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Vacances en Martinique – Chapitre 3

Vacances en Martinique - Chapitre 3



Le lendemain, au petit déjeuner, lhôtesse me dit que ma voiture est de nouveau sur le parking de lhôtel et men redonne les clefs.

Elle mexplique que le loueur a envoyé hier un agent avec le trousseau de clefs de secours rechercher la voiture sur la plage et quil lavait ramenée. Elle me dit aussi que sur la plage à proximité immédiate de la voiture il y avait ma serviette étalée sur le sable avec mes chaussures, mon maillot, mon petit sac avec les clefs et le téléphone portable ; que tout avait été rapporté et était disponible à la réception.

Je ne comprenais plus rien ! Que métait-il arrivé hier ? Avais-je perdu la tête ? Rêvé ?

Peu importe : cétait terminé et je ferai plus attention à mes affaires en allant me baigner à lavenir.

Après une matinée très calme, je passe à la réception déposer les « vêtements » prêtés, comme promis. Lhôtesse minforme quon a déposé un petit paquet pour moi. Je suis étonnée car je ne connais personne sur lîle. De quoi sagit-il ?

Jouvre : il sagit dune enveloppe kraft un peu épaisse avec à lintérieur les photos faites la veille. Je les regarde rapidement ; de toute évidence, Robert nest pas un photographe professionnel ! Cela ne fait rien : ça me fera un souvenir de cette journée « particulière ». Je suis étonnée de ne pas trouver un petit mot daccompagnement avec les photos ; mais peu importe.

Pendant les deux jours qui suivent, je me contente de la piscine de lhôtel, et tant pis pour les marques de maillot !

Le samedi arrive ; cela fait déjà une semaine que je suis en vacances Au bar de la piscine, cest Alex qui sert. Le jeune et beau créole qui mavait indiqué la plage idyllique. Nous discutons un peu de ma mésaventure et je lui dis que maintenant je nose plus retourner dans cette crique, pourtant si jolie. Il me dit quil ne travaille pas Dimanche et quil peut, si je le souhaite, my accompagner.

Rendez-vous est pris.

Le lendemain, nous partons dès le matin avec un pique-nique passer la journée complète sur la plage. Une journée de rêve ; je peux enfin faire du naturisme sur une plage de sable blanc dans une mer chaude et transparente. Le pique-nique créole préparé par Alex est super, et il est un chevalier servant très beau et très rassurant. Il me dit quil ne pratique pas le naturisme mais, en regardant son slip de bain bleu moulant se gonfler souvent, je comprends que je lui fais un certain effet en tenue dEve.

Vers dix-sept heures, les derniers vacanciers quittent la plage et nous sommes seuls sur cette immense plage. Enfin, presque, car je vois à ce moment arriver le pick-up de Robert. Robert en descend et se dirige vers nous ; il y a une autre personne que je ne connais pas dans la cabine ainsi que les trois ouvriers dans la benne. Je me recouvre un peu devant tout ce monde en enroulant ma serviette de plage autour de moi. Robert me dit alors sèchement que je perds vite les bonnes habitudes et quil me préfère de loin nue. Je ne sais quoi répondre ; je le remercie pour les photos et propose à Alex de me raccompagner à lhôtel. Robert dit alors : « Tu ne vas tout de même pas nous quitter comme ça ? Ce nest pas poli. » Et, joignant le geste à la parole, il attrape ma serviette entre mes deux seins et la tire vers lui. Je me retrouve plaquée contre lui ; ma serviette ne tient plus que par la pression de mon corps contre le sien. Je regarde Alex et lui dis : « Alex, ne me laisse pas tomber : ramène-moi à l’hôtel ». Mais il ne bouge pas ; au contraire, il semble contempler la situation avec plaisir. Les trois Blacks sont descendus de la benne ; ils sont maintenant juste à côté de nous. Seul le passager est resté à sa place.

Robert me dit : « Maintenant, ma belle, tu nas plus le choix : il va falloir être gentille, très gentille » Je tremble de tous mes membres ; je ne sais plus que faire. Je crie : « Au secours ! » Tous se mettent à rire. « Il ny a plus personne sur la plage ; le seul accès se fait par la plantation, et nous lavons fermé après être passés. Tu peux toujours crier tant que tu voudras ! » me répond Robert. Je fais deux pas en arrière et tente de menfuir en courant, abandonnant en même temps ma serviette qui tombe aux pieds de Robert ; mais ils forment maintenant tous les cinq un cercle autour de moi. Alors je me tourne vers Alex et lui dis : « Ne te laisse pas entraîner : tu risques des années de prison ! Réfléchis ! ». Il éclate de rire et me dit : « Penses-tu être crédible si tu déclares que tu nétais pas consentante, alors que nous avons des photos de toi nue avec nous (celles prises lors de notre première rencontre) et quil y a plus dune demi-douzaine de personnes, dont deux gendarmes, qui peuvent témoigner que tu as passé une partie de la soirée entièrement nue dans notre voiture sans aucune contrainte ? Maintenant, tu as le choix : cela peut être plus ou moins agréable pour toi » conclut-il.

Le cercle se resserre autour de moi : ils sont maintenant à quelques centimètres. Alex mattrape alors les cheveux et me contraint sans ménagement à magenouiller. Il baisse alors son maillot bleu et je maperçois pourquoi il grossissait tellement cet après-midi : son sexe est en érection. Il est dune belle couleur café ; on le dirait bronzé, mais surtout il est dune longueur peu commune et dun diamètre raisonnable. Il me le met juste en face de la figure et jimagine bien ce quil veut. Les quatre autres en ont profité pour se déshabiller et je sens leurs mains un peu partout sur mon corps. Lune dentre elles, au moins, fouille déjà mon intimité ; cest fort désagréable car je ne mouille absolument pas. Alex me présente son gland entre mes lèvres ; jouvre la bouche et le laisse menfoncer légèrement le sexe dans la bouche. Cela ne semble pas lui convenir car il me prend violemment la tête par les cheveux, me la rejette en arrière et menfonce sa bite dans la gorge dau moins une vingtaine de centimètres. Jai un violent haut-le-cur et cherche à me dégager en repoussant ses cuisses ; mais ses deux mains maintiennent ma tête et continuent de menfoncer ce sexe au plus profond de ma gorge. Jai maintenant tout son sexe en moi, et sens ses testicules sur mon menton. Il reste quelques secondes ainsi, mais cela me semble être des heures ; jai la gorge en feu et jétouffe. Il ressort ensuite dun seul trait sans plus de douceur.

Jouvre les yeux, je suis en larmes ; il me regarde avec un air méchant et me dit : « Toujours pas décidée à être gentille ? » Je hoche la tête en signe dacquiescement. Robert me prend par les épaules et me retourne pour que je mette à quatre pattes. Jobtempère, et dans les secondes qui suivent, je sens deux mains qui me prennent aux hanches : cest un des Blacks, le plus âgé. Il doit avoir une quarantaine dannées, et un ventre plus sculpté par le rhum ou la bière que par lexercice. Son sexe est court mais dun très gros diamètre. Il lâche de sa main droite ma hanche et promène son gland entre mes cuisses et entre mes fesses, sans sembler avoir choisi lorifice où il souhaite le mettre.

Je profite de ne rien avoir dans la bouche pour leur demander de mettre des préservatifs, en précisant que je ne pouvais pas, pour des raisons médicales, prendre danti-contraceptifs. Jai pensé avoir été entendue car le plus jeune part vers la voiture et en revient avec un paquet. Il dit quelque chose aux autres en créole et, encore une fois, ils éclatent de rire. Robert me regarde alors et me dit : « Je te traduis : il a dit quil nen reste plus que deux, et quil faudra se les repasser. »

Si cela les fait rire, moi pas.

Celui qui soccupait de moi prend la boîte, louvre, et prend un préservatif quil senfile et revient se mettre en place. Il a pris sa décision : cest mon sexe quil veut. Dune main assez habile, il lentrouvre et menfonce doucement son gros sexe. Cest une sensation étrange dêtre dilaté par ce sexe si gros mais si court. Il commence de doux va-et-vient, pas désagréables du tout.

Pendant ce temps, Robert a ouvert le second préservatif et la posé, non déroulé, sur le bout de son sexe. Il me demande de le lui mettre en place avec la bouche. Je my essaie à laide dune main, mais le préservatif glisse et tombe sur le sable. Robert se penche pour le ramasser, esquisse un sourire et me dit : « Jespère que tu aimes quand ça fait mal… » Il repositionne le préservatif sur son sexe mais, cette fois, commence à le dérouler. Le lubrifiant du préservatif a retenu du sable, et cest désagréable sur les dents quand je finis avec la bouche sa mise en place. Robert demande à lhomme qui me besogne depuis quelques minutes de me sodomiser. Rien quà cette annonce, mes reins se contractent, et je commence à me débattre ; Alex me reprend alors par les cheveux en me disant : « Je pensais que tu avais compris ! » Le vieux Black se retire alors de mon sexe, bien mouillé maintenant. Il me crache abondamment sur les fesses et létale avec une main. Bien que je trouve cela répugnant, je ne me plains pas, pensant que cela me permettra de moins souffrir. Il présente alors le bout de son sexe dur comme un bout de bois sur ma rondelle et appuie de façon progressive, mais de plus en plus forte. Je sens mon anus se dilater ; quand son gland passe, je ne peux retenir un violent cri de douleur, aussitôt étouffé par le sexe dAlex qui me pénètre la bouche et la gorge. Quelques instants plus tard, le sexe est complètement entré dans mes intestins et lhomme commence des va-et-vient lents.

Alex se retire de ma gorge. Il me redresse ensuite et me fait basculer en arrière. Je suis maintenant allongée sur l’homme qui me sodomise ; ses mouvements sont ainsi de moindre ampleur, mais toujours aussi douloureux. Robert vient alors sur moi, écarte mes jambes qui, pourtant, l’étaient déjà largement, puis approche son sexe du mien. Il porte toujours le préservatif. Mais, soit par maladresse, soit plus probablement intentionnellement, il l’a recouvert de sable. Ce ne sont plus quelques grains de sable qui y apparaissent : il en est couvert. Son sexe, pourtant bien noir, en semble presque blanc. Il repousse mon buste en arrière, guide son sexe d’une main et me l’introduit d’un mouvement continu. La pénétration est difficile, mon anus étant dilaté à l’extrême. Il commence immédiatement des mouvements rapides qui, combinés avec ceux de l’autre homme, m’arrachent à chaque seconde un cri de douleur. Pourtant, je suis totalement trempée ; mais le sable sur la paroi entre mon vagin et mon anus est très irritant. Mes cris sont de courte durée car, comme je m’y attendais, Alex vient reprendre place dans ma bouche. Lui aussi commence des mouvements alternativement dans ma bouche et dans ma gorge.

Les deux derniers hommes qui jusque-là étaient restés observateurs se rapprochent, et chacun d’eux me prend une main et la dirige vers son sexe afin que je les caresse. Je suis en équilibre, maintenue et prise par ces cinq hommes. Nous restons dans cette position un bon moment, jusqu’à ce que l’homme dans mes fesses s’arrête et émette un long râle. Je pense qu’il jouit mais je ne sens plus rien. Quelques secondes après, c’est au tour de Robert de jouir ; tous deux restent enfoncés au plus profond de moi. Quant à Alex, sentant sans doute que le traitement actuel n’était pas en mesure de l’amener au plaisir, il sort son sexe de ma bouche et le masturbe avec frénésie devant mes yeux. Je continue pendant ce temps à prodiguer deux caresses manuelles. Après environ une minute qui m’a semblée « reposante », Alex me reprend la tête ; cette fois, je ne me défends plus du tout lorsquil me réintroduit le sexe jusqu’au fin fond de la gorge pour y décharger sa semence. Il reste ensuite immobile. Ils sont maintenant trois à me pénétrer profondément ; mais je m’étouffe et je suis obligée de le repousser énergiquement.

Je ne me suis aperçue de rien ; mais quand Alex ressort, je me rends compte que mes caresses manuelles ont été efficaces et que j’ai les bras et les seins couverts de sperme.

À son tour, Robert se relève. Son sexe semble encore dur ; pourtant on voit bien le réservoir du préservatif plein à craquer. Il le retire et en verse le contenu sur mes cheveux, ce qui rend littéralement hilares ses amis. Je suis enfin débloquée, et c’est moi qui me relève doucement, accompagnée du Black qui m’a sodomisé. Il ressort de moi ; lui aussi semble encore en pleine forme. Pourtant je ne vais pas tarder à voir qu’il a abondamment joui. Car, à la demande de ses amis, c’est dans ma bouche quil vide le préservatif usagé. À peine le liquide dans ma bouche, les cinq hommes entonnent en chur : « Bois, bois, bois… » Je n’ai aucun goût pour le sperme, mais je ne me sens pas de force à résister ; alors j’avale tout, comme si c’était un nectar. Il presse le préservatif pour en extraire jusquà la dernière goutte, quil vide sur ma langue.

Je me relève ; ils sont tous autour de moi et semblent satisfaits de ma « prestation ». Lun deux propose daller se rincer dans la mer. Je suis couverte de sueur, de sperme et se sable des pieds à la tête, alors je ne me fais pas prier et jaccompagne les cinq hommes dans les vagues. Cela fait du bien de se sentir lavée par les rouleaux de latlantique. Je my plonge jusquà la tête, mes cheveux étant collés par le sperme de Robert. Je reviens ensuite rapidement sur la plage, ayant toujours une certaine appréhension lors des baignades de nuit, et la nuit est maintenant totalement tombée.

Quand je reviens sur la plage, les cinq hommes ont rejoint le sixième et sont regroupés autour de lui à proximité de la voiture. Je me sèche rapidement dans mon drap de plage, récupère mes vêtements et objets personnels, quand jentends la voiture qui démarre. Je me précipite, ne voulant pas rester ici pour la nuit. Mais ils mattendent ; Robert est au volant, lhomme que je ne connais pas a repris la place passager. Les autres sont comme à lhabitude remontés dans la benne. Alex, quant à lui, est au volant de ma voiture de location et mattend avec la porte passager ouverte.

Je minstalle et déjà le 4×4 séloigne ; les ouvriers à larrière nous font au-revoir de la main, visiblement ravis.

Nous reprenons le chemin sans beaucoup de discussion : je lui en veux de mavoir trahie, et même si son physique ne me laisse pas indifférente, ce nest pas dans ces conditions que jaurais souhaité moffrir à lui. Alex me félicite tout de même en me disant que je suis encore meilleure que ce quil lui avait semblé, et que tous ses amis avaient été comblés, y compris Jean qui garderait un très bon souvenir de cette sortie plage. Jean est lhomme que je nai presque pas vu, qui était le passager de Robert.

Nous arrivons rapidement à lhôtel ; Alex gare la Clio sur le parking, me rend les clefs et séloigne vers un bâtiment annexe. Je regagne ma chambre ; je suis fourbue et jai mal partout, partout, mais aussi et surtout aux fesses, que jai littéralement en feu. Je demande mes clefs à la réception ; la jeune hôtesse me les donne. Je me sens gênée : jai limpression quelle devine ce que je viens de faire, que ma démarche traduit les douloureuses pénétrations que jai subies. Jéchange juste deux mots et rejoins sans plus attendre ma chambre, où je me fais couler un grand bain dans lequel je reste des heures. Jen laisse même passer lheure du repas.

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