Les deux jours suivants, il ne se passa rien, nos emplois du temps et surtout les taches à réaliser sur la base ne nous permettait pas de se retrouver seuls.
Cette vie en collectivité permanente nous obligeait à rester chacun de notre côté, les seuls moments où on se touchait discrètement étaient lorsque lon se croisait, où lorsque l’on faisait la queue comme à la cantine par exemple.
En plus le lieutenant Franck était absent, on ne le voyait jamais ni sur la base ni au mess. Ou était-il parti ? On ne se posait pas de questions et on profitait de ces moments tranquilles.
On attendait surtout la prochaine garde à lescale, là au moins il y a beaucoup moins de monde, cependant, je réfléchissais à des « plans malins» pour pouvoir évincer le 3ème copain. Finalement cest le destin qui va nous aider, alors que nous rejoignons le véhicule sur le parking qui devait nous amener sur place, je remarque le matériel pour tondre la pelouse, tondeuse, bidon dessence, débroussailleuse.
Une fois sur place, on vide le coffre, et je réfléchissais à profiter de cette situation. En effet 2 personnes devaient partir tondre entre les 2 grillages tout autour de lescale, la 3éme personne, elle devait rester au poste de garde. Normalement on tournait pour que tous participe à cette corvée.
Je décide de commencer avec Greg, déjà il fallait aller dans lALGECO qui faisait office de chambre pour se changer, on devait passer la tenue militaire de travaille, cest-à-dire un débardeur très léger, un short et des « pataugases » aux pieds.
Une fois dans la chambre on se déshabille et jen profite, pour passer ma main dans son slip pour lui malaxer le sexe, il était gêné mais se laissait faire en regardant dehors par la fenêtre. Il commence à bander, je rigole et on finit de shabiller.
Nous voilà partis tous les 2, lui avec la tondeuse et moi la débroussailleuse, au bout de 1h30 on décide de faire une pause et revenir se désaltérer, de retour au poste, le 3eme homme sattendait à prendre la place dun de nous deux.
Mais, moi je lui dis que je préférais rester dehors à lair car jétais toujours enfermé, Greg emboîta et indiqua quil préférait aussi continuer. Il faut dire que le 3eme était « un petit gros », bref le sport et les efforts nétaient pas ses activités préférées.
On repart donc finir ce travaille pendant presque 2 heures, je remarquais quil transpirait autant que moi, sa peau brillait, la transpiration coulait dans la raie des fesses au point de voir son short mouillé juste à cette endroit.
je bandait souvent en le regardant, et je lui faisait remarquer, ça le faisait rire et lui aussi devait bander à en croire la bosse dans son short.
La corvée finit, et sur le chemin de retour, je lui indique quon va enfin pouvoir se trouver seul.en arrivant au poste je dis au donc au "petit gros" que lon va se doucher et après, vu le travaille que l’on avait fait par rapport à lui, que l’on aurait une heure avant larrivée du repas, donc on se reposerait un peu dans la chambre au frais.
Nous voilà partis tous les 2 dans cette chambre, juste derrière le poste de garde, les 2 ALGECO étaient cote à cote. Dans la chambre il y avait 2 lits, 2 armoires et au bout il y avait une cabine de douche très spartiate, et un lavabo à côté. On rentre tous les deux e je baisse le volet, je regarde Greg, je voyais quil nétait pas serein, je lui dis :
-moi : tu crains rien on est tranquille 1 heure
-Greg : et si il vient nous voir?
-Moi : on lentendra arriver, on entend tout à côté, je te le prouve, écoute.
Je ressors de la chambre, fais le tour et entre dans le poste de garde, je lui donne la dernière consigne :
-Moi : au fait si quelquun vient au portail ne sort pas nous prévenir, on te verra du portail faire e tour et venir nous chercher, tape derrière toi sur le mur on entendra et on ira directement au portail, ok
Je repars et regagne la chambre
-Moi : alors tu mas entendu ?
-Greg : oui cest vrai on entend tout surtout quand tu ouvres et fermes la porte, ça fait même bouger le sol.
Il faut dire que ces baraques de chantier nétaient pas toutes jeunes, et le seul luxe était la climatisation, donc les portes étaient toujours fermées.
Rassuré par mon expérience, je vois quil devient plus calme et plus avenant.
Jétais très excité et pressé, je me déshabille rapidement et je mapproche de lui pour le déshabiller, il se laisse faire, je lui prends la main et le guide jusquà la douche, on bandait tous les deux.
Sous la douche, je me baisse et commence à le sucer, puis vient son tour, leau coulait toujours, je savais que le tout petit ballon deau chaude ne tiendrais pas longtemps, jattrape un gel douche et le savonne sur tous le corps, il faisait pareil et il me lavait le corps en insistant sur mes parties génitales, il avait surtout la main baladeuse et son doigt venait souvent titiller mon anus, il y avait beaucoup de savon, ça glissait bien, je le laisse faire et jécarte un peu les jambes pour lui laisser plus daccès.
Javais envie que son doigt rentre dans mon cul, mais ce que je risquais arriva à ce moment, plus deau chaude, autant dire que lon sest pressé de se rincer et on quitte la douche. On était nu tous les 2, seuls dans cette chambre, javais rêvé souvent ce moment, il nous restait ¾ dheure, il faisait presque froid avec la clim, je me dirige vers la commande et baisse la clim, en revenant je pousse un petit peu le lit pour quil passe devant la porte et ainsi la bloque au cas où.
Je lui prends la main et le tire jusquau lit, il avait de nouveau peur, ça se voyait, je décide de le réconforter.
Il sassoit sur le lit et je me place entre ses jambes pour le sucer, quelques instants après, je remarque quil est à nouveau relâcher et plus entreprenant.
Il sallonge sur le dos, et je me place à coté, nos mains sont occupées sur la bite de l’autre et nos bouches et collent régulièrement, avec ma main je commence à caresser son trou du cul, il ne dit rien et écarte ses jambes légèrement, je me place entre ses jambes et le suce, je lui lèche aussi les couilles et je cherche à mettre ma langue plus bas, mais laccès est impossible
Il plis ses jambes et les remonte offrant ainsi un peu plus sa rondelle mais je narrivais toujours pas à lui lécher le trou du cul, je lui demande alors si il veut se tourner et sans rien dire il se tourne et place ses fesses en hauteur, il avait bien compris ce que je voulais faire et le fait de le voir demandeur mincite à aller plus loin.
Je lui lèche maintenant son petit trou et je le vois ce cambrer pour ouvrir au maximum sa raie à ma langue. Avec ma main, je le branle et lui touche les couilles, ma main remonte vers son anus et je lui touche sa rondelle avec tout en continuant à le lécher, la salive faisant office de lubrifiant, jessaye de forcer un peu, il se crispe et recul.
-moi : je te fais mal ?
-lui : oui un peu
-moi : attend bouge pas
Je le laisse le cul en lair et retourne à la douche prendre le gel douche
Je prends un peu de gel et le pose sur son cul, je lui malaxe lentrée tout doucement, mon doigt rentre tout doucement, il gémit, je le sors et recommence aussi tôt. Il ne dit rien, tout en laissant mon doigt rentré de moins de 1 cm dans son cul, jattrape le gel douche et en fait couler dans sa raie.
Je force un peu, il se recul de nouveau, je lui faisais mal, je sors mon doigt et lui fais un bisou sur chaque fesse comme pour m’excuser.
-Greg : non tarrête pas, vas-y recommence
Mon doigt longe de nouveau sa raie pour récupérer du gel et je recommence à malaxer sa rondelle, je rentre facilement la première phalange de mon index et je continue à jouer avec mon doigt, jai maintenant presque 2 phalanges dans son cul et je lentends dire des petits gémissements.
Mon doigt rentre et sort lentement et régulièrement, ça devient de plus en plus facile, jécarte son trou en tirant vers le bas et je remarque quil se dilate facilement et je cherche à glisser un 2eme doigt mais sa réaction mindique de ne pas le faire.
Je continue donc à effectuer des va-et-vient avec mon index, je rentre presque tout mon doigt et lorsquil est au bout de le tourne doucement.
Il gémit de plus en plus, je veux le faire jouir, avec mon autre main je le masturbe assez énergétiquement, sa réaction est rapide, et il cherche à se dégager pour ne pas jouir aussi rapidement, mais avec mon doigt dans son cul et ma main sur sa bite, ses mouvements sont limités.
Je continue ma branlette malgré ses mouvements, Il éjacule bruyamment et lâche son sperme qui se répand sur le lit, jai toujours mon doigt dans son cul, il attrape ma main et sort mon doigt. Il se tourne me regarde un peu fâché et me dis :
-Greg : tes un enfoiré
-moi : pourquoi tu nas pas aimé ?
-Greg : si mais jaime bien éjaculer en même temps que toi.
— Moi : ce nest pas grave, je te laisse faire maintenant, venge toi.
Sur ces mots je le vois prendre ma bite dans sa main et commençait à me masturber, je le laisse faire et mallonge sur le dos les jambes écartées. Il accélère très rapidement les mouvements, puis met ma bite dans sa bouche, il était autoritaire et presque brutal, jaime ça et il le remarque, il commence à me parler crûment.
-Greg : alors tu veux jouir me cochon hein, tu aimes ça, tu veux que je te mette mon doigt dans ton cul aussi, tu as de la chance que ma bite ne soit pas en état sinon tu verrais ce que je te mettrais.
Je suis surpris et excité, je sens sa main forcer le passage sous mes fesses, je soulève mes fesse pour lui faciliter le passage et il pose son doigt directement sur mon cul, sans préliminaire il force et entre son doigt, je recule ça me fait mal
-Greg : alors mon cochon tu as mal ?
Et il recherche mon anus pour remettre son doigt dedans, enfin le bout seulement. Cette fois je ne bouge pas il me titille la rondelle et accélère sa branlette, je vais jouir bientôt, il le remarque, il dirige alors ma bite pour envoyer mon sperme sur mon torse, j’éjacule alors qu’il a encore son doigt dans mon cul. Il ralentit et lâche ma bite, il se lèche la main pour essuyer mon sperme puis lèche mon torse pour récupérer le sperme.
Avec ma main je lui touche sa bite et remarque quelle est toute gluante, jattends quil est fini pour prendre sa bite en bouche et essuyer son sperme à mon tour, je le trouve moins bon, peut-être parce quil est froid.
On se retrouve devant le lavabo et on se rince le sexe avec leau froide, nos bites sont toutes petites, jadore voir sa bite au repos, on se rhabille et on retourne chacun sur un lit, épuisé et heureux, on laisse passer quelques minutes et on retourne au poste de garde.
Le 3eme copain nous regarde et nous demande si on a dormi
Un peu perplexe, je lui réponds que jai somnolé, mais que Greg narrêta pas de bouger et faire du bruit et donc mavait empêché de dormir réellement. En disant ça, je me disais que si on avait fait du bruit, il était justifié.
Malgré ça, jai un énorme doute et me demande si il na pas remarqué quelque chose, jai peur car lui naurait pas de scrupule à nous balancer aux autres, et autant dire quà larmée les PD ne sont pas bien vue du tout
A suivre