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Valentin, le fils des voisins – Chapitre 1

Valentin, le fils des voisins - Chapitre 1



C’est encore moi, l’amie de Badgirl. Nous étions dans les années 75 80. Les murs étaient plutôt débridées et nous ne connaissions pas le VIH. Cétait lépoque de mon premier mariage avec Pierre. Mes parents nous avaient loué pour une bouchée de pain, une de leurs maisons avec jardin et piscine dans un quartier résidentiel de notre bonne petite ville.

Cette histoire prend sa source lorsquun soir javoue à mon homme,  être amusée du manège de notre jeune voisin, lequel arrive toujours à la maison pour sy baigner alors que je suis déjà en train de bronzer au bord de la piscine.

Nous lavions, il est vrai autorisé à venir à la piscine quand il voulait pendant les vacances, sans restrictions particulières mais, il sarrangeait toujours pour venir lorsque jy étais déjà.

Nétant pas complètement idiote, je me doutais bien quil devait me surveiller car sinon, comment faire autrement. Çà mamusait beaucoup, surtout lorsquil me matait discrètement, se croyant à labri derrière ses lunettes de soleil.

Il avait seize ans tout juste mais on pouvait lui donner facilement dix sept, voire dix huit.

Bref, travaillant pour ma part à mi-temps, nous passions pas mal de temps ensemble au bord de cette piscine. Rapidement on en vint à parler des jeunes, des flirts etc. etc. C’est ainsi que je me rendis compte qu’en fait quil navait jamais eu de petites copines. Enfin de vraies petites copines du genre de celles avec qui on fait ses premières découvertes du sexe opposé.

Nos conversations devenant de plus en plus intimes, il finit par m’avouer qu’il se sentait bien avec moi malgré la différence d’âge. Voyant que cette confidence me faisait plaisir, il s’enhardit à me demander si je serais d’accord pour lui expliquer toutes ces choses qui l’intriguent et le perturbent. J’étais flattée qu’un jeune me demande çà, mais un peu inquiète aussi car ce genre de conversations allaient forcément nous rapprocher encore plus que nous ne l’étions déjà et puis, je savais bien au fonds de moi qu’il y avait des risques sous-jacents à entrer dans le jeu de cet adolescent. Finalement, les choses se mirent en place très progressivement sans qu’on en reparle vraiment mais nous étions conscients d’aller doucement vers ce dont nous avions parlé quelques temps auparavant.

Ainsi je pris l’initiative en bronzant seins nus dans un premier temps puis, on en vint à se baigner sans maillot pour arriver à bronzer tous les deux dans le plus simple appareil. Un jour que nous parlions de pratiques sexuelles, Valentin puisque c’était son prénom, se mit à bander de plus en plus ferme jusqu’à obtenir une érection phénoménale, son gland frottant allègrement son ventre au-dessus de son nombril.

Je m’étais habituée à voir sa virilité et lorsqu’il bandait, il s’arrangeait pour me tourner le dos ou plonger dans l’eau en attendant que son sexe revienne au repos mais cette fois-ci, au contraire, il ne cherchait pas à dissimuler son état, restant allongé sur le dos en continuant de me parler.

Je réalisais qu’en érection, il était vraiment gros. Une hampe longue, épaisse avec un gland large beaucoup plus gros que mon mari. Il prit conscience de mon trouble car mon regard revenait sans cesse vers son ventre et le spectacle que m’offrait cette jeune queue toute neuve.

Comment tu la trouve ?

Je sursautais en entendant sa question, ne sachant pas trop quoi répondre.

Elle est… heu…. comment dire ?

Grosse, non ?

Effectivement c’est assez étonnant pour ton âge.

Elle te plaît ?

J’devrais pas te dire ça, mais oui, car on peut dire que Dame Nature t’a gâté mon garçon.

A ces mots, il se levait pour venir en face de moi, toujours allongée sur mon transat. Sans un mot, il s’approchait la queue en avant presque à me toucher, attendant visiblement qu’il se passe quelque chose puis, voyant que je bougeais pas, il enveloppa son sexe entre ses doigts en commençant à se caresser doucement, me demandant :

Les filles font ça aux garçons, normalement, non ?

Oui, bien sûr.

Tu ne voudrais pas me le faire ?

Je pourrais mais ça va nous attirer des tas d’ennuis à tous les deux.

Personne n’en saura jamais rien.

Nous, nous le saurons. Moi je le saurais. Et puis, il y a Pierre.

C’est vrai mais juste une fois.

Non, vraiment. C’est trop tôt mais tu peux continuer devant moi si tu veux. Je vois que ça t’excite que je te regarde.

C’est ainsi que j’assistais pour la 1ère fois, aux caresses de mon protégé jusqu’à son orgasme. A la fin, je lui fis un gros bisou sur la joue, très près de la commissure de ses lèvres en lui recommandant de ne jamais parler de cela à quiconque.

Le soir-même, j’avouais toute mon histoire à mon mari. Celui-ci, loin de se fâcher, me demanda de tout lui raconter dans le détail depuis le début. Il était visiblement excité par mon récit. A la fin, il me dit qu’il ne voyait vraiment rien de mal à tout çà et qu’au contraire, notre jeune voisin avait de la chance de m’avoir car à son âge, il aurait aimé lui aussi avoir quelqu’un comme moi pour l’initier.

Tu es sûr, ça ne te dérange pas qu’il continue à venir à la maison ?

C’est de son âge ces poussées de testostérone.

Et s’il me demandait plus que de la théorie ?

Alors tu me raconteras….j’espère.

Mon mari n’a jamais été jaloux aussi, sa réaction ne m’étonnait qu’à moitié mais là, c’était une invitation à aller plus loin. J’étais partagée à vrai dire entre la morale quoique à ce stade j’avais déjà allégrement dépassé les limites de l’acceptable et, la curiosité de savoir jusqu’où ce jeune homme espérait aller avec moi.

Je décidais donc de ne rien changer à nos habitudes. Valentin prenait de plus en plus d’assurance d’autant qu’à présent, à peine au bord de la piscine, nous nous débarrassions rapidement de nos vêtements pour profiter à plein, du soleil. Il arrivait même que nous restions complètement nues même après être rentrés dans la maison.

Un jour que j’étais en train de lui passer de la crème solaire sur le corps, il se retourna pour, à nouveau, me présenter son chibre en pleine érection. Il était beau ce jeune sexe plein de vie. Il me dit :

J’ai envie, comme l’autre fois mais, tu ne voudrais pas le faire toi.

J’hésitais un court instant avant de prendre ma décision. Mon mari ne semblait pas contrarié par ce que je lui avais raconté et puis, il faut bien l’avouer, cette jeune queue m’attirait.

Bon, allez. Je veux bien mais juste çà, d’accord ?

D’accord.

J’enveloppais de mes doigts la hampe qui se raidit dans un spasme. Un large sourire éclaira le visage du jeune homme quand je fis glisser ma main jusqu’à ses bourses avant de remonter jusqu’au sommet du gland et commencer un va-et-vient tout en douceur.

Il était gros dans ma main, bien plus gros que mon homme. Avec mon autre main, je commençais à caresser et presser tendrement les bourses encore pendantes mais néanmoins bien pleines. L’excitation me gagnait rapidement, les spasmes de plaisir de cette jeune queue entre mes doigts me faisaient mouiller comme une folle. Je crois bien n’avoir jamais été aussi excitée sauf peut-être la 1ère fois que j’ai senti entre mes doigts un sexe en pleine érection. Je sentais mon sexe se liquéfier, mes propres sécrétions couler entre mes fesses, envahir l’intérieur de mes cuisses. N’y tenant plus, je me penchais pour lécher le gland, le frein, m’attaquer à la hampe et descendre vers les couilles protégées par un fin duvet blond. Un filet du liquide pré-séminal commençait à couler du méat. Je ne résistais pas au plaisir de l’aspirer pour goûter sans tarder à cette offrande. Je me mis à le téter, enveloppant son gland entre mes lèvres puis l’enfoncer doucement dans ma bouche et faire jouer ma langue en tournant sur le gland congestionné. J’avais commencé des va-et-vient très appréciés par mon Valentin, à en juger par les gémissements qui s’échappaient en continue de sa gorge. Je l’enfonçais de plus en plus profondément vers ma gorge, chose que je n’avais pas l’habitude d’accorder à mon mari mais là, l’excitation aidante, j’avais envie de m’empaler sur cette queue encore innocente.

Je sentais aux raidissements des muscles de ses cuisses que mon Valentin n’allait pas résister longtemps au traitement que je lui faisais subir. Lorsqu’il posa une de ses mains sur ma tête dans une attitude de mâle déjà aguerri, je savais qu’il arrivait à la fin du voyage. Ses gémissements devenus plus rauques, plus intenses et surtout les spasmes de sa bite me firent accélérer la cadence.

Aaaaaaaaaaahhh, c’est trop bon Marine, je vais juter.

Je ne pouvais pas lui répondre avec la barre de chair entièrement enfoncée jusque dans ma gorge. Un grognement d’approbation pour lui faire comprendre que j’aimais çà, qu’il se laisse aller et déjà, je sentais le premier spasme de l’éjaculation. Je m’apprêtais à recevoir son sperme et contrairement à ce que je fais d’habitude avec mon mari, en l’enfonçant à fonds dans ma bouche pour ne plus avoir qu’à déglutir les coulées de sa semence, une folle envie de goûter à ce jus encore inconnu, me poussa à garder son gland entre mes lèvres pour tout recevoir sur ma langue.

C’était sans doute la 1ère fois qu’une femme le faisait jouir ainsi, il était important qu’il en garde un souvenir impérissable. Voir celle qui l’a sucé, avaler sa semence, est le summum pour un homme et c’est bien le souvenir que je voulais lui offrir.

Trop bon cette première giclée, abondante presque trop mais heureusement très peu épaisse, directement sur ma langue comme je le voulais. J’avais à peine le temps d’en apprécier le goût que la deuxième arrivait déjà, puis la troisième et une quatrième un peu moins abondante. J’avais la bouche pleine, un filet de sperme tentant de s’échapper à la commissure de mes lèvres. J’avalais avec satisfaction une grosse gorgée du bon jus pour en garder juste assez sur ma langue pour me délecter de l’offrande. Valentin, continuait de jouir en gloussant tandis que je me mettais à le pomper pour ne rien perdre et lui montrer que j’adorais boire son jus. Il me regardait malgré le trouble dans ses yeux, trop heureux de me voir avaler toute son sperme.

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahh. C’est trop bon. Tu aimes toi aussi.

Je finissais de le boire complètement avant de lui souffler :

ça ne voit pas mon chéri. Hummmmmmmmmmmmmm. T’as bon goût tu sais. Tu veux goûter ? Les femmes apprécient beaucoup lorsqu’elles ont fait ce que je viens de faire.

Sans hésiter, Valentin, tandis ses lèvres vers moi pour que je l’embrasse et fasse couler dans sa bouche, un peu de son sperme, qu’il déglutit rapidement en me souriant.

Comme çà ?

Oui, exactement comme çà. Tu apprends vite mon garçon. C’est très bien.

Une folle envie de jouir me tenaillait le ventre. J’allais en prendre mon parti lorsque Valentin me demanda s’il pouvait me toucher un peu. Je sautais sur l’occasion pour lui dire :

D’accord. Je vais t’apprendre comment me caresser, tu veux bien ?

Oh oui. Oh oui.

Je m’installais plus confortablement dans le transat puis j’ouvrais mes jambes. Ma chatte qui n’attendait que çà, s’ouvrit pour laisser apparaître mes lèvres luisantes de mouille, mon clito lui aussi bandé presque à son maximum pointait le bout de son museau.

Avant même que je ne lui dis quelque chose, Valentin s’agenouillait entre mes jambes, le nez dans l’entrée de ma vulve.

Tu sens trop bon. Ça me fait tout drôle partout.

Si tu aimes c’est bon signe.

Je peux te faire comme à moi tout à l’heure.

Si tu peux ? Tu dois même. C’est bien mieux qu’avec les doigts quand c’est bien fait.

C’était trop excitant de sentir mon petit protégé me sentir la chatte en poussant des hummmmmmmm à n’en plus finir. J’attendais avec impatience le moment où sa langue s’enfoncerait dans ma fente pour commencer à me lécher et découvrir mes trésors. Déjà ses mains m’ouvraient un peu plus, je devais avoir l’air obscène ainsi exposé à un aussi jeune garçon mais dès que ses doigts ont massé mon bouton pour le dégager complètement, j’ai commencé à fondre, ma vulve s’est mise à vibrer, expulsant de ma mouille en grande quantité.

Ça coule Marine.

Oui, mon chéri, ça m’excite fort ce que tu me fais.

Tu aimes ?

Oui, j’adore, n’arrêtes pas. Ça va être de plus en plus bon.

Il s’était mis à me lécher la fente comme je l’avais souhaité. Sa langue passait et repassait, explorant les replis de ma chatte en chaleur, s’infiltrait dans l’entrée de ma vulve pour y recueillir le nectar à la source.

Frottes mon bouton en même temps, mon chéri.

Comme çà ?

Oh ouiiiiiiiiiiiiii. Comme çà. Exactement comme çà. Ta langue, enfonces-là dans le trou.

Hummmmmmmmmmmmm. C’est trop bon. Je suis encore tout dur.

Laisses-moi toucher. Hummmmmmmmmmmm.

Le plaisir, mon plaisir, montait en moi, gagnait mes reins, ma colonne vertébrale pour atteindre la base de mon cerveau. C’est à ce moment qu’un de ses doigts s’attaqua à mon anus qui s’ouvrit pour accueillir l’intrus et l’engloutir dans des spasmes de plaisir. Je tirais sur mes genoux pour m’ouvrir, m’offrir complètement. C’en était trop. J’explosais dans un orgasme libérateur.

Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.

Je restais un long moment allongé, amorphe, satisfaite, mon chevalier servant la tête posé tendrement sur mon ventre, sans doute en train de s’exciter en s’enivrant de mes odeurs de femelle repue.

Tu sens bon Marine.

T’es un petit cochon, mon chéri mais les femmes adorent qu’on leur parle comme çà.

J’ai encore envie tu sais ?

Ça je m’en doute mais Pierre va bientôt rentrer et je ne voudrais pas qu’ils nous trouvent enfin, tu comprends.

Oui, je comprends.

Je décidais donc qu’on allait faire un plongeon, histoire de se remettre les idées en place. En me levant, je me penchais vers son sexe dressé sur son ventre pour le prendre une dernière fois en bouche et le remercier du plaisir qu’il venait de me donner. Il se mit à gémir à peine entrer dans ma bouche. Je ne pouvais pas le laisser dans cet état. Je décidais de le soulager une nouvelle fois. Je m’agenouillais entre ses jambes en posant ma serviette au sol pour protéger mes genoux de la pierre de Bavière un peu rude et je me mis à le pomper en lui disant qu’il ne pouvait pas rester dans cet état et l’inviter à ne pas se retenir, se laisser aller. Il aimait çà, le petit cochon et c’est ainsi que je le fis jouir une 2ème fois dans ma gorge en avalant tout ce qu’il me donnait comme une offrande. Il était fou de joie en me quittant quelques instants plus tard.

Le soir, je racontais tout, dans le détail à mon mari qui me culbuta sur le canapé du salon en me montrant à quel point la dérive des relations avec notre petit voisin, loin de lui déplaire, l’émoustillait au plus haut point.

Vous vous doutez bien qu’il y a une suite à cette histoire, suite que je vous raconterais dans le détail très prochainement.

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