabres :
— Ma parole, tu es trempée ! Je me doutais que ça pouvait te plaire mais je ne pensais pas autant, déclara-t-il avec satisfaction.
Sylvie se sentit à la fois honteuse et très excitée par ses paroles.
— Tu veux que je te caresse pour te récompenser d’avoir courageusement subi ta punition ?
— Oh oui, Monsieur, s’il vous plaît.
Il plaqua alors sa main contre son sexe, qu’il tapota légèrement. Elle écarta encore ses jambes pour lui donner un meilleur accès. Il pinça son clitoris puis le massa généreusement. Elle commença à haleter. Soudain, il introduisit un doigt dans son sexe qu’il fouilla sans ménagement. Il glissa sans difficulté un second doigt et imprima un mouvement de va-et-vient que Sylvie accompagnait en ondulant sa croupe. Alors que sa respiration se faisait de plus en plus saccadée, il cessa subitement ses caresses et recula d’un pas :
— Redresse toi !
Elle mit un instant pour reprendre ses esprits mais s’exécuta. Quand elle se trouva face à lui, elle effaça aussitôt le sourire qui s’était inconsciemment dessiné sur son visage.
— Enlève ton haut !
Elle obéit sans mot dire.
— Le soutien-gorge, aussi.
Elle libéra alors sa poitrine, fièrement dressé, avec ses petits tétons roses.
Son chef ne put s’empêcher de les caresser aussitôt :
— Mais tu as aussi des seins magnifiques ! Si ça ne tenait qu’à moi, je t’obligerai à travailler entièrement nue pour que je puisse à loisir profiter du spectacle !
Ses joues rosirent quelque peu sous l’effet de ce compliment et elle baissa la tête.
Il la saisit par le menton pour la tourner vers son visage :
— Tu veux m’embrasser ?
— Oui, Monsieur.
— Donne-moi ta langue.
Et il l’embrassa fougueusement, introduisant sa langue dans sa bouche tout en maintenant son menton avec sa main. Elle l’accueillit avec gourmandise. Aussitôt après, il lui ordonna de s’agenouiller et ouvrit sa braguette. Il en sortit son sexe grossit par une semi érection, strié de veines gonflées.
— Suce-moi ! Ne le touche pas avec tes mains !
Elle goba son sexe tiède dans sa bouche et imprima un mouvement de va-et-vient. Puis elle lapa son gland à pleine langue, se délectant du goût de sexe, marqué mais agréable.
— Très bien. Tu fais ça très bien, soupira-t-il tout en la saisissant précautionneusement par les cheveux.
Alors que son sexe se raidissait sous l’action conjuguée de ses lèvres et de sa langue, il se retira subitement et la releva.
— C’est très bien, ma petite Sylvie, je suis très satisfait de toi. Maintenant, est-ce que tu as envie que je te prenne ?
— Oui, Monsieur.
— Dis-le moi, ordonna-t-il tout en lui caressant l’entrejambe.
— J’ai envie que vous me preniez.
— Il va falloir être plus convaincante. Tu as envie que je te prenne par derrière, comme une bête ?
— Oh oui, s’il vous plait, Monsieur, prenez-moi par derrière comme une bête !
— Très bien. Reprends ta position sur le bureau.
Oubliant toute retenue, Sylvie déplaça quelques affaires pour pouvoir se pencher à son aise sur le bureau, pointant indécemment sa croupe vers son chef, les jambes largement écartés.
Son chef se masturbait d’une main pour se raidir et la caressait de l’autre.
— Ecarte bien tes fesses. Je veux que tu me montre tout.
Elle s’exécuta et offrit à son regard une raie culière parfaitement imberbe où trônait un petit anus rose et régulier qu’il trouva très excitant. Lorsqu’il passa son doigt dessus, elle ne put s’empêcher de sursauter.
— Oh, oh, on dirait que tu es sensible ! Je suis sûr que tu aimes ça !
Sylvie ne savait pas si elle devait répondre. De nouveau elle se sentit un peu honteuse et se tut.
— Tu aimes qu’on te titille l’anus ?
— Je…, balbutia-t-elle
— Allons, réponds !
— Oui, Monsieur.
— Tu veux que je glisse un doit dans tes fesses.
— Oui, Monsieur, lâcha-t-elle d’une voix faible.
— Dis-le !
— S’il vous plait, Monsieur, glissez un doigt dans mes fesses.
Il humecta alors son indexe dans son sexe trempé puis le présenta à l’entrée de son illet rose. Une légère pression suffit pour rentrer une phalange. Elle l’accueillit sans résistance, en profitant pour caresser elle même son clitoris. Le doigt de son chef était maintenant complètement entré dans ses fesses et un léger mouvement de va-et-vient procurait à Sylvie des sensations confuses et délicieuses.
— Ma petite Sylvie, je crois que tu vas devenir la secrétaire parfaite .
C’est alors qu’elle sentit sa verge dure s’introduire entre ses petites lèvres, avec un bruit de sucions qui trahissait l’intensité de sa lubrification naturelle. Elle sentait même la cyprine couler le long de sa cuisse. Elle ressentait un plaisir intense alors qu’il la besognait avec fougue. Le bureau tressautait sous ses coups de butoir alors qu’il laissait échapper des râles bestiaux. Ses tétons frottaenit contre le contreplaqué.
— Ah, je vais jouir en toi, je vais jouir.
Ces mots achevèrent de précipiter l’orgasme de Sylvie qui ne savait pas si elle pouvait crier comme elle en avait l’habitude. Dans le doute, elle tenta de se retenir et émis de petits glapissements charmants. Elle sentit alors son sperme chaud se rependre en elle et leurs deux corps se relâchèrent en même temps.
Après cela, tout alla très vite et un peu comme dans un rêve, diffus, ouaté. Il la redressa et la serra contre lui, caressant sa poitrine, esquissant un baiser dans son cou. Puis, comme s’il revenait à lui. Il recula d’un pas et remis ses vêtements en ordre.
— Très bien. Ça suffit pour cette fois. Vous pouvez vous rhabiller.
Confuse, Sylvie s’efforça de récupérer rapidement ses vêtements aux quatre coins de la pièce alors qu’il retournait s’assoir à son bureau.
— J’espère que cela vous servira de leçon… Nous verrons pour la suite… Nous en reparlerons. Vous pouvez disposer.
— Bien, Monsieur.
Rhabillée à la hâte et pas forcément tout dans le bon ordre, Sylvie sortit précipitemment du bureau, se rendant compte qu’elle était terriblement en retard.