Arrive le lendemain soir, et on l’attend tout en ayant une petite crainte qu’elle ne vienne pas. C’est vrai qu’en y réfléchissant, c’est inespéré ce qui nous arrive. Comme je l’ai dit, j’ai soixante-deux ans, mon beauf soixante-huit, et cette belle femelle n’en a que vingt-sept.
Il est l’heure et notre jeune petite coquine est au rendez-vous. C’est vrai qu’elle est jolie, autant qu’elle est salope, ce qui n’est pas peu dire. Elle a un grand sac et nous confirme qu’elle a apporté les deux godes que je lui ai demandés, ceux la même qu’elle m’a adressés en photos, me montrant comment elle s’en sert.
On ne prend pas le métro, et elle semble déçue; cette petite salope aurait bien aimé retrouver les trois jeunes de la veille et qui l’ont si bien défoncée et farcie. Nous par contre on n’y tenait pas, de peur que dans l’euphorie de la situation elle ne nous abandonne pour eux; et puis on a prévu autre chose qui devrait lui plaire et satisfaire son envie insatiable de sodomies profondes.
Elle nous suit jusqu’à la voiture, Christian s’installe au volant, et je vais à l’arrière avec elle. Il y a des stores sur les vitres et on les a relevés pour être à l’abri des regards. Je m’assieds au milieu et elle s’allonge sur moi, son bas ventre sur mes cuisses. Je glisse ma main sous sa jupe, elle n’a toujours rien dessous, et je lui fouille la chatte la faisant rapidement mouiller.
Je récupère un de ses godes dans son sac, un gode ventouse lisse et blanc, un bel engin comme sur les photos qu’elle m’a envoyées. Je frotte le gland entre ses lèvres impatientes, je l’enfonce et tout le manche avec, jusqu’au socle. Elle soulève son ventre pour mieux s’offrir, et je fais aller son joujou d’un bout à l’autre, à un rythme soutenu. Elle jouit sans retenue, crie son plaisir dans le secret de la voiture.
A ce rythme je vais avoir mon pantalon trempe de ses sécrétions, et elle se soulève pour que je le baisse ainsi que mon slip. On se réinstalle et je sens la chaleur de son corps sur mon sexe qui ne reste pas insensible. Je la masturbe à nouveau puis l’invite à me relayer; elle glisse sa main entre ses cuisses pour se saisir de l’objet et se masturber elle même.
Je récupère alors le second gode, il est aussi long (20cm), s’élargit à la base (5cm), cranté pour plus de sensations, et noir pour lui rappeler les bites de blacks, ses préférées. Il a un ruban soudé sur l’embout, et dont je ne saisis pas de suite l’utilité. Je relève sa jupe sur ses reins, et caresse son cul, fouille sa raie, explore son petit trou. Je crache dessus, la doigte, et elle s’ouvre comme par habitude. Je plaque le gland de couleur sur son superbe illet, et je pousse. Comme pour sa chatte, je ne trouve aucune résistance, et je l’introduis presqu’entier, laissant juste de quoi pouvoir le tenir du bout des doigts. Elle se cambre encore plus pour que je la matraque mieux, ce que je fais aussitôt, et elle ne se retient plus, jouit recto verso, mouille de partout, hurle ses jouissances.
Je sais qu’elle aime la sodomie, et elle va m’en donner encore plus de preuves:
— Oui, oh c’est bon, vas-y, enfonce le entier, je le veux tout dans mon cul.
— Je veux bien salope, mais tu es sûre qu’il va ressortir?
— Ne t’en fais pas, j’ai l’habitude. Mon cul va le recracher, et au pire il y a le ruban pour le retirer.
— Ah, je me demandais à quoi ça servait. Bon, ok, puisque tu insistes!
Je pousse le gode sans même forcer et il disparait. Je mate son trou, surpris de ce que je viens de faire: son illet s’est un peu refermé tout en restant encore ouvert, permettant de voir l’embout de son joujou:
-Ce cul! Ce cul que tu as salope, c’est comme sur tes photos et je sais maintenant pourquoi ton trou était noir; tu avais enfoui ton gode, petite putain!
— Oui, je me le mets tous les jours, et bien profond. Vas-y, mets tes doigts, pousse le.
— Mais tu es folle, ça va te faire mal!
— Ne t’en fait pas, il est souple, ça ne risque rien. Et puis tu avais moins de scrupules hier quand vous m’avez offerte à tous ces animaux.
— C’est vrai, mais excuse moi, j’étais trop excité pour réfléchir.
— Ne t’excuse pas, c’était super. Mais si tu ne veux pas le faire, regarde bien, je vais le faire moi même.
— Ok, fais moi voir.
Elle pousse, sa rondelle se dilate en un spectacle magnifique, et le gode ressort de quelques centimètres. Elle abandonne le gode dans sa chatte, pour repousser celui de son cul et le renfoncer. Elle recommence à plusieurs reprise, puis retire le sextoy de son huître pour pousser celui qui remplit son anus. Elle le pousse, et je le vois pénétrer jusqu’au socle, sous mes yeux ébahis. Elle a deux godes dans son petit trou, l’un derrière l’autre si j’en juge par la longueur restante de ruban. Elle retire le premier, expulse le second en partie, les remets tous les deux, puis me demande de prendre la suite.
Je m’exécute sans sourciller, me laissant aller à mes penchants pervers, autant que les siens.
Sa main à nouveau libre se glisse entre nos ventres et s’empare de ma queue bien raide. Elle a relevé le devant de sa jupe, s’ajuste sur moi, et plus rien ne séparent nos sexes. Elle frotte mon gland sur son clito, sur ses lèvres brulantes. La sensation est trop bonne et je soulève mes reins pour tenter de la pénétrer. Elle relâche mon manche et viens à ma rencontre pour s’empaler au maximum.
Je continue à lui matraquer le cul d’une main et glisse l’autre sous elle pour me saisir de son bouton et le tripoter, le torturer gentiment pour le faire gonfler et durcir. Elle est prise en étau entre mes paluches, une sur ses fesses l’autre sur sa vulve, et je la secoue pour la faire coulisser sur ma trique:
— Oh salope, qu’est ce qu’elle est bonne ta chatte! Tu l’aimes ma queue qui te baise?
— Oui, mais je l’aimerais encore plus dans mon petit trou.
— Ne t’en fais pas, c’est prévu, on va lui faire la fête à ton cul, il ne va rien lui manquer.
On est bientôt chez Christian, je retire ses toys et les range dans leur poche. Elle se dégage, on est couvert de mouille l’un et l’autre jusqu’à mi cuisses, et on profite des dernières minutes pour se nettoyer réciproquement de nos bouches gourmandes.
On est enfin arrivé, descend de voiture, et elle nous suit, impatiente de connaître le sort qu’on lui a réservé. Il nous reste une petite distance à faire à pied, où elle va devoir affronter le regard des éventuels passants: sa robe présente une énorme tâche à l’avant, comme si elle s’était pissée dessus, tellement elle a dégouliné de plaisir.
On est dans l’appartement de mon beauf, et il nous conduit direct dans la chambre d’ami qui lui sert aussi de salle de sport. Il a un vélo d’intérieur, et Vanessa commence à comprendre ce que l’on attend d’elle. Elle m’a envoyé des superbes photos où elle faisait son sport matinal, et maintenant je veux la voir s’exécuter en réel, la voir, l’entendre, la sentir, mettre tous mes sens en éveil. On est vite à poil tous les trois, je fixe son gode ventouse sur l’arrière de la selle, et lui ordonne de le sucer, pour le lubrifier comme elle le fait tous les jours, bien que là il n’en ait pas besoin tellement il est encore luisant de sa mouille récente, vaginale et anale. Peu importe, elle suce avec gourmandise, apprécie ses liqueurs autant qu’elle apprécie mes doigts qui fouille sa chounette.
On a fini les préparatifs, et elle va nous montrer ses talents de cycliste. Elle est debout sur les pédales, on règle la hauteur de la selle, et elle s’empale la chatte sur son sceptre toujours en forme. Elle se met alors à pédaler vaillamment, et avec Christian on mâte ce merveilleux spectacle de sa vulve étroite, odorante et dégoulinante, qui coulisse infatigablement sur ce pieu bien dressé.
Je caresse ses fesses, sa raie, son petit trou, le fouille, puis la fait stopper le temps de l’embrocher de ma bite au mieux de sa forme. Je suis en elle, lui administre quelques pénétrations autant viriles que profondes, puis reste enfoui jusqu’aux couilles sans bouger.
Elle reprend son exercice, et je me délecte de son cul qui me masse la queue à merveille. Christian ne reste pas sans rien faire, il la tripote, les seins, la chatte, torture son clito dans la limite de l’acceptable, glisse ses doigts dans son vagin en complément du gode.
Elle jouit sans interruption, enchaine les orgasmes, dégouline à flots, de mouille et de sueur tellement elle s’active à pédaler. C’est divin, aucune femelle ne m’a jamais aussi bien baisé et je lui dis tout le bien que je pense de ce moment idyllique:
— Oh Vanessa, je n’y crois pas, tu es trop chaude petite salope, que c’est bon comme tu m’astiques le manche. Ca te plait, putain, de me traire la queue dans l’espoir de recueillir mon lait chaud et crémeux. Baise moi ma pute, fais moi monter la sève, vide moi les couilles…
Elle se déchaine, son huître fait du yoyo sur son gode et les doigts de notre partenaire, son anus monte et descend sur ma colonne prête à exploser. J’éjacule de toutes mes forces, crache tout mon jus au fond de son trou assoiffé de sperme. Je la saisis par les hanches pour la faire stopper sa chevauchée, elle se dégage, descend de vélo, et s’accroupit pour me nettoyer. Christian place un saladier sous ses fesses pour récupérer mon foutre qui s’écoule, puis il vide dedans un récipient que l’on avait installé sur la selle et qu’elle a rempli de sa mouille abondante et généreuse. J’ai la queue toute propre, luisante de sa salive, et on l’invite à reprendre sa culture physique. Elle se remet à la tâche sans rechigner, motivée par la gaule que se tient mon queutard de beauf. Elle s’empale par devant sur son jouet en même temps qu’il enfile son petit trou réceptif. Elle reprend son sprint effréné, coulisse sur ces deux bites bien dressées, une virtuelle, l’autre bien réelle et qu’elle espère bien juteuse.
Christian prend son pied comme je l’ai pris avant lui, et elle n’en finit pas de jouir à répétition sous l’effet de cette double pénétration, et aussi de mes mains qui s’activent sur ses mamelles et entre ses cuisses.
On sonne à la porte.
On attendait de la visite, et je vais ouvrir dans la tenue d’Adam…
A suivre………..