Histoires de sexe noir Histoires tabous

Une jeune maman – Chapitre 3

Une jeune maman - Chapitre 3



Me voilà dans la chambre d’hôtel de Yannick. Je ne comprenais pas pourquoi, mais j’eus finalement cédé à ses avances. J’avais tout le week-end devant moi. Mon amoureux et moi décidâmes de prendre un peu de distance, pour réfléchir. Il était donc parti avec des amis pour les deux jours. 

À peine entrée dans la chambre, Yannick me poussa sur le lit. Il souleva ma robe et arracha violemment ma culotte. Avant que je puisse réagir, le jeune homme plongea sa tête dans mon entrejambe. Il lécha frénétiquement mon abricot imberbe et tout le jus qui en sortit. Consciencieusement, il passa sa langue sur mon clitoris, sur ma vulve, avant de terminer sur mon anus. Deux de ses doigts vinrent ensuite se fourrer dans ma petite rondelle, tandis que sa langue continua à balayer mes zones érogènes.

_ Tu as encore un peu de sperme dans ton cul, petite cochonne, se rejouit-il.

Mon amoureux avait pris en effet l’habitude de me réveiller, tous les matins, en faisant l’amour à mon anus. Je pris pourtant une douche par la suite, mais visiblement, je fus encore bien souillée.

Malgré cela, Yannick semblait davantage excité. Sa queue devint encore plus raide.

Il fit va-et-vient plus rythmé avec sa tête et sa langue. Je lâchai bientôt un hurlement de plaisir, lui signalant que je venais de jouir. Il s’occupa ainsi de moi pendant près d’une bonne demi-heure, jusqu’à ce qu’il obtienne ce qu’il voulait : un jet de cyprine sur son visage. Je fus prise au même instant d’un spasme de plaisir qui me mis complétement KO. 

Il se positionna ensuite en missionnaire pour assouvir ses besoins primaires. Il pénétra sans coup férir en moi. Son pilon bien dressé s’engouffra profondément dans mon minou tout trempé. Mon amant s’acharna sur moi comme s’il s’agissait d’un puceau; comme s’il savait que c’était la dernière fois qu’il allait me baiser. Yannick fourra sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassâmes passionnément, tels les ados amoureux que nous étions il y a une dizaine d’années. Il continua ses coups de reins vigoureux. Il alla de plus en plus vite, de plus en plus fort, m’arrachant des gémissements de plaisir.

_ Oui, vas-y baise-moi, couinai-je sans arrêt.

_ Je ne vais pas que te baiser, répondit-il. Je vais aussi bien te remplir la chatte.

Mon amant savait parfaitement à quel point j’adorai sentir la semence fourrer mon abricot. Une bonne éjaculation interne suffisait souvent à me faire monter au septième ciel. De plus, j’étais à ce moment terriblement en manque de sperme :

_ Oui, oui ! Vide toi en moi, je veux sentir ton foutre bien chaud au fond de mon minou.

_ Tu veux que je t’engrosse, c’est ça ?, lança-t-il avec un sourire empreint de satisfaction.

_ Oui, Engrosse-moi ! Engrosse-moi !, répétais-je à plusieurs reprises pendant le coït.

Mon amant me retourna alors brusquement pour me prendre par-derrière. Il se mit à quatre pattes sur moi, me prenant ainsi comme un chien en rut.

_ Ah oui, comme ça ! mets en cloque ta petite chienne !, criai-je au bord de l’orgasme.

 Je sentis alors un jet de semence bien chaud me retapisser le fond du vagin, puis un deuxième après quelques coups de boutoir supplémentaires.

Je jouis en même temps que mon amant et nous restâmes emboîtés quelques instants l’un dans l’autre.

Il se retira en poussant un soupir de plaisir. Sa queue était encore dure.

Après s’être si bien occupé de moi, j’eus envie de lui rendre la pareille :

_ Mon petit cul t’appartient toujours…

Je le poussai pour le coucher sur le dos et, me mettant à califourchon, je m’embrochai sur sa lance. Sa queue s’enfonça profondément dans ma rondelle, tandis que je saisis sa tête pour la plonger entre mes seins. Des habiles mouvements de bassin rigidifièrent encore plus son sexe. Plus j’accélérai le rythme, plus mon amant s’extasia, s’agrippant fermement à mes fesses. Son gland caressa le fond de mes intestins, me procurant un plaisir intense :

_ Tu vas me faire jouir par le cul, lui chuchotais-je coquinement dans l’oreille.

_ Je vais déjà me vider… tu es trop étroite, répondit-il.

Alors qu’il allait se décharger un nouveau, je retirai son sexe pour l’enfoncer à nouveau dans mon abricot.

Il me remplit donc encore. Une fois sa queue sortie, un filet de sperme pendit de mon minou. Mais, je m’enfonçai rapidement deux doigts pour remettre la semence au fond de moi et, au passage, me faire jouir une fois de plus.

Je restai tout le week-end avec Yannick. Il me baisa du matin au soir, m’injectant d’une quantité impressionnante de sperme pour mon plus grand plaisir.

Finalement, je rentrai chez moi dimanche en fin d’après-midi. J’ouvris le tiroir de ma table de chevet pour vérifier que j’avais bien en réserve une boîte de pilule du lendemain. Je restai pensive avant de décider de prendre une bonne douche, afin de nettoyer mon intérieur.

Je me mis à nu, une serviette autour de la taille. Mais, avant d’entrer dans la cabine, mon chéri surgit dans la salle de bain et me retint par le bras.

_ Il faut qu’on parle, viens là bébé

_ Ah, tu es déjà de rentré ? Qu’est ce qu’il y a ? dis-je, hésitante.

_ Pourquoi tu as sorti ça ? demanda-t-il en brandissant des boîtes de pilules avec mon autre main.

Je fus parcouru d’un frisson de crainte. Avait-il découvert mon infidélité ?

Mon chéri fit brusquement deux pas de côté, pour jeter les boîtes dans la poubelle.

Je m’aperçus alors qu’il ne fit pas le distinguo entre mes pilules classiques et la pilule du lendemain.

Il tenait toujours mon bras fermement et me tira jusqu’à notre lit. Puis, mon amoureux me culbuta en saisissant mes chevilles. Ma serviette tomba au sol. J’étais donc toute nue en posture de la charrue, la tête en bas posée sur le lit et les jambes en l’air. Debout face à moi, mon chéri sortit ensuite son membre et me pilonna tel un marteau piqueur, sans préliminaire. Il n’en avait pas besoin, car j’étais encore toute lubrifiée par le sperme de Yannick.

_ Est-ce que tu ne serais pas une petite trainée ?, Cria-t-il en s’acharnant sur moi.

Dans l’excitation, je concédai :

_ Je suis une petite trainée ! Punis moi, fais ce que tu veux de moi…

Après plusieurs séries des va-et-vient dans cette position, je sentis sa sève se déverser en moi. Ses couilles avaient eu le temps de bien se recharger en deux jours. Je reçus donc une bonne giclée de semence bien chaude et visqueuse qui se mélangea celle de Yannick. Lorsque mon amoureux se retira, le cocktail déborda de ma fente et s’écoula sur mon ventre et entre mes fesses.

Cela me rappela des plaisirs interdits et des idées perverses que j’avais longtemps occultées. Ce savoureux mélange me fit convulser de plaisir, me faisant lâcher des obscénités, ainsi qu’un jet de cyprine qui éclaboussa le visage de mon compagnon.

Celui-ci se délecta de mon jus, avant de me saisit par les cheveux pour me retourner et me mettre à quatre pattes, sur le bord du lit.

_ Je je vais te sauter jusqu’à ce que tu te sois en cloque ma petite trainée, me lâcha-t-il, tandis qu’il me prit en levrette.

Ces simples mots portèrent mon excitation à son comble :

_ Baise ta salope autant de fois que tu le veux !, gémissais-je de plaisir. Baise-moi, oui, baise-moi…

Mon amoureux tint parole aussi les jours suivants. Il s’accoupla avec moi nuits et jours, m’injectant des litres de foutre. Quelques semaines plus tard, je tombai enfin enceinte de mon amoureux enfin, j’espère vraiment que c’est bien lui qui m’a mise en cloque !

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire