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Une soumise peut en cacher une autre… – Chapitre 1

Une soumise peut en cacher une autre... - Chapitre 1



« Chérie, je viens d’obtenir une augmentation ! »

C’est sur ces mots que je franchissais, tout fier, la porte d’entrée de l’appartement parisien que je partageais avec ma femme, Lucie, jolie brune de 28 ans pour 1m71, certes un peu ronde, mais un joli 95D et un cul à faire bander un eunuque.

« Génial mon amour ! Enfin ! Combien ?

— Cent euros bruts à peu près, lui répondis-je.

— Tu te fous de moi ? C’est tout ? Mais tu as 31 ans, ça fait six ans que tu te démènes pour cette boîte, sans compter tes heures, et c’est tout ce qu’ils accordent à leur meilleur commercial ? Malgré tous les bénéfices que vous faites, en grande partie grâce à toi ?

— Mais c’est déjà mieux que rien, non ?

— Ecoute-moi bien Arnaud, on n’a pas fait tous ces efforts pour rien, toi et moi. Il faut que tu en demandes davantage, dès demain.

— Mais Marc, mon patron, n’acceptera pas, voyons !

— Demande-lui, s’il te plaît, pour me faire plaisir comme je te fais plaisir… »

C’est alors qu’elle me poussa sur le divan, déboutonna mon pantalon, et s’empara de ma queue. Sa manière de masser mes couilles, de jouer avec mon gland et mon sexe encore mou, était divine. Quand je dis qu’elle pourrait faire bander un eunuque, c’est même un doux euphémisme. Aucune verge ne pourrait résister à ses lèvres, à cette langue, à cette succion affamée… et pourtant, moi, je n’avais plus bandé depuis plus de trois ans. Probablement le stress du boulot.

Aujourd’hui encore, je n’allais pas dépasser le stade de la mi-molle.

« Ce n’est pas grave mon chéri, me rassura une énième fois Lucie. Concentre-toi sur ta demande à ton patron demain. C’est important à mes yeux aussi. »

A vrai dire, ça l’était sûrement davantage à ses yeux qu’aux miens. J’aime mon boulot et je trouve ma rémunération suffisante. Mais il est vrai que Lucie, modèle photo ayant connu un grand succès jusqu’à sa prise de poids il y a un peu plus de deux ans, ne décrochait désormais que de très rares contrats très peu juteux, et se retrouvait le plus souvent coincée à l’appart, sans avoir de quoi assouvir ses besoins en shopping. J’allais donc essayer d’insister auprès de Marc, mon patron à la réputation inflexible, dès le lendemain.

A huit heures tapantes le jour suivant, j’étais dans le bureau de Marc.

« Bonjour Monsieur, je venais vous remercier pour l’augmentation que vous m’avez accordée hier…

— Il n’y a pas de quoi, euh…

— … Arnaud, le corrigeai-je. Arnaud Lesieur.

— Oui oui, je sais bien, Arnaud, me mentit-il. Eh bien c’est normal de récompenser le bon travail de ses employés.

— Justement, je me demandais… après six ans de bons et loyaux services et des résultats vraiment très bons, même si ce n’est pas à moi d’en juger, je me demandais si, peut-être, vous ne pourriez pas…

— Non. Ecoutez Arnaud, merci pour votre travail. Mais, retenez bien ce que je vais vous dire, il y a du monde qui serait prêt à vendre son âme pour vous piquer votre place…

— Oui, euh… excusez-moi. Cette demande était déplacée de ma part. Disons que j’ai subi des pressions de ma femme, si vous voyez ce que je veux dire.

— Ah ! Il y a donc encore une femme derrière tout ça, reprit-il, tout en se levant de son fauteuil… »

Marc était très imposant, à peu près 1m85, les yeux très foncés, presque noirs, les cheveux gris de la cinquantaine, on ne pouvait pas dire qu’il était beau. On devinait un homme un peu bedonnant sous son costard, mais ses larges épaules et ses énormes mains en imposaient. On ne pouvait, sans pouvoir se l’expliquer, que s’incliner et obéir face à lui.

Pourtant, j’étais moi-même bien plus grand, 1m92, mais une silhouette beaucoup plus élancée, à part des hanches un peu larges. Mes yeux bleus et mes cheveux châtains me donnaient tout de même un certain charme, mais on devinait facilement que je manquais d’assurance.

Je n’insistai donc pas davantage auprès de Marc, et laissai passer la journée, redoutant la confrontation avec ma femme, à mon retour.

Le soir, tout juste sorti du métro, à 200 mètres de chez moi, mon portable sonna. C’était Marc.

« Bonjour Arnaud, j’ai activement réfléchi à votre demande, et j’ai décidé de vous accorder une augmentation plus conséquente. Vous aurez donc 500 euros bruts en plus par mois. On en reparle demain. »

J’étais sur le cul. J’étais sauvé. J’allais pouvoir annoncer une vraie bonne nouvelle à Lucie en rentrant.

Dans le hall de l’immeuble, je croisai Eric, mon voisin du dessous, un sexagénaire tout juste retraité qui aimait bien fouiner dans les affaires des autres pour faire passer le temps :

« Bonjour Arnaud, on a travaillé dur aujourd’hui, hein ?

— Oui, comme d’habitude Eric.

— Un peu plus dur que d’habitude n’est-ce pas ? me demanda-t-il, m’adressant un clin d’il dont je ne comprenais pas la signification.

— Oui, je ne te le fais pas dire, j’ai même obtenu une augmentation.

— Oh pardon ! s’exclama-t-il. Je ne savais pas que tu étais vraiment au boulot. Bon, je dois y aller ! »

Et il sortit de l’immeuble sans même me dire au revoir.

J’entrai dans l’appartement et annonçai la grande nouvelle à Lucie. Elle était en peignoir, une serviette sur la tête pour sécher ses longs cheveux après la douche. Qu’elle était belle !

« Chérie, j’ai négocié avec fermeté, lui racontai-je comme pour me donner encore plus de mérite, et j’ai obtenu 500 euros par mois !

— Super mon chéri, répondit-elle dans une joie beaucoup plus mesurée que je l’attendais. Bon ! Ton repas est prêt à réchauffer, moi je vais me coucher, je suis épuisée. Bonne nuit ! »

Et après un bisou rapidement expédié, elle s’éclipsa dans la chambre, à mon plus grand étonnement. Mais bon ! Elle aussi avait le droit d’être fatiguée.

Le lendemain, Marc me fit venir dans son bureau :

« Bonjour Arnaud, j’ai bien réfléchi. Je vais devoir revenir sur ma proposition d’hier par téléphone. L’entreprise est certes bénéficiaire, il est trop risqué de nous engager sur une augmentation de salaire. Cependant, pour que vous aussi y soyez gagnant, je vous propose un système de primes mensuelles. Celles-ci pourront, les bons mois, largement dépasser les 500 . Je vous fais déjà, immédiatement, un chèque de 200 , rien que pour hier. Notez bien que c’est rien que pour hier.

— Mais je n’ai rien fait de spécial hier, Monsieur.

— Ne compliquez pas les choses, j’ai été satisfait, et si je le suis tous les jours, vous y serez largement gagnant. Point. Allez sortez maintenant. »

J’étais dans l’expectative. Je devais faire une croix sur un revenu sûr de 500 supplémentaires par mois, mais ces 200 versés rien que pour une journée laissaient peut-être entrevoir bien mieux. Il fallait que je l’annonce à ma femme. Je l’appelai donc immédiatement, et sa réaction fut bien dominée par un sentiment de déception largement perceptible :

« Oh mon Dieu ! Cela veut dire que ça dépendra de ta performance au quotidien ?

— Oui, mais on n’a aucun souci à se faire, j’ai toujours eu d’excellents résultats !

— D’accord… bon je dois te laisser. J’ai du boulot qui m’attend cet après-midi, je dois me préparer.

— Ah ! Super si ça marche pour toi aussi, alors bonne séance ! A ce soir ! »

Trois mois passèrent ainsi. J’étais éberlué par le montant de ma prime, à la fin de chaque mois. Plus de 4 000 euros en moyenne. J’aurais été l’homme le plus heureux du monde si dans le même temps Lucie n’avait pas commencé à présenter quelques symptômes de dépression. Constamment fatiguée, elle n’essayait plus jamais de me faire bander. Je la comprenais cela dit, ce devait être très frustrant de devoir s’abstenir à cause de son mari impuissant.

Mais un jour, alors que je profitais de l’absence de Marc au bureau pour rentrer plus tôt, j’entendis des gémissements dans la chambre à mon entrée dans l’appartement. Je n’osais y croire et je jetai un il discret par la porte de la chambre entrouverte, où je vis Lucie de dos, chevauchant une énorme queue, pendant que deux énormes mains malaxaient ses lourdes fesses, les claquant même parfois.

Je voyais une Lucie que je n’avais jamais connue, même durant nos premières années de vie commune, lorsque ma libido était encore intacte. Elle n’hésitait pas à donner à ses mouvements autant d’amplitude que le permettait cette hampe d’au moins vingt centimètres pour un bon cinq centimètres de diamètre. Elle commençait à se faire de plus en plus bruyante, semblant perdre toute retenue.

Je me dissimulai un peu mieux au coin de la porte afin de ne pas être vu lorsqu’ils changèrent de position. Je vis alors ma femme de face. Elle avait les yeux bandés, elle ne pouvait donc pas me voir, mais je prenais garde à ce que l’homme ne me remarquât pas non-plus. Mais ma stupeur fut immense quand je reconnus Marc, mon patron, qui se leva et agrippa les cuisses de Lucie et la souleva. Elle se trouvait ainsi dans ses bras, face à lui, encerclant le large ventre de Marc avec ses cuisses, et sa nuque avec ses bras. Il la pénétrait ainsi, tout en la portant, et vint l’écraser violemment contre le mur. Je le voyais de dos, et ne voyais de ma femme que ses jambes et ses bras. Le reste étant entièrement dissimulé derrière l’imposante carcasse de Marc écrasant Lucie contre la paroi qui tremblait sous ses coups de reins.

« Aaaahhh ouiii !! »

Lucie jouissait sous les coups de boutoir de mon patron. Et moi, je n’osais pas intervenir, j’avais peur pour mon emploi et puis… la scène m’excitait, aussi invraisemblable que cela puisse paraître.

Après quelques minutes de ce traitement, il laissa ma femme s’écrouler sur le sol. Et alors qu’elle se trouvait allongée sur le dos, il s’affala de tout son poids sur elle, la queue droit dans la bouche, entama quelques va-et-vient, semble-t-il sans se soucier de ce qu’en pensait ma femme, puis il accompagna son éjaculation d’un cri de cerf en rut, et d’un bon coup de reins comme pour s’assurer que sa semence envahissait bien le fond de la gorge de Lucie.

Elle toussotait et restait sur le sol, pendant que Marc, sans un regard vers elle, se rhabillait. Puis se dirigeant vers la porte, il s’exclama :

« Toujours aussi généreuse ma petite putain. Comme d’habitude, continue comme ça et la prime de fin de mois de ton abruti de mari sera encore plus conséquente… »

J’eus le temps de me cacher dans le dressing de l’entrée, lorsque Marc se dirigea vers la porte de l’appart. Il marqua toutefois une pause, avant de s’exclamer :

« Au suivant ! »

Puis il tapa trois fois du pied sur le sol, avant de sortir, tout en laissant la porte d’entrée entrouverte.

Je laissai filer une ou deux minutes et alors que j’allais sortir, j’entendis la porte grincer. Quelqu’un entrait. Les pas se dirigeaient directement vers la chambre. Discrètement j’allai voir ce qui se passait, reprit ma position d’espion voyeur, et reconnut directement Eric, mon voisin du dessous fraîchement retraité.

Lui n’avait vraiment rien pour plaire. 1m65, au moins 90 kilos, chauve, le stéréotype parfait du vieux vicelard. Eh bien justement, le vieux vicelard venait de pénétrer dans la chambre, devant ma femme encore assise sur le sol. Elle avait quelques larmes aux yeux, mais se dirigea vers Eric et déboutonna son pantalon, avant d’entamer une fellation.

Il banda en moins de trente secondes. Elle s’allongea alors sur le lit, et il la prit en missionnaire. On n’entendait que lui. Ses grognements de singe, ses quelques insultes très peu recherchées sur fond de « prends ça salope ! », et surtout ses plus inattendus « pour ton cocu de mari aussi ! ».

Mon honneur en prenait vraiment un coup. Mais cela m’excitait de plus en plus. Il était alors hors de question de les interrompre.

Lucie ne bronchait pas. Elle ne semblait prendre aucun plaisir, fermant simplement les yeux ou regardant le plafond. Il jouit finalement sur son ventre, avant de s’affaler à ses côtés.

« Allez laisse-moi maintenant Eric, lui dit-elle. J’ai besoin de me reposer. »

Il sortit, et je me cachai dans le même dressing, dans l’entrée. J’attendis d’entendre ma femme sous la douche pour moi-même sortir de l’appartement et de l’immeuble. Je rentrai un peu plus tard, à mon heure habituelle de retour.

Comme d’habitude, je trouvai ma femme fatiguée, prête à aller se coucher, un rapide baiser sur sa joue, et bonne nuit.

J’avais la réponse à de nombreuses questions désormais. La raison de sa fatigue, la raison de ces primes démesurées… et puis de nouvelles questions : Lucie prenait-elle du plaisir à tout cela ? Et que faisait Eric, mon voisin, dans cette histoire ? Et moi, pouvais-je laisser les choses ainsi ?… une chose était sûre, pour la première fois depuis plus de trois ans, je bandais.

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