Aux confins de nôtre univers, dans une petite galaxie orbitant parmi une cinquantaine d’autres, de toutes tailles et toutes formes, se trouve une étoile : Baanthus. Autour de cet astre orange flamboyant tournent plusieurs planètes, dont une abrite la vie… c’est sur cette petite boule bleue et verte que l’on appelle Baanthus Prime que va débuter l’aventure de Veronica, une jeune pilote aux talents multiples, dont les passions sont les courses de bolides… et le sexe.
Veronica est une jolie blonde aux cheveux légèrements ondulés, tombant presque jusqu’à ses fesses – qui par ailleurs sont extraordinairement douces et généreusement proportionnées – et aux yeux d’un bleu clair presque violacé. Son visage angélique surplombant sa poitrine, qui à vue de nez ferait un bon 95 D, sa taille de guêpe, ses hanches larges et ses jambes élancées lui donnaient pour silouhette celle d’une femme fatale. Nombreux étaient ceux – et celles – qui la désiraient.
Veronica a connu ce qu’elle croyait être l’amour, mais de déception en déception elle a fait le choix de ne plus s’attacher à qui que ce soit autrement que par des liens d’amitié. Et du fait de son tempérament, elle put alors jouir d’un grand sentiment de liberté, avec une sexualité des plus épanouies.
Aujourd’hui, Veronica est chez son ami Jon. Un garçon plutôt beau gosse, aux cheveux bruns mi-longs et toujours en pétard. Son truc à lui c’est les ordinateurs… et le sexe. Veronica est passée lui rendre visite, pour le voir une dernière fois avant de prendre son envol à travers la galaxie : en effet, Veronica participe à des courses de bolides, et le premier championnat pour lequelle elle est qualifiée se déroulera dans quelques jours sur Korbor, dans un système à quelques années lumières de Baanthus. La saison durera 9 mois. Veronica compte se donner à fond et ne prévoit pas de revenir sur sa planète natale avant la fin de la saison, espérant ramener avec elle le trophée de la première place du classement général. Elle ira sur chaque circuit quelques jours auparavant pour s’entrainer – et faire des recontres, disons… prometteuses.
Jon arrive à la porte de son domicile. Une maison des plus classiques, comme on trouve chez nous, bien qu’équipée d’une technologie de domotique des plus sophistiquées. Il peut voir Veronica à travers sa porte d’entrée close et opaque vers l’extérieur. Elle se tient debout, une main sur la hanche et l’autre passant dans sa magnifique chevelure. Sa jupe courte flotte légèrement au vent, et Jon contemple un instant ce joli spectacle se produisant sous ses yeux.
— Bon, Jon, tu sais que tu peux me regarder autant que tu veux AUSSI à l’intérieur, lui lance Veronica.
— Eh bien rentre ! Lui rétorque Jon.
Veronica ouvre la porte. Jon la prend dans ses bras et la serre délicatement contre son torse.
— Tu as l’air tendu Jon…
— Veronica, je comptais te faire une petite surprise avant ton départ. Tu vas beaucoup me manquer, alors j’ai décidé de marquer le coup.
Jon dépose un baiser sur la joue de son amie, qui est également sa partenaire sexuelle favorite. Elle le regarde d’un air interrogatif, comme pour lui dire "quoi de plus spécial que d’habitude ?" et Jon lui prend la main, lui faisant signe de venir, et l’emmène dans sa chambre.
Un paquet cadeau se trouvait sur le lit. Veronica le prend et le dépose délicatement sur la commode.
— C’est plutôt lourd ! Il y a quoi là dedans ?
— Tu verras ma belle, je t’ai gâtée. Tu veux l’ouvrir maintenant ?
— Je préfèrerais découvrir tout ça dans mon vaisseau lorsque je serai arrivée sur Korbor. Je t’enverrai des photos ?
— Avec grand plaisir, y’a de quoi faire !
Jon cligna de l’il. Veronica poussa alors Jon sur son lit et se mit à califourchon sur lui, tous deux riaient de bon cur. Il commencèrent à s’embrasser langoureusement tout en enlevant leurs chaussures. Les bottines à talons de Veronica retombèrent aux pieds du lit, les talons aiguilles claquant sur le sol de la chambre. Les deux amants se tournèrent pour se positionner confortablement sur le matelas, tout en continuant de se bécoter passionément.
— Cette fois, on met le paquet ! Dit Veronica en caressant l’entrejambe de Jon.
— J’ai tellement envie de toi ma belle… tu es la meilleure de toutes. Je ne te décevrai pas, crois moi !
Veronica déshabilla Jon, envoyant ses vêtements valdinguer à travers la pièce. Puis elle se leva et vint se placer devant le lit.
— À moi de te faire une surprise, lui dit elle en se déhanchant.
Veronica portait ce jour là une jupe courte à motifs roses et un débardeur noir, qu’elle ôta délicatement tout en prolongeant sa danse envoûtante. Vint alors le moment de faire glisser sa jupe jusqu’au sol, dévoilant ainsi la belle lingerie violette que Veronica portait. Un ensemble soutien-gorge et culotte violets avec le porte-jarretelles assorti et des bas noirs. Jon bandait comme un âne à la vue de cette tenue aguicheuse, et Veronica le remarqua aussitôt.
— Viens, que je dévoile ta poitrine et tes superbes fesses !
— Tu es un gros gourmand Jon… Fais-toi plaisir ! Lui-dit-elle en revenant s’allonger à ses côtés.
Sitôt dit, sitôt fait : d’une main Jon dégrafa le soutien gorge et libéra les seins de sa charmante partenaire, qu’il s’empressa de prendre en main puis d’en lécher les mamelons. Veronica mit sa main sur la bosse qui déformait le caleçon de Jon et la pressa, et lorsque le jeune homme décida de lâcher les mamelles de la belle blonde, cette dernière lui retira son caleçon. Le pénis de Jon était comme monté sur ressort, et se dressa d’un coup lorsqu’il fut libéré du tissu qui l’emprisonnait. Le bout de la bite de Jon ruisselait de sécrétions, et Veronica se mit alors à le lécher en se délectant du goût légèrement salé de cette mouille masculine, avant de prendre la queue de Jon toute entière dans sa bouche.
— Ooooh oui bordel j’adore quand tu fais ça ! T’es la meilleure suceuse de la galaxie… mmmmmh OUI putain t’es une déesse !
— Attends, on va faire ça ensemble, tu veux bien ?
Veronica se retourna, et Jon lui ôta sa culotte, qui commençait à être trempée de mouille. Puis Veronica vint presque s’asseoir sur le visage de son amant, et reprit la fellation magistrale qu’elle était en train de lui donner quelques instants plus tôt. Jon entreprit alors de dévorer la vulve de Veronica, et les deux partenaires se mirent à gémir amoureusement au fil de leurs gâteries mutuelles.
Quelques minutes s’écoulant ainsi et nos deux jeunes amis ne résistant plus à la tentation, Veronica se retourna, et prit le sexe de Jon en main pour se caresser le clitoris. Puis elle s’empala sur cette tige gonflée à bloc en laissant s’échapper un soupir de plaisir. Les mouvements de son bassin se firent de suite amples et soutenus, ses fesses claquant sur les cuisses de Jon au rythme de cette chevauchée érotique.
— Ooo-ooo-oooh-oui-iii-iii-Jon ! Ah-aah… Ta… grosse bite… Aaah !
— Veronica ! Ooooooh… Mmmmmmh…
Jon retourna Veronica sur le dos en restant en elle. Puis il la prit sauvagement, tout en l’embrassant dans le cou et en lui pelotant un sein. Ses coups de reins mettaient Veronica dans tous ses états, elle accrocha ses jambes aux cuisses de ce mâle fougueux qui était en train de la ramoner.
-Oh oui vas-y baise-moi ! Aaaaaah ouiiiiiii défonce-moi comme jamais !
Ils s’embrassèrent comme deux amoureux fous tout en intensifiant les mouvements de leurs bassins. Leurs gémissements et leurs cris de bonheur, entremêlés aux claquements de leurs peaux et à l’entrechoquement du lit et du mur de la chambre, étaient presque audibles à l’extérieur de la maison, fussent-ils plus bruyants que le tumulte de l’activité urbaine environnante. Veronica et Jon se rapprochaient peu à peu du moment suprême, et tout à coup Jon s’écria :
— Je vais jouir ! Veronica… aaaaaaaaaah… !
-Aaaaah… moi aussi ! Jouis dans ma chatte, Jon ! Aaaaaaah oui gicle bien au fond ! Je veux sentir ton foutre dégouliner de ma chatte !
À ces mots, Jon ne put se retenir. Il explosa en Veronica, et chaque contraction la fit frissonner, au point qu’elle aussi éjacula, et les deux crèmes se mélangèrent dans le vagin de la femelle en chaleur sous les derniers assauts du braquemart de son cavalier.
Les deux amants reprirent leurs esprits en s’embrassant et en se câlinant en toute sensualité, restant l’un dans l’autre, comme pour éterniser ce moment qu’ils ne voulaient comme jamais ne voir se terminer.
— C’était vraiment magique, Veronica. Tu vas vraiment me manquer…
— Toi aussi Jon… Jamais personne ne m’a autant satisfaite.
Ils se rhabillèrent, se dirent au-revoir en s’embrassant délicatement pendant un bon moment, serrés l’un contre l’autre. Lorsque Veronica repartit, elle serrait son paquet cadeau contre sa poitrine, sa culotte inondée de la semence de l’homme qui, accoudé au montant de sa porte d’entrée, le cur empli de confusion, regardait sa belle blonde s’en aller en la dévorant des yeux comme s’il n’allait jamais la revoir…