Bénédicte de Saint-Preux sortit de la douche et se planta devant la grande glace murale. S’observant un instant. Ses seins sont lourds mais encore fermes, son ventre est plat et ses jambes fines. Malgré ses cinquante ans, elle pourrait rivaliser avec une jeune fille.Elle ouvrit son tiroir contenant sa lingerie et elle hésita sur le sous vêtement à mettre. Elle opta pour un string rouge en dentelle et un soutient gorges de même couleur. Un peu osée, mais elle sait que son mari, Guillaume, appréciera. Peut être feront il l’amour ce soir ? Cela fait un moment que ça n’est pas arriver. Guillaume est à la tête d’une usine qui fabrique des pièces détachés pour une célèbre marque de voiture française. Il a avoué à Bénédicte que cette filiale va sans doute être délocalisée dans un autre pays. Un plan de restructuration a été prévu qui annonce des licenciements. De dures négociations avec les syndicats s’annoncent déjà. Elle mit un porte-jarretelles et y accrocha des bas. Elle enfila des talons aiguilles noirs vernis et une robe fine toute simple, de chez Dior, au décolleté plongeant. Elle veut être élégante pour le dîner de ce soir. Faire plaisir à son époux et être sexy pour lui. Depuis quelques temps, elle le sent distant, préoccupé. A cause du plan de restructuration de son usine, bien sur, mais il n’y a pas que ça. Elle se demande si cela a un rapport avec la discussion qu’ils ont déjà eu. Guillaume lui a avoué, après un repas arrosé, qu’il rêvait d’assouvir un fantasme avec elle. La voir se faire prendre par plusieurs hommes lors d’une partouze.Comment appelle t’on ça, déjà ? Il lui a dit.Un gang bang, c’est ça.Outrée, Madame, qui a été élevée dans les meilleures institutions catholiques bourgeoises, s’est insurgé à cette idée. Et depuis, Guillaume lui fait un peu la gueule.Et surtout ne la touche plus.
Un bruit de verre brisée fit sursauter madame qui tapa du pied.Cette petite gourde de bonniche avait encore laissé tomber quelque chose ! C’était la troisième fois cette semaine ! Folle de rage, Bénédicte sortit de sa chambre et descendit l’escalier.
Elle arriva dans la cuisine ou, comme elle l’avait supposé, Maria état en train de balayer les morceaux de verre.
— Mais quelle gourde ! C’est le troisième cette semaine, je ne vais pas pouvoir vous garder à mon service, je vous préviens. Vous êtes vraiment une petite idiote, ma fille !
Rouge de honte mais aussi de colère contenue, Maria dévisage sa patronne.
— Vous n’avez pas le droit de me parler comme ça !
Eclat de rire de Madame.
— Mais j’ai tous les droits ma petite, dont celui de vous virer !
La porte s’ouvre derrière elle, c’est Charles qui vient d’entrer. Il s’approche silencieusement.
Deux bras puissants ceinturèrent Bénédicte qui poussa un cri.
Ne comprenant pas au départ, elle reconnut les bras de Charles.
— Mais ! Qu’est ce qui vous prend Charles ! Lâchez-moi immédiatement !
Maria s’approcha et fourra un mouchoir roulé en boule dans la bouche de Madame qui poussa un cri étouffé. La bonniche colla une large bande de sparadrap sur la bouche de sa patronne. Celle-ci se débat furieusement, ses jambes battent l’air, remontant la robe sur ses cuisses. Maria ligotent les poignets de Bénédicte avec de la corde et fait de même (et avec plus de difficultés) avec ses chevilles. Puis Charles lâche le cops de Madame qui titube. Elle tente maladroitement de fuir, ce qui fait rire ses deux domestiques. Ils ont décidés de se venger de cette salope de bourgeoise. Elle va en baver.
Charles a porté Madame dans le salon et l’a allongé sur la grande table. Il lui délie les chevilles et les attachent aux pieds de la table. Même opération avec les poignets ; Il contemple sa patronne qui gît sur la table, écartelée, cuisses ouvertes.Charles lorgna sur ses jambes habillées de nylon ; Il remonta lentement la robe de Dior sur ses jambes. Le porte-jarretelles apparut et le string rouge. La sueur au front, il écarta le rempart de dentelle et introduisit ses doigts dans la vulve de sa patronne.Son fantasme se réalisait enfin ! Il allait pouvoir la baiser comme une chienne. Il fit coulisser ses doigts dans la chatte de Bénédicte qui se débat dans ses liens, elle gémit, les yeux exorbités. Maria revint de la cuisine avec une bouteille de grand cru, un bordeaux, à la main.
— Attends, attends, j’ai une idée…
Elle s’accroupit et enfonça le goulot de la bouteille dans le con de la bourgeoise qui sursauta sous l’infâme intromission. Elle grogne à travers son bâillon, gigote dans ses liens. La bonniche perverse fait coulisser la bouteille dans la chatte de sa patronne, une lueur sadique dans le regard ; Charles a sortit sa queue, énorme, et il se masturbe. Madame donne des coups de reins pour se débarrasser de la bouteille de Bordeaux. Maria la fait coulisser de plus en plus vite.Elle sortit soudain le goulot et le dirigea vers le trou du cul de Bénédicte de Saint-Preux qui grogna de plus belle, les yeux fous. Elle tenta d’introduire le goulot mais celui-ci ne passait pas. Elle retourna dans la cuisine et revint avec de l’huile. Elle s’en versa dans la main et introduisis son index dans l’anus de sa patronne qui rua comme une pouliche. Se cabrant sur la table. Elle fit coulisser l’index puis introduisis son majeur.Elle fit coulisser les deux doigts dans le cul de sa patronne. Charles lui caresse les seins à travers l’étoffe de la robe. Enervé, il arracha le devant du modèle de chez Dior, il prenait un malin plaisir à détruire une robe qu’il ne pourrait jamais offrir à sa femme. Les seins énormes de Bénédicte apparurent emprisonnés dans le soutien-gorge. Il baissa les balconnets et tritura les seins de sa patronne en ricanant ; Les soupesant, les malaxant sans vergogne, soufflant comme un bouf, pinçant les tétons de cette bourgeoise si arrogante qui maintenant couinait derrière son bâillon.
— Viens la baiser cette salope !
Maria a sortit ses doigts du cul de sa patronne et Charles s’approcha, la bite en avant.Il se frotta un peu au cul de Bénédicte qui gémit. Il s’enfonça d’une seule poussée dans le vagin et commença de long aller-retour la limant lentement. Sa queue coulissait dans le con…Il donnait des coups de reins de plus en plus violent. Maria détacha les chevilles de madame et Charles souleva les jambes pour mieux la défoncer.
— Détache lui les poignets aussi, je veux la retourner cette salope.
Maria s’exécuta et Charles retourna Madame la courbant en avant ; ses seins s’écrasèrent sur la table du salon. Il remonta la robe autour de la taille et écarta le string. Il s’engouffra de nouveau dans le con de Bénédicte et recommença à la baiser, lui donnant de grands coups de reins, son ventre venant cogner contre ses fesses. Il grognait à chaque coups de reins qu’il donnait avec fureur.Agrippé aux hanches de Madame, il ahanait de bonheur.Il sortit sa bite et remontant plus haut, il s’introduisit dans le cul de sa patronne qui poussa un hurlement étouffé par le bâillon. Il força et sa longue queue s’enfonça dans le rectum de Bénédicte. Il la saisit de nouveau aux hanches et se mit à la pilonner violemment. Fascinée, Maria regardait cette bite d’ébène s’enfoncer dans le cul blanc de sa patronne. Sa culotte était trempée.
Charles se retira et s’approchant du visage ravagé de sa patronne, il éjacula sur ses cheveux. Des filaments de sperme giclèrent sur son distinguée visage de bourgeoise. Coulant sur son front et son nez.
Et nos trois lascars des citées me diriez vous ? Ils sont la bien sur, et ils n’en perdent pas une miette et surtout…Ils filment et prennent des photos, beaucoup de photos.