Notre soirée cinéma X est terminée, et on rentre en métro. Vanessa est affalée sur un siège, face à nous. Elle discute avec nous trois, peu importe qui lui répond:
— Oh, ce que j’ai pris! Vous m’avez tuée les mecs.
— Tu m’étonnes, tu te rends compte le nombre que l’on était!
— Non, pas vraiment, et vous, vous avez compté?
— Moi je dirais pas loin d’une vingtaine.
— C’est tout!
— Tu plaisantes! Tu en aurais voulu combien, cinquante?
— Non, mais au moins vingt-six ça aurait été parfait.
On s’étonne de ce nombre, et elle nous explique le pourquoi. Elle a lu sur son site préféré l’histoire d’un homme qui se vantait d’avoir offert sa compagne à vingt-cinq mâles dans un sex-shop, ce qu’il pensait être un record. Elle a souvent pensé à ce récit imaginaire, et rêvé de battre ce record et de publier son aventure en jurant que c’est réellement arrivé.
On rassemble nos souvenirs et on recompte à tout hasard les partenaires de sa soirée: les trois jeunes du métro, nous trois, les dix-sept de Pigalle, on a beau compter et recompter cela ne fait "que" vingt-trois. Elle est déçue d’avoir échoué, puis une idée lui traverse l’esprit.
Elle demande à Christian d’appeler Augustin et de voir s’il peut trouver deux copains et nous recevoir. On lui dit que ce n’est pas sérieux, vu l’heure tardive, mais surtout son état d’épuisement. Elle s’en fout, n’a jamais été si prés du but, ne sait pas si elle osera réessayer, et nous supplie d’accepter. Mon beauf appelle son pote et lui explique la situation. Il raccroche et son téléphone sonne quelques minutes plus tard. C’est son ami pour lui dire que c’est ok, qu’il nous attend.
Du coup on change d’itinéraire pour récupérer la voiture et aller à notre rendez-vous.
C’est Jocelyne qui nous accueille et on la suit. Il y a Augustin, Amédée et son frère, forcément noir lui aussi et sans doute aussi bien monté. Il savent que notre copine est épuisée, que ce sera rapide, et on ne perd pas de temps. Vanessa se déshabille pour mieux les exciter et on l’allonge sur une table sachant qu’elle aura du mal à tenir debout. Elle a les fesses au bord, Augustin relève ses jambes, pose ses chevilles sur ses épaules et baisse son froc. Sa bite est déjà tendue et il la plante dans le cul de la petite. Il la ramone à cadence soutenue avec l’intention de ne pas se retenir.
Pendant ce temps Jocelyne a déballé les énormes bites des deux frangins, et s’offre à eux. Elle en suce un tandis que l’autre la prend en levrette. Augustin soutient son rythme effréné, et finit par tout lâcher au bout de quelques minutes. Il se répand entre les reins de sa partenaire, et demande à un des deux autres de prendre la suite. Amédée qui s’occupe de l’entre cuisses de notre hôtesse se retire pour répondre à l’appel.
A peine le petit trou de notre blonde est-il libre qu’il s’y engage d’un seul coup, connaissant les possibilités incroyables d’accueil de cet orifice, et d’autant plus sûr de son coup que sa queue est bien lubrifiée de la mouille de sa précédente partenaire. Vanessa est surprise de cet assaut éclair, et pousse un cri aussitôt étouffé par la queue d’Augustin qui vient de lui enfouir dans la bouche pour se la faire nettoyer. Jocelyne cesse sa fellation et se retourne pour offrir sa chatte abandonnée à son amant du moment.
Amédée s’empresse d’embrocher le fion dans lequel coulisse son manche et décharge rapidement. Il se vide jusqu’à la dernière goutte puis laisse la place à son frangin, pour se faire nettoyer à son tour en gorge profonde. Vanessa a deux énormes boudins noirs enfoncés en elle, et nul doute qu’elle doit les apprécier malgré tout ce qu’elle a pris auparavant. Son enculeur se libère à son tour et finit d’inonder son réceptacle anal. Il vient dans sa bouche pour se faire reluire son chibre.
On maintient les jambes de notre protégée en l’air et Jocelyne s’accroupit derrière elle. Elle fouille son cul pour le débarrasser des imposantes éjaculations reçues qui s’écoulent au sol, puis elle lui lèche la raie et la rondelle pour finir de la vider.
La séance est finie, Vanessa se rhabille et on s’en va, laissant Jocelyne en proie aux trois mâles bien chauffés par cette baise inattendue.
On est en voiture, papy et sa petite fille à l’arrière pour un tendre câlin:
— Ca va ma chérie?
— Oui, un peu mal au cul, mais ça va.
— Tu m’étonnes, avec tout ce que tu as encaissé!
— Tu crois que j’ai battu le record de vingt-cinq?
— Si on a bien compté, oui, tu en as eu une de plus.
— Vous êtes sûrs? Recomptez encore s’il vous plait.
Elle tient vraiment à écrire son récit réel, et ne pas mentir sur ses performances. Elle veut aussi se remémorer ce défilé de bites entre ses cuisses, et on recommence l’énumération pour retomber inévitablement sur le même nombre:
— Tu vois, tu es la meilleure ma petite fille, sans compter ceux qui sont passés deux fois comme nous trois, et qui t’ont arrosée à chaque fois.
— Oh oui papy, je n’y pensais pas, tu as raison. J’ai pris combien de vos orgasmes en tout?
— Je ne sais pas , une trentaine minimum.
Elle nous parle alors d’un nouveau record qu’elle voudrait battre également. On lui dit que ça suffit comme cela pour aujourd’hui, que l’on a tous besoin de se reposer, elle la première, mais elle insiste. Il y a une aventure écrite comme réelle et qui lui revient en tête, celle d’une femme de quarante ans à qui son mari a offert une orgie pour son anniversaire: elle s’est faite baiser par de nombreux hommes, plusieurs fois chacun, jusqu’à se faire remplir à quarante reprises, autant de fois que d’années. On a estimé entre trente-trois et trente-cinq vidanges de couilles qu’elle a emmagasinées, et on est loin du compte.
Elle propose que l’on continue chez elle, et qu’on la remplisse encore plusieurs fois chacun. Je ne suis pas partant, Christian non plus, mais son grand-père abonde dans son sens, nous implore de ne pas le laisser seul à la satisfaire. Vanessa en rajoute, nous dit qu’elle veut juste que l’on se soulage en elle, sans forcément l’aimer comme des athlètes de haut niveau. On se laisse convaincre.
Nous voilà chez elle et on a planifié la nuit, agitée pour nous les hommes, blanche pour elle. On va en effet passer environ trois fois une heure chacun son tour avec elle, en alternant, ce qui nous permet d’avoir chaque fois deux heures de repos consécutif. Autre exigence de la part de notre femelle, elle a réalisé qu’il n’y a que son cul qui a servi de vide couilles jusqu’à présent et elle tient à ce que ça continue pour que son record soit en prime exclusivement anal.
C’est son grand-père qui couche le premier avec elle, tandis que je vais m’endormir avec mon beauf dans le canapé lit. Je suis en plein sommeil lorsque le vieux me réveille: c’est à ton tour, elle t’attend. Je me lève et il prend ma place pour récupérer.
Vanessa est allongée, cuisses ouvertes, et ses doigts caressent paresseusement son clitoris et sa fente. Je viens contre elle et rajoute mes doigts aux siens:
— C’est vrai que l’on n’a pensé qu’à ton fion, ta chatte a peut-être soif elle aussi!
— Non, mais par contre elle a faim.
— Et quelle est la différence?
— Tu peux me baiser si tu veux, j’ai envie, mais tu termines entre mes fesses.
— Ok, tu veux que je te prépare?
— Non, tu es gentil, mais je suis toute mouillée, et puis j’ai trop envie.
Je viens sur elle, prend mon manche à pleine main et guide mon gland entre ses lèvres. Elle n’a pas menti, elle est trempée, et ma queue disparait sans effort au fonds de son vagin. Je la baise tendrement, mais c’est surtout elle qui vient à ma rencontre, comme si sa chatte me faisait une pipe profonde. Elle gémit, miaule, puis pousse des petits cris. On est dans la nuit, je ne veux pas qu’elle alerte ses voisins, et je soude ma bouche à la sienne. Elle m’enlace et on se roule une pelle vorace. Nos langues s’aiment tout comme nos sexes, on baise tendrement mais intensément. Elle a un premier orgasme qui la fait trembler de partout, et s’agripper plus fort à moi. Elle relève ses jambes et les referme sur mes reins pour me garder en elle:
— C’est bon, c’est bon comme tu me baises. Elle était en manque ma chatte, il n’y a que mon cul qui encaisse depuis plusieurs heures.
— Je vais m’en occuper de ton huître, je vais bien te la farcir.
— Mais ne déconne pas, tu jouis dans mon petit trou.
— Ok, promis.
Malgré la fatigue on continue à s’aimer sans arrêt, puisant dans nos ressources. Elle a jouis plusieurs fois, et je sens à mon tour que ça vient. Je la préviens et elle s’empresse de me libérer et de se positionner pour m’offrir son cul. Je m’y engage, la lime quelques secondes avant de faire pleurer mon créateur aux bord des larmes. Elle est ravie, moi aussi, on se fait un mini câlin et je part réveiller mon beauf pour qu’il me remplace et prendre sa place pour dormir.
On me réveille, c’est papy, il me dit que c’est mon tour. Je me lève péniblement, mais quand faut-y-aller, faut-y-aller.
Vanessa est allongée, les cuisses ouvertes, les yeux fermés, encore ses doigts qui tripotent nonchalamment son clitoris. Sa vulve est luisante, odorante, appétissante. Je viens à quatre pattes entre ses jambes pour un cunnilingus auquel je ne peux résister. Elle soupire d’aise, ses mains s’agrippent à ma tignasse pour me plaquer contre son bas ventre:
— Oui, c’est bon comme tu me lèches, heureusement que tu es là pour penser à mon minou.
— Il n’y a pas pensé ton papy?
— Non, il n’y a que mon cul qui l’intéresse, et c’est pareil pour ton beau frère. Ce sont des salauds tous les deux.
— En même temps c’est ce que tu préfères, que l’on s’occupe de tes fesses, non!
— Oui, mais là c’est trop. Elle est jalouse ma chatte, elle veut sa part elle aussi.
— Je vais m’en occuper petite salope, je vais te la faire reluire encore plus, puis je vais venir dans ton cul juste le temps de décharger. Mais pour ça il faudrait que tu t’occupes de ma queue, que l’on se fasse un bon petit 69. Qu’est ce que tu en penses?
Elle est ravie de ma proposition, et on se met en position. On se gloutonne en douceur, avec des mouvements lents dus à notre fatigue, mais très chauds en même temps tellement nos sexes sont désirables. Ma langue parcours sa fente, s’enfonce dans son vagin, mes lèvres aspire son bouton exacerbé, tandis que sa bouche mollassonne va et vient sur ma trique qui l’est de moins en moins. Elle dégouline cette coquine, sa choune était vraiment en manque, et elle m’abreuve de ses orgasmes répétés et intenses. Elle semble reprendre des forces et s’active de plus en plus pour m’éplucher le poireau. C’est bon, super bon, je bande à mort, et je sens la sève qui monte. Je me dégage et elle s’empresse de se positionner pour m’offrir son réservoir à sperme. Je l’enquille sans tarder, deux trois mouvements, et j’explose au fonds de son cul.
C’est au tour de Christian de profiter d’elle, puis à nouveau son grand-père, et deux heures plus tard me revoilà dans son lit, pour la troisième et dernière fois.
Elle est inerte, les yeux fermés, et je m’inquiète. Je me colle à elle et la caresse gentiment:
— Ca va ma puce?
— Oui, je n’aurais pas cru autant m’en voir, mais ça va.
— On peut arrêter si tu veux.
— Non, papy m’a eue trois fois, ton beauf attend son tour, il n’y a pas de raison que tu en profites moins.
— Ce n’est pas grave, on se rattrapera la prochaine fois.
— Non tu peux, à moins que je ne te plaise pas assez pour te refaire bander.
— Tu me cherches petite salope, tu vas me trouver. Je vais te baiser, et si je m’écoutais je t’enculerais pour t’apprendre.
— Que des promesses!
— Tu veux vraiment que je t’encule? Ils se sont occupé de ta chatte ton papy et mon beauf?
— Tu rêves! Ils ne pensent qu’à mon cul ces fumiers, aussi salaud l’un que l’autre, et ils me l’ont pistonné comme des bêtes. Heureusement que tu étais là pour ma minette, mais pour la dernière je veux bien t’offrir mon fion, je sais que tu l’aimes et tu l’as bien mérité.
Et puis merde, on ne va pas discuter cent sept ans; elle veut que je la sodomise, pour mon plaisir ou le sien, va savoir, et je vais la satisfaire. Je la tourne sur le côté, et je la pénètre. Son trou est grand ouvert, pisse du sperme, et je coulisse en toute aisance. Ma queue nage dans le bonheur tellement son conduit est chaud et accueillant. Je l’enfile en douceur pour commencer, elle ne réagit pas, et j’accélère la cadence. Je la lime, l’embroche, la tringle, la défonce, et elle reste insensible:
— Elle ne te fait rien ma queue?
— Non, excuse moi, mais vous m’en avez tellement mis que je ne sens plus rien.
— Mais je te l’ai dit, je peux te baiser la chatte si tu veux.
— Non, tu l’as déjà fait, ça va pour elle, et puis je sais que tu raffoles de mon cul toi aussi.
— Tu as raison, il est trop bon, je me prends un pied incroyable. Mais si tu veux avoir toi aussi à nouveau de bonnes sensations, il y a une solution, c’est que l’on te prenne à deux!
— Une double anale! Même pas en rêve.
— Ok, tu es crevée et je comprends, mais on en reparlera, je suis sur que tu vas changer d’avis.
On cesse de parler, et je me sers d’elle pour mon seul plaisir. Elle est amorphe, comme une chique molle, une poupée gonflable offerte à tous mes assauts. Je vais et viens comme un métronome entre ses fesses, m’efforce à ne pas baisser le rythme, la ramone longuement, jusqu’à enfin libérer ma semence et soulager mes couilles. Je la remplis autant que je peux, puis je la quitte pour aller me coucher après l’avoir embrassée et lui avoir souhaité de bien se reposer. Ce serait normalement à Christian de conclure, mais elle n’en peut plus, il est dans un sommeil de plomb, et je ne le réveille pas.
Le canapé lit est occupé et je m’endors dans un fauteuil.
Je suis réveillé par Papy. Il doit rentrer chez lui et on lui a promis de l’accompagner à la gare. On est prêt à partir, et on réveille Vanessa pour lui dire au revoir. Son vieux lui fait de gros bisous, lui dit à bientôt, et alors que l’on lui dit notre intention de la rappeler, elle nous demande de revenir après avoir emmené son grand-père, de passer la journée avec elle. On accepte et on part la laissant se rendormir.
A suivre…