Dire que la soirée fut longue est un doux euphémisme. J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir contrairement à mon mari dont j’entendais la respiration régulière. Troublée par notre échange, j’étais partagée entre l’espoir que Véronique aie les mêmes pulsions que moi et la crainte que ce moment de félicité ne se reproduise plus. Je ne pouvais m’empêcher de repenser aux attitudes équivoques de mon amie. Me faisais-je des illusions ou bien notre attraction était-elle bien réelle ? Perdue dans mes pensées, mon excitation grandissait. Je sentais mon sexe suinter. N’y tenant plus, et de peur de tacher les draps, je me levais le plus discrètement possible pour me réfugier sur la terrasse. L’atmosphère était chaude et humide. Allongée nue sur un transat je repensais à la confidence de Véronique qui s’était donnée du plaisir dans la même situation, en extérieur. Je passais un doigt le long de mes cuisses pour rapidement caresser mes lèvres collées par la cyprine. L’odeur de mon sexe embaumait la terrasse. Je frissonnais à l’idée de m’exhiber devant Véronique que j’imaginais assise en tailleur devant moi. Je crois que je n’avais jamais été aussi humide qu’à ce moment. Je l’imaginais souriante, me dévorant de son regard de braise et j’explosais dans un orgasme si puissant que je ne pus me retenir. Je mis de longues minutes à retrouver mes esprits constatant les dégâts. Sous le transat, une belle flaque était la preuve de mon absence de retenue. Je compris rapidement qu’elle n’était pas que le fruit de ma jouissance. Je passais la main sur ma chatte encore trempée, puis je la portais à mon visage. Le mélange d’odeurs fortes me provoqua une boule au creux du ventre. Mon excitation était repartie de plus belle. Que m’arrivait-il ? Je n’avais jamais été particulièrement attirée par des jeux humides, mais dans l’instant, la fragrance me rendait folle de désir. J’osais porter mes doigts à la bouche. Le mélange n’enivra en même temps que l’image de Véronique me regardant me revenait à l’esprit. Je me mis alors à faire pipi tout en me masturbant. Je jouis en imaginant Véronique venir s’abreuver à ma source…
Le lendemain j’essayais de dissimuler les traces de mes exploits, tant sur la terrasse que dans mon esprit. S’il n’y avait pas eu les preuves sous mes yeux, j’aurais pensé que j’avais rêvé, tant mon comportement me semblait improbable. Jamais je n’étais allée aussi loin dans des actes sexuels, et ce déchaînement était l’oeuvre d’une personne du même sexe que le mien. C’était le week-end et la présence de mon mari m’empêchait d’aller retrouver Véronique. Je n’avais toujours pas de nouvelle d’elle et mon impatience grandissait. Peu avant midi, le téléphone sonna. Le coeur battant, je me précipitais pour répondre. C’était bien elle.
— Bonjour Claire
— Bonjour
— Paul mon mari doit partir en déplacement la semaine prochaine et il m’a proposée de l’accompagner, ce qui fait que nous ne pourrons pas nous voir pendant quelques jours.
—
— Pour me faire pardonner je souhaite vous inviter à déjeuner demain, si vous êtes disponibles.
— Euh, il faut que j’en parle à mon mari. Je peux te rappeler ?
— J’attends ta réponse avec impatience. Fais vite ! dit-elle dans un rire cristallin
Je fis part de la proposition à Jean, qui après une hésitation donna son accord. Il voulut en connaître plus sur cette Véronique au sujet de laquelle je ne lui avais rien dit jusqu’à présent. J’inventais une rencontre fortuite mais j’insistais sur notre complicité. Au bout de quelques minutes de « justifications », je m’isolais pour rappeler Véronique.
— C’est bon, nous viendrons déjeuner.
— Super ! Il me tarde d’être à demain.
— Moi aussi La fin de la journée va être longue.
— De la frustration naît le plaisir de se retrouver
A cette allusion, je me mis à rougir jusqu’à la racine des cheveux.
— Le plaisir sera-t-il partagé ?
— …
— Je t’embrasse et à demain.
— Bisous.
La journée fut très, très longue même si nous avons fait l’amour avec Jean. Là encore, mes pensées allaient vers Véronique et mon orgasme fut décuplé au grand plaisir de mon mari qui s’est senti fier de sa prestation. S’il avait su
Le lendemain, je me sentais comme une ado préparant son premier rendez-vous. Je me suis affairée pour que le temps passe plus vite, puis je me suis apprêtée, choisissant longuement ma robe, légère et colorée. Son décolleté mettait en valeur mes seins portant petits. Suggestif, il laissait deviner la naissance de ma poitrine sans la dévoiler. Le dos nu permettait de voir que je ne portais pas de soutien-gorge. Sexy mais assez classe surtout lorsque je complétais ma panoplie avec des talons hauts. Un trait de crayon sur les yeux et le tour était joué. Seul petit défaut, la trace de ma culotte sous le fin tissu. N’étant pas adepte des inconfortables strings, je me résolus à la retirer, même si j’avais bien conscience de prendre un risque inconsidéré si la situation venait à évoluer de façon trop favorable Je n’étais pas peu fière de ma silhouette tant et si bien que j’ai cru que Jean allait me sauter dessus lorsque je suis sortie de la maison. Heureusement pour moi, l’heure du départ approchait.
Lorsque notre voiture s’engagea sur le chemin menant à la maison, nous vîmes Véronique debout sur la terrasse nous attendant ornée d’un sourire comme elle seule pouvait en faire. Elle portait une robe blanche boutonnée sur le devant, que le contre-jour rendait légèrement transparente. Je vis Jean marquer un moment d’hésitation avant de me faire une remarque sur la qualité de la plastique de notre hôte. J’en rougis en lui demandant si elle était plus jolie que moi. En homme bien élevé, il répondit par la négative bien sûr (mon il).
Paul avait rejoint une Véronique resplendissante de féminité pour nous accueillir. Les présentations furent chaleureuses et très vite nos hommes se sont sentis une belle complicité en buvant un ti-punch. De notre côté, Véronique et moi avions opté pour un planteur qui n’en était pas moins alcoolisé. Je la soupçonnais de l’avoir volontairement chargé pour détendre l’atmosphère.
Assis tous les quatre autour de la table basse, il était difficile de trouver l’intimité que nous souhaitions pour échanger. La discussion était animée, mais je n’avais d’yeux que pour Véronique, plus rayonnante que jamais. Assise en face de moi, elle décroisait régulièrement les jambe, ce qui dévoilait ses cuisses de plus en plus. Bien que sa robe eut été doublée, je voyais poindre sa poitrine sous le tissu tendu. J’en venais à regretter de ne pas avoir mis de culotte lorsque Véronique me demanda de l’accompagner à la cuisine. Grisée par l’alcool, je me levais pour me lancer à sa poursuite.
Arrivées dans la cuisine, Véronique me lança :
— Tu es particulièrement en beauté aujourd’hui. Est-ce parce que nous sommes dimanche ?
— Je pourrais te retourner la pareille, répondis-je en rougissant
— Nous n’avons pas pu finir notre discussion vendredi après-midi
— Ah oui ? Et de quoi parlions-nous ? Fis-je espiègle
— Du fait que tu souhaitais créer un lien entre nous
Une sensation particulièrement agréable et devenue familière me prit le bas ventre.
— Que voulais-tu savoir ?
— Ce que tu avais ressenti
j’admirais le calme avec lequel elle me chauffait les sens, les yeux dans les yeux. Il était impossible qu’elle ne soit pas dans le même état que moi. Pourtant, elle donnait le change avec un contrôle impressionnant.
— Je pense que tu le sais déjà, répondis-je avec une attitude effrontée.
Touchée la belle, je la vis enfin s’empourprer.
— Je l’imagine, mais je préférerais que cela vienne de toi.
— J’ai pris beaucoup de plaisir à porter ta culotte, au propre comme au figuré.
— Cela veut dire ?
— Que lorsque je te l’ai rendue, elle n’était pas aussi propre que lorsque je l’ai trouvée.
— As-tu ressenti quelques émois en l’ayant sur toi ?
— Peut-être même plus
— Te serais-tu satisfaite avec elle ? Sa voix devenait de plus en plus rauque.
— C’est possible
Me regardant droit dans les yeux, elle releva sa robe. Elle exhibait l’objet de toutes mes convoitises.
— J’ai vu que tu n’en avais pas, je vais donc te faire cadeau de la mienne pour que tu la portes à nouveau.
Je n’en croyais pas mes oreilles ! Elle baissa sa culotte sensuellement me faisant découvrir son petit buisson taillé bien ras. Je discernais une tache sur l’entre-jambe qui me paraissait peu équivoque Elle s’agenouilla devant moi, souleva une de mes jambes, puis l’autre pour faire monter son bien le plus intime le long de mes cuisses. Lorsque la culotte entra en contact avec mon sexe, je sentis son humidité sur mes lèvres, ce qui me fit partir dans un orgasme sans même qu’elle m’ait touchée. Je crus défaillir et je me rattrapais juste à ses épaules pour ne pas tomber. Elle se releva un grand sourire aux lèvres.
— C’est bien ce que je pensais, tu peux la garder jusqu’à ce soir, dit-elle en passant un doigt sur ma joue.
Encore tremblante, j’avais de la peine à rassembler mes esprits. Les garçons avaient pris place à table et Paul vint chercher une bouteille de rosé. Véronique fit encore preuve d’une maîtrise qui me laissait envieuse en lui tendant le tire-bouchon.
En passant devant elle pour rejoindre la table, je lui susurrais à l’oreille :
— Tu ne perds rien pour attendre
— J’espère bien, dit-elle en éclatant de rire
Nous étions assises l’une en face de l’autre et nous poursuivions une conversation sans grand intérêt. Elle me regardait avec un petit sourire narquois, qui me laissait penser que je m’étais faite abuser. Elle avait tout planifié, et j’étais tombée dans son piège avec un ravissement sans égal. Je devais lui sourire béatement lorsqu’elle me fit remarquer que mon décolleté n’était plus aussi convenable qu’au début du repas. J’accentuais alors son échancrure me lançant ainsi dans une opération séduction. La voir lorgner sur ma poitrine ne fit que renforcer mon excitation. Mes pointes de sein étaient saillantes, et je me penchais légèrement pour qu’elle puisse en profiter. Je ne suis pas d’un naturel exhibitionniste, mais je voulais me rendre la plus attrayante possible.
Me débarrassant de mes chaussures, je m’enhardis à poser le pied contre sa cheville. La proximité de nos époux respectifs rendait la situation encore plus scabreuse. Au début, elle ne broncha pas, mais lorsque mon pied remonta le long de son mollet, je la vis tressaillir. J’avais enfin une emprise sur elle. Il ne faut pas oublier que quelques heures auparavant je nageais en plein doute quant à l’avenir de notre relation. Son attitude dans la cuisine avait été sans équivoque. Je brûlais de désir à répondre à la provocation par la provocation.
Mon pied avait atteint et dépassé le genou et se frayait un chemin entre ses cuisses qui s’écartaient imperceptiblement. C’était notre premier contact charnel et je remerciais intérieurement Véronique de m’avoir fourni un ultime rempart empêchant ainsi mon émoi de tacher ma robe. Ce n’était plus son cas. Elle dut voir une lueur perverse traverser mon regard parce qu’elle rougit en baissant les yeux tandis que mon pied poursuivait sa progression. Elle écartait maintenant très largement les cuisse donnant ainsi un assentiment à mon intrusion. Mes orteils entrèrent en contact avec son pubis et je la vis respirer de façon saccadée. Trop absorbés par leur discussion politique, nos maris ne se doutaient de rien. C’est le moment que je choisis pour débusquer son clitoris avec le gros orteil. Je le fis rouler, et il doubla de volume en quelques secondes. Véronique ne tenait plus sur sa chaise. Le regard vissé dans le sien je pouvais voir monter la vague qui n’allait pas tarder à la submerger.
Elle se leva brusquement prétextant devoir faire le café, et elle se précipita dans la maison. Une auréole ornait sa robe blanche au niveau des fesses. Je me décidais alors à la suivre. Personne dans la cuisine, j’entendis de petits bruits dans le couloir dans lequel je m’engageais. Dans sa précipitation, Véronique avait laissé la porte des toilettes entrouverte. Assise sur la cuvette, elle m’offrait un spectacle ravissant se masturbant les yeux révulsés.
— Tu es belle lui, lui dis-je
Surprise, elle ouvrit les yeux et fut prise d’un fulgurant orgasme alors que je m’approchais. Ses cuisses tremblaient et son ventre était pris de convulsions tant la jouissance était forte.
Elle leva les yeux vers moi, le regard empli de reconnaissance.
— C’est bien ce que je pensais, lui dis-je en lui caressant la joue avec le doigt.
— Viens m’embrasser, fut sa réponse en m’attirant vers elle
J’étais à genoux entre ses cuisses écartées, la bouche collée contre la sienne. Ce baiser sembla durer une éternité, quelle douceur
— Il faut que je me change dit-elle en reprenant ses esprits, mais d’abord il faut que je me soulage.
Sans aucune gène je la vis faire pipi en me souriant.
— Ben quoi, c’est naturel !
Je savais que j’allais conserver cette scène dans mon esprit pendant longtemps.
— Non laisse-moi t’essuyer, la suppliais-je
C’est avec un joli sourire qu’elle accepta. Je ne pris qu’une seule feuille, qui bien entendu se déchira laissant mes doigts directement en contact avec ses muqueuses encore humides.
— Tu es une petite cochonne, me dit-elle, mais ça suffit pour aujourd’hui.
Je la laissais à regret non sans lécher discrètement mes doigts.
Nous retournâmes à table, comme si de rien n’était, mais si nos maris avaient été plus attentifs, ils auraient pu voir que nos yeux brillaient de bonheur.
La fin de journée arrivait, il était temps de nous quitter.
— Ne dois-tu pas me rendre quelque chose ? Chuchota Véronique.
Je me contorsionnais sur mon siège pour retirer discrètement le fin tissu maculé de nos deux sécrétions intimes. La culotte était trempée lorsque je la lui remis dans la main.
— Je vais en faire bon usage pendant ces quelques jours
— Je vais être frustrée de ne pas avoir de trophée, lui répondis-je.
— Je crois que tu auras de beaux souvenir plein la tête, non ?
— Oui, mais rien d’aussi intime.
Mon coeur battait la chamade. Devenais-je amoureuse ?
La séparation fut douloureuse. J’embrassais chaleureusement Véronique sur la commissure des lèvres ce qui la fit une nouvelle fois sourire.
— Tu es une petite polissonne, dit-elle en me toisant. Je t’appellerai dès que je le pourrai.
— Tu vas me manquer.
— Attends mon retour. Qui sait ce qui se passera ?
La journée se terminait, et je pensais aux merveilleux instants en la compagnie de Véronique. Exténuée, je m’endormis rapidement, non pas dans les bras de Morphée, mais bien ceux de Véronique.
***********
Deux jours plus tard, je recevais enfin des nouvelles par SMS :
« Désolée, mais je n’ai pas pu me libérer plus tôt. Je peux t’appeler ? »
« Tu m’a faite attendre ! J’étais inquiète. Appelle-moi vite »
Dans la seconde le téléphone sonnait.
— Bonjour Claire. Je te prie de m’excuser, mais j’ai été très troublée par notre dernière rencontre, et il fallait que je fasse le point.
— Tu n’as pas apprécié notre « complicité » ?
— Si, justement Un peu trop peut-être, mais
— Mais ?
— Je pense beaucoup à toi et j’ai du mal à me projeter dans l’avenir.
— C’est à dire ?
— Tu m’as parlée d’un de tes fantasmes, et depuis l’idée m’obsède un peu
— La fessée ?
— Oui, et tout ce qui va avec Je ne sais plus où j’en suis. Lorsque tu m’as surprise dans les toilettes, j’ai eu un sentiment de honte tellement fort qu’il a déclenché mon orgasme. Je me suis sentie humiliée, et j’ai aimé ça. Depuis, dès que je suis seule, je n’arrête pas de me caresser en pensant à ce que tu pourrais me faire ou me faire faire..
— Comme maintenant ?
— Oui
— Tu voudrais que je te dise quoi faire ?
— Ouiiii
— Décris moi ta tenue
— je porte un mini short et un chemisier noir. En dessous une culotte rouge en dentelle et un soutien gorge sans bonnets. Sachant que j’allais te téléphoner, j’ai dû mettre un protège-slip. Je suis toute seule. J’ai ouvert ma braguette. j’ai envie d’être à toi.
— C’est bien ! Es-tu prête à me suivre ?
— J’adorerais être ta soumise, je ferai ce que tu me diras.
— Tu vas caresser tes seins sur le chemisier. Tire sur les pointes, plus fort ! Dis-moi ce que tu ressens !
— Mmm, Je me liquéfie, je suis trop excitée, continue ma chérie
— Maintenant, tu peux faire glisser un doigt sur ton sexe, lentement, de haut en bas, mais sans jouir !
tu ne pourras le faire que quand je t’en aurai donné la permission ! Hou la la je me lâche, on continue ma Véro ?
— Ouiii, oui claire je t’obéis. mais vite j’ai envie de jouir. Insulte-moi mon coeur, s’il te plaît, insulte-moi.
— Petite salope, si tu es aussi cochonne que tu le prétends, ta serviette doit être humide. Je veux que tu la sentes.
— La serviette est trempée, elle s’est déchirée. Elle est gluante et très odorante.
-Tu peux maintenant reprendre la caresse sur ton sexe, lentement, tu fais tourner le doigt sur le clitoris, puis tu descends vers ton puits d’amour pour le remplir. Voilà, tu fais des va-et-vient de plus en plus rapides en te caressant le clito de l’autre main. Je te mordille l’oreille pendant ce temps. Sens-tu ma langue ? Je t’interdis de jouir !!! Pas encore !
— Je n’en peux plus Claire. Je voudrais que tu me fasses goûter ta cyprine et ton pipi.
— Tu es une véritable cochonne ! Bien tu as mérité que je me dresse devant toi les jambes écartées. Je remonte lentement ma robe pour découvrir ma culotte aussi trempée que la tienne. Tu ne me touches pas ! J’enlève ma culotte et dans ma position, mon sexe s’entrouvre même si les lèvres sont un peu collées par la cyprine. Je t’ordonne de t’approcher pour me sentir, plus près encore plus près, STOP ! Je veux que tu écartes mes lèvres avec la langue, oui, comme ça ! Tu peux lécher maintenant . Hum, je sens ta langue me pénétrer, c’est bon petite salope, tu lèches bien. Es-tu prête à me recevoir ?
— Tout ce que tu voudras maîtresse
— Je te demande d’ouvrir la bouche… ça va venir, tu pourras jouir lorsque j’aurai commencé à faire pipi dans ta bouche et sur tes seins. Une douche dorée sort de mon sexe pour souiller ma petite chienne adorée. Viens maintenant, lâche-toi et jouis !!!
Notre jouissance simultanée dura de longues secondes.
Les yeux révulsés, je me concentrais sur l’exquise sensation de dominer Véronique. Je n’entendais plus que des râles à l’autre bout du fil.
— Véro ? Ça va ?
— Oui, c’était trop bon répondit-elle essoufflée. Je crois que je suis en train de tomber amoureuse.
— Ah bon et de qui ? fis-je en riant
Je l’ai sentie rougir au téléphone.
Notre conversation s’éternisa à base de mots tendres.
Comme elle partait le lendemain dans une zone sans réseau, nous nous quittâmes avec regrets. Elle ne rentrait que dans trois jours.
J’attendais impatiemment son retour…