Je fus réveillée par une sonnerie de téléphone.
<< _ Allez, debout, faignasse!
_ Manuela…? Pourquoi tu m’appelles à 13 heures du matin?
_C’est ton anniversaire, cochonne! Viens chez moi, je te donnerais ton cadeau <3 >>
J’enfile un string rose, une minijupe noire et un haut très très moulant et pas de soutient gorge. On aperçoit mes tétons durcis sous le haut violet. Mes accessoires sont des anneaux aux oreilles et un petit sac à main. Je me chausse d’une paire de talons hauts avec des paillettes. Je me trouve magnifique… Sexy, et tout… J’aime être sexy quand je vais chez ma cousine Manuela.
Quand j’arrive enfin chez elle (ce n’est pas très loin de chez moi) elle m’accueille en petite tenue sexy.
<< _ Wahou, Manuelaaa… C’est de plus en plus beau chez toi!
_ Merci, Carla!
_ Et cette tenue met ton corps en valeur…
_ Parles pour toi, miss "je-me-la-pète-avec-mes-beaux-souliers"
_ Oh, trop gentille! Je pioche un truck dans ton frigo, j’ai faim…
_ Oui, bien sur. Tu t’habilles sexy pour une fille qui achète ses fringues aux marchés.
_ Faut savoir dénicher les bonnes affaires. Comment va tante Lina?
_ Oh, bien, elle est chez sa grand-mère. Entre nous, elle va bientôt mourir… La pauvre… Et comment va Oncle Paul?
_ Oh, bof… Il m’a infligé quelques incommodités… Mais sinon ça va, il dort sur le canapé, la bite à l’air. Routine. >>
Manuela soulève ma jupe, écarte d’un doigt ma culotte pour découvrir ma chatte qu’elle titille avec ses doigts. Avec l’autre main, elle me tripote le téton.
<< _ On baise, là? J’ai un concombre assez long. >>
Jacquiesce. On se dirige dans sa chambre avec le concombre, nous allongeons sur son matelas. Je fais glisser ma jupe au sol, et je lui laisse le loisir de retirer ma culotte blanche et un peu sale dont elle se délecte de l’odeur. Je commence à devenir humide et elle aussi. Elle lubrifie son sexe et le miens avec son crachat et on s’empale avec le fruit, chacune à lextrémité. On enchaine un moment de va et vient, s’empalant de plus en plus profondément sur le concombre, le lubrifiant de notre mouille. On jouit assez silencieusement, poussant des gémissement étouffés chaque fois que nos lèvres se touchent. Elle met ses pieds sur mes seins et les pétris et cela m’excite beaucoup. Au bout d’un long moment de baise, on se retire du concombre, je le lui fait lécher. Elle astique le concombre comme elle astiquerait une bite. Sa langue se déplace de haut en bas de celui-ci, puis elle le prend en bouche et le suce. Je le place dans mon vagin alors qu’elle continue de le sucer de haut en bas en me regardant dans les yeux.
Je me délecte de sa superbe, elle s’offre à moi. Puis elle se met à quatre pattes, j’écarte ses petites fesses rondes et fermes, je lui lèche le trou du cul parfaitement épilé et à la douce odeur de savon de Marseille. Je fais des mouvements rotatifs qui la font jouir, puis j’introduis le bout de ma langue dans son anus et elle explose littéralement de plaisir.
<< _ Tu aimes ça quand on joue avec ton trou de balle, hein? Petite cochonne <3 >>
Je me positionne à mon tour à quatre pattes. Elle sort un gode (un vrai, pas un concombre) de sa table de nuit. Il est long, assez fin et souple comme il faut, avec deux extrémités. Elle l’introduit dans mon cul, puis se l’introduit de l’autre côté. On est à quatre pattes, cul contre cul, et on s’encule mutuellement. Puis, on arrête, lassées, et on s’embrasse langoureusement. Elle a déjà relevé mon haut au-dessus de mes seins et me pince les tétons. moi je lui caresse les fesses douces qui sont comme des boules de cotons. Elle a un string ficelle rouge avec des strass. Enfin, nous finissons notre petite sauterie rapide.
Son père arrive, mon autre oncle, alors que nous regardions la télé. Quand il me voit, il me demande de venir dans sa chambre. Manuela sait très bien qu’il a une petite habitude à mon égard, et elle ne dit rien. Un fois dans sa chambre, il sort son pénis. Je met mon visage à la hauteur de sa queue. Il me caresse le visage avec le bout de sa queue, me biffle, puis se branle très vite pour m’éjaculer dessus. Puis je rejoins ma cousine alors qu’il s’en va.