L’hiver dernier, je suis allé passer une semaine de sports d’hiver avec ma copine du moment dans une station réputée des Alpes bavaroises. J’avais retenu un appartement dans un chalet hôtel qui s’est avéré être d’un confort inégalé.
Notre appartement se composait d’une chambre avec un grand lit très agréable, plein de coussins bigarrés dispersés sur la couette chaude à souhait, d’une salle de bains et d’un petit salon avec télévision grand écran diffusant plus d’une centaine de chaînes différentes que chacun pouvait choisir en fonction de son pays d’origine. C’est vrai que cette station est fréquentée par de nombreux étrangers, anglais, russes, américains du nord et du sud et quelques Français bien nantis…
A 45 ans, ayant fait mon chemin dans la vie, veuf et libertin, je suis apprécié de mes amis des deux sexes. Grand brun à la silhouette athlétique, on me prend souvent pour un espagnol, mais en fait j’ai des origines belges. Mon aspect et mon maintien sont dus à mon métier ! Ma copine Mikaela est une des danseuses de ces spectacles plutôt déshabillés qui animent les casinos et salles de spectacles.
C’est une grande fille blonde pulpeuse à souhait avec des seins de belle taille bien fermes et des hanches callipyges. Une taille mince, de longues jambes et des cheveux descendant jusqu’au milieu du dos en font une femme plus que désirable dans la maturité de ses 30 ans. Ses yeux gris sont toujours pétillants d’une joie de vivre communicative. Un petit nez mutin (refait) domine une bouche assez large aux lèvres naturellement ourlées. Sur scène comme dans la vie de tous les jours, Mikaela est toujours maquillée avec soin, les cils ourlés de khôl et les lèvres peintes de rouges brillants.
Libertins l’un et l’autre, nous faisons un bout de chemin ensemble, mais nous savons que cela ne durera pas, nous sommes libres ! Si c’est elle qui me quitte, elle aura toujours sa place parmi mes amies. Si je me lasse d’elle, je la quitterai sans remords, mais avec un beau cadeau…
Cette semaine de la fin janvier nous a offert un temps magnifique, sans chute de neige, mais avec un soleil radieux en journée. Nous avons pu profiter de notre séjour au maximum, skiant le jour et faisant la fête dans les boîtes la nuit jusqu’à 2 heures du matin… C’est d’ailleurs dans une de ces boîtes que nous avons rencontré Lucas et Monica avec qui nous avons sympathisé. En fait, nous habitions le même grand chalet, mais nous ne nous étions jamais rencontrés.
Du même âge que moi, Lucas est un russe qui se dit investisseur établi en Suisse depuis quelques années. Grand brun et bâti en colosse qui pourrait facilement être pris pour un rugbyman tant ses épaules et les muscles de son abdomen et des jambes sont développés. Lorsque je l’ai vu nu, j’ai tout de suite pensé qu’il devait s’entretenir dans une salle de musculation. En fait, il est l’inverse de Monica, petit tanagra brun très typé latino aux cheveux longs et ondulés et aux formes menues. Elle est d’origine franco-brésilienne vivant la plupart du temps entre Paris et Genève. Ses grands yeux marron sont ourlés de longs cils noirs recourbés, un nez droit un peu épaté, des lèvres bien dessinées qui découvrent naturellement et discrètement les deux incisives. Ses seins menus, mais à l’aréole fort brune et au téton très saillant et des fesses bien rondes sous une cambrure assez prononcée complètent son portrait.
A moins de 30 ans, elle a été embauchée à la fin de ses études dans un cabinet d’avocats d’affaires internationaux où elle a rencontré Lucas.
L’avant-dernier soir de notre séjour, nous nous sommes retrouvés au bar où en bavardant, nous avons découvert que le sauna du chalet permettait le vendredi d’utiliser les installations dans la nudité la plus totale ! Cela ne m’étonnait guère qu’en Allemagne, pays promoteur du concept de « VIVRE NU » ne propose pas cette opportunité.
Le vendredi, nous nous sommes retrouvés en fin d’après-midi et nous disposions d’une paire d’heures avant le dîner aussi, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans les locaux du sauna où, après être passés dans les cabines de déshabillage, nous avons tout d’abord utilisé le jacuzzi où nous avons continué de bavarder, tantôt en allemand, tantôt en anglais avant de passer au sauna proprement dit. Les deux heures ont passé avec une rapidité déconcertante.
Puis nous nous sommes retrouvés autour de la table du dîner. Là encore, le temps est passé rapidement en échangeant des anecdotes sur nos vies respectives. Mais cette nuit, il n’est pas question de sortie en boîte ! Demain, nous prenons la route d’assez bonne heure pour rejoindre l’aéroport de Munich d’où un vol direct nous ramènera à Paris.
Les semaines et les mois ont passé ! Nous sommes restés en contact avec Lucas qui nous a invités dans sa villa d’Ibiza pour une semaine à la fin juin…
C’est Monica qui nous accueille Mikaela et moi à la descente d’avion avant de nous conduire jusqu’à la villa dominant la mer et dont ils sont propriétaires depuis quelques années. Nous arrivons après un trajet d’environ une demi-heure… et nous nous installons dans la chambre que Mikaela nous désigne en expliquant que Lucas est retenu à Genève pour ses affaires et n’arrivera que dans la nuit.
Depuis la porte-fenêtre, nous découvrons le parc immense dans le soleil couchant avec une grande piscine à l’eau d’un bleu profond. Partout c’est une profusion de fleurs aux couleurs vives et des grands arbres aux essences diverses, pins parasols, ifs, cyprès, eucalyptus qui en journée doivent faire une ombre propice à la sieste sous leurs frondaisons.
Après nous être rafraîchis, nous rejoignons Monica qui nous attend dans le patio pour un dîner fait de viandes froides et de fruits. Nous bavardons longuement dans le jour déclinant tout en regardant le parc s’illuminer progressivement. J’apprécie beaucoup cette mise en scène des divers bosquets qui tour à tour sont plongés dans la clarté des projecteurs habilement disposés.
Après une bonne nuit réparatrice, notre attention est attirée par des éclats de rire venant du jardin. Lorsque je m’approche de la fenêtre, je vois Lucas et Monica s’ébattre dans la piscine, nus comme au premier jour. C’est vrai que l’immensité du parc et les hauts murs qui l’entourent permettent de vivre nus s’ils le souhaitent ! Il suffit d’avoir de quoi se couvrir à portée de main si un visiteur arrive inopinément. Quand il m’aperçoit, Lucas m’adresse un grand signe et me crie de venir les rejoindre :
Venez ! L’eau est parfaite ! A la bonne température !
Rapidement vêtus d’un maillot de bain, boxer pour moi et deux pièces des plus réduits pour Mikaela, nous rejoignons Lucas et Monica au bord de l’eau qui nous invitent à ne pas faire de manières, bref de nous mettre nus également, car nous sommes seuls à la villa !
C’est vrai qu’après tout, nous connaissons nos anatomies respectives après la séance de sauna des sports d’hiver.
Pendant que je bavarde avec Lucas, plongés dans l’eau jusqu’à la moitié du buste, Mikaela et Monica papotent en riant à l’opposé du bassin, assises sur des marches. Le contraste entre les deux femmes est flagrant : une blonde aux formes sculpturales et une brunette aux contours plus menus. D’ailleurs Monica me semble encore plus mate de peau…
Ne les entendant plus, nous nous tournons la tête dans leur direction et là, surprise !
Qui a entrepris l’autre ?
Je sais que Mikaela est ouvertement bisexuelle, mais qu’en est-il de Monica ?
Elles sont enlacées et s’embrassent à bouche que veux-tu, les mains de l’une posées sur les fesses de l’autre. Lucas n’est pas étonné non plus du développement de la situation :
OK ! Je vois que ces deux coquines sont en train de faire connaissance plus intimement ! Mais c’est qu’en même temps, elles nous allument !
Nous les observons pendant quelque temps et nous voyons Monica glisser entre les jambes de ma copine et débuter un cunnilingus sur la chatte imberbe de Mikaela ! Ça devient de plus en plus chaud et le spectacle ne nous laisse pas indifférents. J’ai le sexe dressé comme un épieu devant mon pubis et Lucas n’est pas en reste !
Pour mieux jouer les voyeurs, nous nous approchons des deux femmes et nous nous asseyons sur le rebord de la piscine. L’un et l’autre, nous avons la queue bandée à mort tant le spectacle que ces deux coquines nous offrent est chaud !
Je sens que dès que Mikaela aura joui sous les caresses de Monica, je vais la ramener dans la chambre et lui offrir une belle partie de jambes en l’air…
Mais c’est sans compter sur la coquinerie de ces deux belles femelles.
Se sont-elles entendues pour nous chauffer ainsi et voir quelles seraient nos réactions ?
En fait, ce sont elles qui nous entreprennent ! Elles s’approchent de nous tout sourire et là c’est la surprise ! Mikaela se dirige vers Lucas et Monica vers moi.
Elles se glissent entre nos cuisses entrouvertes et se saisissent de notre bite et commencent à nous masturber d’une main avant de nous prendre en bouche !
En moi-même, je pense : Mikaela a envie de goûter la queue courte et trapue de Lucas, et bien qu’elle ne s’en prive pas ! De mon côté, je savoure la fellation de Monica qui s’applique à introduire mon sexe jusqu’au fond de sa gorge et me pomper simplement en travaillant avec ses joues et sa langue.
Lucas semble aux anges ! Penché en avant, il malaxe les seins de Mikaela, triturant les tétons que je sais très sensibles à cette caresse.
En me regardant, il dresse le pouce de sa main droite en signe de satisfaction.
Je lui réponds de la même manière et lui disant aussi combien Monica est une bonne suceuse !
Mais à l’un comme à l’autre, cela ne nous suffit pas ! Des matelas de plage étendus au bord de l’eau semblent nous tendre les bras pour prolonger ces belles fellations.
Lucas et moi, nous nous levons et nous entraînons nos partenaires dans les quelques mètres qui nous séparent de ces couches moelleuses sur lesquelles j’ai la surprise de découvrir une provision de préservatifs… Nos hôtes sont prévoyants !
Je vois Mikaela s’agenouiller à quelques mètres de nous puis se mettre à quatre pattes, offrant à Lucas la vision de ses fesses pleines et galbées sur lesquelles il se précipite pour les embrasser et peu à peu glisser jusque dans la fente culière. Mikaela creuse les reins et je sais ce que cela signifie : Lucas est en train de lui lécher l’anneau plissé !
Quant à Monica et moi, nous ne perdons pas de temps non plus !
Je me suis allongé sur le dos et elle a repris sa fellation se mettant au-dessus de moi en position de 6 9, offrant son sexe à la pilosité disciplinée en forme de cur à ma convoitise…
Je ne peux résister à cette invitation aussi, c’est avec gourmandise que je darde ma langue entre ses lèvres intimes rouge carmin pour aller débusquer son clitoris dardé sous le capuchon.
Puis, elle saisit l’emballage d’une capote, l’ouvre et enfile la protection sur ma queue qui n’en peut plus de désir réfréné.
Monica échappe à ma langue en se coulant le long de mon torse et vient s’empaler sur ma bite dressée comme un « I ».
Les pieds de chaque côté de mon bassin, elle entreprend les mouvements alternatifs qui doivent nous amener à la jouissance. Ses longs cheveux balaient son dos et lorsqu’elle se penche un peu vers l’avant en se relevant pour ramener mon gland à l’entrée de sa chatte, j’aperçois son anneau plissé qui palpite doucement.
Cette coquine est chaude comme la braise, aussi bonne baiseuse que bonne suceuse… certainement que ses origines brésiliennes y sont pour quelque chose ! Mais je suis encore plus surpris quand elle me tend un petit godemichet en me disant :
Mets-le dans mon cul ! J’aime bien avoir les deux entrées occupées quand je baise dans cette position !
Je lui donne aussitôt satisfaction en introduisant son jouet dans la rosace brune qui l’avale aussitôt. Et, mes mains enserrant sa taille, elle reprend ses mouvements sur ma bite ! Je me retiens, car je veux profiter à fond de cette belle petite brunette au tempérament de feu.
Je tourne la tête pour voir où en sont Lucas et Mikaela : Ils sont en train de baiser avec ardeur en levrette, mais, si j’en crois ce que je vois : Si Mikaela se caresse la chatte d’une main en maintenant la position de l’autre, c’est que Lucas est en train de la sodomiser. Elle n’a besoin d’aucune préparation pour se faire sodomiser, elle est tellement ouverte du cul qu’elle arrive à se fister et y faire entrer sa main jusqu’au poignet.
Je sens que mon plaisir monte, monte, monte !
Bientôt, je ne pourrai plus me retenir… mais dans un grand râle, Monica jouit soudain. Il n’en faut pas plus pour qu’enfin je me libère, lançant quelques beaux jets de sperme au fond du préservatif.
Je ne sais pas si c’est nous qui avons déclenché l’orgasme de Lucas et Mikaela, mais presque aussitôt après nous Lucas rugit comme un fauve en éperonnant violemment sa partenaire qui jouit aussi dans de grands soupirs de contentement.
Nous nous désunissons et chaque fille rejoint son partenaire habituel et lui retire le préservatif avant d’entamer une nouvelle fellation qui a pour but de récupérer les traces de notre jouissance sur notre bite, mais aussi de la nettoyer.
Quelque temps plus tard, nous nous retrouvons tous les quatre dans le patio où une table abondamment garnie nous attend pour un petit-déjeuner tardif. Lucas nous explique qu’il attend encore deux couples d’amis qui doivent arriver en fin de journée avec leur bateau, mais il précise :
Ils ne sont pas libérés comme nous quatre ! C’est dommage, car les femmes sont de vrais canons ! Je me les ferais volontiers !
Monica ajoute alors :
J’ai l’impression qu’Anja doit avoir des penchants lesbiens, si tu veux, je vais tenter ma chance et l’amener un de ces jours dans notre lit !
Lorsqu’elles arrivent avec leurs maris, je vois que les deux femmes sont effectivement de vrais canons ! Grandes et minces avec des formes pas très marquées malgré une trentaine d’années, elles sont hâlées par le soleil du large. Malheureusement, notre séjour a pris fin sans que Monica arrive à ce qu’elle veut !
Peut-être y sera-t-elle parvenue après notre départ !