Une soirée bien spéciale
Bonjour à tous.
L’histoire que je vais vous conter m’est arrivée réellement, répondant à tous mes fantasmes, et bien plus encore. Je soupçonnais mon amie de l’époque d’avoir des penchants pour les femmes, et cette soirée m’a confortée dans mes doutes. Bien sûr j’ai changé les noms pour sauvegarder l’anonymat.
Tout d’abord, je vous présente mon amie, Rachel, blonde, 1,65 m, une superbe poitrine 95D, un joli petit cul, et des jambes bien galbées qui attirent le regard lorsqu’elle porte des jupes courtes. Ce jour-là, elle portait une jupe portefeuille, un corsage dos nu qui s’attache dans le cou, avec un décolleté profond, et qui laissait entrevoir la naissance de sa magnifique poitrine. Le tout complété d’une paire de bas fumés, avec un mini-porte-jarretelles, et d’une petite culotte noire très transparente. Elle était sexy et bandante. Malgré son âge, elle était très attirante, et en était consciente.
Son amie, Rebecca, blonde, 1,72 m, une poitrine moins imposante que Rachel, mais avec elle aussi un joli petit cul. Elle portait un tailleur blanc, assez moulant, qui faisait ressortir sa croupe bien cambrée. Des bas blancs très fins, ainsi qu’un petit porte-jarretelles, un string blanc très transparent. Sa poitrine était libre de toutes entraves, et sa veste assez décolletée laissait entrevoir, elle aussi, la naissance de ses seins.
Pour ma part, je portais un costume classique, avec chemise crème, et un boxer noir.
Les présentations étant faites, je vais commencer mon histoire.
Rebecca nous avait invités à dîner, dans un bon petit restaurant, de sa connaissance, nous étions vendredi soir, et le week-end s’annonçait agréable. Je soupçonnais Rachel de s’être vêtue de cette façon, car elle savait que ça n’allait pas me laisser indifférent, et qu’elle avait une idée derrière la tête.
Nous nous sommes rendus chez Rebecca, et mon regard était attiré par le joli spectacle que m’offraient les cuisses de Rachel, sa jupe s’ouvrant largement, à la limite de la jarretière de ses bas. Je me serais bien laissé tenter, mais nous étions un peu à la bourre. Je me suis donc concentré sur ma conduite, mais je commençais à être à l’étroit dans mon boxer.
Arrivé chez Rebecca, le spectacle qu’elle m’offrait, avec sa tenue tout aussi sexy, n’a pas été pour calmer mes envies. Ça promettait une soirée des plus agréables. Qui cracherait sur le fait d’être entouré par deux femmes super sexy, et qui faisait se retourner beaucoup de mâles et même certaines femmes. J’étais fier.
Le repas s’est déroulé agréablement, assez goûteux, et bien arrosé. Comme je ne conduisais pas, Rebecca avait insisté pour prendre sa voiture, je me suis laissé aller. La conversation était diverse et enrichissante. De temps en temps, Rebecca prenait la main de Rachel, et les regards qu’elles s’échangeaient en disaient long sur l’amitié qui les liait.
Au retour chez Rebecca, j’étais monté à l’arrière de la voiture, et j’ai commencé à somnoler, je ne tiens pas très bien l’alcool. J’entendais la conversation qu’avaient les deux femmes.
Tu es très sexy dans cette tenue, tu me plais beaucoup, si je ne me retenais pas, je te sauterais bien dessus, déclara Rebecca.
Je sais, j’avais envie de vous plaire à tous les deux, et je vois que j’ai réussi. Toi aussi tu es à croquer, tu fais beaucoup d’effet à Jacques.
Il dort ? On ne l’entend plus.
Oui, il n’est pas très résistant à l’alcool. Ça ne va pas durer longtemps, il récupère vite.
A ce moment, j’ai entrouvert les yeux, me gardant bien de faire savoir que je ne dormais pas, et que j’entendais tout de leur conversation. Quelle ne fut pas ma surprise de voir la main de Rebecca se glisser par l’ouverture de la jupe de Rachel, et que celle-ci se lovait profondément sur le siège, en écartant légèrement les cuisses pour laisser passer la main inquisitrice. Apparemment, elle appréciait la caresse. Ça ne devait pas être la première fois.
Arrête, tu me fais mouiller.
C’est bien mon intention, j’ai envie de toi.
Dommage que je ne sois pas seule, ça aurait été avec plaisir.
Et alors, la belle affaire, je suis sûr qu’il apprécierait le spectacle.
Tu ne crois pas si bien dire, c’est son fantasme, et un peu le mien aussi.
Petite cochonne, tu ne perds rien pour attendre.
Elle retira sa main, et c’est le moment que j’ai choisi pour émerger de mon pseudo sommeil.
On est bientôt arrivé, demandais-je.
Elles ont éclaté de rire, et m’ont affirmé que nous étions chez Rebecca. Celle-ci nous a invités à boire un dernier verre avant de nous quitter, et comme je voulais savoir le fin mot de l’histoire, j’ai accepté l’offre. Rachel a confirmé que se serait avec plaisir, et qu’on n’allait pas se quitter comme ça, surtout qu’il était encore très tôt, à peine 22h30.
Nous nous sommes installés au salon, les deux femmes sur le grand canapé blanc, moi dans un fauteuil profond et confortable, en face d’elles. Après nous avoir servi un digestif à base de vodka, Rebecca a repris sa place à côté de Rachel, assise de biais. Rachel avait croisé les jambes, ce qui dévoilait largement sa cuisse, par l’ouverture de la jupe. Rebecca n’était pas en reste, sa jupe s’était remontée, découvrant des cuisses magnifiques. J’étais aux anges, et de plus en plus à l’étroit dans mon boxer. Quel spectacle !
La conversation allait bon train, devenant de plus en plus légère, et même très sous la ceinture. Elles riaient et s’amusaient à faire des comparaisons sur telles ou telles femmes qu’elles avaient croisées ou fréquentaient, surtout Rebecca, Rachel étant très discrète sur ses propos.
De temps en temps, la main de Rebecca se posait sur la cuisse de Rachel, et finit par s’attarder de plus en plus. Le spectacle me mettait dans tous mes états. La main de Rebecca se porta sur la nuque de Rachel, elle la massait délicatement. Elle semblait trouver agréable la caresse que lui prodiguait son amie. Puis tout s’est accéléré, mais j’avais l’impression que les images passaient au ralenti.
Rebecca a attiré Rachel à elle, et leurs lèvres se sont effleurées dans un premier temps, pour finir dans un baiser profond et passionné. La main de Rachel s’est posée sur la cuisse de Rebecca, et elle s’est mise à la caresser avec tendresse. Rebecca de son côté avait pris un sein à pleine main, et le caressait, faisant ressortir les tétons à travers le tissu du corsage. La respiration de Rachel s’est accélérée, et sa main s’est crispée sur la cuisse. Rebecca a écarté les jambes, laissant un accès à son intimité.
Wahoou !!! Les filles, super ! Je m’en doutais qu’il y avait quelque chose entre vous !
Et alors, ça te gêne, me répondit Rebecca, j’en ai trop envie.
Non pas du tout, bien au contraire, depuis que j’avais envie de voir ça. Continuez !
Je ne te demande pas ton consentement, contente-toi de regarder. Ce soir, elle est à moi, et peut-être que tu pourras participer.
Mon chéri, moi aussi j’en ai envie, mais de vous deux. D’accord ma puce ?
Pourquoi pas, tant que tu y trouves du plaisir, ça me va. Je vais te faire jouir comme jamais, ça m’excite moi aussi, je suis trempée.
Elles reprirent leur baiser enflammé, et la main de Rachel s’est posée sur la chatte de Rebecca. Elle avait écarté les cuisses, faisant remonter la jupe au maximum, laissant les doigts investir sa chatte sur le string, ou l’on voyait une large tache de mouille. Rebecca avait glissé sa main dans le corsage, et faisait rouler les tétons entre ses doigts.
Comme tu es mouillée ma chérie, une vraie fontaine !
Tu m’excites comme une puce, jattends depuis trop longtemps ! J’ai envie de sentir ta langue, de te faire subir les derniers outrages, de te baiser comme une sauvage.
Viens mon chéri, je veux sentir tes mains sur moi, il y a assez de place pour vous deux, j’ai la chatte en feu, et trempée.
Je me suis déplacé pour aller les rejoindre sur le canapé. Aussitôt, la main de Rachel s’est posée sur la bosse qui déformait mon pantalon, l’enserrant et la malaxant. C’était divin. J’ai débouclé ma ceinture et dégrafé mon pantalon pour lui faciliter l’accès à ma queue. Rebecca lui malaxait les seins, et excitait ses tétons avec sa langue, me laissant la place à sa bouche, que je me suis empressé de m’emparer. Notre baiser était passionné, comme la première fois, lors de notre rencontre. J’ai posé ma main sur sa cuisse, remontant vers la garniture de son bas. Elle a décroisé les jambes, me donnant accès à sa petite culotte trempée. J’ai glissé ma main entre le tissu et sa peau, et j’y ai trouvé un clitoris gonflé par le désir, une chatte trempée qui dégoulinait de cyprine.
Sa respiration était devenue haletante, avec des gémissements qui en disaient long sur son état. Rebecca alternait entre sa bouche et ses seins. Elle avait les yeux plantés dans ceux de Rachel, jaugeant son état d’excitation. Rachel avait les yeux clos, la bouche entrouverte, savourant son plaisir. Elle était complètement soumise à notre emprise, et ça me faisait bander. Je voyais le bassin de Rebecca aller et venir, sous le doigtée de son amie et néanmoins maîtresse, comme je le supposais.
Mets-moi ta langue entre les cuisses, j’en ai trop envie. Baise-moi, fais-moi jouir comme tu sais si bien le faire.
Avec plaisir ma petite cochonne chérie, je n’attendais que ça. Tu vas prendre ton pied.
Rebecca fit glisser la petite culotte, et s’installa à genoux entre ses cuisses. Elle posa ses mains à l’intérieur des cuisses, et sa bouche plongea vers son vagin dégoulinant. Quand la langue entra en contact avec les lèvres, elle émit un long gémissement. J’ai retiré ma main de son clito, et lui ai pris un sein, laissant libre champ à la bouche avide.
Les doigts de Rebecca s’activaient, alternant entre son clito et sa rosette fripée. Rachel râlait de plus en plus fort. Décidément, elle aimait ça, elle s’ouvrait complètement, offrant son orifice anal.
Oui ! Oui ! Vas-y, mets-le, et bouffe-moi la chatte. Je suis ta salope ! C’est trop bon, je vais jouir.
J’ai posé ma bouche sur la sienne, malaxé ses seins. Sa main serrait de plus en plus ma queue à m’en faire mal. Rebecca enfonça deux doigts dans le vagin et le pouce dans son fondement, sa langue s’activait sur le clito.
La jouissance a déferlé d’un coup, son corps s’est tendu. J’ai quelque peu étouffé son râle avec ma bouche. Rebecca continuait de faire aller et venir ses doigts et son pouce, de plus en plus vite au fond d’elle. Elle n’en finissait pas de jouir, et cela me rendait heureux de voir le plaisir qu’elle prenait. Une fois les doigts retirés, son corps tressautait, sa respiration était courte et saccadée. Rebecca continuait de lui lécher la chatte, pour laper le nectar qui coulait sur ses cuisses, n’en perdant pas une goutte.
Elle a fini par reprendre ses esprits, après de longues minutes. Ses premières paroles ont été :
Salope ! Tu m’as fait prendre mon pied.
Je t’avais prévenu, fallait pas me mettre dans cet état.
Eh bien les filles ! Ce n’est certainement pas la première fois que vous vous envoyez en l’air !
Non mon chéri, ce n’est pas la première fois, et certainement pas la dernière.
Ce n’est pas tout ça, mais je suis dans le même état que tout à l’heure, il faudrait penser à moi maintenant.
Ne t’inquiète pas ma chérie, on va s’occuper de toi. Ça va être ta fête. Je suis sûre que Jacques va s’en faire un plaisir. J’accepte de te le prêter pour ce soir. J’ai hâte de m’occuper de ta belle chatte de salope.
Nous sommes partis d’un fou rire. La nuit promettait d’être agitée.
Mais c’est une suite que je pourrai vous narrer si cela vous a plu.