Je m’appelle Dominique, ce que je vais vous raconter s’est passé durant mon adolescence. Je vivais seul avec ma mère, femme divorcée la quarantaine bien entamée, petite 1m60 pour 58 kg, stricte dans ses tenues vestimentaires et très soucieuse du quand dira-t-on. Elle possédait un magasin de lingerie et une mercerie dans une petite ville du nord de la France. A l’époque ma sexualité était naissante, je découvrais le sexe et je fantasmais sur ma mère. Quelque chose m’intriguait, je ne voyais jamais ma mère avec un homme et elle ne recherchait pas spécialement leur présence.
Le magasin se trouvait à quelques kilomètres de la maison. Quand ma mère s’y trouvait, j’étais seul à la maison, je pouvais me promener nu et me masturber sans crainte d’être surpris. Bien sûr la chambre de ma mère était un lieu privilégié où je pouvais y découvrir toute sa garde robe et surtout sa lingerie. La matière de ses dessous me procurait d’agréables sensations sur ma peau et j’aimais les porter, par chance j’avais la même corpulence que ma mère et tout m’allait à merveille. J’enfilais des bas nylons marrons foncés avec un porte-jarretelles noir, une petite culotte et un soutien-gorge assorti. je terminais par une robe moulante et une paire d’escarpin à talons aiguilles. Ainsi vêtu je déambulais dans la maison en toute liberté. Je fouillais dans la panière à linge à la recherche de culottes déjà portées pour y découvrir les odeurs intimes maternelles. L’effet était immédiat, je jouissais sans pouvoir me contrôler en maculant le carrelage de la salle de bain.
Ensuite je prenais soin de bien nettoyer afin de ne pas être découvert.
Dans la chambre de ma mère il y avait une armoire fermée à clef et cela m’intriguait: que pouvait-elle renfermer d’important ? Je cherchais la clef pouvant ouvrir celle-ci, mais rien n’y faisait et pourtant je m’appliquais à fouiller partout, peut-être gardait-elle la clef sur elle. Il me fallait absolument ouvrir cette armoire. J’avais dans ma chambre une armoire dont la serrure était ressemblante, j’entrepris d’essayer la clef, et par chance celle-ci fonctionna. Qu’elle ne fût pas ma surprise d’y découvrir de la lingerie et des accessoires un peu particuliers, des robes et des jupes extra courtes, des soutien-gorge ouverts, des redresses seins, des porte-jarretelles, des bas noirs, des bas résilles, des slips ouverts et des slips avec un petit sexe à l’intérieur, des godes de différentes tailles, un martinet, une cravache, des pinces à seins avec des poids et des plugs de différentes tailles. Ma mère cachait bien son jeu, aucun doute elle aimait le sexe.
Au fil des jours je portais ce que j’avais découvert dans cette armoire et j’ utilisais certains accessoires.
Je caressais sur mon anus avec mes doigts et très vite un gode de petite taille y trouvait sa place. Quel bonheur, je découvrais la sodomie, le plaisir d’être pénétré par un sexe. Je le faisais entrer et sortir doucement, avant de le glisser tout entier dans mon anus. Je ressentais les premières sensations d’une pénétration anale. Mon sexe était devenu dur et douloureux et sans le toucher je jouissais intensément sans aucun pouvoir me contrôler. Très rapidement je m’habituais au plaisir que procurait la sodomie, je pratiquais je ne sais combien de fois par semaine et progressivement je passais à un gode de traille supérieure. Il m’arrivait d’en prendre un avec moi le soir dans mon lit. Je ne pensais qu’à me donner du plaisir. Puis un matin avant qu’elle ne parte pour son magasin j’aperçus dans son sac un petit sachet contenant un objet. Intrigué je regardais discrètement pour y découvrir un gode de belle taille, et à partir de ce moment je regardais régulièrement dans son sac.
Je ne fus pas étonner de constater qu’elle en prenait parfois plusieurs.
Je l’imaginais dans la réserve de son magasin en train de se donner du plaisir.
Je portais régulièrement une nuisette et un string pour dormir, bien sûr un gode venait aussi me satisfaire. Mais un soir trop occupé à me donner du plaisir je n’ai pas entendu ma mère entrer dans ma chambre. Là je fus surpris en lingerie, les fesses écartées avec un gode et le sexe bien raide. Ma mère ne sût quoi dire, elle resta droite et immobile en chemise de nuit, le regard figé sur mon phallus. J’essayais tant bien que mal de me cacher avec le drap, ma mère sortit de ma chambre sans pouvoir me dire quoique ce soit. Je cessais de suite mes caresses pour passer un pyjama avant de descendre au salon la retrouver. Je m’attendais à devoir donner une explication à tout cela et surtout recevoir une sérieuse punition. Arrivé au salon elle commença les hostilités, elle me demanda d’un ton autoritaire où j’avais trouvé ce gode. Elle connaissait sûrement la réponse mais elle voulait l’entendre de ma bouche. Je lui avouais que je l’avais trouvé dans l’ armoire fermée à clef dans sa chambre.
Elle bégaya quelques mots incompréhensibles tout en rougissant avant de m’administrer une paire de gifles. Elle saisit un martinet et me corrigea énergiquement, d’abord avec mon pyjama et ensuite sans. Mon fessier est devenu très vite rouge et les lanières laissaient des profondes traces. Je ressentais chaque coup porté elle stoppa avec le martinet pour m’administrer une fessée laissant ainsi d’autres marques. Je ne m’attendais pas à une telle correction de sa part, mais je savais que je la méritais. Cette punition aurait dû calmer mes ardeurs mais bizarrement l’effet en fût tout autre. J’avais une érection très forte et mon gland semblait prêt à exploser. J’essayais de cacher mon état à ma mère, hélas sans succès. Elle cessait la fessée, me demandait de me retourner. Je m’exécutais présentant ainsi aux yeux de ma génitrice un sexe en pleine érection. A mon étonnement elle saisit sa mon chibre d’une main ferme et le serrait fortement.
L’extrême excitation et la chaleur de cette main déclenchaient une éjaculation.
Les jets de sperme arrosèrent sa chemise de nuit à hauteur de sa poitrine. Elle s’agenouilla pour l’engloutir dans sa bouche et avaler le reste de mon jus. Elle se releva et m’ordonna d’aller me doucher. Elle me suivit dans la salle de bain et se glissa avec moi sous la douche. Elle me demanda de la savonner, je m’exécutais en commençant par le dos. Ma mère semblait apprécier mon initiative, elle se retournait et offrait à ma vue sa belle poitrine, deux énormes seins avec des tétons énormes. Je m’occupais de ces deux globes lorsque je sentis sa main sur mon sexe de nouveau en érection. Elle me masturbait doucement pendant que je passais l’éponge sur ses épaules et sa poitrine. Sentant l’éjaculation proche elle cessa les caresses. Nous terminions notre douche rapidement pour nous rendre vers sa chambre. Elle m’allongea sur le lit, approcha sa bouche de mon sexe me titilla le gland. Jamais je n’aurai imaginé une telle situation, connaissant ma mère avec son côté sérieux et autoritaire.
Ce que je voyais c’était une femme qui avait envie de sexe et non plus d’un accessoire. Je n’avais d’autre choix que de me laisser faire par cette femme en manque de sexe. Elle vint se mettre au-dessus de moi, ma figure se trouvait sous son sexe épilé et luisant de cyprine. Je sentais mon sexe enveloppé de chaleur et d’humidité, ma mère dévorait ma queue avec détermination. Son sexe me faisait envie, je posais timidement mes lèvres dessus avant d’y glisser ma langue. Maman aima beaucoup et ondula langoureusement son bassin. Je me délectais de ce jus qui coulait en un flot ininterrompu sur mon visage. Ma mère m’expliqua par la suite qu’elle fait partie de ces femmes dont la jouissance est extrême et que l’on appelle femme fontaine. Le sexe de maman sur mon visage m’obligeait à avaler cette cyprine. Pendant ce temps elle s’occupait de mon sexe avec délicatesse pour ne pas me faire jouir.
Elle changea de position pour venir se mettre à califourchon au-dessus de moi et s’empaler sur ma queue.
Son visage trahissait son envie de sexe, elle saisissait mes mains pour les poser sur sa poitrine et me demanda de lui pincer très fort ses bouts de seins. Ils étaient devenus très durs, je les faisais rouler entre mes doigts avant de les pincer. Elle cambrait sa poitrine en me chevauchant énergiquement. Elle se laissait retomber sur mon sexe qui butait au fond de son vagin. Dans un râle elle jouissait, du jus coulait le long de mon sexe en un flot ininterrompu. A mon tour je jouissais et elle s’immobilisa sur ma queue bien plantée dans son ventre. Mes mains serraient fortement ses seins pendant que je la remplissais de ma semence. Elle exprimait cette jouissance par des cris et me suppliait de la pénétrer encore et encore. Le poids de son corps sur mon sexe maintenait mon érection, elle ondulait doucement son bassin pour prolonger son plaisir. Je vivais quelque chose d’extraordinaire, un rêve tout éveillé.
Après ce rapport intense ma mère s’allongea prés de moi et nous sommes endormis tout naturellement.
A bientôt …