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Une vache humaine. Le lait, ce sont les femmes qui le produisent le mieux. – Chapitre 3

Une vache humaine. Le lait, ce sont les femmes qui le produisent le mieux. - Chapitre 3



Intimé ainsi, un ordre ne se refuse pas. Je venais de décharger dans la matrice d’Ingrid. Tout homme normalement constitué sait qu’il y a un temps de latence avant de pouvoir repartir à l’assaut. Mais ça, c’était avant. L’injection d’hier n’avait pas fait que changer mon anatomie. Toute ma masculinité était bouleversée. Mon bas ventre était agité d’une envie irrépressible.

Mon vit n’avait pas débandé et mon excitation n’était pas retombée le moins du monde. Et la vue de la croupe tendue de Carole m’attirait. D’autant qu’Ingrid, installée à côté de moi sur sa trayeuse semblait éprouver un plaisir encore plus grand après notre accouplement. Carole s’était positionnée de la meilleure façon qui soit pour me permettre de la monter, sa tête posée sur le sol, ses larges mamelles reposaient par terre et une flaque laiteuse commençait à se répandre sur la serviette placée sous elle.

Je m’approchai donc, me plaçant derrière elle. Sa vulve était somptueuse, largement fendue, ses lèvres immenses dégoulinaient d’une cyprine gluante et blanche. Sa croupe ondulait en cadence.

— Viens mon beau hutaureau. Monte-moi. Déverse-toi en moi. Insémine-moi. Je veux porter ton huveau. Je produisais 35 litres par jour lors de ma dernière gestation. Viens.

Elle ramena ses mains sur ses fesses et s’écarta largement. Je voyais le fond de sa matrice qui palpitait n’attendant que ma semence. Je pris mon membre dans ma main. Qu’il était gros maintenant, j’arrivais à peine à en faire le tour.

J’approchai mon gland de l’entrée de sa caverne bouillante, l’y appuyai et poussai… Instantanément, la matrice de Carole se referma sur moi, m’accueillant, m’absorbant, m’emprisonnant. Je sentais sa muqueuse vaginale se refermer sur mon dard turgescent.

Mes allers et retours étaient lents et profonds, et je sentais qu’à chaque appui, mon gland touchait le col de son utérus. Et à chaque contact un râle de plaisir, de bonheur, sortait de sa bouche. Je remarquais également que plus je m’accouplais à elle, plus ses larges mamelles produisaient de lait et la flaque laiteuse, naguère petite se transformait en une mare de plus en plus grande. Soudain j’entends un double "plop" qui vient de la table où se trouve la femelle qui m’avait été attribuée et que je venais de couvrir avec tant de bonheur. Les trayons avaient quitté leurs mamelles et Ingrid semblait fascinée par ce qu’elle voyait.

— C’est la première fois que j’assiste à un accouplement Laurent. Vous êtes beaux tous les deux. Tu la montes bien et elle semble prendre beaucoup de plaisir. Cela m’excite énormément.

Ingrid se rapproche de nous, ses larges mamelles dégoulinantes de lait. Elle a appliqué sa main contre sa vulve et tout en marchant dans notre direction, elle se touche, faisant rouler ses immenses lèvres entre ses doigts. Elle se poste à nos côtés, comme Carole, à 4 pattes, posant sa tête dans le liquide blanc qui se répand maintenant de deux paires de seins et commence à emplir la pièce. Je vois alors sa main venir se coller sur sa vulve et elle commence à se masturber tandis que notre saillie se déroule sous ses yeux.

La vision de ces deux huvaches, toutes les deux largement offertes me rend fou d’excitation. Jusque-là, je montais Carole dans une belle levrette, redressé et la tenant par les hanches. Mais il faut que je caresse ses pis. Je me courbe donc sur elle, posant une de mes mains à côté de son bras pour me retenir et ne pas l’écraser sous mon poids, saisissant sa mamelle de l’autre et commençant, si c’était seulement nécessaire, à la traire.

Mes coups de boutoir se ralentissent, mais ma traite a sur Carole un effet quasiment identique. À chaque fois que je presse son pis, un long jet de lait en sort tandis qu’elle pousse une sorte de beuglement bovin. Huvache, hutaureau, beuglement, tout cela se met à tourner dans ma tête. Je me mets à penser que 48h plus tôt, je me branlais tout seul dans mon lit en regardant la photo d’une ancienne amie qui avait ce qui me semblait alors des gros seins. Ma vie venait de changer du tout au tout en l’espace d’une journée. Quel bonheur, quel plaisir. Je me redresse à nouveau et sors de l’antre bouillant qui m’accueille maintenant depuis un moment. Je tourne autour de Carole, passant entre elle et Ingrid et flattant la croupe de cette dernière qui émet un petit huuuum de plaisir.

Je m’assoie devant la femelle multipare, déposant mes énormes couilles dans le bain de lait. Mon vit, raide, dressé, immense hampe de chair est juste devant son visage. Elle se redresse sur ses bras. Ses mamelles pendent somptueusement laissant toujours de longs filaments de lait s’échapper.

— Ingrid, je crois que Carole a besoin d’être traite, dis-je en regardant ma huvache.

— Oui Laurent, elle avait l’air d’aimer quand tu le faisais – répond-elle en se rapprochant, agrippant les mamelles de Carole et commençant à la traire.

— Oui, Ingrid, c’est bon, continue, tire mon lait.

Tandis que les deux femelles se rapprochent, je prends la tête de Carole et pose ses lèvres sur mon sexe. Elle lève un peu la tête vers moi :

— C’est pas comme ça qu’on fait des huveaux Laurent – me dit-elle avec un petit sourire…

— Non, tu as raison, mais si tu me manges comme ça avant, je t’assure de te remplir au maximum pour être certain de te fertiliser.

Elle me fait un petit sourire et descend ses lèvres tout le long de mon dard. Je vois ma bite disparaître dans sa bouche et sens mon gland pénétrer sa gorge… Elle m’avale d’un seul trait et commence à me masturber dans son sophage… C’est une sensation purement délicieuse. Mon gland y glisse aussi aisément que dans son ventre. Encore une fois, mon esprit se concentre sur la scène que je suis en train de vivre. Assis, baignant dans une mare de lait humain, une femelle aux mamelles hypertrophiées est en train d’avaler mon sexe tandis qu’une autre, que je viens vraisemblablement d’inséminer est en train de la traire, faisant gicler de ses pis des litres de lait. Y-a-t-il dans ce lieu une règle interdisant aux hutaureaux de gicler au fond de la gorge d’une huvache ? Cela dit, au vu de la facilité que j’ai eu à monter cette magnifique femelle juste après Ingrid, je suis sûr que je pourrais reprendre ma saillie de Carole même après une éjaculation au fond de sa bouche de sa gorge.

Je me concentre donc là-dessus et me laisse aller à ce sentiment d’extase. Je vois Ingrid qui continue sa traite et qui visiblement y prend plaisir. D’une main, elle continue à presser la mamelle pendante, tandis que de l’autre, elle caresse son bouton turgescent. Le capuchon s’est rétracté et cette petite masse de chaire vibre sous son index et son majeur. Elle est assise en tailleur, mais, malgré cette position, je vois sa croupe bouger, aller et venir, simulant un accouplement. Je la regarde dans les yeux et elle répond à ma question implicite. Passant sa langue sur ses lèvres, elle accélère ses mouvements. Nos yeux ne se lâchent plus et nous nous comprenons sans parole. Elle se place à 4 pattes et recule sa croupe vers ma figure, approchant sa vulve de ma bouche.

Ses lèvres luisent de son jus de femelle et tout son arrière train est couvert de cyprine. Je me penche légèrement et pose ma bouche sur son antre. Elle est bouillante. L’odeur est forte, prégnante, envahissante. Je commence à lécher et ma langue passe et repasse sur ces chairs turgescentes. Je les mange littéralement tant elles sont larges, longues, massives, développées. Je bois à sa fontaine. Elle produit une quantité impressionnante de jus que j’avale avec délectation. Elle continue ses mouvements. Son message est on ne peut plus clair, elle veut s’accoupler.

Laquelle monter ? Laquelle inséminer ? Que faire ?

Reprendre Ingrid, MA femelle, celle qui m’a été attribuée hier, dans laquelle je viens de répandre ma semence ?

Carole, superbe brune, à qui je suis en train de baiser la bouche et qui souhaite que je l’engrosse, qui souhaite porter mon huveau pour pouvoir redevenir la merveilleuse productrice de lait qu’elle a été par le passé ?

Carole, justement, continue de ramoner mon vit qui pulse. Sa langue passe de la base au gland et du gland à la base, massant ma grosse veine bleue qui palpite à cette caresse. Je sens la sève monter. Je n’ai plus envie de me retenir et prends ma décision. Je veux l’engrosser.

Je repousse délicatement Ingrid et me dégage de la bouche de Carole. Je m’allonge dans la mare de lait.

— Ingrid, viens poser ta croupe sur ma bouche. Et toi, Carole, empale toi sur mon chibre, je vais décharger ma semence au fond de ta matrice.

Ingrid semble un peu déçue. Peut-être, pensait elle que je le couvrirais une fois encore.

— N’aie crainte ma toute belle, nous nous accouplerons à nouveau rapidement – lui dis-je tandis qu’elle vient se placer sur moi.

Dans le même temps, Carole se place face à elle et vient s’embrocher sur mon phallus dressé. C’est à peine si je sens la pénétration tant son vagin est maintenant dilaté et trempé. Les deux huvaches se font face. Elles se rapprochent l’une de l’autre et commence à s’embrasser goulûment. Leurs mains se rapprochent des mamelles de l’autre et la traite recommence. Le lait se répand sur mon ventre et m’inonde littéralement. La croupe d’Ingrid roule sur ma bouche et je recommence à manger ses membranes. Je m’abreuve à ses secrétions qui coulent dans ma bouche et que j’avale avec délectation. Le vagin de Carole s’est fortement, très fortement, resserré sur moi et c’est elle qui conduit notre copulation. Sa croupe callipyge se déplace et son antre m’absorbe, ma presse, me branle. Le plaisir monte et ma libération arrive. J’éjacule une quantité impressionnante de foutre qui tapisse le ventre de la femelle. La pression du jet déclenche dans le même temps l’orgasme de Carole qui pousse un beuglement sourd et profond. Son corps tout entier vibre et tressaute.

Dans sa furie, elle empoigne fortement les glandes mammaires d’Ingrid qui, elle aussi réagit et part dans un plaisir orgasmique. La tension retombe. Carole et Ingrid se calment et leurs mouvements se font plus lents et finissent par s’arrêter. Quand Carole se dégage de moi, une quantité impressionnante de sperme s’écoule de son entrejambe et se mêle au lait qu’elles ont produit. Ingrid de son côté me libère et je me retrouve nu, allongé sur le sol et baignant dans un liquide blanc mêlant lait et semence. Tout à coup, j’entends deux mains qui frappent l’une contre l’autre. Un applaudissement, puis un autre, et un autre encore !

La porte est grande ouverte. Je n’avais rien vu, rien entendu pendant nos ébats, mais deux hutaureaux et trois huvaches ont assisté à notre accouplement.

— Bravo Laurent, superbes Carole et Ingrid ! Vous nous avez impressionnés. Quelle splendide monte – réagit une des huvaches.

Carole se plie en deux en saluant.

— Merci mes amis, je dois avouer que j’ai pris énormément de plaisir. Laurent est un sacré hutaureau. Il m’a enfoutré comme jamais, je suis pleine de sa semence et je suis persuadé qu’il m’a inséminée. Je saurai ça rapidement et j’espère qu’il en sera ainsi pour que je puisse produire de grandes quantités de lait comme toi Vanessa.

Je regarde en m’asseyant celle dont Carole vient de parler et suis éberlué. Son ventre est bombé, indiquant qu’elle attend un huveau. Mais ses mamelles !

Je pensais avoir tout vu avec les deux femelles qui m’entourent depuis tout à l’heure, mais non. Celles de Vanessa sont gigantesques. Impossible d’en définir la taille, ça ne rentre pas dans des critères humains. Ses aréoles doivent faire 15cm de diamètre.

Ses tétines sont emprisonnées dans une pompe a succion reliée à des bouteilles qu’elle porte en bandoulière et qui se remplissent de sa production. Carole s’aperçoit de mon étonnement.

— Vanessa est une des meilleures productrices de lait. Quand elle allaite son huveau comme en ce moment elle produit jusqu’à 50 litres par jour. Mais bon, comme il faut qu’elle se déplace, elle s’harnache de ce réceptacle, qu’elle remplit d’ailleurs assez rapidement.

— Oui, Ce sont des bouteilles d’un litre et demi et je les change toutes les demi-heures. C’est un peu fatiguant, mais je m’y suis habituée.

Ingrid se sent délaissée par toute cette foule. Elle s’attendait probablement à ce que je la monte plusieurs fois afin d’être certaine que je la féconde. Je la sens triste et perdue.

— Je crois qu’Ingrid voudrait se reposer mes amis – dis-je à l’adresse de notre public – On se voit plus tard ?

— Bien sûr – répond Vanessa – On vous laisse tranquilles.

Carole aussi se lève, pose sa main sur sa vulve et resserre ses lèvres.

— Je ne voudrais pas tout perdre Laurent… Même si je suis certaine que tu adorerais recommencer – dit-elle avec un joli sourire de connivence – Allons, je vous laisse, vous avez sûrement envie de rester seuls tous les deux.

Carole sort et referme la porte derrière elle. Je me lève. Ingrid me prend par la main et me guide vers un rideau au fond de la pièce. Elle le tire et dans l’alcôve qu’il protège, un grand lit recouvert de draps blancs, immaculés. Elle retire la couette et s’installe dessus. Je la rejoins.

— Je suis bien à côté de toi Laurent. Merci de m’avoir comprise et de les avoir fait partir.

Elle se rapproche de moi et colle ses lèvres sur les miennes.

— Et si nous nous reposions un peu tous les deux ?

Je l’enlace et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre comme deux amants repus.

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