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Vacances avec ma Filleule – Chapitre 1

Vacances avec ma Filleule - Chapitre 1



Je me présente : je m’appelle Benjamin ; je suis marié à une magnifique femme qui se prénomme Delphine. Dans l’histoire que je vais raconter, Delphine est enceinte de 5 mois de notre premier enfant et nous sommes partis sur la Côte d’Azur près de St Raphaël avec Alexandra, ma filleule de 19 ans.

 

Nous sommes début juillet, et après avoir récupéré ma filleule chez ses parents (sa mère est ma cousine germaine), nous nous dirigeons vers notre location estivale. Le trajet se passe sans encombre ; Alex alterne entre sieste et lecture de ses magazines préférés tout en écoutant sa musique. Grâce à la climatisation dans la voiture, Delphine supporte bien le voyage. Elle porte une robe légère d’été qui laisse deviner son opulente poitrine. En effet, depuis sa grossesse, ses seins on pris une dimension hors normes : elle fait un 95G (elle fait habituellement un 90E). Comme à mon habitude, j’aime mettre ma main sur sa cuisse pendant les longues lignes droites sur l’autoroute. Regardant dans le retro pour voir ce que ma filleule fait, je commence à remonter sous la robe de ma femme. Elle m’attrape le poignet et dit :

 

    Arrête un peu, il y a Alex derrière.

    Elle dort, et en plus elle a ses écouteurs dans les oreilles, donc ne te bile pas.

 

Sur mes paroles et après avoir regardé derrière, elle lâche ma main. J’en profite pour remonter jusqu’à son string et commence à la caresser au dessus. Delphine commence à pointer sérieusement, ses tétons se remarquent à travers son soutien-gorge et le haut de la robe. Elle se mord les lèvres et respire de plus en plus profondément. Sous ma main, je sens sa chatte se liquéfier. Alex commence à bouger sur la banquette arrière ; je redescends ma main, laissant Delphine dans une frustration énorme.

Après quelques kilomètres, Alex est totalement réveillée et demande si on peut s’arrêter sur la prochaine aire pour une pause-pipi. La voiture à peine arrêtée, les deux femmes sortent et vont ensemble vers les sanitaires. A peine hors de ma vue, je reçois un message de ma femme. C’est une photo de sa chatte avec pour légende « Je suis en eau ! » Je constate effectivement qu’elle coule de cyprine. Il faut dire aussi que depuis le début de sa grossesse, en plus d’avoir une libido insatiable, elle est devenue une femme fontaine.

J’attends hors de la voiture. Ma filleule arrive la première avec une bouteille d’eau fraîche et me propose d’en boire. A peine désaltéré et Delphine de retour, nous repartons. Alex se plaint d’avoir froid et me demande si elle peut prendre ma veste en guise de couverture ; je la lui donne et la voilà qui repart au pays des rêves, les écouteurs toujours ancrés dans les oreilles. Delphine relève un peu sa robe.

 

    Je sais pas comment elle fait pour avoir froid ; moi, je suis en nage.

    C’est normal, tu es enceinte. Tes hormones te font bouillir.

 

Elle prend les pans de sa robe et s’en sert pour se faire un peu d’air. Je mets ma main sur une des bouches de ventilation, et quand je la sens assez fraîche, je la pose sur son string. Enfin, sur sa chatte en fait, car à ma grande surprise le petit bout de tissu a disparu. Je la regarde, médusé. Avec un grand sourire elle me lance :

 

    Surprise !

    Tu l’as retiré quand ?

    Tout à l’heure, dans les toilettes.

    Mais je ne t’ai pas vue revenir avec dans la main, et tu n’avais pas ton sac.

    Je l’ai laissé accroché sur le porte-manteau intérieur des toilettes hommes que j’ai utilisées pour faire pipi à la pause.

    Tu vas dans les toilettes hommes, toi, maintenant ?

    Oui, il y avait trop de monde dans les toilettes femmes et je ne pouvais plus me retenir.

    Tu vas faire un heureux avec ce joli cadeau.

    J’espère que ce sera un pervers comme toi qui va le trouver !

 

Cette surprise me rend tout dur dans mon boxer. Mes doigts caressent son mont de Vénus ; elle écarte légèrement ses cuisses pour m’inviter à descendre dans sa fente déjà toute liquide. Je titille son clitoris et la pénètre avec un de mes doigts. Elle lâche un petit gémissement, se mord les lèvres pour ne pas réveiller Alexandra. Mon sexe me fait mal tellement il est serré dans mon short. Elle doit l’avoir vu car elle pose sa main dessus, et après quelques caresses elle déboutonne mon short et plonge la main dedans pour en sortir l’objet de sa convoitise. Elle commence à me branler doucement, jette un regard sur Alex et, comme cette dernière dort encore, Delphine plonge sur ma bite pour l’avaler. Cette pipe me rend fou ! J’ai une main sur le volant et l’autre se pose sur sa tête pour encore plus apprécier ses va-et-vient. Je ne me retiens pas, et rapidement je gicle tout au fond de sa gorge. Delphine avale sans sourciller, me nettoie le gland avec sa langue et remet ma bite dans mon short.

 

    Tu as été vite !

    Je ne voulais pas être surpris par Alex.

    OK ! tu me dois un câlin ce soir.

    Pas de souci !

 

Après un baiser légèrement salé de sa part, je repose ma main sur sa cuisse jusqu’à la fin du voyage. Arrivés à la location, je réveille Alex pour qu’elle m’aide à descendre les valises pendant que Delphine part se reposer un peu dans une chambre.

 

A peine les corvées finies, Alex se met en maillot de bain et se jette sur un des bains de soleil de la terrasse pour profiter des derniers rayons de la journée.

 

    Dis-moi, tu ne perds pas de temps à ce que je vois !

    Tu sais, parrain, si je veux être toute bronzée, je ne dois rien négliger. Tu peux m’aider à mettre mon monoï s’il te plaît ?

    J’arrive.

 

Elle me tend le flacon et se retourne. Je commence à en mettre dans mes mains quand je m’aperçois qu’elle a retiré son haut. Je marque un temps d’arrêt ; elle tourne la tête et dit :

 

    J’attends, parrain. Qu’est-ce que tu fous ?

    Rien, rien.

    Tu vas pas me dire que tu es perturbé de voir une petite paire de seins ! En plus, j’aime pas les traces.

    Non, mais je viens de réaliser que tu n’es plus une petite fille : tu es une belle jeune femme maintenant

    Merci.

 

En effet, je ne vous ai pas encore décrit le physique d’Alexandra. C’est une jeune femme de 19 ans, 1m55 pour à peu près 45 kg. Des petits seins 85B (j’ai regardé dans un de ses soutiens-gorge peu après cet événement) et un cul à damner un saint, sûrement grâce à ses nombreuses années de gymnastique. Après l’avoir matée un peu par-dessus son épaule, je lui demande de s’allonger sur le ventre pour pouvoir lui mettre le monoï plus facilement. Je me fais un plaisir à lui enduire le dos et les cuisses. Au moment de partir, elle lève la tête et me rappelle :

 

    Tu as oublié un endroit.

    Ah bon ! Lequel ?

 

Elle me montre son cul. Je souris.

 

    Cet endroit, je pense que tu peux le faire toute seule.

 

Elle ne rétorque rien et finit de s’enduire seule le reste du corps. Cette vision me fait partir dans un semi-fantasme. J’en sors rapidement à l’arrivée de ma femme qui, également en bikini, va s’allonger sur le bain de soleil à côte de celui d’Alex. Je n’entends pas leur conversation, mais je les regarde attentivement. Delphine s’est aussi mise topless, et maintenant Alex l’aide à mettre sa crème solaire. Je trouve que ma filleule a la main baladeuse sur sa tante : elle passe et s’arrête plusieurs fois sur cette poitrine opulente, et quand elle s’occupe de l’arrière-train de sa tante, elle n’hésite pas à passer sous sa culotte et dans l’entrecuisse. Je prends quelques photos de cet instant magique et pars faire le tour de la propriété pour essayer de faire redescendre de mon excitation.

 

Quand je rentre de ma petite balade, je suis zen. Delphine s’affaire dans la cuisine pour le dîner. J’arrive derrière elle, l’enlace au niveau de son ventre tout rond et l’embrasse dans le cou. Ces petites attentions la font frissonner.

 

    Elle est où, Alex ?

    Dans la salle de bain ou dans sa chambre. Tu peux aller la chercher pour qu’elle mette la table ?

    J’y vais.

 

Je me dirige vers la salle de bain et la trouve vide. Je vais donc vers sa chambre et frappe à la porte. Une fois, puis deux, et enfin trois fois. N’ayant pas de réponse, je pense qu’elle s’est endormie et du coup j’ouvre la porte pour aller la réveiller. J’ai cru que mon cur allait s’arrêter. En effet, je tombe nez à nez sur Alexandra de dos, un pied sur son lit et écartant de façon obscène les cuisses. Dans le miroir en face d’elle, je la vois en train de s’écarter les grandes lèvres d’une main et de tenir son téléphone de l’autre. Elle a ses écouteurs dans les oreilles ; c’est pour ça qu’elle ne m’a pas entendu. Après ces quelques secondes interminables mais sur l’après-coup divines, nos regards se croisent dans le reflet du miroir. Je lis la peur, mais surtout la gêne dans le regard de ma filleule. Elle se jette sur son lit et se recroqueville en position ftale. Sans un mot, je sors de sa chambre et ferme la porte.

 

    Tu as trouvé Alex ?

    Oui, elle s’habille. Je vais mettre la table, elle la mettra demain.

    Tu la chouchoutes trop.

    Peut-être, mais j’ai qu’une filleule ; alors j’en profite.

 

Tout en mettant la table, je repense à cette scène surréaliste. J’attrape une gaule d’enfer qui, vu l’allusion de ma femme, doit être très visible à travers mon short. Avec Delphine nous nous mettons à table quand Alex arrive dans la salle à manger. Elle a les joues rouges et les yeux brillants ; elle porte en guise de pyjama un mini-short en jersey et un top à bretelles sans rien dessous. Je commence à servir le repas quand Delphine lui lance :

 

    Tu es toute rouge ! Ça va ?

    Oui, tata, ça doit être à cause du soleil.

    Tu as les yeux rouges aussi ; tu as pleuré ?

    Non ! je me suis mis du shampoing dans les yeux en prenant ma douche.

    Oh, la blonde !

 

Sur cette réplique, nous nous mettons tous à rigoler. Je suis stupéfait, elle ne dit rien de l’incident ; est-elle plus honteuse que vexée ? A-t-elle compris que je ne l’avais pas fait exprès ? En tout cas, le repas se passe normalement et le début de soirée aussi. Après avoir débarrassé la table et fait la vaisselle, je reviens dans le salon avec des cafés. Je constate que Delphine est allée se changer et porte maintenant une nuisette en jersey qui lui arrive mi-cuisses, avec un décolleté plongeant. Elles sont toutes les deux assises sur le canapé, ne laissant que le fauteuil en face d’elles.

 

    Vous parlez de quoi ?

    Rien, parrain : de choses de filles, c’est tout.

    Je ne veux rien savoir alors.

 

Nous jouons aux cartes et yams. Étant fatiguée, ma femme va se coucher vers 23h30. Après lui avoir maté le cul pendant qu’elle quitte la pièce, je prends sa place sur le canapé et demande à Alex :

 

    On refait une partie ou tu veux aller au lit toi aussi ?

    Non : prête pour une dernière partie, parrain !

 

Son air enjoué me réconforte sur le fait qu’elle ne me tient pas rigueur de mon entrée impromptue dans sa chambre en début de soirée. Pendant la partie, nous parlons de choses et d’autres, et de ses envies pour les vacances. Nous rigolons et racontons des conneries comme d’habitude. Mais d’un coup elle prend un air plus sérieux.

 

    Parrain, je peux te parler d’un truc ?

    Vas-y, Alex, tu peux tout me dire, tu sais.

 

Je redoute sa question ; je sais très bien de quoi elle veut me parler.

 

    C’est à propos de tout à l’heure dans ma chambre.

    Tout d’abord, je tiens à m’excuser, ma louloute ; je ne voulais pas t’espionner, mais comme tu ne répondais pas quand j’ai cogné à la porte, j’ai pensé que tu t’étais endormie après ta douche.

    Non, non, c’est pas grave. Je ne t’en veux pas pour ça ; je comprends. Je veux juste t’expliquer pourquoi tu m’as trouvée dans cette position. En fait, j’étais avec mon copain en visiophonie, et comme je lui ai dit que j’avais déjà pris des couleurs, il a voulu voir et puis ça a dérapé.

    D’acc ! Mais tu sais, Alex, méfie-toi de tout ça ; tu sais pas ce qu’il peut faire avec des photos de toi à poil et s’il ne va pas les mettre sur le net un jour ou l’autre. Ça arrive à plein de filles un peu naïves, et après elles ont une réputation de salopes dans leur bahut.

    Tu vas me dire que tu ne l’as jamais fait avec tata, peut-être ?

    Pourquoi tu dis ça ? C’est pas la question !

    Je vous ai vus dans la voiture, tout à l’heure.

    Tu as vu quoi ?

    Tata te sucer et toi lui mettre des doigts.

 

La garce faisait semblant de dormir !

 

    Désolé ; nous pensions que tu dormais.

    Eh non, parrain chéri ! D’ailleurs, tu as une très belle bite.

    Qu’est-ce que tu y connais aux bites, à ton âge ?

    Je suis curieuse, tu sais, et j’aime bien mater papa dans sa douche des fois.

 

Elle me scie les pattes ; je ne serais pas assis, je tomberais à la renverse.

 

    Tu en as vu d’autres, des bites ?

    Oui, une fois lors d’une soirée. Les garçons ont voulu faire un pari avec les filles ; c’était à celui qui viderait le plus vite sa bière.

    Et alors ?

    Ils ont tous commencé à les boire cul-sec, et les filles les ont vidées par terre.

    Vous êtes des futées

    Merci.

    Le pari, c’était quoi ?

    Pour les filles, si elles perdaient, elles devaient se lécher l’anus entre elles et devant tout le monde. Pour les garçons, ils devaient se branler devant les filles dans un verre et boire leur foutre.

    Vous êtes complètement givrés, les jeunes, mais j’avoue que c’est pas mal comme pari. J’avais à peu près les mêmes jeux, quand j’étais plus jeune. Donc je vois que tu as de l’expérience à épier les hommes. Mais ça ne fait pas de toi une experte car tu les as vues de loin.

    J’ai vu et touché celle de mes trois derniers copains aussi.

    Touchées ?

    Oui, avec les mains et la bouche.

    La bouche ?

    Oui, je vais pas t’apprendre que les garçons aiment se faire sucer ! Et quand tu ne veux pas coucher, il ne te reste que ça pour les garder.

    Tu n’as pas tort. Je ne vais pas te faire le passage de l’amour et tout ça car tu sais très bien qu’à votre âge, c’est plus hormonal que sentimental.

    Tu me choques.

    Pourquoi ? Parce que je n’ai pas un dialogue sermonneur ? Tu as vu ce que j’ai fait dans la voiture avec ta tante : je serais mal placé pour ça. La seule chose que je te dirai, c’est de te protéger quand tu le feras ; faire attention avec les photos car tu peux vite passer pour une pute au regard des autres de ton bahut, et ne te force jamais avec qui que ce soit. S’il te force, il ne te mérite pas.

    Reçu, parrain.

    Dis-moi, une dernière chose : tu es toujours vierge ?

    

    Dis-moi, je te mangerai pas.

    Oui. J’ai bien failli une fois, mais il n’avait pas de capote. Du coup, j’ai refusé.

    Tu as bien fait. En plus des maladies possibles, tu risquerais de tomber enceinte ; et ça, je crois que tes parents te tueraient avant de mourir eux-mêmes.

 

Nous rigolons ensemble et Alexandra vient se blottir sous mon bras pour faire un câlin. Je lui caresse les cheveux et la nuque comme à la normale. J’ai la tête à la renverse et les yeux fermés quand je sens une main passer sous mon short. Je me redresse et chasse du coup sa main.

 

    Qu’est-ce que tu fais, Alex ? T’es folle !

    Désolé, parrain. Avoir parlé de tout ça avec toi, je suis excitée et je veux juste la prendre en main pour voir si elle est aussi dure qu’elle en a l’air.

    T’es complètement folle !

    S’il te plaît

 

J’attends quelques secondes et tends l’oreille pour entendre s’il y a un bruit dans la maison.  Le silence règne.

 

    Bon, d’accord, mais tu la touches seulement ; et après, fini. Et on ne reparle de ça sous aucun prétexte.

     OK.

    Promis ?

    Promis.

 

Je plonge ma main dans mon short pour en sortir ma bite qui me fait mal tellement elle est dure à cause de cette conversation qui m’a excité, mélangée aux images de ma filleule topless de l’après-midi et ensuite complètement nue dans sa chambre. Alex s’est redressée sur le canapé pour ne pas en perdre une miette. Elle a les yeux qui brillent comme une petite fille devant ses cadeaux de Noël. A peine ma bite sortie qu’elle se jette dessus. Je lui bloque la main.

 

    Juste toucher, rien de plus.

    Oui, oui.

 

Je lui  lâche le poignet. Elle s’approche plus doucement et empoigne ma bite délicatement. La sensation de sa main sur ma bite me donne une décharge électrique dans tout le corps. Elle respire par saccades ; elle commence à la palper.

 

    J’avais raison, elle est super dure. En tout cas plus dure que toutes les autres que j’ai déjà tenues.

    Fais pas la maline.

 

Elle me regarde droit dans les yeux et me fait un sourire ravageur. Je me dis qu’elle doit en faire tourner, des têtes dans sa fac. Pris dans mes pensées et essayant de me retenir pour ne pas lui sauter dessus, je ne m’aperçois pas tout de suite qu’elle a commencé à faire des va-et-vient le long de mon chibre. Je lui saisis le poignet.

 

    Laisse-toi faire, parrain ; je veux te remercier pour ta gentillesse et tes conseils.

    Tu n’es pas obligée de me remercier ainsi ; c’est normal que je te donne ces conseils.

    Laisse-moi faire, tu ne regretteras pas.

 

L’envie est telle que je ne peux que lui lâcher le poignet et la laisser faire. Alex ne s’attarde pas : à peine le poignet libre, elle recommence ses va-et-vient incestueux sur ma bite raide. Elle accélère le mouvement ; ces tressautements lui font tomber une des bretelles de son top, qui glisse de plus en plus jusqu’à lui découvrir un sein. Mes yeux sont hypnotisés par ce magnifique petit globe rond et ferme. Il est surmonté d’un joli mamelon rose clair. Il saute au rythme de sa masturbation. Je n’en peux plus ; le plaisir est tellement intense que je n’ai même pas le temps de la prévenir, et Alex reçoit mon foutre par saccades. Elle continue quand même de me branler, elle accélère même les mouvements. Des jets atteignent son sein, ses épaules, et un arrive même sur ses lèvres. Ce dernier la fait sursauter et lâcher ma bite. Elle court à la salle de bain d’où j’entends l’eau couler.

 

Après cette toilette nocturne, nous nous disons au revoir et je rejoins mon lit pour essayer de trouver le sommeil.

 

Le lendemain matin, allongé sur le lit, je regarde Delphine dormir, nue sur les draps. J’aime la contempler ; ses courbes de femme enceinte la rendent encore plus désirable. Elle ouvre doucement les yeux et répond à mon regard par un magnifique sourire. Je pose ma main sur son ventre et m’approche de son visage pour l’embrasser. Elle répond à ce baiser en fourrant sa langue dans ma bouche.

Nos mains commencent à nous caresser mutuellement et à fouiller nos plis intimes. Une de ses mains se cale sur ma bite et commence une masturbation bien appréciée. Les miennes parcourent son corps entier, passant de ses seins volumineux à sa chatte déjà plus qu’humide. Delphine écarte allègrement ses cuisses pour me permettre de la doigter plus facilement. Mes doigts entrent dans sa fente sans aucune résistance. Je me redresse et me mets à genoux face à son visage pour lui présenter ma bite raide. Elle la gobe comme une sucrerie. J’ai trois doigts ancrés dans sa chatte ruisselante ; mes va-et-vient s’intensifient. Elle ne recrache ma queue que pour reprendre son souffle, et l’engouffre de plus belle pour me prodiguer une de ces fellations dont elle a le secret. Mes quatre doigts la pénètrent avec vigueur ; Delphine geint sans retenue. Ne pouvant plus me retenir, je me laisse aller dans sa bouche ; elle avale tout en émettant de bruits de succion et des petits gémissements.

Mes doigts s’affairent toujours dans sa chatte ; elle lâche ma bite pour se mettre sur le dos et accueillir au mieux l’assaut qu’elle subit. Elle se mord les lèvres, et dans un feulement de plaisir elle s’arc-boute et lâche un jet de cyprine dans le creux de ma main (ah oui, il faut savoir que Delphine, depuis qu’elle est enceinte de 2 mois, est devenue une femme fontaine). Elle repose tout son corps sur le lit et tourne la tête vers moi. Je retire mes doigts de son antre et lape devant elle son jus si gentiment offert. Elle me prend le poignet et approche mes doigts englués de sa cyprine vers sa bouche et les lèche.

 

Je me pose a ses côtés, et tout en regardant vers le plafond je commence à lui parler de ce qui s’est passé la veille au soir après son coucher. Après le récit détaillé, elle me pose quelques questions :

 

    C’est pour qui, les photos qu’elle faisait ?

    Pour son copain, je crois.

    Tu les as vues ?

    Non.

    Tu vas continuer à te faire branler par elle ou tu en veux plus ?

    Bah, en fait, c’est pour ça que je t’en parle aussi ; je voudrais l’initier au sexe cet été, avec toi pour la guider et lui donner quelques astuces pour être une déesse au pieu comme toi.

    Pff, c’est toi qui m’as tout appris : avant toi, à part une pipe et quelques masturbations, je n’avais jamais rien fait d’autre.

    Et avec tes cousins ?

    Bah, justement, juste ça. Jamais plus loin.

    Ça n’empêche pas que maintenant tu es une sacrée salope quand tu t’y mets

    Merci !

    De rien.

 

Sur ce, nous rigolons de bon cur ensemble et Delphine accepte d’être de la partie, même si elle sera moins performante qu’elle ne le voudrait à cause de sa grossesse. Sur ces paroles, nous mettons des vêtements légers car il fait déjà chaud et nous allons dans la cuisine prendre le petit déjeuner. Alexandra nous rejoint presque aussitôt, ce qui me surprend, car habituellement elle adore faire la grasse matinée.

 

    Déjà debout ?

    Oui, oui, j’ai pas réussi à dormir, il fait trop chaud dans ma chambre.

    J’ai raconté à Delphine ce qui c’est passé hier soir.

 

Ma filleule devient blême.

 

    Rassure-toi, je ne lui cache jamais rien, et en plus on a une suggestion à te faire.

    

    Tu veux la connaître ?

    Euh oui.

    Si tu le désires, nous Delphine et moi allons t’initier aux plaisirs du sexe sans tabous ; tu auras pour limites tes seules limites. Nous te proposerons des choses plus ou moins soft ; tu seras la seule à dire oui ou non, et tu pourras aussi nous dire tes souhaits.

    C’est vrai, ou tu te moques de moi parce que je suis partie comme une conne, hier soir ?

    Déjà, tu n’es pas partie comme une conne ; et en plus, vu ton ardeur à me branler, je pense que tu as du potentiel pour devenir une chienne au lit.

    Et ton parrain sait de quoi il parle : c’est lui qui m’a tout appris sur la chose.

 

Alexandra réfléchit un peu en silence. Je sers le petit déjeuner et m’assois à table. Toujours les joues rouges, mais plus par excitation que par gêne cette fois, Alexandra nous regarde droit dans les yeux et nous lance un gros :

 

    OUI !

    Parfait, alors. Première règle : on prend toujours le petit déjeuner dans la tenue où l’on a passé la nuit.

 

La règle de Delphine à peine finie, elle retire sa nuisette en coton et moi j’ôte mon boxer. Ma filleule nous regarde comme si elle était dans un rêve.

 

    Tu as dormi comme ça ?

    Euh, non : j’ai retiré mon haut cette nuit.

    Juste le haut ?

    Oui.

    Eh bien, tu attends quoi pour le retirer ? Hop ! Hop ! Hop !

 

 Alexandra s’exécute et se retrouve topless pour boire son bol de chocolat.

 

    Tu voudrais apprendre quoi en premier ?

    J’sais pas. Je suis prise un peu au dépourvu, là, parrain.

    Je sais ; mais vu comment tu étais avenante hier soir, je pense que tu as des idées derrière la tête.

    Laisse-la tranquille, Ben, qu’elle déjeune déjà, et après nous parlerons tranquillement de tout ça.

    Tu as raison. Prends ton petit déjeuner : tu vas sûrement avoir besoin de plein d’énergie pour la journée qui va arriver.

 

Nous finissons de manger en silence et partons chacun dans notre chambre pour se préparer. Je suis le premier prêt. J’ai juste mis un boxer, un bermuda et des claquettes aux pieds. Alex me rejoint ; elle porte une robe d’été très légère sans soutien-gorge et un joli mini-string rose fluo. Enfin Delphine arrive, habillée d’une combinaison sarouel noir ; le décolleté laisse deviner qu’elle n’a pas de soutien-gorge, et ne voyant pas de marque sur ses fesses en s’asseyant, je devine qu’elle n’a pas de string non plus. Nous sommes tous les trois dans le salon, les deux filles sur le canapé et moi sur le fauteuil. Delphine commence à parler :

 

    Alors, Alex, tu as réfléchi à ce que tu veux expérimenter en premier ?

    Euh non, pas vraiment.

    Bon, commençons par le début. Tu as déjà fait quoi ? Et es-tu encore vierge ?

    Oui, comme je le disais à parrain hier, j’ai failli mais je ne l’ai pas encore fait. Sinon, j’ai déjà branlé et sucé des garçons.

    Jamais rien avec des filles ?

    Si, juste des baisers.

    Avec la langue ?

    Oui.

    Tu me montres comment tu embrasses une femme ?

    Sur toi ?

    Bah oui, idiote ! Tu en vois une autre dans le coin ?

    Eeeuh non.

    Alors, j’attends !

 

Alex s’approche de Delphine doucement ; elle ne sait pas où commencer. Ma femme fait exprès de ne pas se redresser pour avoir Alex sur elle ; elles sont très proches l’une de l’autre. Alex commence par un baiser tendre sur les lèvres de sa tante qui lui répond par un baiser aussi tendre. Les baisers sont de plus un plus prononcés et Delphine commence à sortir son bout de langue comme pour inviter sa nièce à faire de même. Elle répond par un baiser tendre et appuyé, et fait enfin entrer sa langue dans la bouche de sa tante qui en fait autant. Ce baiser est d’un érotisme intense ; je bande, mon sexe est serré dans mon boxer. Je déboutonne mon bermuda et sors ma bite. Je ne perds aucune miette de ce spectacle ; la bite dans ma main, je les regarde en train d’échanger leur salive dans des baisers langoureux.

Delphine prend les devants ; elle commence à caresser les épaules d’Alex et fait glisser les fines bretelles de sa robe sur ses bras. Alex se redresse et fait glisser sa robe à ses pieds. Elle reprend les baisers avec sa tante, m’offrant une vue impeccable sur son cul dans lequel un string rose fluo entre impudiquement dans la raie. Une jambe pliée sur le canapé, l’autre en appui par terre, elle commence à caresser le décolleté de Delphine jusqu’à en sortir un sein, puis les deux. Ma femme quant à elle parcourt tout le corps frêle de sa nièce avec ses mains. Alex devient plus entreprenante ; elle lâche un instant la bouche de sa maîtresse pour embrasser les magnifiques seins qui pointent devant elle. Delphine lâche un gémissement de plaisir, ce qui l’incite à continuer. Maintenant elle les lèche, les gobe et les malaxe comme une experte.

Je n’en peux plus. Je me branle tellement que ma bite me fait mal ! J’aimerais lui arracher son string et la baiser comme une chienne pendant qu’elle lèche les seins de ma femme, mais je dois être patient et attendre mon tour ; de toute façon, elle passera à la casserole bientôt pour perdre sa fleur.

Delphine se relève du canapé et descend entièrement sa combinaison, elle est totalement nue quand elle se rassoit sur le canapé. Alex regarde avec délectation le corps d’une femme enceinte qui transpire le désir. Elle baisse son string pour se mettre également nue et replonge dans les seins de ma femme. Ses mains caressent le ventre rond et arrivent sur un mont de Vénus complètement épilé. Delphine écarte les jambes pour accueillir ses caresses digitales.

 

    J’ai envie que tu me fasses un cunni.

    J’en ai jamais fait.

    C’est simple ; pense à ce que toi tu aimes et fais-le.

    OK.

 

Alex embrasse Delphine à pleine bouche maintenant et sans retenue. Elle s’agenouille devant sa tante tout en l’embrassant sur tout le corps. Elle passe par le sillon que forment ses deux seins énormes, gobe les aréoles avec avidité, descend sur le ventre, laissant traîner la pointe de sa langue sur la peau érectile, engouffre son visage dans le pli de l’aine, ce qui provoque des feulements chez Delphine, et finit par déposer de petits bisous sur la fente ruisselante de désir.

 

    Lape mon jus et goûte-le bien.

 

Alex s’exécute sans un mot. Sa langue titille le clitoris et s’enfonce dans la fente luisante de sa tante. Après quelques coups hésitants, elle s’abreuve sans ménagement de ce nectar de luxure. Delphine se tord dans tout les sens, se pince les tétons et écarte plus que de raison ses cuisses. Alex mordille les petites lèvres et le clitoris qui se présentent à elle. Elle prodigue un cunni divin qui fait lâcher des jets de cyprine sur son visage. Elle recule un peu, étonnée, et reçoit un autre jet qui lui recouvre les yeux. Moi, j’éjacule sur mon torse en voyant cette scène érotique au plus haut point. Delphine retombe peu à peu de son extase et Alexandra, heureuse d’avoir fait jouir sa tante, reste un peu dubitative sur ce qui vient de se passer. Après quelques minutes de silence et après que tout le monde soit redescendu de son extase, Alex demande :

 

    C’était de l’urine, les jets qui m’ont arrosée ?

    Non, c’était de la cyprine.

    Tu peux faire des jets de cyprine ?

    Oui, cela s’appelle une éjaculation féminine, ou trivialement « femme fontaine ».

    Tu fais ça comment ? Tu m’apprendras ?

    Je sais pas comment je fais, c’est tout nouveau. Je suis devenue femme fontaine en tombant enceinte et je sais pas si je vais le rester après ma grossesse.

    Ça m’a surprise, mais j’ai trouvé ça bien. Ça veut dire que tu as aimé mon cunni ?

    Oh oui ! Ne t’inquiète pas pour ça : tu n’as rien à apprendre là-dessus.

    Mais on le refera, non ?

    Oui, sans hésiter.

 

Sur ces belles paroles, nous avons tous repris une douche et nous sommes partis au marché chercher à manger pour les jours à venir. Delphine a remis sa combinaison noire mais a mis un soutien-gorge ; Alexandra a remis sa robe d’été, et moi j’ai juste ajouté un tee-shirt à ma tenue. Avant de partir, j’embrasse ma femme et, me tournant vers Alex, je passe ma main sous sa robe, remonte sur une de ses fesses, l’attire vers moi et l’embrasse à pleine bouche sans retenue. Elle répond à mon baiser sans hésitation. Un de mes doigts caresse sa fente que je sens humide. Je suis maintenant sûr que ces vacances vont être divines pour nous trois.

 

Après le retour du marché et avoir mangé, Delphine part dans notre chambre pour faire une sieste. La chaleur du midi la fatigue énormément. Alex, quant à elle, s’est mise juste en bas de maillot de bain pour aller bronzer sur un transat.

 

    Parrain, tu me mets de la crème ?

    Si tu veux. Mais tu sais, si tu veux avoir un bronzage parfait, il faut te mettre complètement nue.

    J’ose pas. Si on me voyait ?

    Il n’y a pas de vis-à-vis.

    Je ne l’ai jamais fait, je me sens ridicule.

    Faut pas : tu as un corps de rêve. Par contre, si c’est la première fois, il te faut mettre de la crème solaire pour éviter de brûler.

    OK, tu me la mets ?

    OK.

 

Je vais profiter de cette occasion pour voir si elle est prête à passer à des choses plus sérieuses ou s’il faut prendre un peu plus de temps. Quand j’arrive sur la terrasse, Alex est allongée sur le dos, les yeux fermés sous ses lunettes de soleil. Elle n’a pas retiré son bas, peut-être par peur. Je prends le flacon d’huile solaire qui se trouve sur la tablette et commence à lui en verser dessus. Le contact de l’huile sur sa peau la fait sursauter. Elle regarde dans ma direction et repose sa tête sur le transat avec un léger sourire au coin des lèvres. Le filet d’huile passe entre ses petits seins fermes et se coule jusqu’au nombril. Je pose le flacon et commence à étaler l’huile sur son corps, d’abord le ventre, puis je remonte petit à petit. Mes doigts se trouvent maintenant entre cette poitrine incestueuse. J’hésite un instant, me disant que si je continue, je franchirai enfin, nous franchirons un cap de non-retour.

Elle relève ses lunettes et me regarde droit dans les yeux comme pour me donner son accord. Je franchis le cap. Mes mains se plaquent sur ces divins globes ronds et fermes. Elle lâche un soupir de satisfaction. Je les malaxe ardemment ; ses tétons se mettent à pointer. Je passe sur ses épaules, sa gorge et redescends vers son ventre en passant une fois encore sur cette poitrine de lolita qu’elle bombe sous mes caresses. J’enduis ses jambes en commençant par ses pieds et je remonte doucement sur ses cuisses pour finir à l’élastique de sa culotte. Alex ne bouge pas d’un poil ; elle respire profondément et apprécie la moindre de mes caresses.

 

    Tu veux te mettre complètement nue ?

    Tu penses que ce sera le mieux ?

    Si tu ne veux pas de marques, oui.

    Alors tu retires.

 

Je n’ose y croire : elle me demande de la mettre nue, elle si fragile et si innocente à mes yeux il y a encore 24 heures. J’agrippe le haut de sa culotte et commence à tirer dessus pour la faire descendre. Elle prend appui sur ses talons pour m’aider. J’aperçois son jardin secret ; il est recouvert d’une légère toison blonde, drue pour ne pas faire voir tout de suite sa fente mais taillée quand même pour ne pas dépasser de ses sous-vêtements.

J’ai sa culotte dans les mains ; elle est légèrement humide. Par réflexe, je la porte à mon nez pour sentir son désir. Il a une odeur forte, agréable, qui termine mon érection. Je la mets dans ma poche et m’enduis les mains d’huile. Je pose une main sur chaque hanche et commence à lui enduire cette zone qui n’a certainement jamais vu le soleil de sa vie. Elle est d’un blanc immaculé qui contraste avec le teint hâlé du reste de son corps.

Comme par reflexe, sous le contact de mes doigts, Alex écarte les cuisses ; quelques feulements sortent de sa bouche, elle se mordille les lèvres. Un de mes doigts s’immisce dans sa fente humide de plaisir. Je titille son clitoris ; elle serre ma main avec ses cuisses. Je m’immobilise un peu et recommence ces caresses intimes. Mon majeur se fraie un chemin vers l’entrée de son vagin et y pénètre ; juste une phalange, et je ressors. Je recommence plusieurs fois de suite jusqu’à y faire entrer entièrement le doigt. L’opération est facilitée par l’huile et la rend complètement indolore pour elle.

Je la pénètre maintenant avec mon index et mon majeur. Elle gémit de plaisir. Je bande comme un âne, ma bite me fait mal. Je décide de la prendre dans mes bras et de la porter jusqu’à sa chambre pour aller plus loin dans son apprentissage. Quand elle se sent soulevée, elle s’agrippe à mon cou et cale sa tête sur mon épaule. Je la dépose au milieu du lit, lui retire ses lunettes et la vois avec plein d’étoiles dans les yeux, prête à devenir une femme.

 

    Tu te sens prête ?

    J’ai peur, mais je sais que tu feras tout pour ne pas me faire mal.

    Tu sais que ce ne sera pas forcément l’extase pour toi la première fois.

    Oui, je sais, mais je veux te donner ma virginité.

 

Sur ces mots, je retire mes vêtements et je fonds sur elle. Je suis entre ses jambes, une main de chaque côté de son buste, je l’embrasse tendrement dans le cou, elle frissonne ; je descends vers ses seins et les embrasse également. Elle pose ses mains sur mon dos. Je prends appui sur une main et mes genoux ; de l’autre main, je dirige mon gland vers sa fente toute mouillée et huilée. Mon gland glisse dans ce sillon d’amour, et je m’attarde sur son clitoris pour le faire dresser. Comme elle ondule du bassin, je profite de son extase pour faire pénétrer mon gland dans son vagin. Surprise, elle grimace. Je reste ainsi quelques secondes avant de me retirer complètement. Je pénètre de nouveau son vagin ; mon gland rentre plus facilement, je m’enfonce en elle un peu plus. Ses mains se crispent sur mon dos. Je patiente un peu, et quand je vois son visage et sens ses mains se détendre, j’entre dans cet antre incestueux avec douceur.

Après de longues minutes, je suis enfin entré entièrement en elle. Je l’embrasse dans le cou, et entre deux mordillements de ses lobes d’oreilles, je lui en fais part. Pour toute réponse, je  n’ai que des souffles profonds et ses ongles qui entrent des mon dos. Je commence mes va-et-vient, d’abord doucement, très doucement pour ne pas lui faire trop mal. Son visage se détend après de longues minutes de ce traitement. Je décide d’augmenter la cadence.

J’ai maintenant un rythme plus soutenu ; elle lâche mon dos pour attraper le traversin sous sa tête et le mordre à pleines dents. Je sors complètement d’elle puis rentre jusqu’à la garde. Les premiers allers-retours sont serrés et douloureux pour elle, mais elle me supplie de continuer. Je ne peux plus me retenir, j’explose en elle. La sensation de mon foutre chaud dans son vagin la fait se tendre comme un arc. Après m’être bien vidé en elle, je me retire délicatement et je me couche à ses côtés. Elle reste à plat-dos, les jambes écartées. Sa chatte béante se vide de mon jus légèrement rosé dû à son dépucelage. Une larme coule sur son visage ; je l’essuie.

 

    Tu regrettes ?

    Non, parrain.

    Pourquoi tu pleures, alors ?

    Je suis heureuse, heureuse de t’avoir comme parrain et de t’avoir donné la chose la plus précieuse de mon être.

    J’en suis fier ! Tu as eu mal ?

    Un peu au début, mais moins que je l’avais pensé.

    On recommencera plus tard ; et tu verras : plus on le fera, plus tu prendras du plaisir.

    J’ai hâte de le refaire, mais pour l’instant je suis fatiguée.

 

Je lui souris et l’embrasse tendrement sur le front. Je me lève et prends mes affaires. En sortant de la chambre, je lui jette un dernier coup d’il ; elle dort déjà. Fermant la porte, je souris. Dans le couloir, je vois Delphine assise sur une chaise qui me regarde, elle aussi avec un grand sourire aux lèvres.

 

    Tu es debout ! On t’a réveillée ?

    Oui.

    Désolé.

    Faut pas : être réveillé par des gémissements de désir et des bruits de coït, j’adore. Sinon, elle n’a pas eu trop mal ?

    Elle m’a dit que non, on verra quand elle va se lever.

    Elle dort ?

    Oui, comme un ange.

    Comme un démon, oui !

 

Nous nous mettons à rire ensemble. Lorsque je passe à ses côtés, Delphine m’attrape la bite et la lèche de tout son long.

 

    Je voulais juste goûter son jus de vierge.

    T’es une vraie déesse de la luxure, toi !

    C’est toi qui m’as rendue comme ça.

    Je n’ai fait que dévoiler ton penchant pour le sexe, rien de plus.

    C’est ça, oui !

 

Après un dernier coup de langue, elle me lâche et je vais prendre une douche froide pour me détendre un peu. Sous la douche je découvre qu’Alexandra m’a lacéré le dos. Je souris et m’essuie avant de remettre un bermuda. Je suis maintenant convaincu qu’elles vont être divines, ces vacances !

 

En fin d’après midi, Alexandra se lève et va directement à la douche. Delphine en profite

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