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Une méchante de rêve – Chapitre 1

Une méchante de rêve - Chapitre 1



I

Résumé : Il y a des rêves qui se mêlent de la chair comme dautres voisinent le chaos, ainsi à peine la narratrice sest-elle laissée gagner par le sommeil que lui vient un rêve familier où elle retrouve en permanence sa voisine dans un rôle récurrent qui lui sied à merveille comme labsence de vêtements sied à la nudité de son postérieur

Ma voisine use depuis longtemps de ses charmes pour draguer mon mari et pour ce faire elle néconomise ni ses mini-jupes ni ses poses lascives quelle lui propose tantôt assise jamais passive. Il y a quelques nuits jai fait un rêve qui la mettait en scène comme au sein dun film où lui serait attribué le mauvais rôle. Jétais linspectrice et elle la coupable que je devais confondre et arrêter. Marie-Claude, puisque tel est son nom refusait de mavouer son crime et devant son silence je vins à la déculotter et bientôt à la fesser. Son beau gros cul rose rougit sous leffet de ma main qui nhésitait pas à poser sa hargne sur son beau fessier glabre et offert. Mon mari entra dans mon rêve comme par effraction et me proposa de nous y mettre à deux. Tandis que je memparais dune brosse à cheveux, il acheva de la déshabiller et dégrafa ses beaux cheveux châtain foncés. La garce, elle y prenait du plaisir. Au fur et à mesure que la fessée prenait de lampleur, il y avait dans sa voix plus de jouissance que de cris. Elle ne fut pas longue à nous avouer ses crimes et profitant de ce que mon époux membrassait, elle se sauva en courant et sinstalla debout nue dans un hors bord quelle sempressa de faire démarrer. Le postérieur bien en évidence et nu de Marie-Claude portait encore les marques rouges déposées par ma main qui avait su rester toutefois très peu lourde. Elle fuyait nue, et nous on ne voyait que son cul imperceptiblement stigmatisé. Très vite la police la prit en chasse et une course poursuite sentama. Nous la regardions fuir tandis que nous faisions gentiment lamour. La poursuite se termina comme dans tout bon policier quand un rocher vint barrer sa fuite. Marie-Claude ne put contenir un cri dhorreur et ses forts jolies fesses se soudèrent sous leffet de leffroi comme dans une ultime grimace de la peau avant que son hors-bord naille embrasser les récifs et que lensemble nexplose dans un brouhaha à peine descriptible. Lexplosion du hors-bord de Marie-Claude coïncida avec mon réveil. La nuit cependant battait encore son plein et quand je me rendormais ce fut pour retrouver Marie-Claude une fois encore presque nue, mais cette fois non plus seule. Elle était nue en train de se faire baiser dans un chalet de montagne cintré par un hiver rude et cerné bien entendu de neige. Le rêve aurait pu se titrer soit « Duel en montagne » soit « Partouze au chalet. A mesure que le rêve avançait, lhistoire prenait une épaisseur inattendue : quant à Marie-Claude elle ne ratait pas une occasion de montrer son beau derrière. Il sagissait de découvrir une meurtrière récidiviste qui sétait réfugiée dans un club de vacances en montagne, se faisant passer pour une touriste à qui elle avait emprunté lidentité non sans lavoir tuée au préalable. Le rôle collait à Marie-Claude comme le jeans à ses fesses. A la fin tandis quun des inspecteurs intégrés sacharnait à la faire mouiller, un objet tomba de son sac de qui signa sa culpabilité. Marie-Claude tenta alors de senfuir à ski et une poursuite danthologie commença. Voir Marie-Claude nue sur ses skis et surtout le rose de son corps aux formes alléchantes épouser le blanc du décor tandis que ses fesses bandantes soulignent le mouvement du terrain, mexcita la chatte comme jamais auparavant. Le rêve finit de la manière attendue : Marie-Claude aveuglée par le franc soleil réfléchi par la neige ne vit pas ou trop tard quelle se dirigeait droit vers un précipice et elle tomba du haut de la falaise dans un grand cri. Si la poursuite avait été danthologie la chute de Marie-Claude dans le précipice méritait-elle aussi des éloges. Inutile de vous dire que depuis ce rêve le regard que je porte à ma voisine et à son postérieur est tout différent. Et quoiquon dise de ma jalousie, je me dis que Marie-Claude naurait pas démérité de recevoir une belle fessée.

II

Résumé : Pour la seconde fois, « emportée par les eaux roses du songe », la narratrice retrouve Marie-Claude dont elle aime avant tout le cul et la manière quelle a de jouer les mauvaises. Et si Marie-Claude savère la mauvaise idéale, Florence nest pas loin ici de légaler

Cette fois encore je mendormais prise par mon rêve comme emmenée par un courant irrépressible vers les eaux roses du songe. Celui-ci souvrit comme une porte donnant sur de merveilleux paysages mêlant lambroisie des images aux élans souvent confus de la chair. Je ne me connaissais quun rêve et cétait celui où jétais inspectrice de police. Il me plaisait ardemment de me lancer à la poursuite des criminelles sans avoir à supporter les risques aigus dune véritable enquête. Si la trame de mon rêve demeurait plus ou moins à chaque fois identique, les personnages quant à eux variaient parfois avec cette restriction néanmoins quil y avait toujours une place de choix pour ma voisine, Marie-Claude, qui sincrustait à jouer les mauvaises parfois aidée de complices. Cette fois Marie-Claude mavait attachée et sapprêtait à ma mort. Jappréhendais la douleur comme lenfant son premier jour décole. Jétais couverte de liens tandis quelle était nue avec des bas noirs. Quelquun entra que je ne reconnus pas au premier abord mais il sagissait dune femme aux longs cheveux noirs, tout en cul et nichons. Son visage à la fois tragique et perverse disait la beauté comme un tableau de Klimt. Elle portait des lunettes et semblait dorigine Italienne. Alors que je me remémorais les moindre traits de son visage et que jy associais ses allures de none son nom me revint : Florence. Elle avait emprisonné un garçon que je nommerai linconnu à défaut den connaître le nom ni même de lavoir déjà vu précédemment dans quelque rêve indécent. Tandis que Marie-Claude soccupait de mon plaisir, Florence sétait déshabillée, offrant son superbe cul charnu à la vue de tous : elle soccupait de linconnu dont le sexe avait pris des proportions inquiétantes. Elle commença à le sucer, lentement ; si lentement quil ne contenait quavec peine sa jouissance. Finalement son sexe éclata dans un jet de sperme qui alla tapisser les verres des lunettes de Florence. Marie-Claude pendant ce temps sétait éloignée de moi et approchée de Florence. Les deux femmes sembrassèrent. Marie-Claude acheva de se déshabiller, ses seins étaient lourds et tendus, et ses fesses abondantes avaient le rose aux joues. Dès que nues, les deux femmes senchevêtrèrent lune dans lautre comme les éléments dun même puzzle et tandis que leurs chattes saccolèrent et bientôt se frottèrent un pressentiment de plaisir semblait planer dans lair. Le tableau ainsi posé rendait à latmosphère ce quelque chose de sardanapalesques qui profite au grand uvre du sexe. Nergotant sur aucune caresse et portées par le pesant délire de leurs sens, les deux jeunes femmes sentaient lentement monter en elles une transe qui se remarquait par le frétillement exagéré de leurs orteils. Marie-Claude fut la première à jouir, mélangeant les interjections aux onomatopées, accompagnée en cela très vite par Florence qui lança un bras en lair comme chassant des mouches illusoires à linstant même où leur voix senvolait dans un râle commun de jouissance. De leur anatomie, il ne devait rester bientôt que cette ruine que lon appelle sueur et la luxure transpirait de tous leurs pores. Le scénario avait pris corps en accumulant les cadavres et les deux femmes formaient un duo sardonique des plus saisissant. Cest alors quune voiture de police fit irruption dans mon rêve. Marie-Claude prit peur. Nue comme un ver, les fesses à lair, elle monta dans sa voiture et démarra rageusement, bien décidée à ne pas se faire arrêter. A la liste de ses forfaits sajoutait maintenant celui dattentat à la pudeur. Tandis quelle roulait rapidement sur les chemins escarpés, à poil au volant de sa BMW, frôlant à chaque virage le bord du gouffre, son regard se perdait dans le rétroviseur où commençait à apparaître une voiture de police. Ses seins prirent un volume de moins en moins lâche jusquà bientôt se tendre sous leffet de lexcitation impromptue imposée par sa nudité. Elle enfonça alors lourdement son pied ganté de noir sur laccélérateur en sécriant :" Vous ne maurez pas sales flics ! Vous n’aurez pas Marie-Claude toute nue ". Cette accélération lui fut fatale. Le virage qui arrivait sur elle était plus serré quelle ne lavait dabord imaginé et cest en vain quelle tenta déchapper au gouffre qui lui tendait désormais les bras. Elle hurla: " NON ! PAS CA ! " Puis barrant son visage de ses mains elle ne put réprimer un " AAAAAAAAAAH ! " de circonstance, avant de disparaître avec sa voiture dans le précipice où cette dernière après sêtre disloquée sur les parois rocheuses explosa, lemportant nue dans la mort. Pendant ce temps je métais rendue maître de Florence et je la fessais A peine celle-ci mavait-elle avouée sa participation aux crimes de Marie-Claude que linconnu sapprocha de moi. Alors quil commençait à me pénétrer je mavisais un peu plus des traits de son visage et reconnu mon mari. Florence profita du cumule de nos émois pour senfuir vers la plage. Très étrange que de voir cette femme, dont on aurait dit longtemps le tissu cousu à la peau, fuir ainsi totalement nue, ses superbes fesses marquant de leurs plis le rythme de sa course. La jeune italienne était-elle à ce point myope que ses lunettes nétaient plus à même de contrevenir son handicap visuel ? Toujours est-il que sans doute hâtée par sa fuite elle ne vit pas le panneau signalant la présence de sables mouvants et elle sy enfonça lentement tandis que je continuais à menfoncer un peu plus loin dans la jouissance. Mes cris avaient pris la mesure de chaque syllabe et accompagnaient les cris deffroi de Florence qui voyait arriver sa perte. La malheureuse jeune fille disparu finalement corps et bien, aspirée nue par le sol glouton comme empruntant une voie directe vers lenfer. Un sentiment de justice épousa le rêve et je me réveillais aussi doucement que je métais endormie.

III

Résumé : Pas un rêve sans y trouver Marie-Claude et sans quelle y soit nue et pervertie ou offrant ses fesses nues au soleil qui en rougit de plaisir.

Pas un rêve sans y trouver Marie-Claude et sans quelle y soit nue et pervertie. Cette fois contrairement aux autres je ny étais pas présente et avais limpression dassister à la projection dun film plus encore quà létablissement dun rêve. Marie-Claude occupait une fort grande villa où elle aimait se bronzer les fesses au bord de sa piscine. Ses fesses et ses seins possédaient la blancheur dun lait rose alors que le reste de son corps sétait déjà acclimaté au soleil. Elle venait de se débarrasser dun maître chanteur qui menaçait dattenter à sa carrière dactrice en faisant des révélations sur son passé pornographique : quelques vidéos et autres revues étant en sa possession. Marie-Claude croyait avoir tout détruit, la mort du maître chanteur achevait déteindre son passé. Ce quelle ignorait cest que le ce dernier avait fait envoyé à la police une copie de ces vidéos ainsi que quelques revues à nouvrir quen cas de soudain malheur. Sur une de ces cassettes on pouvait la voir nue en train de se faire enculer dun côté et suçant une bite de lautre ; dans les revues on la retrouvait se masturbant ou attachée à une table sous lemprise de mâles en chaleur. Quant linspecteur vit Marie-Claude, elle était nue. Il lui demanda de se vêtir et de laccompagner au poste où elle serait interrogée et sans doute inculpée de meurtre. Marie-Claude plutôt que de se laisser arrêter imagina de senfuir, ce quelle fit demeurant nue. Ses grosses fesses roses pâle frappaient lair tout en marquant le mouvement de sa course. Linspecteur quant à lui ne put sempêcher de bander rien qu’à la vue de ce beau gros cul rose qui tendait de s’extraire de sa vue par la fuite. Marie-Claude crut bon de théâtraliser son départ et cria aux policiers ébahis «VOUS NE MAUREZ PAS LE POSTERIEUR À LAIR, FOI DE MARIE-CLAUDE !!! » Jouxtant la villa il y avait un carré dherbe où reposait depuis peu un hélicoptère flambant neuf. Marie-Claude savait évidemment le piloter. Elle sy installa toute nue et mit les rotors en route avant de sélever lentement dans les airs. Linspecteur, qui tant bien que mal lavait suivie, eut juste le temps de sagripper à lun des patins. Marie-Claude passa au-dessus dun jardin denfant où lun dentre eux montrant lhélicoptère du doigt demanda à sa maîtresse dun air indigné : « Cest qui la madame toute nue dans lhélicoptère !» Elle passa ensuite au-dessus du marché et leva plus de bites en une fois que tous ses films réunis. Marie-Claude, qui projetait de gagner la frontière en passant par les montagnes, saperçu soudainement de la présence de linspecteur et commença à faire toutes sortes de grimaces aériennes dans le but évident de le faire chuter. « Tu vas aller técraser sur le sol comme une merde » dit-elle, du sarcasme plein la voix, à Linspecteur qui commençait à se dire que cette fille navait décidément pour elle que sa plastique. Tout ce cinéma finit par effrayer une colonie doiseaux qui dans la panique se ruèrent comme des égarés sur les pales du rotor. « MON DIEU ! », sécria Marie-Claude qui dès ce moment ne se soucia plus de Linspecteur, trop occupée quelle était à récupérer les fantaisies de son appareil qui perdait de plus en plus daltitude. Les aah répétés de la jeune femme signalèrent à Linspecteur lapproche dun danger. En effet une falaise tel un rempart infranchissable commençait à se dresser face à lhélico. Linspecteur estima que linstant était- le dernier quil lui restait sil voulait encore avoir la vie sauve – de faire ses adieux à Marie-Claude : il profita dune branche qui arrivait sur lui comme une main secourable, et laissa la jeune femme affronter seule un destin qui ressemblait fort à un châtiment. La suite se passa du moindre commentaire. Linspecteur put tout voir de son arbre. Jusquau bout Marie-Claude tenta dinfluer sur le cour de son destin ; mais sa mort avait décidément pris les traits de pierres dune falaise. Au plus elle se rapprochait de linstant fatidique, au plus lexergue semblait se poser sur la nudité de son corps, un corps taillé dans le rose du désir, un corps aux seins fermes et aux fesses généreusement rebondies quoiquun peu lâches, un corps que linspecteur du haut de son arbre ne pensait pas encore à regretter. Finalement le moment vint de limpact et Marie-Claude, dont le visage se marqua soudainement dun spasme de terreur, ne put contenir un : « NON N… AAAAAH ! », tandis quelle lançait ses mains face à elle comme si elle eût voulu se protéger de la violence du choc. Sen suivit alors une explosion importante qui déchira lappareil dans mille gerbes de flammes, une explosion qui ressemblait à un énorme orgasme de Dame justice. Linspecteur regardait, un rien excité et concupiscent, le peu qu’il restait d’une histoire qui avait choisi de s’éteindre dans la rage des flammes et Marie-Claude fesses à l’air au milieu.

FIN

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