Mardi
J’ai mis le réveil à cinq heure moins le quart. J’ai juste le temps de mettre le café en route avant d’aller réveiller mon maître. Et comme dhabitude je le suce. Je sens sa queue gonflée immédiatement. Je la prends entièrement dans ma bouche. Je sens mon maître se raidir. J’insiste, je titille son gland, avec ma main je caresse ses bourses. Mon maître jouit. J’avale tout le sperme.
Mon maître me donne une claque sur mes fesses.
— Bouges toi femelle.
Je me lève et je vais préparer le petit déjeuner de mon maître. Sa valise est prête.
Mon maître vient prendre son petit déjeuner. Je reste à coté de lui, nue, jambes écartées, mes petites lèvres pendent à force d’avoir été étirées. Mon maître tout mangeant s’amuse avec.
— Je suis en séminaire pendant de deux jours, femelle. Je rentre demain soir. Tu mettras luf et tu le gardes jusqu’à ce que je rentre. Pour ce soir, tu mettras la robe bleue, à bouton devant. Et maintenant, va chercher la badine en bambou et montres moi ton cul.
Il a frappé plusieurs fois. Une badine en bambou fait très mal et à l’avantage de bien marquer. Une fois fini, mon maître regarde mon cul et le haut de mes cuisses d’un air satisfait. Voilà dit mon maître. Ainsi, tu te ne m’oublieras pas. Je suis en larme.
Une fois mon maître partit, je vais dans la chambre et regarde mes fesses dans la glace. Il y a de grandes traces rouges. Mon maître a aussi frappé le haut des cuisses. Je passe ma main dessus, je sens les boursouflures. Mon maître a laissé sa marque comme à chaque fois qu’il part. C’est sur je ne l’oublierais pas. J’aime sentir ces marques. Ainsi, je lui appartiens. Là, je vais avoir du mal à masseoir par contre.
Je me dirige vers le coffre ou sont tous les accessoires. Je prends luf. Il est plus gros qu’un uf de poule et surtout, il a une grande particularité. Il fonctionne avec mon portable. Je ne sais pas exactement comment mais mon maître peut faire fonctionner luf en envoyant un message sur mon portable.
Je suce luf, le lèche. Une fois bien humide, j’enfonce luf dans mon vide couille. Il a un peu de mal à rentrer. J’écarte les petites lèvres et je fais un mouvement de va et vient avec luf. Enfin, il passe. Voilà, il est en place. Juste un petit bout de ficelle dépasse. Il faut que j’ai constamment mon téléphone avec moi maintenant.
Il est 6H15. J’ai beaucoup de temps devant moi. J’en profite pour faire du ménage, ranger. Je suis en tenue dEve. Mes mamelles ballottent. Enfin, une fois fini, je vais dans la salle de bain, fais mon inspection quotidienne, enlève les quelques poils disgracieux et je me prépare. Je décide de mettre une robe qui m’arrive au dessus du genoux et pas trop décolletée. Je peux choisir mes affaires comme je l’entends mon maître ayant au préalable donner son accord pour tous mes vêtements.
Quand je suis au travail, je me dois d’être habillée d’une manière neutre. Si mes collègue connaissaient ma vraie personnalité, ils seraient très étonnés et pour certains choqués. Je mets des sandales avec de petits talons et je parts au travail. Rien de bien particulier pendant le trajet. Je suis étonné de ne pas sentir luf vibré.
J’attends Corinne. Elle a mis sa robe et est toute pimpante. Je souris en la voyant, l’embrasse et nous commençons notre trajet. Elle me demande :
— Alors ta soirée ?
— Je ne sais pas si c’est le plaisir de te voir ce soir, mais hier j’étais toute excitée et quand mon maître m’a ordonnée de jouir, cela est venue tout seul et j’ai joui comme une dingue Ce matin, j’ai eu droit à ma ration de sperme et mon maître a joué de la badine. Je suis bien marquée, je me demande si je vais pouvoir m’asseoir.et toi?
— J’ai appelé Victor, l’étalon sans conversation. C’était très bien. Il m’a enculée. J’en avais envie de cette sodomie et comme il fait cela très bien pourquoi m’en serais-je privé ? Et il a une très belle queue bien grosse, longue et raide. Je l’ai viré à minuit, il aurait bien aimé resté mais je tenais à être en forme ce soir.
Je souris. « je vois que tu as envie de la ramener cette serveuse. Faut il que jamène des boules quies ce soir pour ne pas vous entendre? »
Corinne me regarde, « mais non on essaiera d’être discrète même si cela me paraît difficile. »
Arrivée à mon bureau, j’entends mon portable et au même moment luf se met à vibrer. Une délicieuse vibration dans mon bas ventre. Hummm, j’aime…
Je reçois un message sur mon portable. C’est mon maître. Je ne veux pas que ton portable sonne ou vibre.
Mon maître veut me surprendre quand il s’amusera avec luf.
La matinée est monotone et je suis restée debout très souvent la position assise étant trop dure.
Corinne à l’air très occupée aussi. J’ai une chance énorme d’avoir une telle amie. Cela a commencé quand nous avions 22ans. Corinne était célibataire et moi, je venais juste de rencontrer Didier et je ne savais pas qu’il allait devenir mon maître
Nous nous croisions régulièrement au travail et, un jour, je la vois en larme dans son bureau. Elle venait d’apprendre que ses parents s’étaient tués dans un accident de voiture. Ses parents étaient enfants uniques et Corinne est fille unique. Elle n’avait pas de famille et était perdue.
Je la réconfortais comme je pouvais et je m’occupais des différentes démarches. Le soir, je dormais chez elle. Cela dura une bonne semaine.
Didier s’impatientait et avait envie de me voir. Il m’a téléphoné. Là, il me suggéra que ce soir, après mettre couchée chez Corinne, de me masturber en faisant un maximum de bruit.
Je lui répondis ; certainement pas.
Tu n’as pas le choix Marie, c’est un ordre me dit Didier
Cela me fit tout drôle. C’est la première fois que l’on me donnait un ordre et, au lieu de m’horrifier, cela m’a excitée.
Le soir, je m’exécutais. Je commençais à me masturber. Je mettais mise au dessus des draps, allongée les jambes écartées. Ma main sur ma chatte, j ’avais encore des poils à l’époque. Je gémissais de plus en plus fort. Je n’avais pas besoin de forcer .
Je n’entendis pas la porte souvrir. Je sentis une main pousser la mienne, et une langue qui me lécher. J’ouvrais mes yeux et aperçu la chevelure de Corinne. Je me laissais aller. Le plaisir grandissait. Corinne me titillait mon clito, l’aspirait et ses doigts fouillaient ma chatte. Je jouis.
Corinne se leva et repartit sans rien dire. Je m’endormis comme un bébé.
Le lendemain, au petit déjeuner, Corinne me dit : Je ne suis pas lesbienne,mais j’aime bien de temps en temps. Merci, Marie pour tout. Tu m’as beaucoup aidée et j’aimerais que nous devenions de très grandes amies.
Mais, avec grand plaisir, Corinne. Crois tu que je peux te laisser. J’ai mon amoureux qui s’impatiente.
Corinne me répondit qu’il n’y avait pas de soucis et que la soirée d’hier lui avait ouvert les yeux et que maintenant elle reprendrait le dessus.
Voilà comment tout a commencé et je ne regrette rien.
Luf s’arrêta de vibrer . C’est toujours étonnant comme sensation. On sent luf et puis plus rien. A chaque fois, j’ai envie que mon maître remettre luf en route. Mon maître dit que je suis une femelle en chaleur. Je crois qu’il a raison. J’adore quand mon maître s’occupe de moi. J’adore à être à sa disposition. J’adore être sa femelle.
A midi, Corinne vient me chercher. Nous mangeons un sandwich et faisons les emplettes. Nous rentrons de bonheur au bureau.
Mon maître doit être très occupé. Il ne sait rien passé de l’après midi.
Je rentre chez nous pour me préparer. Le bus est, bien sur, bondé. Je m’accroche à la barre centrale. Je sens une main sur mon sein gauche. C’est la même qu’hier. Elle descend sur le téton a travers le tissu et joue avec ma barrette. Je ne me retourne pas. La main continue son exploration sur l’autre sein discrètement et joue avec l’autre barrette. Juste à l’arrêt, deux ongles serrent mon téton droit assez fortement. Je sursaute. La jeune fille passe devant moi en souriant et descend.
Arrivée chez moi, je me déshabille entièrement et me prépare tranquillement. Je regarde mes mails. Il y a un mail de mon maître qui me donnes des ordres pour le soir.
Ils sont très précis.
Je dois remplacer les barrettes de mes tétons par deux gros anneaux de 1 cm de diamètre et 2 millimètre d’épaisseur. Pour les grandes lèvres, je dois mettre ceux de 5 cm diamètre et 5 millimètre d’épaisseur.
Je mexécute. Je mets un peu de lubrifiant pour que les anneaux glissent mieux dans les trous. Une fois les anneaux mis, mes tétons sont un peu tendus et mes grandes lèvres sont bien étirées. Les anneaux sont en effet un peu lourd. En plus, j’ai quatre anneaux sur les grandes lèvres et ils tintent légèrement à chaque fois que je bouge.
Je passe ma robe, prend une veste et la valise . Il est prévue que je dorme chez Corinne Je vais à l’arrêt de bus. Il n’y a personne à cette heure là dans le bus.
Je descends et arrive devant chez Corinne. Je déboutonne ma veste et enlève deux boutons en haut et deux boutons en bas. Ainsi ma robe devient très décolletée, et quand je marche, on voit largement mes cuisses. C’est bien sur mon maître qui a eu cette idée
Corinne m’ouvre avec un grand sourire. Rentre , je suis pratiquement prête.
Elle revient quelques minutes après, tourne sur elle-même. Alors, qu’en penses tu?
— Tu es splendide, Corinne. Et je suppose que tu as un string en dentelle et le soutien-gorge à balconnet.
— Bien sur, Marie. Mais toi aussi, je vois que tu as fait péter le décolleté. Et ce léger bruit quand tu marches va intriguer notre petite serveuse.
Nous éclatâmes de rire.
Nous partîmes à pied. Le restaurant n’était pas loin. Je sentis luf se mettre en route en petite vitesse. Mon maître pensait à moi.
Nous fumes accueillies par la serveuse qui nous mis à coté de la cheminée une table pour deux. Personne n’est installé à coté de nous. Nous sommes tranquille. La serveuse regardait avec insistance Corinne. Celle -ci se pencha pour que la serveuse puisse mater ses seins. Je m’assis en grimaçant, luf vibrait plus fort et commençait me faire mouiller, en plus, je sentais les marques sur mon cul.
La serveuse nous donne les menus. Elle mate Corinne mais jette aussi un regard sur mon décolleté. Mes mamelles sont libres et comme elles sont grosses, mon décolleté est bien plein. On peut juste apercevoir les anneaux. Cela lintrigue fortement.
Une fois la serveuse partit, Corinne me demande :
— Alors qu’en penses tu ?
— Elle est mignonne, peut être un peu jeune. Je lui donne 20 ans maxi
— J’aime la jeunesse. Tu as vu qu’elle a enlevé son soutien gorge. Quand on est arrivé, elle en avait un
-Oui, j’ai remarqué. Sa poitrine est petite mais ferme. Elle doit être sensible.
Pendant tout le repas, la serveuse a fait des aller et retour pour des prétexte futiles. Elle vient voir si on ne manquait de rien.
Corinne avait déboutonné son corsage jusqu’à la naissance de ses seins. On pouvait largement voir son soutien-gorge.
Je fais tomber exprès ma fourchette à mes pieds. La serveuse se précipite pour la ramasser. Corinne ouvre grand ses cuisses. La serveuse peut mater à loisir la chatte de Corinne et le string bien humidifié.Corinne sourit. Quand la serveuse se relève, Corinne mime un bisou.
La serveuse part pour chercher une autre fourchette. Corinne me dit que la serveuse lui a caressée la haut de sa cuisse. Cette serveuse a les mains très douces.
Au dessert ; Corinne demanda à la serveuse.
— Comment vous appelez vous ?
— Estelle, madame.
— Moi, c’est Corinne et elle c’est Marie. A quelle heure finis tu ?
— Dans un quart d’heure.
— Veux tu venir boire un verre chez moi ?
— Ce serait avec plaisir Corinne.
— Alors à tout de suite Estelle
Une fois Estelle repartit je dis à Corinne.
Tu as bien fait de te reposer hier soir. J’ai l’impression que la fin de soirée va être torride.
Et mon maître qui n’arrête pas de jouer avec luf. J’ai ma chatte en feu et j’ai peur que luf tombe tellement je mouille. Il va falloir que je fasse fonctionner mon périnée pour pas qu’il tombe.
Nous payons et sortons. Estelle arrive quelques minutes après.
Nous marchons toutes les trois bras dessus bras dessous. J’en profite pour caresser les fesses de Corinne et remonter le bas de sa robe. Estelle est toute heureuse et embrasse Corinne dans le cou.
Arrivées a l’appartement, Corinne me donne les clés et pendant que j’ouvre la porte, elle embrasse goulûment Estelle. Celle-ci caresse les fesses de Corinne, passe sa main sous son string. J’ouvre la porte, elles rentrent toutes les deux.
On s’installe dans le salon, moi dans le fauteuil, elles sur le canapé. Estelle est intriguée par le bruit que je fais en me déplaçant. Corinne lui dit qu’elle sauras ce que c’est plus tard.
Elle commence à caresser Estelle. Les vêtements tombent rapidement et elles se retrouvent nues en train de faire un 69 sur le canapé. De les voir ainsi m’excite, déjà que luf narrête pas de vibrer. Je suis toute mouillée.
Mon portable s’allume, c’est mon maître qui m’appelle. Je décroche. Mon maître me demande comment je vais. Bien, Maître, à part que je suis toute excitée. Vous avez laissé luf vibré toute la soirée et je ne me suis pas touchée une seule fois et en face de moi, je vois Corinne faire un 69 avec la serveuse. Alors dans quel état voulez vous que je sois mon maître ?
Il éclate de rire. Cette Corinne, c’est une belle salope et j’aime que ma femelle soit excitée.
Bon, c’est pas tout cela. Déboutonne entièrement ta robe et caresse toi. Interdiction de jouir femelle.
J’ouvre ma robe.On peut voir mes mamelles annelées, les quatre anneaux qui tirent mes grandes lèvres.. Je mets ma main sur ma chatte et commence à me caresser tout doucement. Cela va être dur de ne pas jouir dans ces conditions.
Corinne et Estelle on changé de position. Estelle est sur le canapé, jambes bien écartées en face de moi, yeux grand ouvert. Corinne est à genoux entre ses cuisses, lui faisant un cuni d’enfer. Sa main droite s’activant sur son propre clito. Estelle ferme les yeux, ondule du bassin.
J’arrête de me caresser, je suis prête à jouir. Je le dis à mon maître qui m’ordonne de claquer deux fois mon vide couille avec le plat de la main. Il veut entendre le bruit. Je le fais, obligée de frapper fort pour que mon maître entendre. Je pousse de petits cris.
Je vois Estelle qui ondule des reins de plus en plus et le cul de Corinne qui bouge. Je me caresse de nouveau. Estelle jouit avec de petits gémissements. Corinne se caresse le clito et la rejoint avec ce feulement On croirait un chaton en colère. Elle fait toujours ce bruit quand elle jouit.
Mon maître me dit : Arrête de te caresser. Pour dormir cette nuit, tu mettras le petit plug et tu gardes luf. Tu restes annelées bien entendu. Tu laisses ta porte de chambre grande ouverte et tu dors le cul a l’air. Et il raccroche.
Les deux filles commencent à émerger. Je me lève et leur ramène à boire.
Vous devez en avoir besoin avec la partie de jambe en l’air que vous vous êtes payés.
Et toi, tu as bien matés me demande Corinne ?
Oui, c’était très bien. J’adore te voir faire l’amour tu le sais bien.
Je vois que tu es annelées, dit Estelle, c’est donc cela le tintement quand tu te déplaces.
Et tu as une poitrine très volumineuse. Je rêve d’avoir ce genre de poitrine. Regarde la mienne, elle est toute petite.
Oui petite, mais sensible d’après ce que j’ai vu et c’est cela le plus important.
Corinne ne profite pour sucer le téton gauche d’Estelle. Immédiatement, Estelle ferme les yeux et gémit doucement. Corinne s’arrête. Allez o allais me coucher. Dans la salle de bain, je sors ma trousse de chienne, prend le petit plug et après l’avoir n fait une pose. J’en ai besoin.
Nous discutâmes encore un peu et j’ lécher m’encule avec.Il rentre assez facilement malgré luf. J’enlève ma robe et parts me coucher. Porte grande ouverte , cul à l’air, je m’endors immédiatement.
Dans mon sommeil, j’entends du bruit. C’est les filles qui vont se coucher, elles sont à la porte de la chambre.
Estelle ,demande à Corinne pourquoi Marie a ces grandes marques sur les fesses. Corinne lui dit que j’ai un maître. Elle ajouté, c’est une très bonne chose. Elle a besoin d’un maître pour vivre et celui qu’elle a trouvé lui convient.. Tu vois, je suis sur que c’est lui qui lui a demandé d’avoir le cul à l’air pour qu’on puisse la mater. Et quand tu vois son gros cul, plugué, marqué, avec les anneaux entre les cuisses, tu ne trouves pas que c’est beau ? Moi, j’aime voir ma meilleure amie comme cela. Je la sais heureuse. Allez, viens te coucher. Je me lève tôt demain matin et une petit cuni avant de s’endormir serait le bienvenue.
J’entendis des gémissements et m’endormis profondément