Comme ma tante me le demande, je me place entre ses cuisses ouvertes, sa large chatte est entreouverte, un liquide visqueux s’en échappe. Je ne peux m’empêcher d’y enfoncer trois doigts et de les faire tourner dans sa gaine en fusion, cela a pour effet de la faire couiner comme un animal. Elle s’agite sur sa chaise en grognant. Rapidement, un attroupement se forme autour de nous.
Une paire de mains féminine saisissent ses mamelons et les triturent fortement, ma tante râle de bonheur, la garce nous encourage même à la déglinguer le plus fort possible. Je lui prends son clito entre mes doigts, le bougre est gonflé comme une grosse cerise, je le branle doucement, elle m’ordonne d’y aller plus vite.
Plus fort mon petit chéri, n’aie pas peur de faire mal à ta salope de tante !
J’accélère le branlage, elle s’arc-boute sur sa chaise en poussant des :
Oui oui comme ça, ouah ça vient !
Une puissante giclée de cyprine me couvre le visage, j’en récupère avec mes doigts, je les lèche un à un. Ma queue et raide comme jamais, je la place contre le cratère en éruption de ma tante, et donne un léger coup de reins, elle s’enfonce aisément jusqu’aux couilles, pendant qu’une bouche avide se plaque sur ses seins et lui dévore les tétons. Les bouts épais arrogants se dressent au centre des aréoles brunes, la succion terrible les fait dresser davantage, ma tante pousse des cris de plaisir, en agitant son bassin. Je la fore le plus loin possible, son bassin vient à la rencontre de mes couilles à chaque poussée que je donne., elle s’accroche à ma taille, un type lui prend les jambes et les pose sur mes épaules, cette position donne accès à son trou du cul, le type y enfonce rageusement deux doigts et la ramone énergiquement. Ma tante, insatiable, remue sa croupe fortement, les intrus qui la fouillent profondément lui font grincer des dents.
Oui oui, cassez-moi le cul, je veux une bonne bite dans le cul, ne me ménagez pas mes salauds, faites-moi mourir !
Encouragé, le type enfonce quatre doigts dans la gaine anale, il les fait tourner sauvagement plusieurs fois, ma tante serre les dents, et accompagne de son corps les va-et-vient que nous lui imposons. Ma bite luisante de cyprine coulisse dans la gaine en feu, je sens à travers la fine paroi qui sépare les deux trous, les doigts qui s’agitent en elle. Tante râle de plus en plus fort, ses yeux sont écarquillés, une moue hideuse lui déforme le visage. Les mamelons malmenés deviennent douloureux, la suceuse les étire avec ses dents, et les mordille, ma tante grogne comme une bête blessée. Soudain, elle se bloque et hurle de jouissance en me noyant les couilles de son jus abondant.
Je la pilonne rapidement, je me raidis et lui envoie plusieurs décharges de sperme au fond de son cratère brûlant.
Oui, remplis ta tante mon chéri, donne-lui tout, oh comme c’est bon !
Je donne encore quelques coups de reins avant de me retirer d’elle. Le type retire ses doigts du cul de ma tante, le trou est béant. L’illet palpite sans cesse, ma tante hurle.
Vite, une queue pour me remplir le cul, ne me faites pas attendre !
Un homme s’allonge sur le sol, sa queue est tendue, tante comme une dingue, l’enjambe, lui saisit le manche raide, et le dirige vers sa chatte assoiffée de sexe, elle se laisse tomber de tout son poids pour que l’empalement soit total. Elle se plaque contre le torse de son empaleur, et dit :
J’ai encore des trous de libres, allez messieurs, ils sont à vous !
Un homme trapu s’approche, il a une bite énorme, il se place derrière ma tante et frotte son monstrueux engin contre le trou encore entre ouvert.
Oui défonce-moi bien ! clame ma tante !
Il la prend par les hanches et donne un coup de reins violent, ma tante pousse un cri rauque lorsque l’engin monstrueux s’enfonce dans ses entrailles, les deux types rentrent immédiatement en action. Les coups de bélier puissants la font geindre. Elle ondule du bassin sur les deux queues qui la forent. La cadence augmente au fur et à mesure que tante gémit. Les coups de boutoir la démontent terriblement, les queues coulissent dans les gaines de chair avec violence.
La bouche grande ouverte, tante halète, un troisième larron lui offre sa queue à téter.
Tiens, c’est pour toi, fais-toi plaisir !
Elle gobe le gland large et épais, le déguste en fermant les yeux, sa bouche maintenant, monte et descend sur la hampe veineuse gorgée de sang. Sa langue s’enroule sur le gland violacé puis titille le frein, le mec pousse des grognements de plaisir. Ma tante s’active comme une pro sur le mat tendu. Pendant que les deux queues s’acharnent dans ses entrailles, elle savoure le cèpe imposant. Le mec la saisit par les cheveux et lui baise la bouche comme un dératé, elle manque d’étouffer lorsqu’il lui remplit la gorge de sa semence gluante.
Elle le repousse brusquement, un filet de sperme coule à la commissure de ses lèvres, elle déglutit et avale enfin le nectar épais. Elle reprend d’une main le manche gluant, et avec la pointe de sa langue, le lèche sur toute la longueur, elle prend soin de ne pas perdre une goutte du précieux nectar. Les assauts violents des deux baiseurs la font gémir de plus en plus fort, elle se cabre et explose en poussant un cri terrible de jouissance. Les deux baiseurs s’acharnent sur leur proie, les coups redoublent, tante tremble de tout son corps, elle a plusieurs orgasmes, sa respiration est rapide, son est souffle court, son corps secoué par de violents spasmes frissonne. Les deux types se bloquent simultanément, et remplissent de semence les entrailles insatiables de ma tante
