— Venez venez, mettez-vous à l’aise. Asseyez-vous sur le canapé.
— On ne dirait pas un studio, disais-je franche avec un air septique.
— Oui, alors, le studio est en fait sur Paris, la pour rencontrer des personnes pour les castings nous nous déplaçons au moment où nous avons beaucoup de demandes.
— Vous recevez d’autres filles ?
— Nous avons un agenda bien rempli, chaque jour à son rendez-vous. Beaucoup de candidates mais beaucoup moins de rôles.
— Oh les films porno ce n’est pas dur de recruter.
— Oui, pour les films amateurs certainement. Mais la c’est pour du plus haut de gamme, le genre de film avec une vraie production, acteurs, équipe de tournage le grand arts quoi. Et puis de toute façon, dans un appartement ou un studio Mais dis moi Diane, toujours pas envie de te lancer dans une carrière porno ?
— Non.
— Pourquoi ? Tu as un copain alors ? Es tu fidèle ?
— Oui, je le suis.
— OK OK. Bien, nous allons reprendre le casting.
Nous nous asseyons donc, Vanessa et moi, sur ce canapé moderne pas tellement confortable pour s’asseoir mais idéalement large pour baiser dessus. Stéphane s’assit sur une chaise en face de nous tandis que Marc installa sa caméra sur un trépied prévu à cet effet.
— Donc alors, pour ton premier casting, hum, comme tu n’as jamais tourné il faut qu’on te test un peu. Maintenant que tu es à l’aise avec ce que nous avons fait dans le parking, tu te sens prête à te dévoiler définitivement à la caméra ?
— OK
Plus aucune once d’hésitation en elle. Après avoir branlé, montré ses seins et s’être faite doigtée, se mettre nue n’était pas terrible. Vanessa enleva son débardeur comme si elle allait tout simplement changer de vêtement, puis sa jupe pour se retrouver en sous-vêtement blanc. Elle avait un beau corps la copine, bien que plus petite que moi, ni mince mais ni grosse pour autant, donnant des courbes voluptueusement craquantes à son corps. Un dur travail que nous faisions en tandem pour nous entretenir et le résultat rendait bien.
— Diane, aide donc ton amie à enlever le reste.
A mater Vanessa je l’avais oublié celui la. Soit. Elle me présenta son dos et m’invita à dégrafer son soutient-gorge. ce que je fis.
Telle une mannequin, elle afficha sa poitrine dénudée à la caméra et prit même le plaisir de les caresser tout en se léchant les lèvres. Pour le tanga, Vanessa me laissa également l’honneur. Elle se leva et se positionna dos à moi et face caméra. Moi, toujours assise, j’enroulais délicatement les pans de son tanga autour de mes pouces et les fis descendre lentement jusqu’à dévoiler à la caméra le sexe parfaitement épilé de Vanessa. Elle fit valser ce bout de tissu devenu inutile vers Stéphane d’un vif mouvement de pied.
— Excelleeent ! S’écria-il bien content du cadeaux.
Il était même suffisamment heureux pour se lever et se précipiter à enlacer le corps nue de Vanessa puis l’embrassa encore et encore. Les choses devenaient intenses en prenant une tournure attendue. Pendant l’échange fougueux de leur langues, Vanessa déboutonna lentement le pantalon que Stéphane baissa sans tarder. Ne lui restait alors que son boxer fortement déformé, qu’elle baissa également et libéra enfin ce sexe tendu retenu trop longtemps. Je ne pouvais pas m’en détacher du regard tant j’en étais obnubilée par les bites. Grosse tu parles. Alors qu’il s’était vanté de son membre tout à l’heure, je ne découvris qu’une bite de taille moyenne. Propre et bien rasé certes mais une bite tout ce qu’il y avait de plus banal, et moi qui croyait que tout les acteurs X étaient des étalons Mais peu importait. A le voir remuer au garde à vous, ce sexe me plaisait bien finalement. Et à Vanessa aussi apparemment, puisqu’elle le prit en main et lui fit grâce de quelques caresses.
Mais une main ne contentait plus la star du X. Stéphane, pantalon aux chevilles et bite tendue, enleva sa chemise et vint s’asseoir pratiquement nu à ma gauche. J’en devint déstabilisée, gênée par la proximité soudaine de ce sexe prêt à l’emploi. Ce n’était là envers moi que de la pure provocation. Mais sans ce soucier de moi, il invita Vanessa à s’installer à coté de lui. Ce gaillard prenait vachement ses aises dis donc, nu, bandant dur, les bras le long du dossier du canapé et confortablement assit entre deux femmes.
Il se laissa faire. Vanessa agita d’abord quelques coups de poignet, puis je fus en première place pour la voir baisser la tête et rapidement glisser le sexe de Stéphane entre ses lèvres.
Belle vue. Vanessa avait toujours était une excellente suceuse, bien meilleur que moi, et elle le prouva de la plus belle des manières. Elle léchait tendrement le gland violacé tout en tenant le sexe d’une main, ses lèvres coulissaient de haut en bas sur cette hampe de chair et, avec des airs de salope, fixait de temps en temps la caméra avant de ré engouffrer le sexe en entier bien au fond de sa gorge. Elle suçait ce mec avec toute son expérience alors que je la regardais faire tranquillement collé à la droite de Stéphane comme le ferait une escort-girl. Elle pompait lentement et avec un mouvement de tête si divin que Stéphane approuva en lâchant des soupirs de plaisir. Et comme voulant me faire participer, il posa sa main sur mon épaule qu’il caressa.
— Tu te débrouille bien, continue
Et c’est ce qu’elle fit avec le plus grand plaisir. Quant à moi je ne ratais aucune miette de cette superbe scène et dans un sens, j’enviais sa place. Je l’avoue, entendre la sucions qu’elle rendait si bruyant, la regarder sucer avec tant d’aisance m’en donnait l’envie. Je voyais ses joues se creuser, sa langue parcourir le pieux de chair avec délice tant je me demandais si je n’allais pas prendre sa place dans la seconde si j’osais
Merde, je suis entrain d’assisté à un truc que je ne devrais pas, pensais-je en revenant rougissante à la raison alors que mon corps s’était instinctivement rapproché de Stéphane. Moi qui était en couple, vivant avec mon petit-copain dans un appartement, j’étais la, à assister à une pipe dans le dos de mon copain. Même si je n’y participais pas, il serait furieux de l’apprendre Quant à Stéphane, il ne tenait plus, rien qu’à sentir ses doigts se crisper sur mon épaule je sentais qu’il approchait sa limite. Plutôt rapide pour un acteur de X
— Tu devrais avaler pour ne pas en recevoir sur toi ou tes cheveux, c’est un conseil de pro.
Un conseil de pro hein ? Ou plutôt, Stéphane ne lui laissa pas vraiment le choix. La main dans ses cheveux et lui bloquant la tête, il ne lui lassa pas le temps de se retirer. De toute façon, Vanessa n’en avait pas l’intention et ce fut bien au fond de la gorge que Stéphane déchargea son foutre dans d’un râle de satisfaction.
Pressant ses lèvres, Vanessa semblait s’en sortir et c’est après s’être bien vidé que Stéphane daigna la laisser se retirer. Une vision torride que de voir ma meilleur amie le sperme coulant de ses lèvres et tombant sur sa poitrine. Ouaaah
La voir couverte de foutre m’impressionnait, même si ce n’était absolument pas la première fois que je la vis recouverte ainsi. J’en fus dans un sens soulagée. Déchargé, Stéphane ne pouvais pas faire plus dans la perversité. Il tendis à Vanessa une serviette prévue à cet effet puis vint se rasseoir entre nous tout en remontant boxer et pantalon.
— Ouf pas mal, pas mal Ce n’est sûrement pas ta première pipe hein ? je te donne huit sur dix, mais ne t’inquiète pas, je t’aiderais moi et d’autre pour parfaire ta technique. Mais dis moi Vanessa, tu l’as déjà fait avec une femmes ?
— Non.
— Vraiment ? Vous me semblez pourtant bonne amie toute les deux vous n’avez jamais essayé entre vous ? Vu comment elle t’a admirée à me sucer
Elle rigola nerveusement tandis que je restais surprise par ces mots véridiques.
— Non non non, lui répondions-nous en même temps, toutes gênées.
— Pourquoi ? Vous allez très bien ensembles, un joli duo tiens, pour le casting, pour voir si tu te débrouille bien avec les femmes Vanessa, tu pourrais nous montrer un petit quelques chose avec Diane ? Un doux baiser par exemple.
La, c’est moi qui rigola nerveusement comme une idiote. Personnellement j’avais déjà couchée avec une femme mais je savais que Vanessa non. Et voila que Stéphane lui demandait de m’embrasser juste après lui avoir fait sucer sa queue. Bonjour la gêne ! Embrasser sa meilleur amie n’est pas si facile contrairement à ce que pense les mecs. Quant c’est l’amitié qui prône c’est dur pour passer au-delà. Mais Vanessa me regardais confuse, me fixait avec un grand sourire qui me demandait quoi faire.
Je lâchais un petit rire de nervosité. Mais Vanessa, cette idiote, prit mon indécision comme une invitation. J’en étais encore à hésiter alors qu’elle ferma les yeux et approcha doucement ses lèvres. Que faire ? Que faire face à une amie qui attend que je l’embrasse ? Ses lèvres ses lèvres pulpeuse m’obsédèrent. Même si je voyais encore l’image du sperme de Stéphane y couler Mon cur s’emballa à cent à l’heure, ma respiration devint difficile et je sentis de plus en plus son souffle. Ses lèvres m’attiraient
J’ai fermé les yeux et je me suis penchée vers elle. Nos lèvres se sont touchées pour la première fois de notre longue amitié. Ravie, elle écarta mes lèvres avec les siennes et plongea sa langue, elle noua nos langues dans une tendre étreinte, pimentée par le goût de jute de Stéphane. Hum Un baiser exceptionnel, langoureux qui me fit perdre l’esprit tant ses lèvres furent enivrante.
Emportée par l’euphorie, Vanessa se montra même plus entreprenante. Sa main vint se poser sur ma poitrine, l’agrippa et me la caressa fermement au travers de mon débardeur tout en continuant notre échange passionné. Elle m’étonnait toujours plus la copine, pourtant, je n’étais pas vraiment d’accord pour de tel actes si intimes entre nous. Mais soit, cette main pressant ma poitrine m’enivrait, montait en moi une sensation d’extase que je ne pouvais refréner et finalement, me faire peloter par mon amie m’était trop agréable pour pouvoir l’arrêter.
Nous rompions le contact et, les joues rougissante, j’ouvris les yeux. A ma grande stupeur, je constatais fébrile que cette main baladeuse n’était pas celle de Vanessa mais celle de Stéphane qui s’en donnait à cur joie. Surprise, j’en fut mal à l’aise. Il le senti et se retira. J’étais gênée d’avoir eu du plaisir avec cet homme que je n’appréciais pas plus que ça.
— Tu t’amuses ? Demandais-je sérieuse avec un air de méfiance.
— Pas toi peut être ? Répondit-il en se levant l’air de rien.
Je devais avouer que si, dangereusement même, et je commençais à le regretter. Vanessa, toujours nue et qui me connaissait bien, s’en rendit compte. Pour éviter les frictions, elle se décida à me peloter elle même pour me détendre, maintenant que nous étions toute les deux seule sur le canapé
— Ferme les yeux, me susurrait-elle à l’oreille.
Ce que je fis. Alors nos lèvres se sont croisées à nouveau dans de petits baisers sensuels qui me transportèrent une fois encore de bonheur. Au même moment, je sentis, sans m’en soucier, Stéphane s’asseoir à ma droite, se rapprocher de moi et cette fois-ci, je savais pertinemment que la main qui venait de m’empoigner le seins était la sienne. Peut importe, je le laissais faire, après tout, cette mains qui me caressait me soulageais de toute cette tension sexuelle que je ressentais depuis trop longtemps
Il me malaxa les seins à pleine mains et quant à moi, détendue par les baiser de Vanessa, je m’emportais dans l’euphorie grandissante. Me sentant plus fébrile et plus ouverte, Stéphane me caressa tendrement le coup, me prit la mâchoire du bout des doigts et m’arracha délicatement des lèvres de Vanessa, puis vint paisiblement coller les siennes sur mes lèvres que j’acceptais sans résistance. J’échangeais avec mon nouveau partenaire un long baiser tandis que je sentais la pression de ses doigts se resserrer sur le galbe de mon sein. Je laissais faire cet homme que je n’appréciais pas plus que ça, ses lèvres étant pour moi un pur bonheur et, comme Vanessa, il m’ouvrit les lèvres pour y chercher ma langue.
Tel des amants, nous étions ainsi parti dans un long moment de plaisir couvert uniquement par le bruit de nos baisers. Vanessa, voyant l’affaire bien parti, s’écarta pour me laisser pleinement profiter de cet homme bien trop convainquant. Nous nous ambrassions comme des ados lors d’une fête d’école. L’échange devenait plus intense, s’enfonçait de plus en plus dans l’extase alors qu’il prenait l’ascendant sur moi. Il sentait très bien mes tétons se durcir à son contact Puis, ma poitrine ne le contentant plus, il vint glisser sa main, dont les caresses me manquaient déjà, dans mon entre-jambe jusque la interdit
C’est tout naturellement que j’ai écarté les cuisses pour lui laisser le champ libre. Stéphane me caressait tendrement la vulve au travers de mon jean et, rougissante de bonheur, je rompis le contact de ses lèvres pour lâcher un soupir de plaisir. A ma grande honte, le simple contact de ses doigts déclencha chez moi un sentiment plaisant qui me fit mouiller.
Stéphane affichait un large sourire de victoire, ce qui m’irrita quelque peu. Lui laisser ce plaisir entachait ma fierté mais notre embrassade me rappelait tant les souvenirs pervers d’étudiante que j’en avais perdue la raison J’entendis soudain le bruit de zoom de la caméra que tenait Marc. Toujours aussi attentif, il continuait sans rien dire à filmer. Bordel et je l’avais complètement oublié celui la. Dans le genre preuve d’infidélité, j’ai tapé dans le mille.
— La vidéo, murmurais-je pouvant à peine parler à cause des caresses, il il faudra effacer ce passage.
— Inutile, me répondit Stéphane, comme je te l’ai déjà dis elle n’est pas destinée à être publique, oublie la
C’est ce qu’il me dit en m’embrassant à nouveau et j’oubliais alors la caméra. Vanessa, elle, devait s’ennuyer pendant notre échange car elle décida de pimenter les choses.
— Et si tu nous montrais ta poitrine ma coquine ? Lâchât-elle espiègle.
Je lui ai lancé un regard accusateur avec de grands yeux qui disaient « Mais tu es folle ou quoi ? ». Déjà que je m’emportais beaucoup trop, cette naïve de Vanessa prenait son pied de manière inattendue. Stéphane quant à lui n’attendit pas ma réponse et écarta les pans de ma veste.
Il plaqua ses mains sur ma poitrine et la pressa par le bas, de sorte à la faire ressortir de manière plus prononcée. Mais c’est Vanessa qui se mit à remonter le débardeur et à le tirer jusqu’au dessus de ma poitrine assez bien fournie. Elle dévoila ainsi mon soutien-gorge en dentelle bordeaux qui laissait transparaître légèrement la peau de mes seins, mamelons compris, entre les fins motifs floraux. Stéphane siffla en le voyant.
— Pas mal dis donc, tu es une femme de grande classe Diane.
— Merci
J’étais gênée mais j’aimais bien ce genre de compliment, même mon petit-copain en était avare. Surtout après le temps passé en magasin et l’argent dépensé pour être au top.
— Et j’imagine que le dessous est du même style
Sur ce, il défit ma ceinture puis déboutonna mon pantalon, écarta les pans de la tirette et constata avec joie qu’il avait raison. Ma culotte en dentelle bordeaux était de la même pièce que celle de mon soutien-gorge.
— Attend que je te mette à l’aise.
C’est Stéphane qui m’enleva la veste avec délicatesse mais c’est de moi même que j’enlevai mon débardeur qui ne servait de toute façon plus à grand chose, me retrouvant ainsi très vite en soutien-gorge et pantalon débraillé. A peine avais-je eue le temps de repousser mes cheveux d’un mouvement de tête que Stéphane se précipita pour glisser sa main dans mon soutien-gorge.
Cette fois si, je ressentis directement le contact de sa peau sur mon sein. J’étais électrisée et j’avais le souffle court à la pression de ses doigts devenu plus brutal. Plus viril, certes, mais de manière efficace au point de bien faire durci le téton qu’il titillait entre deux doigts. Il avait plus l’air d’un ado en chaleur qu’un professionnel du X le Stéphane et il le démontrait en m’embrassant une fois de plus d’un baiser langoureux. Nous étions reparti pour un long échange quant soudainement, il se laissa tomber en arrière tout en m’emportant avec lui, nous retrouvant allongés sur le canapé, moi sur lui.
Le casting supposé de Vanessa dérapa complètement. Nous avions toujours nos pantalons, lui, torse nu, allongé sur le canapé et moi, sur lui à quatre pattes occupée à l’embrasser sans ne plus se soucier de rien. Nos corps se touchaient, se caressaient lentement d’avant en arrière pendant que je l’embrassais, plongeant ma langue au fond de sa bouche dans un échange vigoureux. A ce moment, j’ai relâché toute la tension sexuelle accumulée et je m’emportais totalement avec lui dans l’euphorie du baiser. J’oubliais tout, même mon petit-ami, et seul le contact de nos corps m’importait à présent. Que du bonheur, j’adorais trop l’union de nos langues
Stéphane plaqua ses mains sur mes fesses et entreprit de me baisser le pantalon à hauteur de cuisses. Il malaxa sans ménagement mes fesses à pleines mains, se glissant même sans problème sous le tissu de ma culotte. Il bandait dur le salaud, je sentais très bien la bosse dans son pantalon me toucher la vulve. Provocante, je mimais même avec mes fesses le mouvement d’une lente pénétration
Je n’en pouvais plus de voir des bites sans pouvoir en toucher une. Alors, déterminée, j’ai glissé la main sous son pantalon, passant même du bout des doigts sous son boxer. J’empoignais enfin son sexe fermement entre mes doigts et me mis à le branler par dessous ses vêtements. J’avais trop besoin d’en sentir un dans ma main et le toucher me libéra dans une agréable sensation. Je le branlais sans retenue dans son boxer sans oser regarder mon méfait avec mon visage devenu rouge.
Je touchais son intimité et pourtant, moi j’étais toujours en sous-vêtement bordeaux et le pantalon sous le niveau des fesses. Alors il abandonna mon derrière et passa ses mains dans mon dos. Il dégrafa habilement mon soutien-gorge. Le sentant défait, je me suis redressée, puis je le retira délicatement, lui offrant ainsi la vue de mes deux mamelles dénudées. Le galbe plus lourd que celles de Vanessa, elles retombaient et était légèrement plus volumineuses que celle de mon amie. Depuis le temps qu’il attendait ça l’animal Ma poitrine libre de ses méfaits, il s’empressa de les prendre à pleines mains et les malaxa pour notre plus grand plaisir.
Vanessa, cette coquine, semblait apprécier la scène, carrément même. elle se rapprocha de nous, s’agenouilla sur le canapé et vint tendrement poser ses lèvres sur les miennes. Après notre bref baiser, elle se pencha ensuite sur Stéphane pour l’embrasser à son tour très amoureusement. Je la voyais faire, elle aussi appréciait ces lèvres Quant à moi, assises sur le pubis de Stéphane, je mimais la position d’Andromaque, massais avec ma vulve au travers de mes vêtement son sexe resté dans son boxer.
Marc lui ne ratait rien de la scène, prenant des gros plans sur mes seins ou sur la gestuelle de mes fesses. Il se permit même de les toucher et de les malaxer à sa guise que je répondis pas un clin d’il à la caméra.
Mais Vanessa monopolisait trop Stéphane à mon goût et je voulais ses lèvres toute autant qu’elle. Je me suis alors abaissée et nous avons partagé les coins des lèvres de Stéphane à nous deux. Nous l’embrassions ainsi tendrement. Ce type était définitivement un veinard pour subir les baisers de deux belles femmes en même temps. Après un petit moment à nous entremêler nos langues, Vanessa me chuchota à l’oreille et me demanda de me lever au dessus de Stéphane, ce que je fis sans réfléchir.
Debout, Vanessa entreprit de me baisser complètement le pantalon pour l’enlever et je me suis vite retrouvée avec pour seul vêtement ma culotte en dentelle bordeaux. Ensuite c’était au tour de Stéphane d’agripper ma culotte pour tenter de me l’enlevé. Mais malgré toute mon excitation, je montrais une certaine résistance, me rappelant le souvenir lointain d’un petit-ami que je disais rester fidèle.
Alors pour me faire oublier ce souvenir fugace, Vanessa glissa sa main dans ma culotte et me caressa la vulve. Dans un sens j’avais honte, honte de mon entre-jambe si moite dégoulinant de plaisir. Elle le sentait très bien et c’était tout ce qu’il fallut à Stéphane pour lui permettre de descendre définitivement ma culotte.
Il vit d’abord mon pubis garnis du duvet de mes poils pubien, et lentement, il découvrit ensuite la vulve dégoulinante de cyprine. Les grandes lèvres bombée alors que les petites était légèrement saillantes. Je me retrouvais ainsi, tout comme Vanessa, entièrement nue devant cet homme rencontré il y avais à peine quelques heures. Elle me chuchota de me rasseoir. Me rasseoir, me proposa-t-elle suavement à l’oreille, sur le sexe de Stéphane qu’elle venait de libérer du pantalon et masturbait afin de le rendre prêt à l’emploi