Sabine s’était trompée de chemin dans la vaste pinède, et au lieu d’arriver sur leur plage familiale habituelle, la voilà qui se retrouvait face à un panneau de la FFN. La fédération française de naturisme. Les bras chargés d’un grand panier, un parasol, elle regarda ses trois garçons :
Les enfants, on fait demi-tour, cette plage n’est pas pour nous…
Ludo et Marc lancèrent un regard venimeux à leur mère tandis que Franck, lui, l’apostropha sèchement :
Quoi ?! On se tape 35 minutes de marche en plein cagnard, chargés comme des mules et toi, tu veux retourner à la voiture ? T’as qu’à pas être si conne et savoir te servir d’un GPS ! On y va !
Le ton du rouquin ne souffrait aucune contestation… Sabine ravala son amour propre, digéra l’insulte, et en silence elle continua de marcher, laissant avec désespoir, la plage "textile" à 300 mètres de là !
La plage était relativement occupée par des familles, des femmes ou des hommes seuls et des groupes de jeunes… tous étaient nus comme des vers.
Sabine avançait au milieu des sexes, poitrines, derrières exposés. Elle n’en menait pas large.
Franck repéra un coin pour se poser ; avec un peu plus de place, un groupe de 4 jeunes plutôt pas mal, à l’arrière, et un type bedonnant avec un sexe placide, reposant sur sa cuisse gauche, un gros ventre couvert de poils très bruns et une calvitie avancée …
Franck avait évidemment une idée en tête …
Ici ? Tu es sûr mon chéri ?
Mais oui. Bon allez, on se fout tous à poil ?
Bon bah, pourquoi pas, répliquèrent ses deux frères avec enthousiasme.
"Mais tu n’y penses pas! déclara une Sabine épouvantée par l’incongruité du propos.
Alors les bras ballants, lâchant le sac de plage et le parasol qui chutèrent sur le sable chaud, Sabine vit avec consternation ses trois faux triplés se mettre nus, en une fraction de seconde. Tout allait beaucoup trop vite pour elle. L’incident du GPS, la mauvaise plage, tous ces corps nus, étalés sur des serviettes de bain… jamais Sabine n’avait, du coin de l’il seulement, vu tant de pénis, plus ou moins attirants. Et maintenant ses trois fils, qu’elle voyait nus pour la première fois, depuis qu’ils étaient devenus de vrais hommes…
La mère de famille était comme déconnectée, elle restait là, debout, le regard perdu dans le vague, au milieu de toute une population allongée et nue.
Forcément au bout de deux minutes, car sabine ne savait toujours pas quoi faire exactement, elle devint le point de mire des regards masculins et féminins… car une textile debout, au milieu d’une plage naturiste, cela commençait à se remarquer !
Franck regarda sa mère, excédé, et lui gronda entre les dents !
Bon maman, tu te déshabilles ou quoi ? Tu commences à être l’élément perturbateur de cette plage. Ici les gens n’apprécient pas les textiles, qui viennent mater et restent habillés …
Co… comment ?! Tu voudrais que je me mette nue ici, devant mes fils ? Et toutes ces personnes ?
Maman, dans un supermarché, c’est le type qui est à poil qui se fait remarquer. Ici, c’est celle qui reste habillée. Tu commences sérieusement à te faire remarquer !
Ben oui maman, déshabille-toi, quoi, on l’a bien fait nous. C’est choquant ? Tu vois bien que non… pas ici. Si tu ne veux pas te faire remarquer, tu dois te mettre nue ! " Ajoutèrent Ludo et Marc goguenards !
Franck savait qu’il pouvait toujours compter sur l’appui de ses deux faux jumeaux. C’était lui qui était le meneur de la petite famille quand son père n’était pas là… et il faut dire que Christophe était bien souvent absent, partant toujours seul avec leur jeune sur à peine majeure, Laurie, pour leur passion commune, les concours hippiques.
Alors, en l’absence du père, c’était Franck du haut de ses 21 ans, qui commandait et il ne souffrait aucune contestation… encore moins quand elle venait de sa mère. Car cette dernière, femme effacée, timide, sans ego, sans confiance en elle, adorait et respectait tous les avis de son aîné. Il était sorti quelques secondes avant les deux autres… et il commençait à vraiment s’énerver, devant l’attentisme de sa génitrice. Alors il utilisa le stratagème habituel pour manipuler sa mère :
Sabine, tout le monde te regarde. Tu es le point de mire de toutes les personnes nues de cette plage ! Tu vas encore nous faire honte ! Tu te rends compte que tu passes pour une perverse ? Une femme qui vient pour mater les bites des mecs ?!
Sabine était sur des charbons ardents, prise d’une crise de confusion et de timidité, comme jamais. Elle n’avait plus ressenti cette gêne énorme depuis longtemps ! Cette peur panique qui lui nouait les tripes, lui faisait accélérer son pouls. Ses pensées tournaient à 100 à l’heure dans son esprit, comme des animaux effrayés. Tout s’entrechoquait dans sa tête :
Arrêter ce supplice, me faire toute petite discrète, ne pas attirer l’attention. La honte, mon Dieu, la honte de se faire remarquer, être le point d’attention de tous les autres. Je dois me faire discrète, sinon je vais encore passer pour une godiche et mon fils va m’en vouloir ! Pensa-t-elle, terrifiée !
Alors dans ce genre de circonstances, elle revivait les pires moments de sa vie. Cette fête de fin d’année en CM 2, le spectacle du Petit chaperon rouge. Elle, les jambes flageolantes, sur la scène, seule devant cette porte… la porte de la Mère Grand… le trou noir, plus de mots disponibles. Le cur qui bat la chamade, la respiration qui devient difficile, la crise d’asthme, le mal de tête, les yeux qui se brouillent. La honte, la Honte totale devant sa maîtresse, les autres enseignants, les parents d’élèves, ses parents à elle, l’air méchant, leurs yeux lançant des éclairs. Aucune commisération à attendre d’eux. Le savant atomiste du centre de Saclay avait honte de sa fille une fois de plus…
Sabine savait qu’elle devrait essuyer une nouvelle bordée d’injures une fois à la maison :
Ma pauvre fille, tu es une incapable de la plus belle facture. Comment des cerveaux comme ta mère et moi, avons pu mettre au monde si piètre créature ? Tu ne feras jamais rien de bon dans ta vie !
Et sa mère, violoncelliste de renommée, qui acquiesçait aux paroles dures de son mari. Pas de commisération à attendre de ce côté-là non plus …
Sabine revivait toutes ses émotions passées, les quolibets de ses petits camarades :
Houuuu ! Bécassine a encore tout oublié. Mauvaise, mauvaise ! Bécassine, Bécassine, BÉCASSINE !
Le brouhaha avait tellement grondé dans la petite salle, que le directeur avait dû y mettre le holà !
Vous, taisez-vous. Sabine, pars en coulisse, tu n’es vraiment pas faite pour ce genre d’exercice ! Et lançant un regard plein de gêne et d’humilité envers son père, Lucien Fageot, la gloire de la petite ville de Guyancourt dans les Yvelines, il dit :
Je suis désolé Monsieur et Madame Fageot, je vous prierais d’aller récupérer votre fille. Elle va encore pleurer toutes les larmes de son corps.
Lucien Fageot hocha la tête, les dents serrées, le regard plein de haine pour la pauvre petite fille en rouge sur la scène. "Fin du petit chaperon rouge …"
Bécassine, Bécassine, Bécassine… maman à poil, maman à poil ! Fous-toi à poil ! Montre ta chatte !
Sabine revint sur terre. Ce n’était plus l’école, ni les quolibets des camarades de classe, mais ses fils, derrière elle, qui lui demandaient de se mettre nue. Alors comme un automate, elle s’exécuta, le regard perdu sur l’horizon de l’océan.
Il fallait faire rompre le supplice ! De façon automatique, elle enleva le teeshirt jaune ; pour des raisons évidentes, Sabine détestait la couleur rouge… le short blanc, qu’elle laissa glisser le long de ses jambes bronzées et fines.
Puis, ses mains défirent le soutien-gorge noir, laissant apparaître une petite poitrine aux jolis seins blancs et laiteux, avec des petits tétons très rouges… pour son grand malheur…
Ensuite, les mains se posèrent sur l’élastique de la culotte de maillot de bain, et Sabine se penchant à 90 degrés, l’enleva également. Les garçons n’en perdirent pas une miette, reluquant le joli petit cul de leur mère, tout blanc lui aussi. Évidemment, les jeunes à l’arrière restèrent béats d’admiration pour cette mère de famille, qui faisait un strip-tease improvisé sur la plage, et avait offert une vue splendide sur son abricot … Le vieux devant eux, qui s’était retourné et mis sur le ventre, pour masquer son érection colossale, reluquait lui aussi la femme impudique…
Vicieusement, Franck appela sa mère qui se retourna vers ses trois fils, couchés sur leur serviette de bain, avec une belle érection entre les cuisses. Celle-ci se retourna innocemment, et offrit aux jeunes derrière elle, la vision d’une petite chatte à la toison très brune, mal taillée, et aux lèvres vaginales assez proéminentes.
L’un des jeunes ne put s’empêcher d’émettre un sifflement admiratif. Sabine devait bien être la seule femme sur la plage à posséder un pubis assez velu… toutes les autres étaient plus ou moins rasées.
Maman, tu devrais peut-être te mettre sur la serviette, maintenant que tout le monde a vu ton exhibition. Non, maman! Sur le dos, pas sur le ventre.
Nouveau coup au cur pour la pauvre mère de famille. Observant les hommes, qui, le regard posé sur son corps, avaient un petit sourire aux lèvres, Sabine comprit qu’elle venait de réaliser un superbe strip-tease, face aux mâles de l’entourage. Une fois de plus, la honte s’empara d’elle. Elle avait l’impression qu’elle ratait tout ce qu’elle faisait, qu’elle ne commettait que bourdes sur bourdes, et qu’elle s’enfonçait chaque fois un peu plus, par rapport aux autres. Que devaient penser d’elle les personnes l’entourant ?
Bécassine, Bécassine !
Une fois de plus, les quolibets refaisaient surface dans son esprit. Décidément, son père avait raison. Suppliante, elle tourna un regard paniqué et terrorisé vers son ainé :
Franck, sors-moi de ce guêpier, je ne fais que des conneries."
En définitive, si elle avait obéi tout de suite à son fils, elle ne se serait jamais fait remarquer, se déshabillant comme n’importe quelle femme sur cette plage !
Franck s’approcha de sa mère et lui glissa à l’oreille :
Tu es superbe maman, pourquoi cacher un corps aussi beau ?
Le compliment lui fit un bien fou. Franck, qui d’ordinaire l’humiliait et la prenait pour une gourde, venait de la féliciter pour quelque chose. Elle en aurait pleuré de bonheur tellement sa soif de reconnaissance était immense. Elle décida qu’elle ferait dorénavant entièrement confiance à son fils, et le suivrait dans toutes ses demandes ; lui savait ce qui était bon pour elle.
Tu n’as pas à avoir honte d’être nue. Tout le monde est nu ici. C’est naturel. Regarde ce monsieur qui te sourit et semble penser lui aussi que tu es une créature magnifique, fais-lui un petit signe. Sabine regarda le type corpulent, devant elle, toujours sur le ventre, qui, le menton sur les mains, l’observait d’un air béat, et lui fit un petit coucou de la main. Celui-ci lui répondit par un grand sourire.
Tu vois que les hommes peuvent t’apprécier ! Tiens, tu sais quoi ! Pour le remercier de son intérêt, tu devrais lui en montrer plus…écarte les cuisses !
Mais… mais tu es sûr ? C’est très impudique !
Ici, l’impudeur c’est d’être habillée, Sabine ! Allez, fais-le ! Aie confiance en moi !
Et Sabine desserra la tension de ses cuisses qu’elle gardait soudées l’une contre l’autre. Franck qui s’était un peu avancé, accroupi près de sa mère, la bite bien en érection, observait sa mère qui exhibait sa fente.
Elle ouvrait lentement le compas de ses jambes, laissant apparaître une fente aux grosses lèvres, avec un clitoris qui semblait vouloir s’enfuir de la grotte… le gros en face n’en croyait pas ses yeux. Il leva son pouce en signe d’assentiment.
Tu vois, il est content, il te trouve très belle… allez encore un peu. "
Sans pudeur cette fois-ci, Sabine ouvrit toutes grandes les jambes. Fière de l’attention de tous ces hommes autour d’elle. Jamais son mari ne lui avait fait le moindre compliment… et là, nue et exposée sur cette plage, cela devenait le nirvana pour elle. D’ailleurs, une sensation étrange s’emparait d’elle, elle sentait une boule dans son ventre, les pointes de ses seins durcir, ses lèvres gonfler et sa fente s’humidifier. Sa vulve devenait presque douloureuse, elle savait qu’elle était ouverte. Sabine, la femme coincée, ressentait une excitation démentielle et mouillait comme cela lui était rarement arrivé. Un sentiment de plénitude s’emparait de son être. Pour la première fois, elle se sentait belle et désirable. Et cela lui faisait tellement de bien …
Franck regardait sa mère s’exhiber comme une salope en chaleur, et sa petite chatte tout enduite de cyprine, il bandait comme un taureau. Il n’était pas le seul d’ailleurs. Pour ne pas offusquer sa mère, ni lui faire comprendre ce qui se passait autour d’elle, il lui conseilla de fermer les yeux, de goûter cette communion avec la nature, et de ne les rouvrir que quand il le lui dirait. Sabine, aux anges, obéit. Les lunettes de soleil sur les yeux, les cuisses bien écartées, la chatte à l’air, le vent marin lui soufflant sur ses parties si sensibles, et les pointes de ses seins durcies, elle se laissa aller dans sa plénitude nouvellement conquise, et erra dans un état de rêverie.
Évidemment, le gros avait toujours les yeux rivés sur le sexe de Sabine, les jeunes, eux, s’étaient rapprochés silencieusement, et à quelques mètres devant la femme exposée, dos à la mer ils mataient. Les trois faux triplés ne furent pas en reste. Tous ces hommes n’avaient qu’une seule pensée à l’esprit. Celui qui semblait être le chef du petit groupe s’approcha de Franck et lui souffla à l’oreille :
C’est qui cette pute, où vous l’avez dégottée ? Elle mate tous les mecs autour d’elle, elle attend que tout le monde la remarque, elle se fout à poil debout, et maintenant elle dort avec les seins tendus, les cuisses écartées, la fente ouverte toute mouillée de cyprine. Putain, on n’a qu’une envie, c’est de se la faire.
C’est notre mère à mes deux jumeaux et à moi.
Oups, pardon mec, je voulais pas te manquer de respect, mais avoue qu’elle na pas un comportement de mère au foyer… ou alors de celles qu’on voit sur Jacquie Michel.
Oui je sais, elle est super naïve, ne comprend rien aux hommes, au sexe et à la vie en général. Elle n’a qu’un désir, c’est qu’on la respecte et qu’on la traite avec gentillesse. Pour ça, elle serait prête à tout. Elle suit toutes mes volontés.
Putain… pas possible! Mais… vous la tronchez toi et tes frères ?
Pas encore, mais ça va pas tarder, j’ai un argument imparable pour avoir ce que je veux. Par contre… il faut lui faire découvrir la vie et son potentiel de salope. Pour le moment, elle a toujours été coincée. Mais des mecs comme toi et tes potes pourriez m’aider à arriver à mes fins…
Il lui exposa son plan dans le creux de l’oreille. Le gars sourit, l’air lubrique, un dernier regard sur le sexe ouvert de Sabine, et il rejoignit ses copains et ils quittèrent la plage.
Franck s’approcha alors du gros et lui proposa aussi un deal. Celui-ci acquiesça avec un grand sourire.
Deux heures après, alors que les trois frères s’étaient baignés et avaient reluqué leur mère offerte, sous toutes les coutures, Franck s’approcha de Sabine, lui effleura un téton pour la réveiller, et doucement lui souffla à l’oreille qu’il fallait partir. Il commençait à se faire tard.
Un grand sourire aux lèvres, Sabine qui n’avait jamais été aussi bien de sa vie, se rhabilla, reprit le sac, replia le parasol et chercha ses clés dans sa poche. Avec horreur, elle réalisa qu’elles n’y étaient plus. De nouveau, une tension s’empara de son être, un malaise général l’assaillit, des larmes lui venaient aux yeux… la malédiction de Bécassine se faisait de nouveau jour en son esprit. Alors, résonnaient de nouveau les quolibets et la voix de stentor de son père dans sa tête :
Bécassine, Bécassine, Bécassine. !!
Ma pauvre fille, tu ne feras jamais rien de bon dans ta vie. Aucun homme ne voudra jamais de toi, tu es trop bête et trop moche pour espérer te marier !
Bon maman, on y va? On va prendre racines ici ?!
Je… je… j’ai perdu les clés !
Quoi !? Mais putain t’es vraiment trop conne ! Décidément papa et papy ont raison ! Mais comment peux-tu être aussi gourde ?
Non s’il te plaît Franck, ne dis pas ça. Tu étais tellement gentil avec moi tout à l’heure …
Il y a un problème Madame ? Pourquoi laissez-vous ce garçon vous insulter ? Intervint le gros homme, à présent habillé…
J’ai perdu les clés de voiture, je ne sais pas comment on va rentrer à la résidence. "
Et Sabine fondit en larmes, devant le gros homme qui venait de se rhabiller et allait lui aussi partir. Il la prit dans ses bras, celle-ci pleura sur son épaule. Tout en lui passant la main sur les fesses, il lui dit :
" Mais Madame, je vais vous ramener. Cela ne me dérange pas. Après le spectacle que vous m’avez offert… vous êtes une très belle femme.
Merci, vous êtes trop gentil.
Sabine était tellement touchée par la compassion du gros homme, qu’elle se laissait peloter les fesses sans rien dire. Le type pensa que décidément son fils n’avait pas exagéré tout à lheure, en lui proposant le deal ! Il allait pouvoir s’en payer une belle tranche !
En voiture, avec Sabine à côté de lui, sur le siège passager, il ne se gêna pas pour mettre sa main sur la cuisse de la jolie brune, qui au début, outrée et interloquée par l’audace du type, regarda droit devant elle et le laissa faire. Elle se dit qu’il aurait été très impoli de lui demander de retirer sa main, alors qu’il les reconduisait à leur résidence. D’autre part, la situation était suffisamment embarrassante pour ne pas provoquer un esclandre et y mêler Franck !
Le type s’enhardit et sa main parvint sous le short, au bord de la culotte. Y passant un doigt, il sentit les poils du pubis de sa voisine, mais n’alla pas plus loin ! Sabine regardant droit devant elle, restait stoïque, faisant semblant de ne rien remarquer… hormis la grosse bosse qui déformait le short du gars ! Voyant cela, elle fut excessivement troublée… Visiblement, le gros type avait envie d’elle, la mère de famille modèle ! Qu’avait-elle fait pour exciter son désir ? Dans son incompréhension du monde, elle ne voyait vraiment pas. Et le pire c’est que la caresse du type, au début très gênante, commençait à lui procurer du plaisir. Elle s’en défendait, mais son corps réagissait favorablement. Elle sentait sa vulve encore plus humide que tout à l’heure et son clitoris grossir… si le type allait plus loin… que ses doigts investissaient son sexe… elle savait qu’elle se mettrait à crier de jouissance ! Honteuse de telles pensées, elle se concentra sur la route.
Il les raccompagna tous les quatre à leur résidence de vacances, et prit congé. Franck lança un regard sévère à sa mère.
Mais vous ne voulez pas qu’on vous offre quelque chose ? Un verre ?
Ou autre chose, ajouta cynique, Marc… en lançant un regard lubrique au vieux.
Écoutez, c’est extrêmement tentant, dit-il en lorgnant la poitrine et les cuisses de Sabine, mais j’ai un rendez-vous important, d’ailleurs, je me suis déjà mis en retard en vous raccompagnant…
Tu vois comme cet homme est gentil, maman. Écoutez, on pourrait se revoir demain sur la plage, même heure, même endroit… je suis sûr que ma mère saura vous montrer sa gratitude ! " répondit Franck, en lançant un regard non équivoque à sa mère. Celle-ci, le regardant avec indécision, ne comprit pas le sens pas vraiment occulte de la répartie de son ainé !
Le soir, Sabine rejoignit Franck sur le petit balcon. Il sirotait une bière en fumant une cigarette.
" Franck, il y a un truc que je ne comprends pas. Qu’as-tu voulu dire par gratitude envers ce Monsieur ? Moi je pensais lui offrir l’apéro.
Mais Sabine tu es bête à ce point-là ? Tu as allumé ce type tout l’après-midi, tu lui as ouvert les cuisses, montré ta chatte brillante de mouille, souri, fait de petits gestes. Il ne t’a pas importuné et nous a reconduits chez nous, en faisant un détour et en prenant du retard… tout ça parce que tu es trop conne pour retrouver tes clés ! Alors tu ne vois pas ce que tu pourrais faire pour ce gentil Monsieur, qui t’a fait des compliments et offert son aide comme jamais papa ne l’a fait ?
Franck, tu me fais peur, tu ne penses quand même pas que je vais… que je doive…
Putain, mais je le crois pas ! Un type s’intéresse à une pauvre femme comme toi, il est galant, chevaleresque, il répare tes conneries, et toi tu ne voudrais pas lui donner ce à quoi il aspire le plus ?
Quand j’étais assise en voiture, il m’a mis la main sur la cuisse, et m’a caressée presque jusqu’à mon… ma …
Ta chatte ?
Oui et avant il m’avait peloté les fesses.
Et pourquoi ? Si tu navais pas perdu ces putains de clés, on en serait pas là ! Tu as un devoir moral envers lui… surtout après t’être exhibée comme tu l’as fait. Tu te rends compte comment tu l’as allumé ? Vu son physique il ne doit pas baiser souvent… le pauvre, et toi comme une saloperie, tu ne voudrais pas lui faire un petit plaisir, lui le premier qui se montre aussi gentil envers toi. Décidément, papa a raison de te prendre pour une gourde… voire pire.
Mais tu te rends compte, tu me demandes de tromper ton père !
Oh tu sais, lui il ne se gêne pas, et avec quelqu’un que tu connais très bien. Tu sais Laurie et lui ne font pas que du cheval lors des rencontres hippiques.
Sabine était de nouveau effondrée, elle se rendait compte que son aîné avait raison de bout en bout. Mais en plus la remarque insidieuse lui faisait froid dans le dos. Elle avait l’impression que le sol s’ouvrait sous ses pieds.
Non, c’nest pas vrai. C’nest pas ce que j’imagine ? Ce n’est pas possible !
Ben si! tiens, regarde…
Et Franck prit son smartphone et déroula une vidéo très courte, on y entendait une jeune femme en train de jouir. Cette femme était Laurie, sur de Franck, nue sur un lit, avec seulement un porte-jarretelles et des bas blancs. Elle se faisait défoncer en levrette par un homme qui n’était autre que son père, Christophe, le propre mari de Sabine.
Celle-ci, les larmes aux yeux, jeta la bière de Franck par terre, et se mit à hurler à la mort.
Franck lui décocha une gifle magistrale et lui ordonna de la boucler :
Non mais, ça va pas de gueuler comme une truie qu’on égorge. Tu vas ameuter toute la résidence. Tu veux que tout le monde sache que ton mari te fait cocue avec ta propre fille ?
Mais… mais pourquoi… c’est monstrueux !
Tu sais, Laurie est la meilleure et seule partie de toi, avec laquelle papa prend du plaisir.
Mais comment as-tu eu cette vidéo ? Tu savais ?!
Sabine était inconsolable, elle pleurait comme une madeleine.
Je l’ai toujours su, il n’arrête pas de s’en vanter. Il paraît d’ailleurs que Laurie est une sacrée bête de sexe. Tout le contraire de sa mère, n’arrête pas de répéter papa. Le truc c’est qu’il veut pas qu’on se la tape ; il se la garde pour lui tout seul, le salop! Putain, si tu savais comment ils baisent. On reçoit toujours des photos ou des vidéos. Elle a de l’imagination ma sur. Si tu savais tout ce qu’il lui fait faire !
Mon Dieu c’est… c’est horrible ! Vous le saviez et vous ne m’avez rien dit. Vous mes fils !? C’est abject.
Putain, mais abject de quoi, bordel ? Putain, t’es coincée du cul comme pas possible. Tu sais à peine comment on prend une bite. Papa et nous tous, on s’est toujours demandé comment il avait fait pour te faire 4 gosses. Tu ne comprends pas que tout le monde te prend pour une conne, que personne ne te respecte ? Tu sais pas ce qu’il faut faire pour harponner un bonhomme ? Putain, papa a toujours essayé de baiser avec toi, te faire mettre des fringues sexe, de la lingerie. Que dalle ! Rien, wallou… t’es nulle au pieu ! L’étoile de mer, et encore quand t’es bien lunée ! Même Laurie ne comprend pas comment elle peut avoir un tempérament de feu, avec une mère frigide comme toi !
Tu crois quoi ?
Un mec qui a une femme frigide, qui ne se casse pas le cul, va casser celui des autres ! Et encore, tu as de la chance que ce soit avec Laurie… imagine que papa se soit tapé toutes les femmes du bureau, et qu’ il ait raconté à tout le monde tes " non- exploits" !
Comment peux-tu être aussi cruel avec ta propre mère… je ne mérite pas ça ! Vous êtes tous des monstres !
Non, c’est toi qui es nulle… en tout !
Non, c’est pas vrai !
Et bien, prouve-le, alors ! "
Sabine pleurait, en proie à ses vieux démons. Elle se sentait une moins que rien. Encore plus que d’ habitude. " Bécassine, Bécassine, Bécassine !"
Qu’est-ce que je dois faire ? Coucher avec ce mec…
Tu le sais très bien.
Mais s’il me trouve nulle… je ne le supporterai pas… ce serait le truc de trop.
Alors…
Quoi…
Réfléchis…
Tu m’aiderais ?
Tu sais que je suis ta conscience… il n’y a que moi au monde, qui puisse t’empêcher de faire des conneries… et te faire respecter des autres.
Bon !
Franck regarda sa mère. Elle sécha ses larmes, se leva, un air de froide détermination sur le visage, qu’il ne lui avait jamais vu auparavant.
Je reviens. Tu peux me préparer une bière et appeler tes frères ?
Quand elle revint 5 minutes plus tard, sur le petit balcon, l’air concentré et déterminé, une dizaine de bières attendaient sur la table. Ludo et Marc avaient rejoint leur frère. Étonnés, ils virent leur mère en robe de chambre en soie, mi-cuisses, qu’ils ne lui connaissaient pas. Elle portait des bottines en cuir, et des bas couleur chair. Le tissu du vêtement semblait tellement arachnéen, que même dans la pénombre, Franck discerna les pointes des seins en érection de sa mère. Elle s’était maquillée, très légèrement avec du rouge à lèvres et un trait de crayon noir autour des yeux… mais pour elle, c’était déjà beaucoup.
Ses longs cheveux noirs, qu’elle coiffait toujours en chignon, ou en tresse, descendaient sur ses épaules. Il lui ouvrit une bière, la lui donna tandis qu’elle s’installait nonchalamment sur le transat. Les trois jeunes hommes jaugèrent leur mère d’un regard appréciateur : pour la première fois de leur vie, ils la trouvèrent réellement sexy et bandante ! Sabine, un petit sourire aux lèvres, s’en aperçut… elle en prit de l’assurance.
Elle s’était adossée sur le transat, faisant face à ses trois fils. Évidemment, hormis Franck qui avait bien compris qu’il était parvenu à ses fins, les deux autres ne comprenaient rien à la situation… pourquoi leur mère les rejoignait-elle sur le balcon, habillée et maquillée comme… comme une pute ? Elle avait tout de la femme qui a envie de se faire baiser !
Le maquillage lui donnait un air coquin, elle semblait sûre d’elle avec une lueur étrange dans le regard… et surtout elle buvait une bière au goulot, elle qui n’avait jamais absorbé une goutte d’alcool…
Et d’où pouvaient bien sortir ces chaussures, ce déshabillé en soie noire et ces bas, qu’elle n’avait jamais portés avant ?
Puis elle demanda à Franck de lui rouler une cigarette, que son aîné lui alluma. Penché sur sa mère, il vit qu’il ne s’était pas trompé… ses seins étaient nus sous la soie… elle ne portait rien en dessous. Franck se mit à bander très fort.
Sabine "siffla" très vite la première bière… sa diction en fut légèrement affectée :
Alors les garçons, cela vous a plu de me voir à poil sur une plage ? Vous vous êtes bien rincé l’il ? Vous avez aimé ça?
Oh oui, maman. Tu as été au top… pour une fois, dit Ludo.
Toi aussi tu trouves que je suis nulle ?
Disons que tu es parfois un peu "innocente", répliqua Ludo, qui était le plus diplomate des trois.
Tout le monde me trouve conne… votre père baise avec ma fille. Vous, vous aimeriez bien y aller aussi. Tout le monde me trouve froide et coincée… mais je vais vous prouver le contraire ! Franck, une autre bière ! "
Les garçons comprenaient que leur mère buvait pour se donner du courage… ils avaient compris où elle voulait en venir. Eux aussi commençaient à s’exciter sérieusement. Surtout que Sabine avait une jambe posée sur le transat en long, tandis qu’elle repliait la seconde vers elle. Les pans assez courts du déshabillé commençaient à s’écarter, révélant l’intérieur de ses cuisses. Effectivement, Sabine portait des bas, comme le prouvait l’apparition des jarretelles sur le haut de ses cuisses. Voir leur mère toujours si prude, si coincée à propos des sujets portant sur le sexe, en train de se saouler et de fumer… chose impensable pour elle… les allumer en laissant les pans du déshabillé s’écarter de plus en plus, avait quelque chose de perversement érotique ! Jamais les trois n’avaient pensé voir leur mère en lingerie érotique !
Puis, Sabine s’enhardit encore plus, et ramenant toujours sa jambe vers elle, le déshabillé était tellement ouvert que la fente de la chatte poilue apparaissait… le doute n’était plus possible !
Même s’ils avaient pu voir leur mère entièrement nue, les cuisses grandes ouvertes, durant l’après-midi, ici le contexte était fort différent ! Ludo décida d’éprouver sa mère :
Au fait comment vas-tu remercier le type qui nous a ramenés ?
Je vais baiser avec lui demain ! déclara Sabine sans aucune gêne !
Tu n’auras pas ce courage !
Oh que si ! Je vais prouver à tout le monde que je ne suis pas une débile frigide et niaise !
Comment ?
Comme ça !
Et Sabine défit le lien du déshabillé, dont les pans s’écartèrent, révélant son corps nu, ses seins aux pointes tendues, et sa chatte velue sous le porte-jarretelles noir.
Alors, vous n’avez pas envie de baiser votre mère ?
Oh que si ! Sabine veut se faire démonter ce soir, pour se prouver qu’elle saura assurer avec le type demain… enchaîna Franck.
Oh maman, tu es tellement bandante ! " s’écrièrent en cur les deux autres…
Un air de triomphe et de fierté sur le visage, Sabine remonta ses cuisses, qu’elle disposa sur les bras du transat… les jarretelles se tendirent, tandis que sa fente s’entrouvrait. Sabine était complètement offerte à la concupiscence des trois mâles ! Les garçons avaient une vue dantesque sur le sexe ouvert de leur génitrice :
Venez me doigter la chatte, baisez-moi… faites-moi jouir… rendez-moi femme !
Franck se pencha sur le visage de Sabine et prit possession de sa bouche. Un peu intimidée sur le coup, Sabine se mit très vite à accompagner le ballet de sa langue, tandis qu’elle ouvrait les boutons de son short, pour en sortir un sexe tendu, qu’elle se mit à masturber.
Marc s’approcha et lui caressa les seins, tandis que le troisième passait sa main sur la toison du pubis, et commençait à jouer avec le sexe bien humide de sa mère. Celle-ci commença à gémir sous leurs douces caresses.
Puis Ludo sortit les clés de la voiture de sa mère, celle-ci voyant le trousseau perdu, eut un air épouvanté, puis pervers…
Bande de petits salops, vous vouliez vraiment me pousser au vice… vous avez réussi !
Ludo, doucement, commença à passer la clé sur la fente et le clitoris. Ce contact froid fit crier Sabine, dont la poitrine se souleva et la respiration s’accéléra ; l’ex-frigide commençait à prendre son pied ! Alors, ayant abandonné toute pudeur et toute retenue, l’ex-bonne mère de famille bien comme il faut, commença à gémir et ahaner, sous les doigts de ses fils qui investissaient son corps et son intimité !
Franck prit la canette de bière à moitié vide, dont il répandit le contenu sur les seins et le sexe de sa mère, Sabine haleta de plaisir, tandis que les deux frères léchaient le liquide sur sa poitrine et son ventre…
Maman, je vais te montrer tous les usages que l’on peut faire d’une canette de bière vide !