02 Février 2019: Une nouvelle règle: une élève/soumise annelée n’a pas vocation à porter une culotte. Dorénavant telle sera ma condition. Je ne porterais plus de sous-vêtements bas sauf les jours de menstruation. Je porterai un soutien-gorge lorsque je serai dans le cadre professionnel, puis en rentrant à mon domicile, je dois l’ôter, dans le but de systématiser ma nudité. Une nouvelle règle qu’il me faut mettre en application sans délai, aucune tolérance ne sera acceptée.
Je me sens indécente à l’idée de ne pas porter de culotte – il me faut accepter cette nouvelle étape, je ne peux pas, je ne dois pas désobéir sinon je serais punie.
05 Février 2019: En déplacement professionnel pour deux jours, j’ai une chambre d’hôtel à Rambouillet, où je reçois mon Professeur ce jour à partir de 15h.
Chambre 325, une belle chambre spacieuse propice à bien des jeux.
Il me donne les instructions: je dois laisser la porte entrebâillée, l’attendre nue, accroupie, en PJ, mains dans le dos, offerte, cuisses ouvertes.
En véritable soumise docile, j’exécute. Deux sentiments se mélangent, je me trouve dans une situation très indécente, imaginant que la porte puisse être poussée par le room service ou encore un client curieux de trouver une porte entrebâillée, probabilité infime mais non nulle.
Et puis cet autre sentiment, où je m’offre à lui, soumise et indécente, totalement humide, mon bas-ventre me tiraille et cette envie, ce besoin qu’il me touche.
Il entre, un regard scrutant la position de son élève, il me pose un doux baiser sur les lèvres et me masque la vue, me lie les poignées dans le dos et je suis ainsi encore plus offerte, il prend possession de son dû, de son élève.
La tendresse de ses baisers dans mon cou, sur mes épaules marque toujours ce premier temps d’approche lorsque nous nous retrouvons après une semaine, puis ses mains, ses doigts fouillent ma chatte, jouant avec mon anneau et le martinet jouet devenu indispensable.
Je suis si bien, il me dit combien il est satisfait de me trouver dans un tel état, humide et ouverte. Ses mots ont un fort impact, il enfonce profondément ses doigts dans ma chatte, bien plus loin qu’habituellement, je sens une sensation de plaisir incontrôlable, je lâche tout, telle une débauchée, je gicle de plaisir, dégoulinante entre ses doigts et sur cette moquette de sol, impudique, je me découvre soumise fontaine.
Cet état est difficilement descriptible tellement il est intense et puissant, je me sens honteuse d’être aussi indécente devant lui. Je suis à bout de souffle, comment cela est-il arrivé?
Il murmure à mon oreille combien me voir ainsi est un état de grâce pour lui et combien il aime avoir une Soumise squirteuse.
L’un des plus beau lâcher-prises que je peux lui offrir : cet instant si indécent au combien jouissif pour lui cérébralement.
Pour autant, il ne me laisse aucun répit, sa queue dans ma bouche, ses doigts dans ma chatte, la soumission se révèle à moi telle une évidence, un abandon nécessaire à mon plaisir. Je comprends combien ma docilité et l’asservissement sont une nécessité impérieuse dans cette éducation que je chéris tant auprès de lui, que je ne pourrais plus revenir en arrière, ne plus goûter à une sexualité fade et sans aboutissement.
L’utilisation des pinces entre en scène, toujours cette profonde douleur au début, mais il a les moyens de détourner mon attention, il me flanque sa queue au plus profond de ma gorge, tel un «doudou». Le sucer me détourne de cette douleur et plus que tout l’apaise, un effet anesthésiant, se transformant en véritable plaisir. Le contrôle de la douleur par le plaisir, ce n’est pas explicable. C’est un état de transe, suffisamment et correctement dosé par mon Professeur.
Sa queue source de tous les vices, en position sur mes jambes tremblantes, croupe relevée, l’avant de mon corps sur le lit, il me saillit, intensément, profondément ma chatte puis mon cul alternant avec le martinet. Je jouis à plusieurs reprises.
J’aime sentir sa queue dans mon Cul, puis ma gorge, ma chatte, il alterne, usant de tous les orifices à sa disposition. Il peut en être ainsi car je prépare mon Cul avant chaque séance par des lavements, il y veille et contrôle mon application.
Positionnée à quatre pattes, croupe relevée, buste plaque sur le lit, il me pilonne et jouit sur mon dos. Je le sens gicler, la chaleur de son foutre, c’est exquis. Il étale copieusement sur mon dos et me fait lécher ses doigts, jusqu’à la dernière goutte.
Le plaisir de partager cette coupe de champagne, d’échanger sur mon lâcher-prise lors de cette séance, très significatif, confronter nos points de vue sur différentes lectures, ces temps de pause sont aussi précieux que le reste, être prise dans ses bras et s’abandonner, s’assoupir le temps d’un instant pour le réveiller et user de ma bouche et de ma langue pour éveiller son désir, voir son sexe gonflé, le sentir gicler au plus profond de ma gorge, lécher jusqu’à la dernière goutte de sa jouissance.
Mes séances éducatives sont intenses, je ressens une grande fatigue à la fin de chacune d’elles.
Nous évoquons un nouveau sujet : mon Professeur juge qu’il est temps d’évoluer en soirée multi – il compte m’offrir.
La soirée est prévue semaine prochaine, il me donnera toutes les directives. Il sera présent à mes côtés et m’observera évoluer et mettre en application ce que j’ai appris. Une certaine appréhension m’envahit : la peur de ne pas être à la hauteur, qu’il ne soit pas fier de moi mais il me rassure, m’encourage, et me dit qu’aujourd’hui encore il me place au tableau d’honneur. Je lui souris.
Je serais une Magnifique Salope, Sa Magnifique Salope. Je suis Sienne.