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Une si belle famille – Chapitre 5

Une si belle famille - Chapitre 5



Nous étions assis en train de siroter le champagne que nous avais offert. Cette séance, la toute première, nous avait ravis. Lentrée en matière avait été conduite de main de maitre par notre Maître. Débuter par linceste entre nous avait été une excellente initiative, nous permettant de nous libérer. Nous avons dit toute notre satisfaction au Maître, la récompense étant le sourire qui est apparu sur son visage.

Il nous confirma quil était également très satisfait de notre prestation et quil sentait que nous serions dexcellents esclaves. Nous devions nous attendre à de beaux développements, étant donné que nous étions doués. Simplement, il nous indiqua que la prochaine fois que nous nous ferions remplir nos trous, quels quils soient, nous devrions nous nettoyer réciproquement, ce que nous avons accepté avec joie.

Nous avons demandé, Stéphane et moi la permission daller prendre une douche.

— Pour cette fois oui, allez-y.

Cette réponse alluma des étincelles dans mon esprit, suggérant que nous devrions conserver nos effluves à lavenir.

Cloé décida de rester ainsi.

Après avoir pris ma douche, je revins dans le salon. Je masseyais, nue et cuisses écartées, comme ce serait dorénavant ma tenue en présence du Maître. Javais remarqué en entrant que le Maître et Cloé étaient en grande discussion. Discussion qui sest arrêtée lors de mon entrée.

Cloé séclipsa, pour refaire son maquillage dit-elle.

Javais éprouvé une certaine gêne à la vue de cette connivence entre le Maître et ma fille. Bien sûr ; elle était plus jeune, et son corps navait pas encore les marques des années que le mien pouvait avoir. Je décidais de men ouvrir à mon Maître.

— Maître, puis-je vous parler ?

— Oui, Mélanie, vas-y, quest ce quil y a ?

— Je sais que Cloé est jeune, sexy et belle, et que vous pourriez avoir une préférence pour elle.

Le Maître éclata de rire.

— Rassures toi Mélanie. Oui, ta fille est jeune, belle et sexy. Comme tu dis. Serais tu un peu jalouse ?

— Jalouse, peut-être pas, mais inquiète dêtre délaissée, un peu.

— Mélanie, écoutes bien ce que je vais te dire. Tu es une très belle femme, une excellente MILF suivant lexpression. En plus tu es une soumise née, comme tu le sais. Ton corps, ton esprit, ton âme nont rien à envier Cloé. Je tapprécie autant, sinon plus que ta fille. Alors, ça va mieux ?

Ces paroles ont tintées joliment à mes oreilles. Javais besoin dêtre rassurée, je ne voulais pas que cette relation naissante entre notre famille et notre Maître soit entachée dune quelconque ombre.

Le Maître vint sassoir près de moi, et me pris dans ses bras.

— La discussion que jai eue avec Cloé doit rester entre nous pour le moment. Toi et Stéphane serons au courant en temps et en heure. Je suis sûr que vous apprécierez à ce moment. En aucun cas le sujet nétait une histoire de préférence ou quelque chose dans le genre. Je te le promets. Daccord ?

— Oui Maître, jai confiance en vous.

Ses paroles et le sentiment de sécurité que je ressentais entre ses bras mont détendue. Ses lèvres sont venues sur les miennes et nous avons échangé un baiser presque chaste. Le Maître plaqua sa main sur la chatte, à plat, puis la serra pour emprisonner mon sexe.

— Oh oui Maître. Prenez votre chienne. Prenez votre salope. Prenez votre putain. Faites-moi devenir ce que jai toujours eu envie.

Le traitement infligé à ma chatte me rendit folle. Jouvrais le plus possible mes jambes pour montrer au maître que jétais prête et désireuse de subir sa domination.

Sans rien dire, en plantant ses yeux dans les miens, il sortit sa bite de son pantalon.

Je regardais son engin, plus court que celle de mon mari, mais plus épais. Je lui souris en ayant un regard plein de reconnaissance. Jallais lui appartenir, enfin.

Sans préliminaire, il menfila dun coup. Ma chatte était déjà bien mouillée et souvrit à sa bite facilement. Je le sentais bien en moi, sa peau frottant contre les parois de mon vagin. Il me baisait comme jen avais envie. Sans soccuper de moi, ne pensant qua son plaisir. Jétais une chose, un objet, qui ne devait servir quà être remplie par un male. La sensation était si agréable que mon excitation grandissait naturellement. On dit que le premier organe sexuel est le cerveau, et je me rendais compte à quel point cétait vrai. Me sentir humiliée ainsi mamenait à lorgasme.

Le Maître continuait à me ramoner avec sa belle queue. Je me sentais pleine comme une vache. Il travaillait en même temps mes tétons qui étaient très sensibles. La douleur ressentie ajoutait au plaisir de se faire baiser sauvagement.

— Oui Maître. Plus fort. Servez-vous de votre pute comme vous le voulez. Baiser moi, enconnez-moi ! Plongez votre queue en moi. Sil vous plait, donnez-moi votre sperme. Remplissez le trou de votre putain avec votre jus.

Dans un grand râle il éjacula dans ma chatte. Ce jet de sperme déclencha mon orgasme, le deuxième en peu de temps. Je jouissais en criant mon bonheur dêtre remplie et davoir servi le Maître.

La soirée se déroula agréablement, entre le diner, et les discussions diverses et variées sur tous les sujets. Jaimais bien cette ambiance faite de convivialité, de complicité, voire damitié qui était en train de se mettre en place. Ce qui nempêchait pas les relations de Maître à esclave. Conformément au contrat, nous sommes restés tout trois à poil, nous exhibant volontiers à chaque occasion qui se présentait, et en servant notre Maître comme il se devait.

Le Maître nous conseilla de passer une bonne nuit en prévision du lendemain.

Cest sur ce conseil, plein de mystère et de promesses que nous sommes allés nous coucher.

Je ne sais pas si cest la plénitude dêtre en train de réaliser notre fantasme, mais Stéphane et moi avons passé une nuit très reposante. Cloé nous a dit la même chose au matin, lorsque nous lavons retrouvé au petit déjeuner. Décidément, notre Maître savait recevoir. Nous étions bien sûr nus, et cette nudité permanente stimulait notre libido. Être exposé ainsi titillait nos envies.

Le petit déjeuner expédié, ainsi que le brossage de dents, notre Maître nous fit passer dans le salon. Le souvenir des événements dhier remonta dans ma mémoire. Cela ne fit pas descendre mon excitation, ni celle de mon mari et de ma fille.

Le Maître pris la parole.

— Aujourdhui, je vais tester votre résistance à la douleur. Je sais que vous êtes débutants. Ainsi, si vous sentez que cela devient insupportable, vous aurez le droit de demander darrêter. Sachant que cette autorisation nest que provisoire.

— Oui Maître, répondîmes-nous en cur.

Au fond de nous, cette attention nous toucha et ne fit que renforcer la confiance que nous avions envers notre Maître. Il était dominant, certes, mais pas un boucher pour autant. Cela nous confortait dans l’idée de nous abandonner plus encore, et de progresser avec lui.

Il nous installa à genoux, les coudes sur le sol, le cul bien remonté. Nous étions, dans lordre, Mon mari, Ma fille et moi. Le Maître ouvrit un tiroir derrière nous et chercha quelque chose dedans. Il revint vers nous.

Stéphane sentit les mains du Maître sur son cul. Puis il sentit quelque chose de froid se mettre à lentrée de son trou. Sous la poussée du Maître cette chose senfonça dans son cul. Stéphane comprit vite quil sagissait dun plug. De taille moyenne, mais qui écartait bien son intestin. Il ne put sempêcher de pousser un petit soupir. Une fois la rainure passée le plug était en place. Son cul était bien rempli pour son plus grand plaisir. Le Maître lui donna un claque sur son cul, et sur sa bite qui commençait à se dresser.

Puis il sapprocha de Cloé. Comprenant ce qui était en train de se passer, je craignais un peu pour ma fille. Sa chatte avait été déverrouillée depuis un certain temps, mais son cul était vierge. Je la savais, elle me lavait dit.

— Cloé, ma petite salope, je sais que ton cul nest pas encore formé. Alors je vais taider un peu pour cette fois en utilisant du gel.

Ouf, pensais-je, heureusement quil y a pensé.

Une fois le plug et lanus de ma fille lubrifiés, le Maître commença lintroduction. Cloé gémit un peu, mais se montra courageuse. Elle encouragea même le Maître à continuer.

— Allez-y Maître, faites de moi un bonne enculée comme papa et maman.

Ma fille me surprenait par ses envies. Je ne la connaissais pas aussi salope. Et jen devenais assez fière.

Une fois ma fille bien bouchée, le Maître soccupa de moi. Je neus pas droit au gel, mais le Maître introduit en premier le plug dans ma chatte. Comme celle-ci était en transe depuis lenculage de mon mari et celui de Cloé, le plug entra dans mon trou de merde sans problème. Le soupir qui sortir de ma bouche exprima ma satisfaction dêtre ainsi remplie par le cul. Nous étions maintenant une famille denculés.

— Vous allez conserver ces plugs dans vos culs tous le temps pour vous former. Quand vos trous de cul de putain seront bien élastiques, vous pourrez vous en passer. Mais cela nempêchera pas de pratiquer des exercices de maintien régulièrement. Vous devrez toujours veiller à ce quon puisse vous enculer sans difficultés. Vous devrez acheter des plugs plus gros pour bien ouvrir vos trous de chienne.

Le « on » employé par notre Maître nous fit comprendre quil fallait nous attendre à être partagé, prêté ou loué. Belle perspective !

Le maître retourna dans son tiroir. Ce tiroir semblait être une caverne dAli Baba. Je jetais un il et je vis quil en sortait un martinet dont le manche était en forme de god de belle taille. Les lanières étaient longues, carrées et épaisse. Je nétais pas sûr quelles étaient en cuir, mais cela y ressemblait. Nous allions être fouettés.

Ce fut Cloé qui bénéficia de la primeur.

Le premier coup quelle reçut lui fit pousser un cri et elle fit un mouvement en avant. Pourtant, le Maître faisait attention à ne pas trop appuyer ses mouvements. Puis, dans un mouvement régulier, il appliqua sur le cul de ma fille une série de coups. Je regardais le cul de ma fille rougir petit à petit, avec de petites marques de lanières. Cloé émettait de petits gémissements. Je narrivais pas à savoir si cétait de la douleur ou du plaisir.

Puis ce fût mon tour. Avoir vu ma fille se faire fouetter mavait mis leau à la bouche. Jallais enfin assouvir mon fantasme de soumise. Je dois dire que ces derniers temps, je penchais doucement vers des envies masochistes.

Le premier coup arriva, comme un coup de semonce annonçant la suite. Je ne dis rien, ni ne bougea pas. Je me contentais de fermer les yeux. La cadence augmenta, et je me rendais compte que les coups de Maître étaient plus appuyés par rapport à ma fille. Peut-être la considérait-il comme plus fragile ? En tous cas je ne me plaignais pas. Sentir la douleur sur mon cul rebondi, les lanières cuisant ma peau me faisait mouiller. Jen avais envie, très envie. Je me surpris à mentendre dire :

— Plus fort Maître, sil vous plait.

Ma fille me regarda, avec une lueur denvie dans ses yeux.

Le Maître ne se fit pas prier. Il augmenta la force et la fréquence. En même temps, je me penchais le plus en avant possible, ma joue sur le sol, et je relevais le plus possible mon cul pour loffrir au fouet du Maître. Je me sentais comblée.

Enfin, Stéphane, mon mari fût lobjet des attentions de notre Maître. Il ny avait qua regarder sa bite, bien dure, bien droite vers le sol, pour comprendre que ce spectacle, et cette attente lavait excité. Suite au fouettage de notre fille et de moi-même, le Maître commença directement par les coups réguliers et prononcés. Stéphane ne dit rien, mais la façon dont il se tenait, le cul bien haut, les coudes à plat sur le sol, montrait quil appréciait.

Une fois le cul de mon mari traité comme il se doit, le Maître nous passa en revue en remontant sur nos dos. Nous étions rouges du cou jusquà nos culs, toujours ouvert par les plugs, bien en place. Nous faisions tos les trois des mouvements dondulations en poussant des petits cris, et des « oui » de satisfaction.

Le Maître passait de lun à lautre derrière nous en maintenant constamment la pression.

Puis il nous fit retourner sur le dos, cuisses bien écartées. Stéphane eut droit à linauguration de cette position. Le fouet sabattait sur sa bite, ses cuisses et son ventre. Je voyais sa queue osciller de droite à gauche suivant la direction du fouet. Stéphane serrait les dents, les mains derrière la tête et les yeux fermés. Mais il ne débandant pas.

Cloé vit le Maître savancer vers elle. Elle garda les yeux ouverts sur sa chatte, et écarta encore plus ses cuisses, comme pour montrer son approbation. A chaque fois que le fouet sabattait sur sa chatte, elle soulevait son cul. Plus les coups arrivaient, plus sa chatte souvrait et se mettait à briller. Le Maître savait ce quil faisait. Les lanières frappaient sa chatte et son clito. Je sentais Cloé monter vers lorgasme sous les coups expérimentés du Maître. Dun coup, elle éclata en criant, ses jambes se relâchant sur le sol.

Jétais moi aussi au bord de lextase, en pensant à ce que jallais subir. Avoir ma chatte frappé était un de mes fantasmes récurrents. Je pris ma chatte entre mes doigts pour bien louvrir. À cette vue, le Maître souris et commença à me frapper.

Sentir les lanières sur mes lèvres, me sentir à la merci de mon Maître me rendit folle, et je fus au bord de lorgasme. Le Maître appliqua un dernier coup précis sur mon clito qui me fit rendre lâme. Le plaisir ressenti à ce moment était divin.

Lorsque je repris mes esprit, nous «étions toujours allongés sur le dos, le Maître étant assis en face de nous, nous observant.

— Les deux putains ont jouis, mais pas la lope qui leur sers de père et de mari. Alors Cloé, tu vas branler ton père, pendant que ta mère va le sucer.

Cloé se tourna vers son père et pris sa bite dans sa main. Elle commença à le branler doucement avec gourmandise. Je mapprochais et je pris son gland dans ma bouche en passant ma langue autour. Cloé accéléra ses mouvement de va et viens sur la queue de son père pendant que je suivais sa main en engloutissant au plus profond la bite. Cloé et moi étions à genoux. Je sentis des doigts se frayer un chemin vers ma chatte. Cloé voulait me branler aussi. Jécartais mes cuisses pour lui faciliter le passage pendant que je lui rendais la pareille. Le bruit de nos doigts dans nos trous trahissait notre excitation. Je me représentais cette scène. Cloé branlant son père, pendant que la bouche de sa mère enfournait sa bite. Ma fille branlant sa mère pendant que je lui astiquais son trou. Le tout sous le regard satisfait de notre Maître. Notre famille était réellement sur le chemin de la dépravation, et cétait bien.

Stéphane ne put se retenir longtemps. Il faut dire que Cloé le branlait de plus en plus vite, et en serrant de plus en plus fort sa bite. Jessayais de suivre comme je le pouvais ses mouvements hiératiques. Stéphane éjacula dans un cri dans ma bouche. Je gardais tout lorsque moi aussi je jouis sous les doigts de ma fille. Jaccélérais le mouvement des miens dans sa chatte pour la faire jouir aussi.

Une fois calmés, je pris Cloé par les épaules, et je lui roulais un patin profond. Javais tout le sperme de mon mari dans la bouche et je voulais le partager avec ma fille. Nos langues se sont mélangées pour gouter la semence de Stéphane dans nos deux bouches. Puis, nous nous sommes penchées sur Stéphane, chacune notre tour, pour partager aussi avec lui.

Nous allions repartir. Cette première rencontre nous avait comblés au-delà de nos espérances. Nous aimions lemprise quil avait pris sur nous, et la façon dont il nous amenait vers ses buts secrets, qui étaient en même temps nos désirs.

Avant de se quitter, notre Maître nous dit :

— Ce matin Mélanie, tu mas vu en grande conversation avec Cloé. Je vais te dire ce que jai décidé à cette occasion. Nous sommes un peu éloignés ce qui fait que je ne pourrais pas conduire votre soumission en direct. Alors, jai décidé de déléguer mes pouvoirs à Cloé pour tous ce qui vous concerne. Cloé ma confié quelle était désireuse de rester soumise lorsque vous serez ensemble avec moi. Mais elle avait aussi des envies de domination. Et lidée de dominer ses parents lexcitait énormément. Donc en mon absence, Cloé sera votre Maîtresse à tous deux, en suivant mes directives.

— Bien Maître, nous lacceptons avec plaisir, répondîmes nous ensemble.

Je me demandais comment allions nous continuer notre soumission loin de notre Maître. Celui-ci a résolu le problème avec élégance, et avec perversité en transférant ses pouvoirs à notre fille. Cette nouvelle vie était pleine de promesses.

À suivre

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