Lorsque nous sortîmes tous, je passais devant la glace et me voyant, je ne pouvais m’empêcher de penser que j’étais délicieusement sexy. Elles avaient raison, j’étais vraiment très excitante, ces nichons artificiels généreux, ce corps fin, glabre de tous poils, ce petit cul bien cambré et encore ouvert, cette jolie chevelure qui caressait mon cou, cette nuisette délicate qui ne cachait rien, wouaouw!
Nous sortîmes et je bandais à nouveau. Chantal le fit remarquer à ma femme qui dit aussitôt:
"Malgré tout ce qu’on lui a fait cette pute est encore excitée!! Qui t’as autorisé à bander, sale pute?
Tu vas le payer!!"
Elle prit son portable, composa un numéro:"Allô? C’est moi. Tu te souviens de ta promesse?
Fous toi à poil, ne garde que tes chaussures, enfile un imper et rejoins nous sur la place principale!"
Elle raccrocha et elles rentrèrent toutes dans deux voitures, toutes sauf moi bien sur. Ma femme me fit venir sur le côté de notre voiture côté conducteur, ouvrit la vitre, prit ma laisse et démarra tout doucement, suivie par la seconde voiture.
"Je vais te promener comme ça dans toute la ville, je veux que tout le monde sache que j’ai repris le contrôle total de ta personne, que tu m’appartiens à vie, que tu es ma petite pute perso, que ton corps ne t’appartient plus!"
Et nous nous promenâmes comme ça à travers la ville, dans toutes les rues, et même si c’était tard dans cette nuit de Samedi à Dimanche, plein de gens nous virent, ou plutôt me virent, c’était surtout les femmes qui étaient virulentes, me pointant du doigt en éclatant de rire, m’insultant, certaines ne se gênant pas pour me mettre de grosses claques sur le cul ou pour me cracher dessus en me traitant de sale pute. Les filles dans les deux voitures étaient mortes de rire.
Quant à moi je dois admettre contre mon gré que cette ballade, même si elle était humiliante, m’excitait beaucoup. La nuisette qui caressait délicieusement mes jolies fesses, cet anus déchiré et encore ouvert dans lequel l’air s’engouffrait, mon "clito" gorgé de sang et mes boules se balançaient au rythme de ma marche forcée….
Nous nous arrêtâmes, ma femme prit congé de ses nouvelles amies. Chantal avant de partir me mit un grand coup de pied au cul. "A la prochaine, connasse!"
Et elles s’éloignèrent toutes en riant.
Nous étions sur la place centrale, ma femme m’amena au pied d’un arbre et m’y enchaîna par la laisse, je ne pouvais pas m’échapper.
"Alors tu m’as trompé pendant 15 ans, hein? Tu vas sentir le poids de ma colère et de l’humiliation subie!"
Une petite dizaine d’hommes s’étaient rassemblés autour de nous, certains m’insultaient, d’autres au contraire vantaient mes charmes, me trouvaient très excitantes et je voyais avec horreur de grosses bosses se former dans les pantalons.
Un homme noir et chauve, de forte carrure et de grande taille, vêtu d’un imper s’approcha de ma femme.
"Enlève moi cet imper!" lui dit elle. Il laissa tomber l’imper à ses pieds devant tout le monde. Il ne bandait pas, mais on voyait bien que même au repos, il avait une bite énorme. Ma femme s’approcha de lui et sans un mot commença à le caresser partout avec gourmandise. Son sexe se redressa et devint proprement énorme. Ma femme commença à le branler et me dit:
"Tu vois, ça c’est une vraie bite d’homme! C’est pas un clito de salope comme le tien!!"
Se tournant vers lui, tout en le masturbant, elle lui demanda:"T’as tenu parole?"
"Oui"
"Ça fait combien de temps que t’as pas tiré un coup?"
"Quinze jours!"
"Parfait! Comment tu la trouves?" dit elle en me montrant du doigt.
"Sexy!"
"Je te l’offre! Baise la! Tu peux la troncher tout le temps que tu voudras, elle est à moi!"
L’homme s’approcha, me prit les fesses en les écartant et émit un sifflement.
"Ouais, moi et mes copines on l’a travaillée toute la nuit pour te frayer un passage! Elle ne s’est pas encore refermée!!" dit elle en éclatant de rire.
L’homme s’enfonça d’un seul coup en moi, lentement et régulièrement, jusqu’à ce qu’il ne puisse pas aller plus loin. Je hurlais de douleur, complètement déchiré.
Et pendant de très longues minutes qui me parurent une éternité, il me pilonna le cul devant tout le monde.
Certains avaient carrément baissé leurs pantalons et se branlaient ouvertement. Même ma femme avait glissé une main sous sa jupe et se caressait manifestement.
A la fin, la douleur incroyable avait progressivement fait place à une jouissance incomparable, qui partait du bas ventre et remontait tout le long de ma colonne vertébrale, me mettant dans un état second.
Nous jouîmes en même temps en hurlant tous les deux, je sentais d’incroyable flots de sperme couler en moi, sortant même de mon cul et couler sur mes jambes. Quant il se retira, je tombais sur les genoux, les yeux révulsés, des picotements dans tout le corps, complètement tremblante. Autour de nous les hommes éjaculaient, ça sentait très fort le sperme.
Manifestement, ma femme avait joui et se réajustait. Elle vint vers moi, me détacha, il n’y avait plus personne autour de nous, les gens s’étaient soudainement éparpillés comme une volée de moineaux.
Ma femme m’aida à me relever et me mit dans la voiture.
"Ne salis pas la voiture!"
Nous rentrâmes, aussi épuisés l’un que l’autre par cette soirée et cette nuit de folie.