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Une jeune épouse si innocente – Chapitre 1

Une jeune épouse si innocente - Chapitre 1



Une jeune épouse si innocente .

Innocent Wife Indeed

Coulybaca / Black Demon

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Cette histoire se suffit en elle même,

cependant elle est aussi la suite de Chantage et humilia-tion (Beauty Blackmailed & Boffed)

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Angoissée, elle fonça vers sa maison, elle voulait y arri-ver avant son mari pour se rafraîchir, elle appuya sur le champignon en jetant un oeil paniqué sur son cadran de montre.

— Oh mon Dieu… Pourvu que j’arrive rapidement à la maison pour prendre une douche rapide! … Se di-sait-elle en elle-même.

Se regardant dans le miroir de courtoisie, elle vit que son rouge à lèvres avait largement débordé, elle fouilla dans son sac pour se rendre présentable juste au cas ou Jean serait rentré au domicile avant elle.

Le cour battant la chamade, alors que son irritation montait au vu de la densité de la circulation, Carol ne pouvait s’empêcher de revenir sur les événements de ces dernières semaines.

Les photos obscènes lui revenaient en tête.

— Oh Jean.. Je t’en prie pardonne-moi… Mais je ne pouvais pas vous laisser… Ni toi ni mes parents… Voir ces immondes photos…

Les yeux pleins de larmes, reniflant de honte, Carol se sentait encore souillée par le foutre que le rival de son mari lui avait injecté dans sa foufoune embourbée.

Carol était si naïve et innocente qu’elle ne pouvait pas croire qu’on puisse être aussi vil que Rashid Akbar.

Juste trois semaines plus tôt, alors que son mari était en voyage d’affaire, Rashid avait payé un groupe d’asiatiques pour qu’ils envahissent sa maison.

Retenue captive dans sa propre maison, elle avait alors découvert que c’était le pervers concurrent de son mari qui avait dirigé la manouvre.

Sous l’oil des caméras, accroupie sur la moquette, les abjects jeunes ados s’étaient masturbés face à son vi-sage éjaculant leur foutre sur elle.

Elle avait tenté de détourner le visage, de ce fait les gi-clées de foutre blanchâtre s’étaient écrasées sur sa robe, son chemisier, son visage, son cou et ses che-veux.

C’est alors que l’immonde Rashid avait fait un pas en avant en dégrafant sa braguette extirpent sa mons-trueuse bite noire de son caleçon pour se branler sous ses yeux horrifiés.

Alors qu’un des bâtards de jeunes asiates lui tenait fer-mement la tête, le concurrent de son mari gicla à jets saccadés sur son visage grimaçant.

Ayant reçu plusieurs instantanés répugnants sur un mail de Rachid, instantanés extrait du film relatant sa souillure, Carol comprit tout de suite qu’elle ne pouvait laisser son mari et ses parents les découvrir! …

Elle s’était rendue au bureau de Rashid pour le supplier du lui rendre les photos et le clip vidéo ainsi que les co-pies qu’il aurait pu exécuter, acceptant en contrepartie à tenter de convaincre son mari de lui revendre ses affai-res.

Carol frémir de dégoût en repensant à ce qu’elle avait du faire pour dissuader Rashid d’envoyer des copies des photos et vidéo de sa déchéance à son mari et ses pa-rents! …

Elle avait des nausées en se souvenant avoir été obligée de s’agenouiller entre ses cuisses pour tout d’abord branler sa monstrueuse pine à pleine main avant de l’admettre entre ses lèvres.

Jamais elle n’avait pratiqué une chose aussi immonde, même pour faire plaisir à son bien-aimé mari! …

Pire encore elle réalisa rapidement que Rashid avait l’in-tention de se vider les couilles dans sa bouche, il lui tenait fermement la tête l’obligeant à avaler servilement la totalité de son foutre en dépit de son écourement.

N’étant pas parvenue à convaincre son mari de céder ses affaires à son rival lors de la semaine que Rashid lui avait accordé à cet effet, elle avait du le rencontrer à nouveau pour négocier un report de temps pour accom-plir sa mission.

Cette fois, en contrepartie elle dut payer un prix bien plus élevé… Beaucoup plus élevé! …

Elle avait du coucher avec l’infâme rival de son mari! … Elle avait du copuler avec lui! … Il l’avait sauvagement BAISEE! …

Alors que jamais un autre homme que son mari ne l’avait caressée intimement, voilà qu’elle rentrait chez elle l’utérus plein de l’immonde foutre de l’ignoble concurrent de son mari! …

Désespérée, elle sentait le foutre gras de son suborneur suinter de sa chatoune inondée pour tremper le fond de sa petite culotte, honteuse elle avait bien du mal à ad-mettre les réactions de son corps sous cet assaut.

— Mon Dieu… Pourquoi mon corps a-t-il répondu ainsi à ses caresses? … Pourquoi m’a-t-il trahi aussi ignominieusement? … Sanglotait-elle éperdue.

Elle tourna dans l’allée du garage s’arrêta et pressa le bouton d’ouverture de la porte du garage. Elle gémit en voyant la voiture de son époux garée à sa place.

Elle se mit à prier pour qu’il soit suffisamment occupé dans son bureau pour ne pas venir la saluer à son en-trée.

Sortant de sa voiture elle referma la porte du garage et entra chez elle en empruntant la porte de communica-tion avec la cuisine.

Elle frémit en entendant son mari la héler :

— Hello chérie…

Elle arbora un large sourire alors qu’il lui prenait tendrement les lèvres. Elle frissonna en sentant ses muscles des cuisses se crisper, éjectant une nouvelle larme de foutre de son infâme séducteur.

Elle mit fin rapidement à ces embrassades en le coupant :

— J’ai besoin de me rendre d’urgence dans la sale de bain! … Je vais prendre une bonne douche bien chaude… Je me sens sale et poisseuse de sueur…

Et de fait elle ne mentait pas vraiment elle se sentait souillée par le foutre gluant de ce bâtard de Rashid! …

Elle se déshabilla rapidement dans la salle de bain sus-pendant sa robe à la patère au dos de la porte. Elle dé-grafa ensuite son soutien-gorge, puis l’ayant enlevé, elle observa minutieusement ses nibards meurtris dans le miroir.

Remontant ses mains, elle pressa ses mamelons de ses pouces, frissonnante alors qu’elle repensait aux sensations nouvelles qu’elle avait découverte alors que l’immonde rival de son mari suçait ses tétons avec avidité.

— Oh mon Dieu… Soupira-t-elle en remarquant quel-ques suçons marbrant ses deux nichons.

Enlevant prestement sa petite culotte, elle contempla longuement l’épaisse couche de foutre en tapissant le fond.

Elle plongea nerveusement son pouce dans l’épaisse purée.

Elle frotta son pouce englué de glaire contre ses autres doigts, puis elle le porta à ses narines et en huma la forte odeur de semence virile.

Se regardant dans le miroir, Carol avala sa salive mur-murant à son image :

— Tu n’es qu’une salope! … Tu t’es fait baiser par un autre homme que ton mari cet après-midi! … Un au-tre que ton mari t’a remplie de son foutre! … Pire encore, tu as expérimenté le meilleur orgasme que tu ais eu de toute ta vie! …

Se dégoûtant profondément, elle frotta son doigt enrobé de foutre contre son menton et sa lèvre inférieure

— Tu n’es qu’un pute bon marché! … Se châtiait-elle en frottant maintenant le fond bourbeux de sa petite culotte sur son visage.

Les yeux pleins de larmes, elle regardait toujours son image dans le miroir commentant :

— T’as vraiment l’air d’une pute de bas étage… Une pute au visage couvert de foutre gras! …

Le visage bombardé par les embruns chauds de la dou-che, elle cura son visage de l’épaisse couche de foutre qu’elle venait d’y déposer, le frottant encore et encore… Puis elle nettoya ses nibards frissonnant longuement alors que ses pouces pressaient ses tendres bourgeons mammaires.

Reposant le savon sur l’étagère, Carol caressa ses courbes voluptueuses de la main droite alors que sa main gauche plongeait lentement vers sa foufoune em-brasée.

Sa chagatte était si distendue depuis tantôt qu’elle pouvait maintenant glisser aisément 2 doigts dans sa ca-verne enfiévrée.

Ayant vu la dose importante de foutre qui avait suint de sa fentine pour poisser le fond de sa culotte, Carol pen-sa qu’elle parviendrait à en expulser la plus grande part de sa grotte souillée.

Extirpant ses doigts, elle frémit en constatant à quel point cette couche de foutre qui les engluait était dense.

Elle ne pouvait que constater l’épaisseur des glaireuses traînées jaunâtres qui gagnaient lentement le syphon de sa douche.

Elle extirpait encore et encore cet immonde foutre, po-tentiellement dangereux, dont l’infâme rival de son mari avait consciencieusement tapissé son tunnel d’amour.

Elle continua longuement de regarder l’épaisse purée qui traînée après traînée s’échappait par le syphon de la douche.

Elle ne parvenait pas à croire qu’il ait pu éjaculer un tel flot de foutre dans son intimité.

Elle savait que cela ne suffirait sûrement pas à extirper la totalité du foutre menaçant de sa chagatte et que po-tentiellement elle était en grand danger de grossesse.

Carol ne pouvait s’empêcher de s’imaginer les 9 mois à venir, étendue sur le dos, cuisses grandes écartées, chevilles liées aux étriers alors que le gynécologue oeu-vrait entre ses cuisses.

Puis tandis que Jean tenait tendrement sa main, elle observait consciencieusement le visage de son mari pour constater le choc qu’il afficherait en découvrant la conséquence de cet horrible après-midi.

Finalement, après s’être frotté maladivement de façon à extirper le plus possible de semence de sa moule, Carol prépara une douche vaginale qui, espérait-elle anéanti-rait les derniers spermatozoïdes ayant résisté au curage minutieux de son utérus.

Ayant terminé de se nettoyer elle rejoignit son mari lui demandant de lui servir un martini gin bien sec, elle en avait bien besoin pour apaiser un tant soi peu la tension de ses nerfs.

Une paire de jours plus tard, elle se blottissait tout contre John qui regardait une vidéo à la télé, elle s’étendit sur le sofa, posant sa tête sur les genoux de son époux.

Elle sentait sentir la main de Jean flatter sa tête, ses doigts courtant dans sa soyeuse chevelure noir corbeau.

Son mari semblait apprécier fortement ce film dont elle n’avait aucune idée du contenu, elle se demanda alors qu’elle serait sa réaction s’il visionnait la vidéo en pos-session de son haïssable rival.

Elle se demandait comment elle parviendrait à convain-cre son époux de revendre sa compagnie, elle hésitait cependant à revenir sur ce sujet.

Ils en avaient brièvement discuté la veille, mais Jean ne semblait pas très convaincu et elle ne voulait surtout pas le brusquer en la matière.

Promenant sa main sur le short de son mari, elle ne pouvait s’empêcher de repenser à la dernière fois que son visage s’était trouvé proche d’une virilité tendue.

Elle caressa lentement la grosse bosse qui déformait son short et referma la main sur la bite tendue de son mari. Elle se rappelait le grand nombre de fois qu’il avait tenté de la persuader d’embrasser son gland turgescent avant de prendre sa mentule en bouche, elle avait toujours refusé de se livrer à des actes aussi pervers.

Elle se demandait avec curiosité qu’elle serait la réaction de son homme si elle descendait la fermeture de sa bra-guette avant de le prendre en bouche pour le sucer avec avidité, lui faisant expérimenter tout ce que Rashid lui avait appris! …

Se serrant contre son mari, elle le sentit répondre à ses caresses.

Carol savait qu’il ne s’opposerait aucunement à ce qu’elle glisse sa main dans son short pour y pêcher sa bite qui grossissait à vue d’oil, c’était un acte licencieux auquel elle ne s’était jamais livrée auparavant.

Elle observait la bite de son mari s’expandre alors qu’elle la branlait lentement, elle se pencha alors sur son ventre pour emboucher son gros champignon palpitant.

Jean Nishimoto était abasourdi, pris totalement à l’im-proviste par les initiatives de sa ravissante femme.

Elle avait le visage si proche de sa queue qu’il en ferma les yeux rêvant qu’il avait enfin convaincu sa femme de lui octroyer une fellation.

C’était un rêve que Jean ne pouvait se sortir de la tête, il se demandait toujours ce qu’il ressentirait si sa femme lui suçait la bite! … Mais elle avait une éducation si conservatrice, si "bien-pensante" qu’il savait que ce rêve resterait sûrement un vou pieux.

Un frisson de plaisir courut tout au long de son corps alors que sa douce Carol caressait sa bite palpitante.

Depuis quelques jours, Jean se demandait pourquoi son adorable femme semblait si déterminée à ce qu’il aban-donne les affaires, à ce qu’il vende sa compagnie.

Il savait qu’elle travaillait à contrecour dans la même entreprise que lui, elle avait trop souvent entendu dire que le travail en commun avait mené bien des couples au divorce!

Comme l’entreprise nécessitait de nouveaux investisse-ments et un profond changement de statuts, Jean com-mençait à penser qu’en fait, il ferait mieux de vendre la compagnie.

Peut-être bien que Carol voulait marcher de son propre pas, elle avait souvent été approchée par différents clients qui voulaient l’embaucher dans leur boite, pen-sait-il.

-Oui c’est ça! … C’est pourquoi elle semble si impatiente que je vende l’entreprise conjoncturait-il.

Sentant ses doigts se promener sur sa virilité, Jean sentait sa bite répondre à ces caresses affolantes, il priait pour que sa femme ait vraiment envie de s’amuser avec lui!

Jamais sa femme si prude et si réservée ne s’était comportée de façon aussi hardie, prête à glisser sa main dans son short pour tirer de coté son caleçon et s’empa-rer de sa bite frémissante.

C’est alors qu’elle empoigna son chibre tendu et l’extirpa de son short prête à l’emboucher avidement.

Jamais Carol ne s’était tenue le visage aussi proche de sa virilité. Il avait rêvé si souvent de voir son visage s’approcher de son pénis, il le lui avait d’ailleurs parfois suggéré.

Mais une telle requête avait toujours révulsé Carol lui répliquant vertement :

— T’es complètement fou si tu crois que je me livrerai un jour à un acte aussi répugnant! …

Il avait pas mal réfléchi sur l’avenir de sa compagnie et les problèmes que cela posait et en était venu à conclure qu’il ferait peut-être bien de la revendre.

Sachant que Carol espérait vivement qu’il cède ses af-faires il lui vint la brillante idée de susurrer à sa femme :

— Oh chérie c’est si bon… Je sais que tu veux que je revende ma société… Pour ouvrir une agence de consultation… Si tu te montres gentille avec moi… Vraiment très gentille… Tu parviendras à me convaincre de vendre! …

Excitée d’entendre son mari lui faire cette proposition, elle gloussa en sentant sa virilité s’épanouir entre ses doigts, elle savait pertinemment ce qu’il entendait obtenir d’elle.

Toutefois elle savait qu’elle ne pouvait pas se comporter avec lui comme une pute expérimentée, possédant une certaine science de la fellation.

Son infâme rival lui avait appris quelques semaines plus tôt à prodiguer une gorge profonde…

— Tu vendrais vraiment si… Si… Si je me livrais à un acte aussi pervers? … Tu… Tu sais que je n’ai ja-mais fait de choses aussi sale! … Lui mentit-elle feignant une extrême nervosité.

Empoignant la bite de son mari, elle comprit qu’elle pourrait sans problème lui prodiguer une fellation jubila-toire, sa bite ne faisait pas la moitié de la longueur et de l’épaisseur de celle de son suborneur.

Se penchant en avant elle tendit la langue et caressa furtivement le gland turgescent de son mari de la pointe, elle entendit Jean grogner son plaisir.

En fait, profondément enfouie dans son esprit, elle avait une terrible envie de comparer le fait d’avoir la bite de son mari en bouche, à son ressenti lorsque Rashid lui avait fait emboucher la sienne.

Se penchant en avant la bouche grande ouverte, elle prit en bouche le champignon palpitant de son mari, tout de go il se mit à grommeler :

— Oh… Ouiiiiiiiiiiiiiiiii… Oh ma chérie… Suce moi… Encore…

Tout en branlant sa bite elle montait et descendait la tête sur sa hampe vibrante, épatée, elle l’entendit grogner :

— Oh chérie… Mon bébé… Je jouiiiiiiiissssssssss…

Sa main s’appesantit sur sa nuque, il ne voulait pas qu’elle cesse ses délicieuses succions, elle avala tout, le foutre qu’il lui injectait en pleine bouche.

Tout au fond de son esprit, elle ne pouvait s’empêcher de comparer la pitoyable performance de son époux avec celle qu’elle avait endurée auparavant.

Sa bite mesurait à peine la moitié de celle de Rashid et la dose de foutre qu’il lui avait propulsé en pleine bouche faisait à peine le tiers de l’éjaculation que son suborneur l’avait forcée à ingurgiter.

— Oh chéri, c’était si bon… Si bon… S’exclama Jean en extirpant sa bite frémissante de la bouche de sa partenaire qui continuait à le sucer avec avidité.

Jetant un oeil sur elle il vit qu’elle le regardait un large sourire aux lèvres.

De toute sa vie il n’avait jamais espéré que sa prude jeune femme lui procura une telle fellation, exactement comme l’aurait fait une pro de la pipe! …

Jean abritait un secret au fin fond de son esprit, un de ses secrets dont jamais sa femme ne devrait entendre parler.

Lors d’un voyage d’affaires au Japon, bien qu’il aima profondément sa ravissante épouse, un de ses clients l’avait entraîné dans un bordel de la banlieue rouge de la ville.

Ayant vu une prostituée qui ressemblait à sa ravissante femme, il lui avait demandé de lui prodiguer cette fella-tion qu’il espérait tant que sa femme lui accorderait un jour.

Au cours de ce déplacement, chaque nuit, il était retour-né dans ce bordel se faisant tailler de nombreuses pipes par déférentes putes. Bien sur, chaque fois il s’imaginait que c’était sa somptueuse jeune femme qui lui accordait ce privilège.

Cette fellation qu’elle lui avait prodiguée était, et loin la meilleur qu’on lui ait accordée, les autres pipes fournies par toutes ces putes lui paraissaient bien pâles en com-paraison.

Une pensée soudaine traversa son esprit :

— Mon Dieu… Carol m’a sucée comme une véritable pro… Aurait-elle déjà sucé d’autres hommes? …

Mais il avait conclu qu’il était fou d’avoir de telles idées. Il n’y avait aucune chance que ce soit possible… C’était

inenvisageable… Elle était si pure, si innocente! … Ja-mais elle n’avait pu le tromper! …

Cela ne changeait rien au fait qu’elle lui avait administré la plus jouissive fellation qu’il ait expérimentée.

Les yeux levés vers son bien-aimé époux, Carol se pourléchait ses lèvres lustrées, elle le questionna :

— As-tu apprécié mon chéri? … Me suis-je… Me suis-je bien débrouillée? … Rappelle-toi ta promesse! … Et je recommencerai chaque fois que tu le désire-ras! …

Léchant le foutre engluant encore ses lèvres elle consta-ta que sa crème n’était ni aussi épaisse, ni aussi salée que celle de son concurrent.

Quelques jours plus tard Carol soupira de soulagement lorsque Jean lui appris qu’il acceptait l’offre de la "com-pagnie de commerce du moyen orient".

Satisfaite de la fin de cette affaire, Carol voulait recouvrir le plus rapidement les originaux et les copies de l’im-monde vidéo que détenait l’immonde rival de son mari.

Mais le fait d’ignorer si Rashid entendait mettre fin à son chantage la tracassait fortement.

Cependant elle voulait être certaine qu’elle détenait bien les originaux et les copies avant que la vente ne soit effective, bien qu’il resta toujours la possibilité que ce salopard de Rashid garde une copie en sa possession.

Encore qu’elle savait pertinemment que ce serait la seule chance de s’assurer que ni son mari, ni ses parents n’auraient connaissance de ces horribles images obscènes.

— Enfin ce cauchemar se termine! … Concluait-elle pleine d’espoir.

Il fallait que Carol rassure les employés, "La compagnie de commerce du moyen orient" comptait laisser fonc-tionner leur compagnie en parallèle de la leur, de ce fait tous les employés devaient garder leur boulot.

Seuls Jean et elle-même quitteraient le navire une fois la vente finalisée.

Une semaine après son dernier sacrifice afin d’obtenir un délai pour que son mari se prononce pour la vente de son entreprise, tôt le matin, Carol décida de consulter ses mails.

— Oh mon Dieu… Frissonna-t-elle brutalement en découvrant qu’une fois encore elle avait reçu un mail du vil concurrent de son mari.

Se rappelant les immondes mails qu’il lui avait envoyés auparavant, elle hésitait à ouvrir celui ci.

Comme elle avait encore plus peur de ne pas l’ouvrir ignorant ainsi le danger qui la menacerait, elle cliqua sur le message.

Paniquée, elle déchiffra avec horreur :

— Hello chérie… Ta protection est terminée… Aimerais-tu la renouveler? … Si oui, téléphone-moi aujourd’hui que l’on puisse négocier un nouveau dé-lai… Sinon… Tu sais ce que je vais faire de ma vidéo et des photos… A t’entendre rapidement ma petite chérie! …

Il avait joint les trois photos qui avaient accompagné son premier mail, ces premières photos qui la montraient mains liées dans le dos, couverte de foutre de la taille aux cheveux! …

Elle fit tout de suite le numéro de la"compagnie de commerce du moyen orient"

— Monsieur Akbar… S’il vous plait… Pour… Pour Ca-rol Nishimoto! … Balbutia-t-elle éperdue.

Un frisson de peur parcourut brusquement son corps, alors que la standardiste lui répondait :

— Monsieur Akbar attendait votre appel… Je vous le passe tout de suite.

Carol frémit en entendant la voix familière au bout du fil.

— C’est vous ma ravissante amie… J’ai attendu votre appel toute la matinée… Je me demandais si tu avais bien reçu mon mail…

— Mais… Mais… J’ai fait tout ce que vous vouliez… J’ai convaincu Jean de vous vendre sa compagnie… Il… Il m’a dit qu’il vous a rencontré il y a une paire de jours et vous avez réglé les conditions de la vente… Marmonnait-elle affolée.

Au bout du fil Rashid se mit à glousser, il se réjouissait d’entendre sa ravissante proie paniquer au bout du fil.

— Mais chérie… Rien n’est encore signé pour l’ins-tant… Il ne s’agit que d’une entente verbale… Et tu connais le seul engagement oral que j’apprécie vraiment, chérie… Tu comprends ce que je veux dire… Je parle du type d’accord oral que tu m’as prodigué il y a une paire de semaines…

Bouillonnant de dégoût, Carol se rappela le type d’ac-cord oral auquel Rashid se referait.

— Mon Dieu… Comment pourrai-je oublier cette horri-ble journée? … Il m’avait obligée à me prosterner à genoux… Et j’avais du le contenter… Avec ma bouche!

Frissonnait-elle encore de révulsion à ce souvenir.

Carol pausa la main sur son estomac secoué de nausées, se remémorant alors comment elle avait du avaler son foutre gras avant de le vomir ensuite dans les toilettes du restaurant.

Tôt l’après-midi même, ayant bloqué son après-midi et son début de soirée, Nerveuse, Carol se dirigeait vers les docks.

Tournant sur la jetée 11, elle vit le navire de transport af-frété par la "compagnie du commerce du moyen orient".

Elle rangea sa voiture, puis gagna la passerelle qui re-liait le bateau au terminal.

Elle s’identifia auprès du marin posté au pied de la pas-serelle, elle le vit alors vérifier sur son planning de bord avant de l’aviser :

— Vous devriez trouver monsieur Akbar à deux ponts d’ici, du coté de la cale N° 3 à l’arrière du navire.

Après moult hésitations Carol gravit la passerelle, chan-celant sur ses hauts talons blancs qu’elle portait le matin même à son bureau.

En pénétrant sur le bateau, Carol trouva tout de suite l’escalier qui lui permit de descendre deux étages plus bas.

Se dirigeant vers l’arrière du navire, elle entendit retentir toute proche la voix familière de son bourreau, a voix qui lui répondait lui sembla aussi assez familière, mais elle ne parvint pas à en identifier l’auteur.

Le claquement de ses talons sur le sol métallique avait signalé son arrivée, le visage souriant de Rashid apparut en bout d’allée alors qu’il l’accueillait fort civilement.

— Par ici ma chérie… Tu es aussi ponctuelle que d’habitude! …

Comme elle s’avançait timidement sur le seuil métallique de la cale, Carol regarda l’auteur de l’autre voix familière qu’elle n’avait pas identifié.

— Tu connais Dave, n’est ce pas ma chérie! … l’inter-rogea Rashid.

Et de fait elle connaissait Dave Mathews dont elle avait repris le département financier dans la compagnie de son mari.

Carol grinça des dents en observant l’arrogant banquier qu’elle méprisait profondément.

Même si Dave Mathews s’avérait jeune et élégant, Carol se détourna de lui, il semblait croire qu’il était un véritable cadeau aux yeux des jeunes femmes qu’il cô-toyait.

Il cherchait à la perturber, Carol lui avait soufflé son poste et il avait été obligé d’aller chercher du boulot ail-leurs.

Carol se retrouvait face à face avec l’homme qui devait ruminer sa rancune envers elle.

Elle se rappelait clairement comment il l’avait appelée à plusieurs reprises pour garder son poste de directeur fi-nancier dans la société de son mari.

Puis il avait alerté son mari, cherchant à obtenir sa réin-tégration dans ses fonctions, mais Jean l’avait alors avi-sé qu’il ne pouvait rien pour lui, il avait promis à son épouse d’avoir les mains libres en ce qui concernait le département financier si elle venait travailler avec lui.

— Madame Nishimoto… Je suis si heureux de vous rencontrer à nouveau… Je n’ai jamais eu le plaisir de vous reparler depuis… Depuis pas mal de temps… En fait depuis que vous avez pris en main le département financier de la compagnie de votre mari… Me spoliant de mon poste! … Vous ne vous êtes jamais demandé ce que je suis devenu après cette terrible épreuve… Vous m’avez presque em-pêché de retrouver un poste dans une banque… Vous rendez-vous compte de tout cela délicieuse madame Nishimoto? … La questionna-t-il un rictus aux lèvres.

— Dave est mon partenaire financier dans cette re-prise, ma chérie! … Lorsque je lui ai signalé que j’avais besoin de fonds pour acquérir la "Compa-gnie Nishimoto de vente et transport ", Dave pensa tout d’abord qu’il s’agissait d’une plaisanterie, il se figurait que jamais votre mari ne me revendrait son affaire! … Mais mon cher Dave se montra beaucoup plus intéressé lorsque je lui révélais que j’avais des appuis à l’intérieur de la compagnie… L’aide de la très sexy épouse de jean Nishimento elle-même… L’avisa Rashid hilare.

Il semblait à la malheureuse Carol que le sol se dérobait sous ses pieds en entendant le banquier lui préciser d’une voix ironique :

— Akbar m’averti que vous aviez accepté de l’aide r dans cette affaire… Et comment vous avez orale-ment scellé le marché! …

Carol avala sa salive et, paniquée fixa le ricanant Dave, réalisant que l’arrogant banquier savait pertinemment qu’elle s’était agenouillée entre les cuisses de Rashid pour sucer son énorme queue noire! …

Retenant ses larmes, Carol se sentait défaillir, ses jambes ne la supportaient plus ! …

Carle était figée par la peur alors que Rashid s’approchait d’elle l’avisant :

— Dave m’a proposé un fantastique tau d’intérêt… Mais il avait besoin d’un encouragement décisif… Ma chérie…

Rashid posa alors sa main sur ses fesses qu’il pelota rudement avant de poursuivre :

— Comprends-tu quel encouragement pourrait amener Dave à m’accorder ce tau exceptionnel qu’il ma proposé? … Pourquoi n’escorterais-tu pas Dave jusqu’à la cabine du capitaine à l’avant du cargo pour m’aider à le convaincre de tenir sa proposition! …

Frémissante de révulsion Carol réalisait ce que sous-entendait Rashid… Elle faisait l’objet de la négociation… Il la prostituait pour s’assurer le concours de ce bâtard de banquier! …

Un moment plus tard, Elle remontait l’allée menant à la cabine du capitaine, l’impudent Dave Mathews lui tenait fermement l’épaule.

De grosses larmes ruisselaient sur ses joues, Carol reniflait misérablement alors qu’il commentait ironiquement :

— L’arrogante et fidèle madame Nishimoto va payer mon exclusion de la compagnie maritale… Elle veut me dédommager en s’agenouillant à nouveau comme une pute sur ses genoux… Pour sucer ma bite comme elle a sucé la grosse mentule noire du concurrent de son mari! … Vous n’êtes qu’une pute madame Nishimoto.. N’est ce pas? … Et je vais te baiser comme la chienne que t’es au fond de ton âme! …

Arrivée dans la confortable cabine du capitaine, Carol se tenait au centre de la salle alors que son bourreau prenant un siège et lui intimait :

— Tu as entendu ce que t’as dit monsieur Akbar! … Il ne te reste plus qu’à me convaincre de l’aider! … Commence par te débarrasser de ta robe… montre-moi ton corps voluptueux petite pute! … Effeuille-toi pour moi! …

Totalement résignée, Carol tendit le bras dans son dos pour descendre le curseur de sa robe vert tendre.

Refrénant ses larmes, elle descendit sa robe sur ses hanches.

Elle grinça des dents alors que Dave Mathews commen-tait :

— Tu n’es qu’une pute de bas étage ma petite chérie! … Jean sait-il qu’il a épousé une pute? … Tu lui as bien caché ton jeu n’est ce pas sale chienne! … Quand je pense qu’il croit que sa femme est la plus douce et la plus fidèle des compagnes! … Tourne-toi vers moi salope ! …

Carol cherchait désespérément à penser à autre chose, cherchant à chasser de son esprit ce qu’elle était obligée de faire.

En sanglotant, elle laissa tomber sa robe sur la moquette, s’entortillant autour de ses chevilles.

Elle ne portait plus que son soutien-gorge de fine den-telle, sa culotte assortie et ses hauts-talons.

— Et maintenant ton retrousse tètes! … ordonna son bourreau.

Folle de honte elle dégrafa son soutien-gorge qui chut au sol tandis qu’il poursuivait :

— Et maintenant expose tes charmes les plus secrets… Ta délicieuse foufoune! …

Elle roula sa petite culotte sur ses hanches qui ne tarda pas à rejoindre sa robe encerclant ses hauts talons blancs.

Et maintenant ma chère madame Nishimoto monte ton adorable petit cul sur le lit! …

Elle se dirigea lentement vers le lit.

— A quatre pattes salope! … Lui intima-t-il autoritaire-ment.

Tête basse, figée par la honte et l’humiliation, Carol jeta un oeil sur le coté en entendant un bruit de vêtements que l’on

quitte.

Il se déshabillait promptement dans sa hâte de la rejoin-dre sur le lit.

Elle grimaça en sentant le lit s’affaisser, déjà les mains de Dave lui palpaient rudement la croupe tandis qu’il in-tervenait à nouveau :

— Salope de chienne je ne te raconte pas le plaisir que je vais prendre à te sauter! … Exactement comme la pute que tu es vraiment! …

Il caressait la tendre texture de ses fesses il ne croyait pas encore à sa bonne fortune! …

Après avoir été évincé par cette foutue salope, il avait maintenant la possibilité de faire payer son attitude à cette satanée salope! …

— S’il vous plait… Je vous en prie… Je suis désolée… Ne me faites pas ça… Je vous en prie… Le sup-pliait-elle pitoyablement.

Ses pleurs et ses lamentations ne faisaient que renforcer sa bandaison.

Agrippant ses tendres hanches, il l’empala de toutes ses forces en grognant lourdement.

— Je te baise enfin foutue salope! ….

— Nooooooooooonnnnnnn… Mon Dieu… Nooooooooonnnnnnn! … Sanglotait Carol alors que l’homme qu’elle méprisait tant, planté dans son dos, introduisait brutalement sa bite dans sa fentine.

— Ohhhhh… Ohhhhhhhhh… Ohhhh… Ohhhhhhh… Ohhhhhhh… Grognait Carol alors que Dave Mathews allait et venait allégrement dans sa foufoune maintenant correctement lubrifiée alors que son pubis venait heurter ses douces fesses à chaque coup de boutoir…

— Oh mon Dieu… Nooooonnnnn… Faites que je ne ressente rien d’autre que du dégoût! … Adjurait-elle Dieu alors qu’involontairement ses sphincters vagi-naux se crispaient sur la bite de son suborneur.

En sentant ses muscles intimes se serrer et se desserrer sur sa bite palpitante, Dave se moqua de sa ravissante jeune proie :

— T’as l’air d’aimer ça chérie! … Oh chérie tu jutes comme une salope maintenant! … Exactement comme une petite chienne en rut! …

Cependant Dave voulait qu’elle se rappelle toute sa vie de ce jour.

Rashid lui avait confié qu’il avait été le premier à glisser sa bite dans sa bouche, mais que jusqu’ici il ne l’avait pas encore enculée, Dave pensait qu’il était concevable qu’elle fut encore pucelle du trou du cul! …

Une poignée de main avec Rashid avait clôturé leur en-tente, il lui avait offert d’être le premier à casser le cul de la somptueuse petite pute en échange du taux d’intérêt exceptionnel qu’il lui offrait.

Alors que la jeune femme s’empalait maintenant d’elle-même sur sa grosse bite, Dave sourit, il savait qu’il au-rait bien vite l’occasion de se farcir son trou du cul qu’il espérait bien vierge! …

Lui flattant lascivement la croupe, il empoigna fermement ses hanches extirpant lentement sa mentule de sa chagatte accueillante.

Carol venait tout juste de s’adapter au rythme que lui imposait son bourreau, lorsque étonnée elle le sentit se retirer de sa moule embrasée, elle était juste sur le point de jouir! …

Pantelante, elle se tourna vers lui, le sentant promener son gland dans sa raie culière. C’est alors qu’il se mit à presser son gros champignon contre son anus effrayé.

— Que… Que faites-vous? … L’interrogea-t-elle frénétiquement détournant son visage à la vue de son cruel rictus.

Ses mains agrippaient fermement ses hanches, alors que son gland turgescent frappait à la porte de ses reins, elle tendit les mains empoignant la tête du lit, cherchant à échapper à son étreinte en rampant.

— Je vais te donner une bonne leçon ma petite chérie… Eructa-t-il pressant férocement son gros champignon contre son anus affolé.

— Oh mon Dieu… Non… Pas ça! … Je vous en prie… Pas ça… Je ne l’ai jamais fait… Sanglotait-elle éperdue.

Dave sourit à cette confirmation, il savait maintenant qu’il serait le premier à casser le cul de cette somp-tueuse salope.

Il raffermit sa prise sur ses hanches, sa bite était prête, en grognant sourdement il donna un féroce coup de rein.

— Allons y chérie! …

— Aieeeeeeeeeeeee… Arretez… Arrêtezzzzzzzzzz… Hurlait-elle desespérée.

Ses plaintes réjouissaient grandement Dave… Se plan-tant dans son anus virginal, il rit de ses lamentations iro-nisant grassement :

— Tu n’es qu’une sale petite chienne en chaleur, sa-lope! … Je vais t’enculer pour te remercier de m’avoir chassé de mon poste de directeur! … Qui est-ce qui, en dédommagement, va se faire enculer maintenant? …

— Owwwwwww… Owwwwww… Arrêtez… Je vous en prie arrêtez… a fait malllllllllll… Sanglotait Carol affolée.

— Oh mon Dieu… Mon Dieu… Je ne pourrai pas en supporter plus! … Oh mon Dieu… Faites moi mourir… Priait-elle, jamais elle n’avait enduré d’expérience aussi douloureuse.

En entendant rire cet homme qui la sodomisait sauva-gement, elle comprit qu’elle ne devait attendre aucune pitié de sa part, il ferait en sorte d’accroître encore sa douleur et son humiliation! …

— Oh mon Dieu.. Comment peut-on être assez pervers pour se livrer à des actes aussi dégoûtants… Se demandait-elle horrifiée.

— Ma chérie, t’es si étroite… Foutrement étroite… T’as vraiment un succulent petit cul madame Nishimoto! … Se gargarisait-il en lui défonçant la rondelle.

— Si doux et si chaud… Bordel j’en crois pas ma bite! … Dire que te dépucelle le trou du cul! … S’esclaffait-il hilare.

Coulissant sauvagement dans son intestin rétif, le lit grinçant sous les virils assauts, Dave sentait sa mentule vibrer follement. Il se mit à grogner :

— Oh chérieeeeeeeeeeeeeee… Oh ouiiiiiiiiiiiiii… Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii… Je vais me vider dans ton délicieux petit cul! …

Figée par la douleur, Carol demeura à quatre pattes sur le lit, frémissante de douleur alors que Dave Mathews extirpait sa bite souillée de son trou du cul meurtri.

Elle frissonnait d’humiliation, il lui tapotait la croupe tout en ricanant :

— Et maintenant tu vas pouvoir ramener ton petit cul si fidèle à ton bien-aimé salope! … Tu pourras lui dire que tu as aidé à la vente en offrant tes fesses aux investisseurs…

Le corps de Carol était secoué de spasmes de douleur émanant de son fondement ravagé.

La douleur était intense, de plus sentir un flot de foutre gras suinter de son anus endolori pour s’étaler sur ses fesses était vraiment insupportable.

— Te voilà avec un trou du cul tout neuf ma salope! Ricana encore son suborneur ravi.

— Au revoir ma chérie… Je rentre à la banque finali-ser les prêt consenti à monsieur Akbar! … Cela va me rapporter un sacré bonus, mais pas aussi suc-culent que celui que tu viens de m’offrir! … Gloussa-t-il railleusement.

— Que se passe-t-il madame Nishimoto… T’es tétani-sée… Tu ne peux plus bouger un cil! … Ton petit trou du cul te brûle après le sort que je lui ai fait subir? … Se moqua-t-il ironiquement.

Puis il fit le tour du lit yeux braqués sur la ravissante jeune femme sanglotant de honte et de douleur dont le visage se trouvait à peine à quelques centimètres de sa taille.

Sa bite raidit de nouveau à la penséehumilier une fois de plus la fière jeune femme qui fustigeait ses sens.

Il lui saisit sa noire chevelure à deux mains en gloussant :

— Tu vas me nettoyer la bite salope, avant que j’enfile mon calecif! … Après tout ce ne sont que les dernières traces de ton pucelage anal! …

Carol était à nouveau au bord des larmes tant il lui faisait mal en lui tirant les cheveux.

Dès qu’elle ouvrit la bouche pour se plaindre, il enfouit sa grosse mentule dans sa bouche.

Elle frissonna de toutes ses fibres en sentant la puanteur de cette bite honnie et son goût révulsant! …

— Allez salope… Grouille-toi de nettoyer minutieusement mon chibre! … Lui ordonna l’ar-rogant banquier alors qu’il grognait de plaisir en la baisant en bouche.

— Oh oui, ma chérie… Oh, oui… Ohhhh… Oh, oui… Lèche encore ma bite… Cajole-moi…

— Lèche-moi!… Ahhhhhhh, oui… Comme ça… C’est excellent!… Lèche encore ma bite ma chérie… Gémissait Dave fou de plaisir alors que sa pauvre proie se démenait de son mieux sa bite en pleine gorge.

C’était l’ultime humiliation qu’il pouvait infliger à cette sa-lope qui lui avait ravi son poste! …

Il coulissait de plus en plus furieusement entre ses lè-vres gonflées, enfonçant sa bite frémissante de quelques centimètres dans son arrière-gorge.

L’estomac soulevé de nausées alors que la révulsante bite coulissait dans sa bouche, Carol priait pour sortir de ce cauchemar, pour qu’on arrête de lui faire subir de tel-les violences.

— Oh mon Dieu… Sucer Rashid était une chose… Mais cet immonde salopard m’oblige à sucer sa bite alors qu’il vient tout juste de me sodomiser! … Bâ-tard… Ce que j’aimerai mordre sa répugnante bite puante, la déchirer et la balancer par le hublot! … Pensait-elle haineusement.

Mais ce n’était qu’un voux pieux, elle savait qu’elle ne pouvait pas se le permettre, sa vengeance serait terrible. Elle était entièrement à la merci de ce pervers, elle se remit à cajoler sa bite de façon à en finir au plus vite.

Dave frissonna de plaisir en la sentant reprendre ses succulentes sucions, il était au bord de l’explosion.

— Oh ma chérie… Mon petit cour… Tes lèvres sont si douces… Ahhhhhhhhhh… Oh oui comme ça… Lèche-moi encore… Oh ouiiiiiiiiiii… Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… Je vais jouir… Je jouis… Avale mon foutre… Avale tout mon foutre… Ahh-hhhhhhhhhh… Oh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… Grognait-il éper-du de plaisir.

Il tenait fermement sa ravissante proie par ses longs cheveux soyeux noirs, Dave était conscient de ses re-gards suppliants, elle essayait de tordre son cou en tous sens pour déloger la bite qui vomissait son foutre gluant dans sa bouche révoltée.

Dave se réjouissait de la voir se débattre mais il la tenait fermement l’obligeant à avaler sa semence sa bouche en étant remplie à ras bord.

Il la vit soudain étouffer, ses yeux roulèrent dans ses orbites, elle suffoquait.

Il rit à pleins poumons alors que la somptueuse salope palissait à vue d’oil.

Extirpant son gros chibre de sa bouche gonflée, il rit à gorge déployée alors que la jeune femme empoignait son estomac à deux mains secouée d’immondes nau-sées, ses lèvres s’entrouvrirent alors qu’un flot de sperme gluant jaillissait de sa bouche s’étalant sur son menton.

Révoltée par cet acte barbare qu’elle avait subi, elle sentait son estomac se retourner.

Elle se pencha sur le rebord du lit sur le point de vomir tripes et boyaux.

Elle allait souiller le sol de la cabine du capitaine du navire, heureusement son bourreau attrapa la poubelle et la plaça sous sa tête.

Finalement une fois son estomac soulagé, elle se laissa tomber sur le confortable matelas, reniflant pitoyable-ment toute honte bue.

Son bourreau avait fini de s’habiller et quittait la cabine riant à pleine gorge.

C’est alors qu’elle entendit la porte de la cabine s’ouvrir à nouveau, elle jeta un oeil anxieux et vit Rashid qui souriait railleusement en se moquant :

— J’ai entendu que tu as fini par conclure un accord oral avec Dave… Tu utilises vraiment tous tes charmes pour subjuguer tes interlocuteurs… Prête à écarter à nouveau tes cuisses en grand? …

Elle n’avait tiré aucun plaisir, aucune satisfaction de sa copulation forcée avec Dave Mathews, elle ne pouvait cependant empêcher les muscles de ses cuisses de se crisper à l’idée d’accueillir la grosse bite noire de Rashid dans sa foufoune impatiente.

Mais Rashid ne se déshabillait pas pour la rejoindre sur le lit, Elle se retrouva entièrement nue entraînée le long de l’allée par son maître chanteur qui lui tenait l’épaule.

— S’il vous plait Rashid… dites-moi où nous allons… Je vous en prie… Laissez moi enfiler une robe… Tout le monde… Tout le monde peut me voir entiè-rement nue… Le suppliait-elle affolée.

Comme ils approchaient de la cale à l’autre bout du navire, elle entendit retentir la voix de quelques matelots.

Alors que Rashid s’avançait la poussant devant lui dans le large hall, Carol tentait de dissimuler ses charmes de ses mains et de ses bras sous l’oil captivé de six asiati-ques qui reluquaient ses charmes dénudés.

Les tenues de ces hommes étaient répugnantes, couvertes de saletés et de poussière à force de travailler dans la cale.

La sueur dégoulinait le long de leurs corps à force de travailler dans cet atmosphère surchauffé.

Rashid s’exclama

— C’est le moment de faire une pause les gars! … Je vous ai amené une petite récompense pour récompenser votre travail de la semaine dernière…

L’un des hommes, apparemment le contremaître donna ses ordres, sous sa direction ses hommes étalèrent une épaisse couverture verte sur le sol de la cale.

Cherchant toujours à dissimuler de son mieux ses char-mes elle vit le contremaître donner un nouvel ordre, ils commencèrent tous à se foutre à poil.

Puis le grimaçant contremaître lui empoigna le poignet et l’entraîna vers la couverture étendue au sol.

Comme les spectateurs enthousiastes applaudissaient et sifflaient elle se retrouva étendue à plat dos sur la couverture.

Elle ne pouvait rien faire d’autre que fermer les yeux., alors que le contremaître empoignait ses cuisses les ou-vrant en grand.

— Oh mon Dieu… Ohhhhhhhhhh… Ohh-hhhhhhhhhhh… Frémit-elle alors qu’il enfouissait son visage entre ses cuisses.

— Oh mon Dieu… Mon Dieu… Oh Doux Jésuuuuuuuuuuuuuuuuusssssssss… s’écriait Carol alors que l’Asiate parcourait sa fente d’une langue agile.

Quelques instants plus tard, alors que le contremaître lui bouffait toujours le gazon, elle le sentit changer de position.

une colonne de chair bien raide heurta alors ses lèvres.

Quelques secondes encore et elle se mit à sucer la bite de l’homme qui lui bouffait si délicieusement la chatte.

Les spectateurs applaudirent à la vue de leur chef chercher à s’installer en position de 69.

Soudain Carol le sentit tourner sur lui-même et quelques secondes plus tard elle se retrouvait allongée sur lui pour un très classique 69, elle suçait avidement la bite de cet homme qui dégust

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