Je m’appelle Lisa, j’ai 18 ans et je vis aux alentours d’Angoulême, je vais vous raconter ma semaine assez bien chargée
Dimanche : Tout à commencer ce soir-là ….
23H00 : Fin du weekend je me couche tard, pas eu le temps de préparer mes affaires pour le lendemain, bon ce nest pas la première fois je le ferai demain matin.
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Lundi :
6h30 : Réveil, bah je dois préparer mes affaires évidemment la tête dans le cul, il fait chaud en ce moment, je prends un petit top, une jupe, hop on change d’armoire je prends un soutien-gorge et mince pas de culotte, il doit surement y’en avoir des propres non pliées à la cave que ma mère n’a pas eu le temps d’apporter, j’irai en prendre une avant de partir, sans oublié le maillot de bain et oui, lundi piscine !
7h00 : Je prends mon petit déjeuner tout en regardant la tv, je ne vois pas le temps passer évidemment, il est déjà 7h30; pour 8h00 ça va être juste si je ne me dépêche pas un peu. Aussitôt dit, aussitôt fait je prends un petit gilet car le matin le vent est frais, je saute devant l’armoire à chaussures, je me bat avec celles de mon frère et de ma mère pour en trouver une paire a moi, j’aperçois la paire de samedi soir avec lesquels j’étais en soirée des talons aiguilles de 7 – 8 centimètre environ et bien je vais prendre ça il est déjà 7h40 mine de rien ! Je me dépêche autant que possible, le lycée n’est pas si loin mais en talons aiguilles je ne fais pas m’amuser à courir au risque de tomber.
8h10 : Arrivée au lycée avec juste un peu de retard ce nest pas si mal, j’entame la première partie de la matinée avec Français et Mathématiques.
10h00 : C’est la pause ! Avec mes copines on va s’assoir sur l’herbe en tailleur pour discuter et au bout de 2 minutes une de mes amies me fais remarquer discrètement que j’ai oublié quelque chose MA CULOTTE ! Évidemment, je me lève brusquement avant que quelqu’un d’autre s’en aperçoit et je me dirige vers les toilette, m’enferme dans une cabine. Deux options s’offre à moi, Numéro 1 : Je tente le diable et je reste sans culotte en jupe, Numéro 2 : je mets mon maillot de bain. J’opte donc pour l’option numéro 2, évidement j’ai pris le nouveau maillot de bain une pièce obligé de me déshabiller pour l’enfiler.
10h09 : Je me retrouve nue en talons aiguilles dans les toilettes du lycée j’imagine bien que certains garçons serait ravi de se rincer l’il, m’enfin bref je mets vite le maillot, je jette le soutien-gorge dans mon sac de piscine, et remet mon top et ma jupe et la sonnerie ne manquant pas son heure se mit a sonner 10h20.
12h00 : C’est l’heure de manger on prend nos sandwich et on mange sur la route de la piscine car on doit se rejoindre là-bas.
13h50 : Le cours sest déroulé correctement, et la revint le moment crucial auquel je n’avais pas pensé ce matin, mon maillot étant mouillé je ne peux le garder cette après-midi, je n’ai pas le choix je dois tenter le diable et passer la fin de journée sans rien sous ma jupe.
16h00 : Jusqu’à là je ne me sens pas très à l’aise mais au fil du temps j’oublie ce qui n’est pas forcément mieux puisque je ne ferais que moins attention.
17h10 : Sur le chemin de chez moi, les écouteurs dans les oreilles ne pensant a rien un gars de ma classe se pointe devant moi, je retire mes écouteurs et il me fit comprendre qu’il a vu qu’il me manquait quelque chose aujourd’hui, je lui explique que ce n’est pas grave et que personne ne pourra le croire sur paroles, il me répond qu’il était d’accord avec moi ce pourquoi il a pris des photos, il me les montres et quand je les vois, par reflex j’essaie d’attraper le téléphone, sans succès, il m’explique de que de toutes façons il avait déjà fait des copies. Je lui dit qu’on ne voit pas que c’est pas et que ce n’est pas grave, a ce moment-là il acquiesce tout en me bousculant sur le talus à côté du chemin, tout en me bloquant les bras il prenait une vidéo en exposant bien ma tête et bien sûre en soulevant ma jupe, là il avait tout ce qu’il voulait pour me faire chanter…
17h30 : Devant chez moi il ne put s’empêcher de me donner comme directive que de ne plus mettre de sous vêtement jusqu’à ce qu’il change d’avis.
18h00 : Dans ma chambre attendant le dîner je repensais à ce qu’il c’était passer tout à l’heure mais ne trouvant pas d’alternative je dû me résoudre à exécuter ce qu’il me dit si je ne veux pas voir ma réputation passer de fille normale à pute …
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Mardi :
6h30 : Réveil, je fais tout comme hier à la différence que je ne suis pas en retard ce matin pour une fois. Sur le point de partir j’hésitais à me remettre en jupe, ce vicieux serait capable de bien des choses…
7h20 : Je décide donc au dernier moment de changer, jean ou survêt ? Le jean risque de me gêner a cause des coutures mais le survêt’ n’est pas très approprié. Au final je prends un short en jean et un long T-shirt, et mes baskets et c’est parti !
7h30 : Je sors de chez moi un peux anxieuse, et qui m’attend devant l’allé ? Monsieur le pervers que je nommerais dorénavant " Arthur ".
7h45 : Sur le chemin, tout en parlant Arthur me dit quil avait une surprise pour moi, je lui demandai ce que cétait, il ne voulut me dire ce que cétait mais il me dit que je le saurais en temps voulu.
7h55 : Arrivées au lycée il me dit dattendre une minute et de le rejoindre dans les toilettes des filles Une minute plus tard je mexécute et le rejoins dans les toilettes je dois dire que jétais à la fois mal à laise du faite de navoir ni culotte ni soutien-gorge, stressée par le faite quil possède des photos compromettantes sur moi, et je dirais que je suis un peu excitée de savoir ce quest la surprise quil me réservait, je mimaginais que peut-être cétait les preuves en question sans aucunes autres copies.
Arrivée au toilette jentre dans la cabine ou il est, et bien apparemment ce nétais pas les preuves puisquil tenais dans sa main des boules de geisha, il me dit quil allait me les mettre et que je devais les porter tout la journée, je pris quand même la peine de refusé pour voir comment il allait le prendre, il me répondit que cétait soit les boules de geisha soit un plug anal, ne métant servi quune seul fois dun plug anal et je navais pas vraiment apprécier du moins pas autant que les boules de geisha, je décida de prendre quand même les boules et à ce moment jhésitais encore entre deux émotions, effrayée par le faite de devoir les porter toute la journée ce que je navais jamais fait car les seules fois où je men suis servi cétait pour mon plaisir personnel, chez moi donc pas plus de 2heures ou alors excitée encore une fois je ne savais pas ce qui était le pire, de me faire gaulé par un pervers de ma classe juste parce-que jai oublié de prendre une culotte le jour précédent ou alors dêtre excitée par ce qui arrive et ce qui peut arriver par la suite. Jai donc acceptée les boules de geisha mais en insistant sur le faite que je ne voulais pas quil soit là, que je voulais me les introduire par moi-même.
8h05 : La sonnerie fais sont travail et je sors comme si de rien était pour aller en cours, en classe je massoie au fond dans un coin en prétextant que jai mal à la tête que je que vais dormir, Arthur viens se mettre sur la chaise à côté de moi, là où personne ne va jamais, le cours se déroule bien dans lensemble je commence à somnoler quand soudain je sens une main sur ma cuisse, je fais un saut et là il me dit de baisser mon short, je nai pas accepter tout de suite, si quelquun le remarquais jétais encore plus mal mais bon je navais pas vraiment le choix non plus.. Alors je baisse le short de 15 centimètres environs, et il insiste pour que je le baisse plus bas, toujours plus bas jusquà ce quil le baisse lui-même en me le retirant complètement, « ça ne va pas la tête rend le moi ». Mais il nétait pas de cet avis, il le mit dans son sac, palpa pour vérifier que javais correctement mis les boules de geisha en moi et là il sortit une toute petite jupette en me disant quil lavait pris à sa sur de 14ans exprès pour que ce soit petit. Nayant pas dautre choix, je la prends et lenfile le plus vite possible, personne na rien remarqué apparemment.
10h00 : La pause, il va peut-être enfin me lâcher pour que je puisse aller avec mes copines, mais non il nétait pas resté à côté de moi mais sans être bien loin non plus.
10h20 : Dans les couloirs il me fit attendre que le monde se disperse pour me dire quelque chose, il avait entendu que puisque mes parents ne serait pas là ce week-end jinvitais mes copines pour la nuit et me dit dannuler et quà la place cest lui qui viendrait chez moi, je nai pas voulu poser trop de questions et jai dit que cétait ok pour ce week-end.
17h10 : Sur la route du retour à la maison, il me raccompagna jusquà devant chez moi et me rendit mon short tout en me disant de garder la jupette et de lui rendre les boules de geisha demain et me précise de ne continuer à ne pas mettre de sous-vêtement.
20h00 : Je me pose dans mon lit et comment à avoir des douleurs au vagin, pourtant elles ne mont pas gênées temps que ça aujourdhui cest a peine si je les ais remarquées, je me détends donc je ne mettrais pas de bas de pyjamas cette nuit pour laisser aérer un peu au cas où il moblige à en remettre demain.
Mercredi :
6h30 : Réveil, la tête dans les roses, jai eu du mal à mendormir la vielle, comme dhabitude même planning cette fois je ne veux pas me faire surprendre par les magouilles de Arthur je mets un jean, même si la couture le gêne tant pis.
7h30 : Je sors de chez moi bien évidemment il est là à mattendre, planter comme un piquet devant chez moi.
7h50 : Un peu avant le lycée on passe devant une espèce de local abandonné, vide. Je lui rends les boules mais il me dit, pas la peine que je vais devoir les remettre alors je lui sors lexcuse comme quoi jai mal et que cétait enfler, alors il me répondit instantanément quil sy attendait et il me tend le plug anal dhier auquel jai échappé Pas le choix jenlève mon jean et il me dit de ne pas minquiéter quil a du lubrifiant et quil va maider à linsérer, cette fois je nai pas refusée. Je mallonge sur le dos et ramène mes jambes vers moi puis le laisse faire, il prend la bouteille de lubrifiant, et marrose lanus et le vagin sans faire de différence puis il commence à rentrer doucement le plug, a 2 centimètre je pousse un petit gémissement et il me répondit « ta gueule » et menfonça le plug en entier mais avec le lubrifiant cétait assez délicat même si il devait faire un peu moins de 10 centimètres. Une fois le plug mis et moi debout je lui demande de quoi essuyer le lubrifiant et il me répondit quil ny avait pas pensé que je devais remettre mon jean tel quel, sans autres choix, je remis donc mon jean, il men avait sacrément mit, au point de faire une tâche sur le jean et quil men dégouline sur les cuisses et le long des jambes.
8h00 : On arrive au lycée, lui est partit devant, moi je vais rejoindre mes copines, mal à laise avec le lubrifiant qui est encore sur moi, je suis pressée de prendre ma douche !
8h10 : On rentre en classe au moment de massoir jhésite un peux, jy vais tout doucement, je sens le plug senfoncer encore plus, une fois complètement assise je ne bouge plus dun poil jusquà la sonnerie.
10h00 : Je sors de classe tranquillement, je men vais rejoindre un groupe de personne parmi lesquels mes copines. On discute pendant 5 bonnes minutes et puis au loin je vois Arthur qui me fais signe daller aux toilettes, jy vais instantanément puis il me rejoins quelques secondes plus tard. On vérifie quil ny ait personne susceptible dentendre ce quon a à dire et il se lance en premier « Viens dans une cabine tu vas me sucer » Ne sachant pas quoi dire de toutes façon, je mexécute, rentre dans la cabine et commença la fellation, il était en érection son membre nétait pas si énorme que ce à quoi je mattendais je dirais 16 centimètres approximativement.
10h15 : Après 10 minutes de fellation il na toujours pas éjaculé, il repousse ma tête et me plie en deux puis me prend dun coup en levrette sans même que je my attende. Au bout de quelques minutes jai un orgasme ce qui eut pour effet de contracter mon vagin et qui le fit donc éjaculer en moi.
10h20 : Sonnerie. Il me dit de retirer le plug, que javais gagné mon après-midi et aussi de prévoir des protections en plastique pour ce week-end, je nai pas compris sur le moment pourquoi mon bon je verrai bien au moment présent.
17h50 : Fin de la journée épuisante, il ne ma même pas raccompagné jusquà chez moi, il tient paroles apparemment.
20h10 : En sortant de la douche il menvoie un sms disant « Demain il va faire chaud habille toi comme une salope de tout façon cest ce que tu es, je veux te voir en talon haut avec la jupette de sa sur (Qui me fait au final une extrême mini-jupe) et ne met pas de haut, jaurai quelque chose pour moi, tu nas quà mettre un gilet pour venir, bien évidement toujours pas de sous-vêtement et tu viendras en avance aussi on se retrouve au vieux local à 6h40 maxi. » Au moins cétait clair la seul chose qui me gênait cétait de sortir sans haut, mon gilet nest pas très chaud et je me demande ce quil va me donner a la place
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Jeudi :
6h00 : Réveil, je me prépare évidemment je fais tout comme il ma dit je prends mes talons hauts je mets la mini-jupe mon gilet, et 6h20 je suis dehors et à 6h35 je suis au local quand jarrive je ne peux mempêcher de voir quil y a une valisette posé là, sans avoir le temps de regarder dedans jentends Arthur arriver. Il me dit bonjour, tout en vérifiant que je nai mis ni sous-vêtements ni haut, et puis il me dit aujourdhui tu vas mettre le plug et les boules de geisha, je ne lavais encore jamais je me sentais mal à laise rien que dy penser coup il ouvrit la valisette y pris un plug plus gros encore que celui de la veille et les boules de geisha, il maspergea de lubrifiant encore une fois, puis commença à me pénétrer, non seulement je ne my attendais pas mais dès le matin cest un peu rude quand même et pour ne pas que je crie il me mis du scotch marron sur la bouche au préalable et éjacula en moi. Une fois fini il minséra le plug dun coup sec qui me fit pousser un cri étouffé par le gros scotch, puis il me mit les boules et il prit un petit élastique quil entoura autour de mon clitoris et sortit de la valisette une corde quil se servit pour attacher mes seins à leurs base en serrant très fort ce qui eut pour effet de les faire gonfler, et pour finaliser le tout il prit des pinces a tétons relier entre elles. Quand il menleva le scotch je lui dis que ça faisait mal mais il me répondit que cétait fait pour, et lui dit que les tétons et les pinces vont trop se voir avec le T-shirt mais il me dit en esquissant un grand sourire que cest justement pour ça que je nallais pas en mettre. Je suis restée pendant 2 minutes sans rien dire avec un bug dans ma tête puis lui dit quil était fou, ça ne lui a pas plus il ma donc dit que si je faisais encore une remarque désagréable comme celle-ci il balançait les photos de moi. Nous partons donc au lycée tout en en profitant pour me donner une grosse claque sur les fesses.
12h00 : Toujours extrêmement mal à laise de puis se matin, lheure de manger je suis allée avec mes amies dans un coin plus isolé, et la une amie me fait la remarque que je mhabille de plus en plus en salope en ce moment du coup on va plus loin là où il ny a personne pour que je lui explique car cest ma meilleur amie que jappellerai Eve, je lui montre donc que je nai pas de T-shirt mais quand plus de ça je suis remplie de partout, elle me demande pourquoi jai fait ça après lui avoir expliqué Arthur nous à rejoins et eu lénorme idée de dire à ma copine que si elle se pliait pas à sa volonté il balançait les photos de moi, mon amie et moi étant extrêmement proche accepta. Il lui fit donc retirer ses sous-vêtement avant de jeté carrément sont soutien-gorge et lui dire de sintroduire sa culotte dans le vagin, elle sexécuta le plus vite possible de peur dêtre prise pas quelquun qui passe par là.
17h00 : Sur le retour nous allons tous les trois dans labri abandonné, Pour retirer ce que nous subissons. Il me retira donc tout ce que javais en moi et sur moi, puis retira la culotte de ma copine de son vagin, elle était remplis de cyprine, il me la tendu et me dit de la mettre dans ma bouche jai vraiment hésité au début puis y suis allé à contre cur, ce nétais pas si mauvais que ça. Une fois recraché, il fourra ma copine et une fois son affaire fini, il nous dit de venir sexy mais en legging demain et de venir plus tôt comme ce matin.
21h00 : En parlant à ma copine par SMS je lui dis que ce quil voulait cest quon ne mette pas de sous-vêtement quon shabille comme des putes et quon se plis à ce quil veut faire de nous.
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Vendredi :
6h00 : Le réveil, je noublie pas de mettre un legging et juste au cas-où je mets une robe assez longue et des cuissardes avec talon de 12 centimètres, je pense que cest assez sexy pour lui et même si ça ne lui plaît pas cest comme ça, cest mis.
6h30 : Je suis au local, Eve et Arthur y sont déjà, Eve avais les des ballerines, le legging et un top normal. Quant à moi, quand il vu que javais une robe est des cuissardes il eut lidée de me faire retirer le legging, (je my attendais) puis nous tendis un uf vibrant chacune, nous expliquant de nous le mettre dans notre vagin et quil le fera vibrer aujourdhui quand il le voudra. Une fois lobjet en nous il essaya pour voir si ils fonctionnaient correctement et au vu de comment Eve jouissait, le sien fonctionnais à mon tour, il lui mit une grosse baffe el lui disant de ne pas crier comme ça, le mien aussi fonctionnait correctement et je ne pus empêcher un cri de sortir, il me baffait aussi.
9h~~ : Il activa le miens un petit cri sortit, personne ne le remarqua dans la classe, il augmenta le niveau de vibrations, je me dandinais comme pas possible sur ma chaise, je commençais à mouiller, et pas quun peu, je relevai la robe pour pas la mouiller, et la mouille stagnât sur la chaine sous mes cuisses.
10h05 : A la pause, il activa celui dEve qui était assise, elle a fait un bond pour se mettre debout, puis se mise à mouiller pas mal, sont legging était trempé au niveau de lentre jambe, je voyais biens quelle était mal à laise et lui dit que jétais désoler de lavoir mêlée à ça mais sans même navoir pu finir ma phrase il réactiva le mien pendant plus de 2 minutes ce qui me fit mouiller énormément, la cyprine coula le long de mes jambes pour aller dans mes bottes, je ne trouvais pas ça dérangeant et jappréciais même bien.
15h00 : Pause de laprès-midi, il rejoua au même jeu que ce matin à nous faire nous dandiner et mouiller comme des salopes, moi ça ne me dérangeais pas au contraire mais je voyais que pour Eve ce nétais pas le cas
17h10 : Dans labri, il prit le scotch nous en mit de façon à nous attacher les mains le long du corps et puis les jambes attachées aussi, il avait évidemment retiré le legging dEve puis il laspergea de lubrifiant pour lui rentrer le gros plug anal mais en allant doucement. Une fois ligotées ne pouvant plus bouger un doigt, il activa les deux ufs vibrant quil laissa actifs pendant près de dix minutes, nous étions couchées à terre gigotant comme des poissons hors de leau et tout aussi trempé, je pense navoir jamais autant mouillé de ma vie. Bien que ce soit de plaisir que nous jouissions et crions nous étions heureuse quand il les arrêtait, il nous les retira puis commença à nous masturber toutes les deux, nous nen pouvions plus nous étions à bout de force mais je continuais de mouiller comme une folle et idem pour Eve, à la fin il essuya ses mains dans ma robe, puis nous détacha et dit à Eve de venir chez moi pour ce week-end.
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Samedi :
11h00 : Arthur arriva, Eve était déjà là nous avons parlé jusquà midi puis nous avons mangé.
14h00 : Il demanda où sont les chambres, nous allions dans la mienne qui est aussi celle de mon frère, nous avons deux lit donc dans la même chambre, comme il me lavais dit jai mis des protections sur les lit et puis il sortit des menottes, là jétais heureuse, jaimais ça la soumission en fin de comptes ; il nous a donc mises en étoile sur le dos pour nous attacher mains et pieds au barreaux du lit, ne pouvant sen empêcher il pris des photos. Jétais habillée avec un legging et des talons de 5 centimètres et un chemisier à carreaux, Eve avait mis un collant et des bottines avec un mini short et un top basic. Il nous retira dabord les chaussures puis il prit une paire de ciseaux et découpa nos habits, nous ne voulions pas mais ne pouvions pas bouger au risque de nous faire entailler Une fois nue, nos habits découpés et a terre il nous remit les ufs vibrant ainsi quun plug après nous avoir bombardées de lubrifiant tout le corps, pour ma part je pointais comme pas possible et mouillais à fond aussi mais ça ne se voyait pas avec la tonne de lubrifiant, puis il nous a mis une culotte quil prit dans mon tiroir dans notre bouche et nous mis le scotch marron par-dessus. De temps en temps il samusait à activer les objets.
16h00 : Il ouvrit le tiroir de mes sous-vêtement sortit toutes les culottes, strings et soutien-gorge et commença à tous les découper en mille morceaux, cela ne me gênait pas plus que ça car je métais habituée à ne plus en mettre de tout façons.
18h50 : Nous commencions a trouvé le temps long Il revient dans la chambre, nous retire le scotch et les culottes de la bouche, je demande quand va-t-il nous libérer ? Il me dit quil ne comptait pas nous libérer et que mes parents nous trouverait comme ça et quon ne dira pas que cétait lui car sinon il montre les photos prises de nous a tout le monde. Nous navions pas vraiment le choix à vrais dire
20h00 : il nous apporta un sandwich et nous fit manger puis nous enleva le plug pour nous le faire sucer pour nous le remettre aussi tôt, il nous demanda si on avait envie de faire pipi, alors on a dit oui il a ramené une casserole quil mit en dessous de moi et me dit de pisser dedans, alla prendre une autre pour Eve après avoir fait pipi il prit la casserole dans laquelle javais fait et la renversa au niveau du vagin dEve, elle se débattant comme elle pouvait mais cela ny changeais rien et fit la même chose pour moi.
00h00 : il était partit se coucher sur le canapé dans le salon devant la télé, avant de sendormir il avait activé les ufs vibrants à mon avis il avait lintention de sendormir en nous les laissant activé, nous gigotions autant que possible et pour ma part je mouillais comme pas possible, au bout dun moment je dirais vers 1h30 nous nous sommes habitées aux vibrations et faisions que pousser des petits cris, trempé par la mouille, le lubrifiant, et lurine dEve je continuais de jouir, jaimais cette situation le seul moment non-appréciable cest quand mes parent vont rentrer.
5h~~ : Les piles des ufs se sont éteintes et nous pûmes dormir plus ou moins tranquillement car toujours attachées et pas très à laise du moins pour Eve trempé par mon urine le lubrifiant et sa cyprine.
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Dimanche :
10h00 il nous réveilla, nous dit quil sen allait car les parents allait arriver. Il nous enleva les ufs et me mis une la pomme de douche dans le vagin, le bout large à lintérieure me frottait les parois du vagin mais me faisait beaucoup de bien et il mit le manche dun gros tournevis à Eve, se rapprocha dEve en lui disant quelle le fait bander comme un ouf, et il a commencé une branlette espagnole dans les seins dEve, il faut dire quil sont plus gros que les miens, il éjacula sur sa tête et viens se finir à la main au-dessus de moi il prit le peu de sperme quil avait mis sur mon ventre pour me létaler sur le vagin, et puis il sen alla.
11h30 : Mes parents arrivaient, le gros moment de stress autant pour moi mais aussi pour Eve qui était très bien vu par mes parents. Quelques minutes après ils rentrent dans ma chambre pour voir si jétais là, et oui jy étais bien Ma mère est entrée en première et a bouger pendant 15 secondes sans rien dire puis appela mon père.
12h10 : Mes parents en colère ne faisaient que de me questionner, ne voulant pas leurs dire pourquoi jai fait ça ils mont fait la moral habituelle en me disant que javais le droit davoir des fantasmes mais quils ne devaient pas forcément être au courant etc
Le week-end passa et le dimanche, Arthur mappela en me disant de le retrouver sur le parking du lycée, je me demandais ce quil me voulait encore, donc jy vais et là il me tend un sac en me disant tiens cest toutes les photos/vidéos que jai sur toi et ta copine tu as été une bonne chienne je ten remercie. Je pars tranquillement je ne pouvais pas être sûre quil ne restait pas de copies mais jusquà là il avait tenu paroles alors je le crois et puis ça ne mavait pas dérangée en fin de compte, jaimerai presque recommencer mais de mon plein gré.