Marc, comme à son habitude se réveilla tôt. Il se leva, se dirigea vers les toilettes pour y pisser.
Jessica dormait, il la regarda avant de sortir de la chambre.
En revenant, elle dormait encore. Il se coucha à côté d’elle, sans se réveiller, elle bougea et vint se blottir contre lui.
Cette jeune femme contre lui, il repensait à tout ce qu’ils avaient fait. Il venait de se « taper » une femme beaucoup plus jeune que lui, mariée à un bel homme et il n’avait pas eu beaucoup à la forcer pour cette relation adultère.
Il faut dire que son mari les avait involontairement bien aidés. Partir ainsi lors d’un anniversaire de mariage et laisser son épouse à un coquin comme lui
Il repensait à elle et au 2 jours qu’ils leur restaient ensuite, le mari sera revenu et elle sera de nouveau à lui. Il était presque jaloux de ce qu’ils allaient certainement faire quand il reviendrait.
Il aimait à imaginer qu’elle raconte tout à son époux et qu’elle lui propose un scénario à 3, mais il savait aussi que cela n’était qu’un rêve qui avait peu de chance de se produire.
Il aurait pu bander à la seule pensée de ce trio, mais ce n’était pas le cas, au contraire, il était un peu triste ; Samedi, ils repartaient elle s’en allait.
Il aimait bien Jessica sa beauté, son corps, mais aussi son côté joueuse et espiègle à certains moment. Elle savait se faire soumise tout en sachant très bien ce qu’elle voulait et ce qu’elle ne voulait pas.
Il savait qu’elle avait cédé à ses avances par colère, qu’elle voulait aussi, certainement, se venger de son époux mais il était un peu mélancolique, une nostalgie étrange, celle de déjà regretter l’instant présent en pensant que demain, ou plutôt dans 3 jours, tout cela aura disparu.
Jessica, blottie contre lui dormait. Il la regardait et la trouvait belle. Elle semblait sourire, elle devait rêver.
Il imaginait ne pas faire partie de son rêve. Elle devait être dans les bras de son mari ou ceux d’un autre étalon d’ailleurs, mais certainement pas dans ceux d’un vieil homme sexagénaire.
Et pourtant
Comme il l’imaginait, Jessica rêvait, mais contrairement à ses certitudes, elle n’était ni avec son mari, ni autre gandin, mais avec lui.
Elle s’imaginait nue dans le studio photo, Marc était là, à côté d’elle, habillé d’un smoking il n’avait pas d’appareil en main, simplement une cravache.
Elle était à genoux, devant lui, les yeux baissés. Elle attendait ses ordres. La cravache se promena sur sa peau, la caresse était douce mais l’objet laissé entendre une suite moins sucrée.
Le stick équestre se promena ensuite entre ses cuisses, l’obligeant à écarter légèrement ses jambes. Puis, il caressa son entre-jambe, ouvrant par sa cajolerie ses lèvres intimes.
Elle était, dans son rêve, complétement épilée, la cravache tapotait doucement son intimité, rien de violent, rien de douloureux, bien au contraire.
Elle laissa échapper un soupire.
Marc la regardait dormir et s’amusa de ce petit gémissement. Il avait donc raison et son rêve devait être érotique. Il l’imaginait songeant à son mari, peut-être qu’elle l’emmenait dans le studio photo
Mais il se trompait, c’est avec lui qu’elle était.
Maintenant, elle était debout, toujours nue. Marc la guidait vers la porte qu’il lui avait montrée la veille il sortit une clé de la poche de sa veste, l’introduisit dans la serrure, fit 2 tours et
Une sonnerie de téléphone la réveilla.
Elle ne se rappelait pas être venue dans la chambre de Marc avec son téléphone. Elle se souvenait même du contraire, elle l’avait laissé sur la table de nuit de sa propre chambre, pour ne pas être ennuyée par un appel de Vincent à un « mauvais moment ».
Cette pensée la fit sourire le terme « mauvais moment » n’était peut-être pas le bon.
Marc maugréa après son téléphone, puis voyant que Jessica ouvrait les yeux, il s’excusa.
– Désolé, je n’avais pas mis mon téléphone sur vibreur.
– Pas grave
Répondit-elle en lui souriant.
Il s’est levé et prit son téléphone.
– Allo.
Elle le regardait, le téléphone à la main, il était complétement nu. Il sortit de la pièce, elle leva ses bras et s’étira d’aise.
Elle avait bien dormi et se souvenait de son dernier rêve et se demanda ce qu’il pouvait bien y avoir dans cette pièce.
Marc est ensuite revenu, toujours nu, il se déplaçait dans la pièce sans chercher à se cacher, mais son allure n’avait rien d’impudique. Elle le regardait, son sexe pendouillait et était flasque. Il avait posé le téléphone sur la table de nuit.
– Tu veux encore dormir ?
– Non, mais je flemmarde un peu.
– Tu me laisses quelques instants et je viens te rejoindre.
– Oui à tout de suite
Elle avait dit cela sur un ton coquin. Elle s’attendait à le voir sortir, mais il se dirigea vers un meuble de l’autre côté de la chambre.
Il lui tournait le dos, elle le regardait, surtout son cul. Il avait des fesses rondes et musclées, très agréable à voir.
Elle admirait son corps, il avait peut-être plus de 70 ans, mais il était toujours aussi bel homme.
Elle se souvenait s’être dite quand elle était arrivée « il ne dépareille pas avec la demeure » qu’elle avait trouvée belle, mais un peu vieillotte, finalement se dit-elle la maison est entretenue, ainsi que sa vieille guimbarde, mais pas aussi bien que lui.
Elle le regardait et elle avait envie qu’il vienne le rejoindre.
Il n’y avait pas d’horloge dans la pièce, les volets étaient fermés et elle ne savait donc pas l’heure qu’il était. Vincent allait certainement appeler ce matin en partant au travail, il l’avait d’ailleurs peut-être déjà fait, mais elle s’en foutait complétement.
Marc après avoir écrit quelque chose dans un petit cahier, était revenu vers elle.
– Repose-toi un peu
Lui dit-il en posant un petit baiser sur ses lèvres, mais comme il s’apprêtait à s’en aller, elle tapota sur le matelas.
– Viens
– Mais je dois préparer le repas
– Nous irons au restau je t’invite
Il hésita un peu, puis sans rien dire se glissa sous les couvertures.
A peine était-il allongé que Jessica se glissa sous la couette. Elle prit le sexe de Marc encore mou dans sa main et lui posa de multiples petits bisous.
Bien entendu ce geste donna un peu plus de vigueur à sa verge. Elle prit la hampe à pleine main et commença à la masturber. Quand son sexe fut devenu plus gros, elle le goba.
Il était allongé sur le dos, elle était sous la couette, son sexe en bouche, elle commença à faire des va-et-vient en salivant suffisamment pour bien lubrifier l’engin.
La cadence n’était ni lente, ni rapide, mais l’amplitude du mouvement de plus en plus grande.
Le sexe de Marc était d’une taille raisonnable et l’érection à son zénith, pourtant, Jessica cherchait à l’avaler entièrement, sa première tentative la fit tousser, elle se libéra de ce gros et grand sucre d’orge pour reprendre son souffle.
– Désolé
Dit-elle en riant.
Elle reprit ensuite son mouvement et sa progression fut plus graduelle, finalement, elle réussit non seulement à ingérer entièrement le monstre, mais à le garder si profondément enfoui sans aucune sensation de rejet ou d’étouffement.
Vincent lui avait souvent demandé de faire des « gorges profondes » et elle ne l’avait jamais fait. Là, elle le fit spontanément et sans qu’il ne lui fasse comprendre qu’il aimait cela.
Après cette fellation, elle revint à sa hauteur et l’embrassa. Il l’a bascula délicatement sur le côté, elle lui tournait le dos, il embrassa son cou, s’emboîta contre elle, la pénétra dans cette position dites des cuillers, sa main caressa son clitoris en même temps.
Jessica était aux anges, l’orgasme approchait, mais Marc se retira et remplaça son sexe par ses doigts, puis les retira aussi et les glissa dans son anus. Jessica fut surprise, mais ne chercha pas à chasser ses intrus.
Marc libéra ensuite l’endroit, sa main droite se posa sur son sexe et le guida vers l’antre interdit de Jessica.
Celle-ci compris les intentions de son amant, mais ne le découragea pas.
L’épée de marc poussa tel un bélier voulant forcer la porte du château interdit et doucement pénétra le petit nid étroit de Jessica.
Elle le laissait faire, elle avait fermé les yeux et pincé ses lèvres pour ne pas montrer sa douleur.
Quand le gland fut à moitié entré, elle dû mordre ses lèvres. Marc fit une pause, il voulait qu’elle s’habitue à cet intrus qui voulait prendre le chemin inverse à ce qui est normalement prévu.
Il poussa à nouveau, le gland était maintenant complétement prisonnier de cette geôle convoitée. Là encore, il marqua une pause.
Puis, doucement il reprit son chemin, pénétrant lentement, voulant minimiser la douleur.
L’endroit était étroit, il s’y sentait serré mais l’impression est justement agréable pour cette raison.
Il pouvait ressentir bien plus fortement que de l’autre côté.
Quand il fut complétement embastillé, il commença de légers va-et-vient qui furent ensuite accompagnés par le bassin de Jessica comme pour amplifier ces mouvements.
Le rythme accéléra, Jessica n’avait plus mal, bien au contraire, elle sentait le plaisir monter en elle
Finalement, un cri dénonça son orgasme et libéra Marc qui inonda sa cavité naguère interdite en poussant, lui aussi, un râle de plaisir.