(et 3)
II . Vacances en famille
Lorsque la voiture conduite par Janine stoppa près du portail, il était à peine 14h. Nicole sortit de la voiture et ouvrit. Une fois l’entrée franchie, elle referma le portail puis le verrouilla et remonta dans la voiture. Après avoir suivi l?allée bordée d?arbustes, elles arrivèrent finalement devant la villa. Les cigales chantaient et l?air embaumait le thym et la lavande. Tout le monde était ravi. Ravi mais excité. La culotte de Janine était détrempée. Elle sortit rapidement de la voiture et reti! ra son sous-vêtement sous le regard amusé de ses amies.
— Vous pouvez bien rigoler toutes les trois. ?a fait plus de six heures que je conduis en supportant vos gémissements. Je n’ai pas eu l’occasion de me soulager comme vous.
— Pauvre chérie, la consola Nicole. Es-tu capable de tenir encore quelques minutes? Le temps que nous déchargions les bagages?
— Il faudra bien, répondit Janine en souriant. Mais après, je compte bien que chacune d’entre vous s’occupe de moi.
— Avec plaisir, répondirent les trois autres en choeur.
Elles déchargèrent les valises puis ne purent résister à l?envie de faire un rapide tour du propriétaire. Il y avait deux grandes chambres à l?étage, une salle de bain et, au rez-de-chaussée, la cuisine et le salon dont les portes s?ouvraient sur la piscine.
— C?est magnifique, dit Nicole à son amie, un vrai paradis! .
— Oui, répondit Janine, je crois que nous allons passer des vacances formidables. Mais en attendant, je suis toujours aussi excitée.
— Tu as raison, ma chérie. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Tout le monde à poil!
Et joignant le geste à la parole, elle se déshabilla prestement. Lorsque les quatre femmes furent nues, elle reprit:
— Janine, si tu veux bien t’allonger sur l’herbe, nous allons te faire oublier ses six heures de conduite astreignantes de la meilleure façon qui soit.
La jeune femme ne se fit pas prier pour s’exécuter. Aussitôt, Nicole prit place entre ses cuisses et se mit à laper consciencieusement sa chatte tandis que Martine et Marie s’occupaient des sa poitrine. Un premier orgasme récompensa rapidement la ferveur des trois femmes qui n’en restèrent cependant pas là. Elles échangèrent leur p! lace; Marie prit la place de Nicole entre les jambes de sa mère alors que Nicole suçait les seins de son amie et que Martine l’embrassait à pleine bouche. La rotation eut lieu une nouvelle fois. Finalement, Janine demanda grâce. Mises en train par ces ébats, Nicole, Martine et Marie s’engagèrent dans un soixante-neuf à trois des plus animé. La partouze lesbienne se poursuivit ainsi pendant près d’une heure. Janine avait repris ses esprits et rejoint ses amies avant que toutes les quatre ne s’endorment finalement épuisées. Elles ne se réveillèrent que beaucoup plus tard et plongèrent aussitôt dans la piscine. Après quelques minutes passées à s’éclabousser et s’amuser comme des gamines, elles sortirent de l’eau et se firent sécher au soleil.
— Il faudrait quand même défaire les bagages avant la nuit, dit Janine en se levant.
Un peu à contrecoeur, les autres acquiescèrent. Les valises fur! ent montées dans les chambres respectives puis déballées. Martine et Marie allaient occuper la chambre donnant sur la piscine tandis que Nicole et Janine prendraient celle donnant sur l’entrée. Il y avait deux lits dans chaque chambre mais leurs dimensions étaient bien suffisantes pour accueillir deux personnes à la fois. Il était évident que Martine et Marie d’un côté et Nicole et Janine de l’autre allaient dormir dans le même lit. Lorsque les vêtements furent rangés dans les armoires, elles se retrouvèrent toutes les quatre au bord de la piscine.
— Il va falloir penser à faire quelques courses si nous voulons manger ce soir et les jours suivants, dit Janine.
— Ce qui veut dire que nous allons devoir nous rhabiller? Demanda Marie.
— Vous n’êtes pas obligées de venir avec nous, répondit Nicole. Janine et moi sommes assez grandes pour faire les courses toutes seules.
Les deux jeunes filles poussèrent un soupir de satisfaction.
— N’en faîtes pas trop quand même, dit Janine en posant sa main sur les fesses de sa fille. Nous avons toutes les vacances pour organiser de nombreuses parties carrées.
— Je sais, répliqua Marie. Mais nous avons pas mal de temps à rattraper.
— Et puis, ajouta Martine, le climat d’ici a un effet particulièrement aphrodisiaque. Tu ne trouves pas? Demanda-t-elle à sa mère en se caressant la chatte.
— Tout à fait d’accord, répondit Nicole. Mais il faut bien que quelqu’un se dévoue si nous ne voulons pas mourir de faim.
— Et puis, j’ai promis à la propriétaire de lui rendre visite à notre arrivée, dit Janine.
— Eh bien, au-revoir, reprit Marie.
— A tout à l’heure, les filles, dit Nicole en rentrant dans la maison, suivie de Janine.
III – La propriétaire
Janine et Nicole regagnèrent leur chambre et s’habillèrent rapidement puis descendirent vers la voiture.
— C’est vrai que le climat a un effet très vivifiant, dit Janine en ouvrant la portière. Il y a longtemps que je ne m’étais sentie aussi bien.
— A mon avis, il n’y a pas que le climat, dit Nicole en s’installant. Nos petites parties y sont certainement pour quelque chose aussi.
— Sans aucun doute. Et le pire, c’est que plus nous faisons l’amour, plus j’ai envie de jouir. Jamais je n’aurais imaginé faire ce que j’ai fait ces deux derniers jours.
— Moi non plus. Je n’avais jamais fait ça avec une autre femme, mais rien au monde ne me ferait y renoncer. Je devais sans doute avoir des prédispositions pour les amours les! biennes.
— Et tu n’es pas la seule. Sans parler de moi, ta fille et la mienne ne sont pas en reste. Tu imagines, toi et moi avons fait l’amour avec nos propres filles.
— Tu regrettes?
— Pas du tout! Le plaisir efface tout, même les tabous les plus solidement ancrés dans mon esprit. Et je n’ai qu’une hâte, recommencer.
— Et moi donc! J’espère que les courses en ville ne nous prendront pas trop de temps.
— Tu oublies la propriétaire.
— Sommes-nous vraiment obligées de lui rendre visite?
— Hélas oui, soupira Janine. Je lui ai promis. Si nous n’y allions pas, elle s’inquiéterait et risquerait fort de venir nous trouver à la villa. Et alors là, pense un peu à la tête qu’elle ferait si elle nous surprenait en pleine action.
— Je vois, répondit Nicole en éclatant de rire. J’imagine très bien la vieille dame prendre une attaque en nous découvrant nues toutes les quatre, enlacées près de la! piscine.
— Tu n’y es pas du tout. Madame Lecoeur n’est pas vieille. Elle doit avoir à peine cinquante ans.
— Tu l’as déjà rencontrée?
— Oui, une fois. C’est une amie qui me l’avait présentée. Et c’est d’ailleurs à cette occasion que j’ai appris qu’elle possédait cette villa.
La conversation se poursuivit tout le long du chemin qui les conduisit à la ville. Il s’agissait, en fait d’un village assez important et qui possédait plusieurs magasins ainsi qu’un supermarché. C’est là que les deux jeunes femmes s’arrêtèrent pour faire leurs provisions. Elles ne perdirent pas de temps. Une demi-heure plus tard, la voiture était chargée et elles repartaient en direction, cette fois-ci, de la demeure de la propriétaire. Au bout de quelques minutes, elles arrivèrent devant une porte imposante.
— Si j’en juge par la porte, dit Nicole, elle doit habiter un vrai ch! âteau.
— Aucune idée, dit Janine. On verra bien.
Elle descendit de la voiture et alla appuyer sur le bouton d’un interphone. Une voix se fit entendre au bout de quelques instants:
— Oui? Qui est là?
— C’est madame Germain et son amie. Nous avons loué votre villa ? les Amandiers ?.
— Oh oui. Bien sûr. Vous pouvez entrer.
Un déclic se produisit dans la porte puis celle-ci s’ouvrit silencieusement. Janine retourna à la voiture et embraya. Le chemin, contrairement à ce qu’elles avaient pensé, n’était pas très long. La maison apparut au bout d’une dizaine de mètres après qu’elles aient contourné un massif d’arbres. Il s’agissait d’une villa assez modeste, plus petite que ? les Amandiers ?. Sur le perron, une femme en robe d’été largement décolletée les attendait en souriant.
— Bonjour mesdames, di! t-elle en leur tendant la main.
— Bonjour madame, fit Janine. Je vous présente mon amie, Nicole Duchemin.
— Ravie de vous voir, reprit, madame Lecoeur.
Nicole s’était effectivement complètement trompée. Madame Lecoeur n’avait rien d’une vieille femme et on lui aurait facilement donné quarante ans, son physique n’accusant nullement les années. Elle les conduisit à travers la maison jusqu’à une terrasse qui donnait, tout comme ? les Amandiers ?, sur une superbe piscine. Elle les invita à s’installer autour d’une table basse, puis les quitta quelques instants pour aller chercher des boissons. Les trois femmes sirotèrent leur limonade tout en bavardant de tout et de rien. Madame Lecoeur s’avéra une personne charmante, mais ce qui attirait particulièrement les regards de Nicole et de Janine c’était sa poitrine qui, lorsqu’elle se penchait, était parfaitement visible à travers l’échancrure de sa r! obe. Elle finit par s’en rendre compte mais n’en fut pas le moins du monde gênée:
— J’espère que ma tenue ne vous choque pas? Demanda-t-elle. Vous savez, en été, ici, j’aime être à l’aise. Du reste, si vous n’étiez pas là, je ne porterais rien du tout.
— Ne vous inquiétez pas pour nous, répondit Nicole. Nous aimons aussi être à l’aise. Et pour tout vous dire, nous avons l’intention de vivre aux Amandiers dans le plus simple appareil aussi souvent que possible.
— Voilà une excellente décision. Il n’y a rien de tel que de vivre nu pour retrouver les vraies valeurs. Dans ces conditions, je vais retirer cette robe qui ne cache pas grand-chose, en fait. A moins que cela ne vous dérange.
— Pas du tout, répondit Janine qui commençait à ressentir une démangeaison familière entre les cuisses.
— À condition, madame, que nous puissions en faire autant, ajouta Nicole.
— Naturellement. ! Et puis ne m’appelez pas madame. Si nous devons nous trouver nues toutes les trois, autant nous tutoyer. Appelle-moi Suzanne.
— Très bien Suzanne, moi c’est Nicole.
— Et moi, Janine.
Les trois femmes se dévêtir rapidement puis se rassirent.
— N’est-on pas mieux ainsi? Demanda Suzanne.
Janine et Nicole acquiescèrent.
— Et puis, dans cette tenue, ajouta-t-elle, vous pouvez admirer ma poitrine plus facilement. Ne rougissez pas. J’ai bien remarqué vos regards insistants tout à l’heure. Ne croyez pas que cela me gêne, bien au contraire. J’en suis flattée. D’autant plus flattée que vous n’avez rien à m’envier ni l’une ni l’autre. Mais ce qui me flatte le plus c’est l’effet que j’ai produit sur Janine. Inutile de croiser les jambes, ma chérie. Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer à quel point ta cha! tte était humide. Et quand je dis humide, je suis modeste.
Janine rougit de plus belle mais décroisa ses jambes.
— Voilà qui est mieux, reprit Suzanne. Il eut été dommage de cacher un tel trésor. C’est tellement beau un sexe de femme. Vous ne trouvez pas?
— Si, si. Je suis bien d’accord, répondit Nicole. Surtout lorsqu’il dégouline de jus comme celui de Janine ou comme le tien à présent.
— Le tien n’est pas en reste, constata Janine.
— C’est ma foi vrai, dit Suzanne. J’ai l’impression que nous sommes toutes les trois dans le même état d’excitation. Et pour y remédier je connais un excellent moyen.
Et, joignant le geste à la parole, Suzanne passa lentement ses doigts sur sa fente.
— Rien de tel qu’une bonne branlette pour se sentir mieux, reprit Suzanne en soupirant.
Nicole et Janine restèrent quelques instants sans réaction, puis Nicole se leva et vint s’agenouiller entre les jambes de Suzanne:
— Et que dirais-tu si ma langue remplaçait tes doigts? Demanda-t-elle.
— Je n’osais te le demander, répliqua Suzanne ravie.
Janine se leva à son tour et vint téter les seins de Suzanne tout en se branlant. Cette dernière poussa aussitôt des cris de bonheur. Son bassin se soulevait en rythme tandis que ses mains pressaient la tête de Nicole contre son ventre. Elle encourageait nos deux amies de la voix:
— Oui Nicole, suce-moi, suce mon clito, aspire mon jus. Oh! Comme c’est bon? Oh oui! Janine suce mes seins. Oui? Encore, mords mes tétons. Ouiiiiiii?.
Son corps se cabra en un spasme plus violent que les précédents et elle poussa un véritable hurlement de plaisir. Janine! et Nicole se relevèrent. Suzanne reprit rapidement ses esprits:
— Magnifique! Dit-elle. Vous avez été magnifiques – toutes les deux.
Elle quitta son siège et les embrassa l’une après l’autre à pleine bouche.
— A mon tour de vous faire jouir, reprit-elle.
— Nous ne demanderions pas mieux, dit Janine. Mais nos filles nous attendent et la voiture est pleine de provisions.
— Quel dommage! Vous êtes certaines de ne pas pouvoir rester encore un peu?
— Hélas oui, dit Janine. Et pourtant ce n’est pas l’envie qui me manque.
Nicole et Janine se rhabillèrent rapidement puis prirent congé de leur hôtesse.
— J’espère vous revoir bientôt, dit celle-ci. Ne manquez pas de venir me rendre visite le plus tôt possible. Je suppose que vous pouvez laisser vos filles seules à la villa.! Nos petits jeux ne sont pas vraiment pour elles.
— Détrompe-toi, répondit Janine. Si je te racontais ce que nous avons fait ce matin toutes les quatre, tu changerais d’opinion.
Suzanne resta sans voix quelques secondes, puis se reprit:
— Eh bien, voilà qui est parfait! Dans ces conditions, pourquoi ne pas venir toutes les quatre passer la journée demain?
Janine et Nicole se regardèrent, puis opinèrent.
— D’accord, répondit Nicole.
— Excellent! S’exclama Suzanne. Je demanderai à ma nièce de venir. Elle apprécie aussi beaucoup ce genre de parties. Elle n’a que quinze ans mais c’est une sacré suceuse de chatte. Alors demain onze heures. ?a vous va?
— Entendu.
Elles s’embrassèrent une dernière fois, puis Nicole et Janine montèrent dans la voiture. Durant! le trajet de retour, elles rirent comme des gamines. Les vacances s’annonçaient sous des auspices on ne peut plus favorables. A peine arrivées à la villa, Nicole appela Martine et Marie. Ces dernières se reposaient au bord de la piscine. Elles semblaient épuisées. Elles avaient visiblement passé l’après-midi à faire l’amour.
— Debout, paresseuses! Dit Nicole en se déshabillant. Venez décharger la voiture.
Janine vint les rejoindre, déjà nue.
— Et vous? Demanda Marie. Vous comptez nous laisser faire le travail toutes seules?
— Parfaitement! Nous avons un certain retard à rattraper. Regarde un peu comme je mouille ainsi que ta mère.
— Et peut-on savoir ce qui vous a mis dans cet état?
— Plus tard, répondit Janine. Pour l’instant, je dois absolument jouir.
Elle prit Nicole par la main et l’entraîna a! u sol. Les deux jeunes filles se regardèrent en souriant puis se rendirent vers la voiture. Lorsque les provisions furent rangées, elles retournèrent vers leurs mères. Celles-ci poursuivaient avec ardeur leurs activités sexuelles. Trop fatiguées pour se joindre à la fête, Martine et Marie s’allongèrent quelques mètres plus loin et ne tardèrent pas à s’endormir. Plus tard, lorsque chacune eut suffisamment récupéré, Nicole et Janine relatèrent leurs aventures de l’après-midi. Les jeunes filles n’en revenaient pas.
— Je comprends pourquoi vous étiez si excitées en rentrant, commenta Marie.
— Et le mieux, dit Nicole, c’est que nous sommes invitées toutes les quatre à passer la journée de demain chez elle.
— Toutes les quatre?
— Oui. Nous lui avons dit que vous étiez toutes prêtes à participer à nos ébats.
— Et qu’est-ce-qu’elle a dit?
— Elle a été un peu surprise sur le moment, puis ell! e a été enchantée. Elle nous a même dit que sa nièce serait aussi là.
— Super! S’exclama Martine.
La perspective d’avoir de nouvelles partenaires enchantait les jeunes filles. La soirée s’écoula paisiblement. Nicole et Janine préparèrent un repas copieux afin de remettre tout le monde en forme, puis, peu avant dix heures, les quatre femmes gagnèrent leurs chambres pour un repos bien mérité.