La rentrée était assez angoissante, nouveau lycée, nouvelle classe, nouveaux professeurs, l’appréhension de l’inconnu. Finalement, tout se passe pour le mieux, je repère brièvement les lieux lors de la visite menée par un de mes professeurs. Je suis un jeune garçon, dix-huit ans, en première année de BTS, je suis donc au lycée pour deux ans encore, un garçon assez banal, les cheveux bruns et courts, pas squelettique, mais pas gros non plus, je m’habille assez sombrement, n’ayant jamais été le genre de garçon sur lequel la gent féminine se retourne, je suis assez introverti, ne parlant pas beaucoup.
Les premiers jours au lycée sécoule assez simplement, je retrouve routine du lycée, mais rapidement survient la première soirée étudiante, le premier Jeudi de lannée scolaire, en fait. Jhésite à y aller, je me suis plutôt bien intégré dans ma classe, mais en dehors de cela, je ne connais pratiquement personne du lycée et je sais que la soirée dintégration réunira la totalité des classes de premières années. Je me renseigne, fait le tour de mes camarades, pour voir qui sera et qui ny sera pas et me décide finalement à y aller lorsque japprends que deux de mes camarades, avec qui jétais au lycée lors du baccalauréat, y vont également.
Le Jeudi arrive vite, et nous devons retrouver les deuxièmes années à dix-huit heure devant le lycée, habitant à 30 minutes de là, je nai pas vraiment le temps de rentrer pour revêtir une tenue plus adéquate et lemporte donc, le Jeudi matin, avec moi au lycée. Jarrive en voiture au lycée, y laissant ma tenue et attend que la journée se termine avec une appréhension mêlée dexcitation, cest loccasion de faire la fête, de rencontrer de nouvelles têtes, pour moi qui nest jamais été un garçon à sortir beaucoup, cest une occasion en or ! Il est 17 heure quand ma classe termine les cours, ce qui nous laisse juste le temps pour aller à lappartement de lun de mes deux acolytes de lannée précédente et de nous habiller convenablement. Joccupe la petite salle de bain durant une demi-heure tout au plus, et revêt ma chemise blanche, un jean sobre et une paire de mocassins. Jai toujours aimé mhabiller avec classe, mais les occasions pour le faire ne sont pas nombreuses, bien quen tant normal, jarbore toujours une chemise. Je me parfume avec le parfum haut de gamme que jai amené pour loccasion, coiffe mes cheveux dans un désordonné soigné, ayant déjà pris soin de me raser le matin même.
Je ressors de la salle de bain, il nous reste encore une vingtaine de minutes avant de devoir partir, ce qui laisse le temps à mes deux amis le temps de se préparer. Lheure du départ sannonce, je passe vite fait devant le miroir une dernière fois, puis attrape mes clés et grimpe dans ma voiture. Mes deux amis montent ensembles, pour le moment, je suis seul dans la mienne, mais jignore encore que ça ne va pas durer. Devant le lycée, il y a déjà plusieurs classes, soigneusement séparer les unes avec les autres, en train dattendre larrivée des deuxièmes années. Jattrape un chewing-gum, mon paquet de cigarettes et mon portable et descend de la voiture, je me rends rapidement compte que, même si la plupart des filles présentes sont soignées, les garçons, eux ne le sont pas nécessairement, et hormis moi, il ne doit y avoir quun ou deux mecs en chemise, jabandonne donc lidée de mettre ma veste de smoking et labandonne dans la voiture pour rejoindre ma classe. On parle, la plupart sont excités à lidée de la soirée, moi, je suis encore le cul entre deux chaises, lappréhension de linconnu se mélangeant à lexcitation de la soirée. Lorsque je termine ma cigarette, les voitures commencent à défiler devant nous, les deuxièmes années en sortent et nous briffent brièvement sur le déroulement de la soirée, tout dabord, nous allons les suivre en voiture jusquà la grande ville la plus proche, à 25 kilomètres de là, où un buffet nous attends, puis ensuite, plusieurs bus viendront nous prendre pour terminer la soirée en boite de nuit. On se ruent donc vers nos voitures respectives, puis trois jeunes filles, que je ne connais absolument pas, viennent taper à mon carreau, je descends ma vitre et leur demande que ce quelles veulent, avec difficulté, peu habitué à me faire ainsi aborder, lune delle, une brune en robe verte et talons aiguilles, me répond la première, ses yeux verdoyants me trouble au plus au point.
« Excuses-nous, mais nous navons pas de voitures et les autres sont toutes pleines, ça te dérangerait de nous emmener ? » Me demande-elle, avec un sourire sincère. Il me fallut quelques secondes pour comprendre le sens de sa phrase, qui, jusquici, napparaissait pour moi quun flot désordonné de mots incompréhensibles, je lui répondis, en rougissant, que ça ne me dérangeait absolument pas et quelles pouvaient sinstaller. Décidemment, jétais de plus en plus réjoui dêtre venu.
La brune monta la première dans la voiture, sasseyant à la place du passager avant, sa proximité me fit frémir et je lui jetait un regard que jespérais discret, admirant une nouvelle fois sa beauté et son galbe largement mis en avant par sa robe moulante. Les autres voitures commencent à quitter le parking, je me dis quil est temps dy aller et je démarre et lorsque je vais pour desserrer le frein à main, ma main frôle celle de la brune, qui madresse un petit regard en souriant, jentends ses deux amies, assissent à larrière de la voiture, glousser et leur jettent un regard par le rétroviseur intérieur, elles ne se gênent pas pour glousser davantage, que jignore tant bien que mal en enclenchant la marche arrière pour quitter ma place de parking et minsérer dans la longue file de voitures qui allaient suivre la même direction.
Le trajet se fait dans le silence, aucune fille ne parle et je ne fais rien pour briser la glace, un peu gêné, alors que nous approchons de notre destination et que les voitures de devant ralentissent, jen profite pour descendre ma vitre et mallumer une cigarette, se qui ne manque pas dattirer lattention de mes trois passagères.
« Tu nous en offre une ? » Me demanda la petite rouquine assise à larrière de la voiture, jhoche la tête en guise de réponse et ouvre mon paquet de cigarettes, leur en tendant une à chacune, avant de le remettre dans le vide poche, puis je leur tend le briquet, qui me revient après quelles aient allumées leur cigarettes. « Merci, cest cool, tes un gars gentil. » Me dit la deuxième fille à larrière, plus jeune que la brune et la rousse, elle était brune également et très sobrement maquillée, mais tout aussi bien vêtue que ses deux comparses. Mais bien quelles soient toutes les trois belles, la brune aux yeux verts et à la robe moulante mavait déjà tapé dans lil.
Nous arrivons enfin et je me gare, nous descendons tout les quatre de la voiture, puis nous dirigeons côtes à côtes dans la salle qui avait spécialement été louée pour lévènement. Sans doute une salle que des particuliers louaient en de diverses occasions. Il y avait déjà pas mal de monde dans la salle, qui avait été sobrement décoré, une grande table était disposée en fond avec des plats regorgeant de nourriture, puis une bonne partie de la salle était occupée par des tables sur lesquels nous mangerions. Jai fumé une cigarette dehors et perdu les filles de vues, mais jai rapidement été rejoins par ceux de ma classe, qui fumaient tous. On a discuter, rigoler, échanger quelques appréciations sur les filles qui étaient là, puis nous avons rejoins les autres pour manger.
La brune à la robe verte est venue sasseoir à côté de moi, le courant est passé plus facilement, elle a manger avec moi, puis nous sommes sortis fumer, quand nous sommes retourner à lintérieur, la table du fond avait été débarrasser de ses plats ou des bouteilles diverses trônaient maintenant à la place, plusieurs personnes, derrière la table, semblaient faire le service, jai donc invité la jeune brune, dont javais appris quelle sappelait Léa, à aller prendre un verre.
La soirée sentamant et lalcool me déliant rapidement la langue, jai finis par avouer à la plantureuse créature quelle me plaisait beaucoup, avant de la plaquer contre un mur et de lembrasser, mes inhibitions totalement annihilées par lalcool. Ça ne l’a pas dérangée, puisquelle répondit rapidement à mon baiser, joignant sa langue à la mienne, tantôt dans sa bouche, tantôt dans la mienne, nos muscles humides se mêlant lun lautre avec sensualité alors que ma main saventurait progressivement sur sa croupe, en dessous de sa robe moulante.
Elle me repoussa doucement par lépaule, et je lui jetait un regard dincompréhension, alors que les choses avaient lair de plutôt bien sannoncer pour moi, elle jeta un regard furtif de chaque côté, comme si elle se souciait que quelquun entende se quelle allait me dire, puis elle me susurra doucement à loreille « Pas ici ». Je ne me le fit pas dire deux fois et attrapa la main de Léa, je terminais mon verre de vodka et le reposait sur la table que déjà jentraînais celle-ci à lextérieur de la salle.
Le soleil commençait à descendre dans le ciel, mais la température restait correcte, nous avons été derrière la salle, pour reprendre ce que nous avions entamé, mais cette fois se fut elle qui me plaqua contre le mur et membrassa torridement, mêlant nos salives. Puis, sans que je my attende, ses mains saffairèrent à défaire la boucle de ma ceinture et à déboutonner mon pantalon, qui tomba finalement à mes chevilles. Elle descendit alors en me caressant le torse, atteignant rapidement mon boxer, doù elle sortit ma verge tendue, elle me jeta un dernier regard et ses lèvres enrobèrent mon membre, elle entama alors un va-et-vient chronique, venant parfois le sortir de sa bouche pour lécher mon gland, un long soupir méchappa alors quelle commençait sa besogne avec entrain, sa main fermement serrer à la base de mon sexe, quelle branlait au même rythme que sa bouche allait et venait sur le reste de ma virilité. La tête basculée en arrière, je lâchais de lourds soupirs remplis de désir et suave, alors que la main que javais placé à larrière de sa tête accompagnait le mouvement de ses lèvres sur ma verge tendue au possible. Il fallait le reconnaître, même si je nétais plus puceau depuis un moment, il y avait longtemps que je navais pas eu de rapport, et lhabilité avec laquelle elle maniait mon instrument me conduisait vers un plaisir certain, que je ne pouvais contrôler, plus elle allait et venait, plus mon plaisir grimpait et me conduisait vers la jouissance, plus sa langue gâtait mon gland, plus les frissons se faisaient violents et même si jaurais voulus tenir plus longtemps, pour profiter encore de sa délicieuse bouche chaude contre ma verge, jexplosais, remplissant sa bouche de ma semence, elle lâcha un petit gémissement de protestation, en me jetant un regard noir, mais ne se fit pourtant pas prier pour avaler mon sperme encore chaud, alors que jétais vautré contre le mur, haletant encore sous le plaisir quelle mavait fait prendre