Les coups se mirent à pleuvoir avec force sur mon cul, cette garce s’en donnait à cur joie, je hurlais de douleur, mais avec la culotte dans ma bouche, on ne pouvait pas m’entendre de l’extérieur.
Quand elle s’arrêta fatiguée, j’avais le cul en feu. Elle ne s’était pas privé de frapper le bout du plug qui dépassait de mon anus. Quand je relevais la tête, je vis ma femme prise en sandwich par deux des femmes, elle avait l’air de prendre un pied formidable et grognait de plaisir en les caressant. Mais entre-temps, Chantal s’était mise à genou dans mon dos, retira brutalement le plug, et posa le bout de son gode contre ma rondelle.
"Et maintenant, le dépucelage! Je vais te déchirer la chatte petite pute!"
Et elle s’enfonça d’un seul coup dans mon cul provoquant un hurlement de ma part, étouffé par la culotte. Applaudissement général et éclats de rire de ma femme.
"Vas-y Chantal, lime-moi cette petite pute!"
Et c’est ce qu’elle fit sans se faire prier et en riant. J’avais l’anus déchiré, je savais que ma rondelle devait saigner. Cela dura un long moment et il faut bien dire que à un moment donné la douleur commença à faire place à un certain plaisir qui décupla avec le temps. Réapparition d’une solide érection.
"Regardez comme elle aime ça cette salope, elle a le clito qui bande! Je vais faire un petit film et je le mettrais sur le net. Ça va exciter tous les pédés de la terre!"
Nouvel éclat de rire général.
Et ce qui devait arriver arriva, j’éjaculais une incroyable quantité de sperme et tout le monde rit.
Fatiguée, Chantal se retira, passa devant moi, immédiatement remplacée par une autre, retira la culotte de ma bouche et y enfonça le gode souillé.
"Voilà petite merde, tu n’es plus vierge! Alors maintenant nettoie soigneusement ma bite!" Et elle rit aux larmes.
Et cela dura une bonne partie de la nuit, les unes immédiatement remplacées par les autres. Pendant ce temps ma femme se faisait troncher dans tous les sens par toutes les femmes, léchant goulûment des chattes trempées, des anus dilaté et criant sa jouissance à toute force.
C’était le milieu de la nuit quand tout cessa. J’étais épuisé, autant par les douleurs que par le plaisir incroyable éprouvé. Ma femme se leva, les yeux bouffis par toute cette jouissance ressentie, l’intérieur des cuisses luisant de mouille.
Toutes les femmes se rhabillaient, épuisées elles aussi. Ma femme en fit autant, vint détacher mes menottes et m’ordonna:
"La soirée n’est pas tout a fait finie pour toi, hangar à godes! Monte prendre une douche, après tu mettras la nuisette transparente et les escarpins que j’ai posé dans la chambre et tu redescends, sans avoir oublié de te remaquiller, d’avoir remis ton soutif avec les bourrelets à l’intérieur! Allez!"
Je me dépêchais et pris cette douche avec plaisir nettoyant le trou béant qu’était devenu ma rondelle.
Une fois "habillée" je redescendis. Elles étaient assises et m’attendaient.
Elles rirent en me voyant arriver dans cette tenue.
" Elle est bien foutue cette conne!"
"Ouais, tu devrais la mettre sur le trottoir, ça te fera un complément de salaire!"
Éclats de rire.
Caroline de me dire: "Mets toi à quatre pattes, connasse, et lèche cette flaque de sperme!"
Quand j’eus tout bien nettoyé, elle accrocha de nouveau la laisse à mon collier et dit: "Allons-y Mesdames, parachevons cette soirée en rigolant!"