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Union des générations – Chapitre 2

Union des générations - Chapitre 2



Chapitre II : Deuxième incident

Le deuxième incident eut lieu alors que je rentrais du travail. Même si j’étais déjà à la retraite à l’époque, je donnais des cours de français au sein d’une association destinée aux personnes illettrées et déscolarisées. Normalement, avec la présence d’Agathe et Chloé, j’aurais dû ne pas donner de cours. Mais une autre enseignante avait eu un grave accident de la route, et j’avais dû la remplacer en urgence.

Agathe et Chloé ne m’en avaient pas voulu.

Nous devions être le jeudi suivant la découverte d’Agathe se masturbant sur le canapé. Enfin la date ne change pas grand-chose. Je rentrais tranquillement chez moi, plus tôt que prévu en raison d’un fort taux d’absentéisme parmi nos élèves.

L’histoire avec Agathe ne me préoccupait plus. En tout cas, plus autant. Mais il m’arrivait encore d’y penser. Il y avait même eu un soir où, dans mon lit, je m’étais caressé la chatte en y repensant. C’était la première fois depuis des décennies que je me masturbais, et je n’avais même pas joui, tant j’avais honte de le faire en pensant à ma fille.

J’étais heureuse de ne pas entendre la musique à fond en arrivant. Je me suis dit que ça m’éviterait de trop repenser à Agathe. Puis je me suis rendu compte que le simple fait de me faire cette réflexion me faisait repenser à Agathe.

Les filles n’étaient pas là. Elles devraient être sorties. J’ai voulu en profiter pour prendre un bain bien relaxant, et éventuellement faire une petite sieste après.

Une fois à l’étage, je remarquai que la porte de la chambre d’Agathe était ouverte. En soit, ça n’était pas étonnant. Mais, comme je devais passer devant pour rejoindre la salle de bain, je marchai dans le couloir et, plus par habitude qu’autre chose, mon regard tourna vers la chambre tandis que je passais devant.

Aujourd’hui encore, je me demande comment j’ai fait pour ne ni hurler, ni m’évanouir.

Agathe et Chloé étaient sur le lit d’Agathe. Celle-ci était allongée sur le dos. Chloé était sur elle. Et elles se prodiguaient un 69. Il était impossible d’avoir le moindre doute. Au fond de moi, j’espérais me tromper, et que ça ne soit pas Agathe. Ou pas Chloé. Mais je reconnus les cheveux mi roux, mi faussement blonds de Chloé, et le corps d’Agathe que j’avais déjà vu.

Je les entendais gémir. J’entendais (même si c’était peut-être une impression) les clapotis de leur langue sur leur chatte.

Sous le choc (oui, encore), je sorti discrètement du couloir, et de la maison. J’ai passé le reste de l’après-midi à marcher en ville, et je suis finalement rentrée à l’heure prévue.

Dès mon retour, Agathe et Chloé avaient remarqué que quelque chose n’allait pas. Je leur répondais de façon évasive que je pensais à mon amie hospitalisée, ou j’inventais des soucis avec les élèves. Elles eurent l’air d’y croire.

Le soir, je me suis couchée. J’avais eu beau faire mon possible, les images n’arrêtaient pas de défiler devant mes yeux. Agathe en train de se masturber sur le canapé. Les filles en train se lécher. Agathe qui se montre impudiquement nue devant moi. Les filles en train de se lécher. Les aveux d’Agathe sur la vie sexuelle de Chloé. Les filles en train de se lécher. Agathe qui se montre impudiquement nue devant moi.

Ces images disparurent une seconde de mon esprit. Je remarquai alors que j’avais la main gauche sur mon sein droit, au travers de ma nuisette, tandis que ma main droite était plaquée contre ma chatte. Ma chatte trempée.

Qu’est-ce que je faisais ? J’étais en train de me masturber en pensant aux relations incestueuses de ma fille et de la sienne. Et J’étais très excitée.

J’agissais presque mécaniquement. Mes mains recommençaient leur travail. Je sentais le plaisir monter, chose que je n’avais plus ressentie depuis des années. Les images des deux gouines me revenaient. Mais mes mains sur mon corps transformaient ces images choquantes en images excitantes. À regret, je laissai mes seins pendant quelques secondes, pour attraper mon oreiller et le coller dans ma bouche, pour le mordre à pleine dent.

Je repris mes caresses sur ma poitrine et ma chatte. Je caressais mon clitoris, tout en malaxant mes seins à travers mon fin vêtement.

Moins de deux minutes plus tard, je fus terrassée par un orgasme, étouffé dans l’oreiller. J’avais oublié ce que c’était. Le plaisir fut tel que je succombais au sommeil.

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