Depuis 1 mois, je travaille avec une jeune femme qui se prénomme Silvie. La première semaine que j’ai travaillé avec elle, j’ai remarqué ses fesses rebondies et ses seins imposants. En effet, lorsque je la regarde de profil, je vois que sa poitrine est au moins deux fois l’épaisseur de sa taille. En plus, elle sait qu’elle se fait reluquer et elle fait exprès pour cambrer le bas du dos et mettre ses seins et ses fesses en valeur.
Elle a commencé assez vite à parler de cul avec moi. Au début c’était ’ Veux-tu un café?’ je disais oui et elle me disais ’Tu me paieras ça en nature’ Sauf qu’elle ajoutait ’C’t’une joke’. Après quelques jours, elle passait tout le temps qu’il n’y avait personne d’autre dans le bureau à me dire comment elle se masturbait, que son fils ne serait pas chez elle en fin de semaine, qu’elle avait envie de se faire lécher tout partout.
Le deuxième vendredi, elle m’a dit carrément ’veux-tu venir passer la fin de semaine chez moi, mon fils est pas là et j’aime pas dormir seule’ J’ai accepté!
Quand elle a ouvert la porte de son appartement, elle m’a dit ’j’espère que t’es en forme’. Elle a passé ses mains dans mon dos, les as introduites dans mes pantalons et m’a empoigné les fesses en me disant ’ ça fait deux semaines que je me masturbe en pensant à ça’. Je n’ai pu faire autrement que de relever sa jupe. J’ai eu du mal à trouver du tissus sur ses fesses. Elle portait un G-String assez spécial.
Ce n’est qu’en lui enlevant sa robe et sa camisole très décoletée et très moulante que je compris ce G-string. À l’arrière, son G-string n’était qu’un fil qui montait jusqu’à ses homoplates pour ensuite se séparer et passer sur ses épaules. ensuite, à l’avant, les fils passaient de chaque côté de ses seins et ne se rejoignaient qu’à environ 3 centimètres de son clitoris. On ne pouvait parler de triangle à l’avant puisqu’il ne cachait que le dessous et non pas le devant.
Lorsque je lui présentai mon pénis, elle me demanda de lui insérer deux doigts dans le vagin pour la dilater un peu pour permettre à mon membre de rentrer. Une fois qu’elle fut très excitée, elle me dit ’vas-y pénètre moi!’ Je lui ai répondu que quand elle sera vraiment excitée et que je le sentirai dans son corps et dans sa voix, à ce moment, je la pénétrerai. Elle se trémoussait et j’accélérait et elle me disait de plus en plus fort ’pénètre-moi’ et j’accélérait le mouvement avec mes doigts. Elle eu un orgasme, puis un deuxième puis elle criait ’Haaa! fourre moi je veux sentir ton pénis!!!’
Elle poussa un cri bestial quand je la pénétrai. Elle était à quatres pattes et je tirais sur ses hanches pour la pénétrer toujours plus profondément. Au moment de son troisième orgasme, elle avait plein de spasmes. Sa tête tremblait violemment et elle donnait des coups de pieds par terre. Son vagin se serrait et se déserrait autour de mon pénis et c’est à ce moment que j’ai éjaculé.
Nous nous sommes affaissés par terre, le temps de reprendre un peu d’oxygène. Ensuite, elle me raconta à quel point elle avait aimé la façon que je l’avais stimulée et avait aimé la sensations de mon pénis. Elle a ajouté qu’elle aimerait que je la pénètre avec quelquechose d’encore plus gros.
La semaine suivant, j’ai amené, en plus de mes doigts et de mon pénis un vibrateur très nervuré (avec des veines comme un pénis). C’était un vibrateur énorme. Il faisait 7 centimètres de large par 22 de long. Elle a un peu paniqué en le voyant et m’a dit que j’exagérais. Je lui ai répondu ’ Non seulement, je n’exagère pas mais tu vas réaliser un de mes phantasmes.’
Après l’avoir longuement stimulée jusqu’à un premier orgasme avec ma langue puis un deuxième avec mon pénis, j’ai décidé au moment opportun de la pénétrer avec le vibrateur. Elle était si excitée qu’elle ne le trouvait plus trop gros. Je devais le pousser fort mais elle n’avait pas du tout mal, elle me criait ’ pousse Haaa! ouiii! poussse Plus profond aaahhhh!
Quand j’eu rentré la moitié, elle ne disait plus un mot, il ne sortait de sa bouche que des balbutiments, des coups de langue et des bruits de jouissance. Tout son corps était remplis de spasmes. Quand j’ai commencé à faire des va-et-vient avec cet objet déjà vibrant, ses yeux sont retournés à l’envers.
J’ai arrêté après quelques minutes tout en laissant le vibrateur au fond du vagin à ’on’. Je lui ai enfilé un G=string pour le maintenir en place et je lui ai dit de s’habiller. Elle dégoutait de sueur, le lit était tout mouillé sous elle (particulièrement à l’entre jambe). Elle avait la bouche mouillée, ouverte, liquide. Ses yeux étaient vitreux, brillants, elle était rouge comme une tomate et ses seins étaient gonflés et durs. Tout ce qu’elle réussit à mettre fut un hot pants et une camisole.
Je lui ai dit vient-en, on va prendre une marche. Nous sommes sortis dehors. Elle avait encore le vibrateur à ’on’ entre les jambes. Elle respirait fort et émettait des gémissements incontrôlables, elle cambrait le dos comme elle ne l’avait jamais fait et ses seins se balottaient violemment au gré des spasmes de ses orgasmes. Les passants se retournaient et semblaient très intrigués. Cela dura jusqu’au devant d’un restaurant où elle s’effondra. Je l’ai amené au toilettes pour lui enlever son objet de plaisir. Laissez moi vous dire que ça lui a creusé l’appétit
L’homme de ses rêves