Les spasmes passés, je vois ses joues rouges s’approcher de mon visage, elle m’embrasse tendrement.
Tu m’as manqué.
Toi aussi tu m’as manqué.
Tu n’as pas fait de bêtise quand tu étais là-bas ?
J’ai bien failli, mais je n’ai pas eu le temps…
Ce qui me valut un crochet dans les côtes.
Urff ! Ça va je déconne !
Ouais c’est ça, ben moi aussi j’ai eu des occasions figure-toi.
Et j’en conclus que tu n’as rien fait, je suis fier de toi ma chérie.
Elle se met à rire.
Tu peux être fier, tu devrais même me récompenser.
D’accord, mais comment ?
Ni une, ni deux, je me retrouve plaqué au fond de mon siège. Jeanne en appui d’un pied sur l’assise et son autre jambe placée sur le haut du dossier, elle vient m’écraser le visage de sa chatte encore brûlante. Je n’ai pas d’autre choix que lécher ses lèvres, bon, je l’avoue, cette figure imposée n’est pas pour me déplaire et je déguste avidement ce qui devient vite un ruisseau de mouille.
Elle s’est mis le haut du corps en appui sur le dossier à côté de sa jambe, si bien que je ne peux même pas voir son visage se déformer du plaisir qui la fait se tordre sur ma langue. J’ai de la cyprine jusque sous le menton, j’adore ça. Je ne tarde pas à venir lui fesser un peu le postérieur tout en continuant mon travail de récurage labial.
Oh oui ! gémit-elle.
Je ne peux répondre, j’ai la bouche collée à sa chatte et j’en explore les moindres recoins avec gourmandise. Mes petites tapes entre la base de ses fesses et la naissance de ses bas ont l’air de lui faire un effet buf. Je sens son clito sortir comme jamais, venant le pincer de mes lèvres et le caresser du bout de ma langue.
L’ambiance est électrique, un disque du groupe "the black angels" ponctue nos gémissements, je n’y avais pas prêté attention jusque-là, mais inconsciemment je calque mes mouvements sur leurs rythmiques psychédéliques et envoûtantes.
L’odeur du feu de bois mélangé à l’odeur de la chatte que je dévore me met dans un état second, je suis complètement sous influence de mes sens, les yeux clos, drogué par un shoot d’hormones sexuelles.
Je sens Jeanne qui frémit un peu plus fort, s’appuyant plus fort et plus lentement sur ma bouche. Mes mains viennent attraper son dos pour l’inviter à m’écraser si elle le veut. J’ai pour seule réponse:
Ah la vache ! Continue ! Tu me fais jouir ! Oui, oui oui !
Un flot de jus de chatte vient m’exploser en bouche, que de découvertes ce soir, je ne la savais pas fontaine…
Elle redescend s’asseoir à califourchon sur mes cuisses, le visage écarlate.
Pfouuuu ! lâche-t-elle.
Eh ben, on dirait que tu as bien fait de te retenir face à tes "occasions" dis-je en ricanant.
Ouiii répond-elle en ronronnant.
Tu as envie d’autre chose ?
Je la sens hésitante, elle n’ose jamais demander d’habitude, mais avec cette partie de cul si bien commencée, je me dis qu’elle va se lâcher un peu plus.
Allez, dis-moi, j’aimerais connaître tes fantasmes, tu le sais.
…
Bon, je n’insiste pas, je vais me coucher.
Et je fais mine de la déplacer pour me lever.
NON ! supplie-t-elle, puis me murmure.
Prends-moi les fesses.
Vrai ? C’est pas une blague ?
J’ai envie…
Je n’en demandais pas tant. J’ai déjà essayé de la convaincre, nous avons essayé, mais elle était rebutée par l’idée que ma bite vienne coulisser dans son cul. Là, elle est demandeuse, ça change toute la donne. Je commence donc à préparer son trou sans changer de position, cette dernière étant idéale pour glisser ma main sur son orifice après avoir déposé de la salive sur mes doigts.
Lentement mais sûrement, sa rondelle se détend comme jamais. Elle fait la grimace quand j’introduis le premier doigt, tout cela est vite oublié après un second dépôt salivaire sur sa rosace.
Je la sens s’abandonner sur moi, son cul rempli de mon doigt qui fait des petits cercles afin de préparer le terrain à une pénétration qui je le sais, sera difficile…
Ce qu’on va faire, c’est que c’est toi qui vas venir sur ma bite, tu géreras si jamais tu as mal.
Sur ce, elle se retourne, me donnant une vue parfaite sur son trou du cul et de sa main, vient placer mon gland tendu devant son entrée. Elle force un peu et voilà déjà un premier centimètre rentré. Elle pousse un petit cri qui est plus de la surprise que de la douleur puis entame des petits mouvements de sautillements maladroits.
J’en profite pour caresser son dos et ses hanches et lui dire quelques mots rassurants, tant et si bien qu’au bout d’une minute, c’est la moitié de mon chibre qui se retrouve à l’étroit entre ses reins.
Elle revient plaquer son dos à mon torse et écarte ses fesses de ses mains, ce qui libère un peu plus d’espace afin de m’enfoncer jusqu’à fond. Je lui pose la question.
Ça va ?
Oui soupire-t-elle, j’ai un peu mal, mais c’est bon.
Je suis dans un état second, je n’ose pas bouger, j’ai ma bite dans son cul ! J’attends ça depuis tant d’années. Ce soir, elle s’est métamorphosée en une salope de compétition, et j’adore ça. C’est MA salope. Elle m’a attrapé et elle m’a fait bouffer sa chatte. C’est elle qui a le contrôle, et ça me plaît. Je suis surexcité.
Quelques va-et-vient de sa part et je sens monter ma sève.
Je vais jouir.
Vas-y, vide-toi, remplis mon cul de ton sperme.
Ne me faisant pas prier, j’empoigne ses seins de plus belle et me purge dans un râle. J’ai envie que cet instant ne se termine jamais.
Sa pipe, sa chevauchée, sa manière de m’imposer sa chatte à bouffer, et maintenant son goût pour la sodomie. Je suis un homme comblé ce soir.