Ce que je vais vous raconter, je n’en ai jamais parlé à personne la honte étant trop forte.
J’ai 22 ans, je suis petite mince et franchement très bien foutue, une belle poitrine qui contraste avec mon allure frêle et je suis très fier de mes fesses. Elles sont bien rebondies et serrées, mon copain me fait souvent remarquer que je suis bien étroite et que bien sûr, cela lui plait beaucoup. De caractère, je ne suis pas ce que l’on peut appeler quelqu’un de sociable, je suis au contraire assez froide, on me dit hautaine. C’est vrai que je suis une brillante étudiante universitaire et que je suis attaché à ma condition sociale aisée. Bref ce qu’il m’est arrivée n’est certainement pas facile à assumer mais je le qualifierais d’accident de parcours.
C’était un lundi, début de soirée, Je me trouvais à la piscine, celle-ci allait bientôt fermer. Je décide alors de profiter du peu d’affluence pour me rendre au sauna qui devait être désert. Pudique, je garde tout de même mon maillot en pénétrant dans le petit cabanon, en effet les sauna étant mixtes, je ne souhaite pas me dévoiler devant un inconnu, même si je comprends l’esprit très différent de ce genre d’endroit. Chouette il n’y a personne, de plus il ne fait pas trop chaud (je n’ai pas l’habitude du sauna et je préfère commencer doucement), il me reste une bonne demi-heure pour en profiter. J’installe ma serviette de bain sur les planches de bois et m’assoie dessus, à mon grand bonheur je suis seule. J’hésite avant d’enlever mon maillot, quelqu’un pourrait encore venir mais vu le peu de monde à l’extérieure, je ne prends pas beaucoup de risque. Je commence par le haut du maillot afin de libérer mes seins, à peine l’attache dégrafée la porte s’ouvre en un grincement qui me fait sursauter. NON ! Un homme se trouve dans l’entrebâillement de la porte, un homme noir, immense. Cette intrusion me fait stopper mon geste, je me rends compte de mon allure ridicule, le soutien-gorge à moitié baissée. Je me dis que maintenant, il est trop tard, et qu’il vaut mieux faire semblant de rien, je me retrouve donc en monokini face à cet inconnu. Pendant ce temps, celui-ci rentre, heureusement, une serviette autour de la taille. Il me lance un regard franc accompagné d’un sourire dragueur. Pour qui se prend-il ? Je déteste ce genre d’attitude, pauvre type, tu peux toujours espérer. Beurk ! En plus ce n’est pas, mais pas du tout, mon genre, moi j’aime les hommes raffinés, intelligent et pas les gros bourrus musclé et vantard comme je me l’imagine.
Il s’assied sur la banquette en face de moi, je me doute qu’il a remarqué ma gêne et semble s’en amuser. Décidément je pense que je ne vais pas rester longtemps ici. Soudain il m’adresse la parole :
— Excusez-moi, mais ce n’est pas bon pour la peau de garder ces vêtements synthétiques avec cette chaleur.
Là, c’est trop ! Il veut que je lui fasse un strip-tease ou quoi ? Il a réussi à me mettre en colère, je l’insulte intérieurement : ’Espèce d’imbécile, c’est quand même de ta faute si je ne suis pas nue et tranquille, non mais pour qui tu te prends avec ta tête d’abruti.’ Parce que c’est vrai qu’il a l’air bête, avec son horrible crâne chauve et ses traits épais. D’accord, il est bien bâti, mais sa tête… Laissez-moi rire, un front plissé, des yeux noir enfoncé dans le crâne, recouvert par d’énormes sourcils touffus, un gros nez écrasé comme les boxeurs et des lèvres dignes d’une miss silicone. Merci ! ’Je vais te remettre à ta place mon ami…’ Restons polis et renvoyons-lui la balle pour couper cour à toute communication :
— C’est comme les serviettes, c’est fait pour s’asseoir dessus et pas pour faire une jolie robe.
’Tiens, prend ça ! Mets-toi tout nu si tu veux, tu peux le faire ton strip-tease, je n’en ai rien à faire, petit complexé, c’est moi qui retourne la situation et toi qui obéis. Ah, tu as voulu me mettre mal à l’aise et bien non, tu ne m’auras pas à ce petit jeu.’
Il sourit, je l’ai eu. Il se lève et retire brusquement la serviette de sa taille en me regardant fixement et là je pousse un cri, le cri de ma bêtise.
Je n’ai jamais vu ça, ce n’est pas possible, ce n’est pas humain, un énorme tuyau brun pend le long de sa cuisse, une troisième jambe, un membre monstrueux. Je me recule, je ne me sens pas bien, il m’a eut, il m’a désarçonné, mon regard ne peut quitter la chose qui pend à quelques centimètres, mon esprit s’embrouille et lui ricane, fier de son tronc, de sa victoire. Il me dit, sûr de lui en avançant d’un pas :
— Il ne faut pas avoir peur ma petite, ce n’est pas méchant, tu peux toucher si tu veux.
Ces mots devraient me choquer, je devrais me lever et partir en claquant la porte, mais la vision de ce membre hors du commun et mon état second me laisse prostrée. Comme un automate, ma main s’avance, non pas que j’aie envie de sexe, rien à voir, c’est autre chose, une expérience, de la curiosité, et certainement de la bêtise. Mes fins doigts s’enroulent autour de la hampe ébène, la soupèse et commence à la caresser. Quelle vision étrange, ma main délicate glissant le long de ce sexe noir disproportionné, ce sexe lourd qui sous mes caresses gonfle et grandit encore, se dresse doucement, fièrement.
Je rêve, de centimètre en centimètre, il semble avoir doublé, ma main ne peut en faire le tour, cela semble plus gros que mon poignet. Le plus impressionnant, c’est ce gland énorme, ce gros champignon qui coiffe cette matraque. Soudain il me dit :
— Allez ma petite, prépare-moi bien pour la suite, suce-moi.
Et c’est à cet instant précis que je comprends ma stupidité, mon sang se glace. La suite, quelle suite, qu’est ce que j’ai fait, jamais un engin comme celui la ne pourra entrer en moi, je ne peux plus faire marche arrière, je dois le faire jouir le plus vite possible. J’empoigne donc le membre à deux mains et commence à le lécher sur toute sa longueur tout en le masturbant. Tant bien que mal, j’enfourne le gland en bouche, la mâchoire écartée, j’entends le grognement de l’homme qui ne me quitte pas des yeux, je le comprends, trop heureux de sa victoire, de sa domination, il admire une petite bombe, pétasse à souhait, en train de se démener pour essayer de sucer son énorme membre noir. Les lèvres distendues, je fais des efforts surhumains pour avaler le gland, celui-ci me remplit la bouche et prend encore du volume, pas moyen de faire plus. J’accélère le mouvement pour en terminer le plus vite possible même si je dois avouer que cette situation commence à m’exciter. Je sens qu’il va bientôt venir et c’est alors qu’il me pousse violemment en arrière, de toute évidence il ne souhaite pas en rester là. Je lui fais non de la tête, lui dit que ce n’est pas possible, qu’il va me déchirer (surtout que je suis étroite). Ces paroles semblent seulement l’exciter, il me dit que tout va bien se passer, qu’il ira doucement, et que ça me fera du bien. Il s’agenouille devant moi alors que je suis penchée en arrière sur le banc, il enlève ma culotte avec des grognements de bête, ses doigts proportionnelles à son sexe glissent sur mes lèvres intimes, il m’en enfonce un et un grand sourire éclaire son visage (il est toujours aussi laid), il me dit :
— Tu es bien étroite, on va bien s’amuser, heureusement que tu es bien mouillée.
Et pour me narguer, il dépose sa batte sur mon ventre, et la fait rebondir, il veut m’impressionner, me dresser et il y arrive. Mon dieu il va me fendre, son gland se trouve presque entre mes deux seins, il est trop long, trop gros. Il se place à l’entrée, je serre les dents de toutes mes forces, je n’ose bouger. D’une poussée ferme du bassin son énorme gland glisse lentement en moi, il n’en finit pas de rentrer, chaque centimètre m’écartèle un peu plus, j’en ai le souffle coupé. Il finit par s’arrêter alors qu’il n’a heureusement rentré que la moitié de son sexe. Je le sens en moi comme jamais je n’ai sentit quelqu’un, c’est douloureux mais beaucoup moins que je ne l’imaginais, je me sens complètement possédé, remplie. Il commence alors un lent et puissant mouvement de va-et-vient, ses énormes mains empoignent mes seins, je m’agrippe désespérément à ses larges avant-bras. Il transpire comme un fou et il dégage une forte odeur animale. D’ailleurs il grogne et respire de plus en plus fort à chaque mouvement, heureusement il fait attention de ne pas tout me mettre. Il se regarde planté en moi et dit :
— Hé bien, tu es vachement bonne ma belle, mais qu’est-ce que tu me serres, je vais bien t’élargir. Ces mots au lieu de me répugner, m’électrisent et c’est vrai qu’il m’ouvre, j’écarte les jambes au maximum, mais rien n’y fait, il me défonce et j’aime ça. Je suis une vraie petite garce qui aime les grosses bites, voilà ce que je me dis, il me travaille et arrive à ses fins, il veut me voir jouir et je sens monter en moi une jouissance violente, mais il le voit et ralentit pour me prolonger. Je n’en peu plus, la douleur et le plaisir se mêlent, je l’avale (enfin ce que je peu), je vais chercher son sexe en roulant du bassin et un orgasme foudroyant me submerge, je crie, il me met la main sur la bouche pour étouffer mes hurlements, je pleure comme un bébé, jamais je n’avais joui autant, et il faut que ce soit dans ces conditions par un homme affreux monté comme un âne.
À moitié inconsciente par la puissance de mon orgasme, je reviens doucement à la réalité et me rends compte que lui n’a toujours pas joui. Il m’a eut mais ne compte pas s’arrêter là. Son attitude change, il devient moins doux et accélère son mouvement, cela devient nettement moins agréable et je pousse un cri de douleur lorsqu’il me pénètre quelques centimètres de plus. Il finit par se retirer à mon grand soulagement, ma joie est de courte durée lorsqu’il me retourne pour me positionner à quatre pattes. Je vais la sentir passer, mais je lui obéis, que faire d’autre. Il me regarde quelques secondes, offerte à son bon vouloir et dit :
— Quel cul, mais quel cul. Maintenant ma petite salope, tu vas voir ce que c’est de vraiment se faire défoncer par une bonne grosse bite, ça va te changer de tes petits copains, prépare-toi à gueuler…
Là, je ne ris plus, il est vulgaire et cela ne m’excite plus tellement, je suis sa chose et il compte bien en profiter. En effet, il s’enfonce pesamment en moi, il m’attrape les hanches de ses grosses mains calleuses et d’un mouvement en avant m’empale littéralement, je ne veux pas crier, cela lui ferait trop plaisir, je me mords les lèvres pour ne pas craquer, lui me force, me défonce.
Cela fait cinq interminables minutes qu’il me besogne puissamment, qu’il enfonce tout ce qu’il peut, qu’il grogne. Soudain il enfonce un doigt à l’endroit le plus serré de mon intimité, et dit :
— Je vois que tu ne t’es jamais fait enculer correctement, tu vas voir que tu vas t’en souvenir !
Et il sort de ma féminité pour se placer à l’entrée de mes reins. NON ! Impossible, c’est impossible, il va m’exploser, je me débats, me cabre. Mais il me tient solidement, je pousse un hurlement, il me force l’entrée de son énorme gland, il glisse lentement en moi, sur toute sa longueur, la douleur est intense. Lui ricane et m’insulte :
— Aors petite salope, on aime la grosse bite et après on fait la difficile. Je vais t’éclater ton petit cul. J’ai envie d’entendre tes fesses claquer sur mon ventre.
Et c’est ce qu’il fait, il me défonce de toute sa monstrueuse bite d’âne, il tape son ventre contre mes fesses, il rentre tout au fond de moi au plus profond de mon corps. Les larmes coulent sur mes joues mais cette fois ci ce ne sont plus des larmes de plaisir mais de douleur et d’humiliation. Je suis en train de ma faire enculer, moi fille si précieuse, je suis le pantin désarticulé d’un inconnu, laid et bestial. Je suis en train de m’offrir de la manière la plus basse qu’il soit, de me faire défoncer comme jamais. Cela fait une éternité qu’il me fait crier, gémir, pleurer. Lorsqu’il se retire brusquement et me retourne en m’attrapant par les cheveux, il veut vraiment me souiller, m’avilir. Mais c’est la fin, je le laisse m’utiliser. Il dirige son monstrueux tuyau marron vers mon visage, une première giclée chaude atterrit sur ma joue, suivit d’une autre et encore d’une autre, il n’en finit pas de se vider, même ça est disproportionné chez lui, il m’arrose du front au menton de longue giclées épaisses. Il termine en m’enfonçant son gland gonflé dans la bouche, m’obligeant à recevoir sa semence au fond de la gorge, une semence très forte, très âcre, je l’avale et il se retire enfin. Il me regarde, rit :
— Hé bien, qu’est ce que je t’ai mis !
Il prend sa serviette de bain, me regarde pantelante et dit avant de partir :
— Tu vois ma petite, on a tous les deux bien pris notre pied, chacun son tour.
J’ai compris : ’Ne te plains pas, tu as eus l’orgasme de ta vie, après il fallait assumer…
Il m’a fallut plus d’une semaine pour m’en remettre, j’en garde pourtant un bon souvenir. Je n’ai plus jamais retrouvé autant de plaisir avec mon copain qui a remarqué un changement. Je suis moins étroite et j’aime me faire sodomiser, maintenant que le passage est plus facile.