Blotti au fond de la cabane, tous les sens en alerte je ne bouge plus, je suis tétanisé et puis il y a ce maudit sperme qui continue de suinter et qui me trempe la culotte, je suis mal, très mal si quelqu’un me découvre là et dans cet état !
Le bruit reprend et on dirait qu’il se rapproche, je n’arrive pas à très bien distinguer de quoi il s’agit mais ça ne ressemble pas à des pas humains, c’est plus léger, plus hésitant, un peu comme un piétinement, ça s’arrête, reprend, change de direction….
Plus forte que la peur la curiosité finit par l’emporter, et à travers le mur de feuilles de l’abri je réussis à distinguer ce qui en est la cause….. un chien !
A cause peut-être de la direction du vent il ne m’a pas repéré, mais il a repéré en revanche les marquages de Moky et les recouvre consciencieusement.
Si ce n’est comme je l’espère qu’un chien errant ce n’est pas grave, mais s’il n’est pas seul je suis vraiment mal, comment expliquer ma présence ici à cette heure ?
Les minutes passent et pas d’humain en vue c’est déjà ça, par contre le chien lui est toujours là, il tourne, retourne et finit par s’arrêter pile à l’endroit où je viens de me soulager.
Il renifle d’abord l’endroit avec insistance, se risque me semble-t-il à quelques coups de langue et semblant avoir trouvé une piste intéressante…… se dirige rapidement dans ma direction.
Cette fois je suis repéré et pas fier du tout, car j’ignore totalement ce qu’il va faire s’il me découvre.
J’avais entendu dire que pour désamorcer une possible agressivité chez un animal inconnu, il fallait se mettre dans une posture de soumission, et que le fait de s’allonger au sol par exemple, ça pouvait désamorcer toute velléité de conflit.
Le voilà, il est tout près ! le nez tendu dans la direction de la cabane il marque un temps d’arrêt, la contourne rapidement, hésite un peu, fait un nouveau marquage à l’entrée et franchit le seuil !
La faible lueur de la lune le dessine en léger contre jour, et la vue de cette silhouette sombre, massive, bien campée sur ses pattes, qui m’observe en humant l’air avec force me remplit de terreur.
Le voyant s’avancer, ne sachant plus trop quelle attitude adopter, je me roule doucement en boule et me couche sur le côté en position foetale.
Intrigué l’animal s’approche et commence a me renifler bruyamment.
Je pue le chien, la sueur, le sperme et dans la position où je suis et que je n’ose pas quitter de peur d’une mauvaise réaction, j’offre à son inspection une partie de moi qui semble l’attirer tout particulièrement.
A peine voilé d’un léger tissu imbibé de foutre, mon petit cul focalise alors toute son attention et très vite il y colle son nez.
Grognant d’excitation, il pousse sa truffe dans la moiteur gluante de mes fesses et comme en transe, donne de grands coups de son large de museau.
Il s’acharne comme fou et j’ai très peur d’être mordu, quand soudain sa langue entre en action. A travers le fin tissu, avide de cette matière dont je suis souillé, nerveuse mais habile elle se glisse dans les moindres recoins et cherche a remonter à la source.
Sous l’effet du léchage, le fond de mon petit short trempé de bave et de foutre, se réduit rapidement à l’état d’une bande de tissu roulé et collant, qui ouvre un accés direct à une exploration intimes des plus poussée.
Fouineuse et gourmande la langue se faufile, s’insinue et très vite ma rosette encore béante de ce qu’elle vient à peine de subir est fouillée très en profondeur. En temps normal je me serais sans doute laissé faire avec grand plaisir, mais là ça me dégoûte, la pulsion est passé et je n’ai qu’une seule envie….rentrer chez moi, me laver et dormir.
Je tente bien de serrer les fesses pour le décourager, mais plus je résiste plus il s’excite et pour peu que je me relâche une seconde, ça recommence de plus belle.
Las de cette stratégie passive qui ne donne rien, je quitte lentement cette position qui m’expose trop et pour protéger mes fesses…….. quoi de plus efficace que de m’asseoir dessus !
L’animal est grand, fortement charpenté, d’un poids très certainement supérieur au mien, mais il y a surtout chez lui une détermination qui ne faiblit pas bien au contraire. Il s’agite, me bouscule et dans cet espace confiné ça ressemble à une bien curieuse danse.
Je pourrais bien sûr tenter de fuir mais quelle serait sa réaction ? me laisserait-il faire ? de toutes façon le toit de la hutte est bien trop bas pour se mettre debout et la sortie ne peut se faire qu’à quatre pattes, et là….GROS DANGER !!!
Au mieux je pensais que même s’il me laissait sortir, dans l’état où il était il continerait à me harceler jusqu’à la maison, et si à cette heure une rencontre était assez peu probable, elle pouvait malgré tout se produire.
Donc pour m’en débarrasser une seule solution possible…… trouver un moyen de le calmer !
Me faire lécher pas question, me faire monter encore moins, mais je peux le branler ça le calmera, oui c’est ça la solution je vais le branler !!!
Il est tellement collé à moi que ma main se glisse sans peine sous son ventre….. j’appréhende une réaction mais rien ou plutôt si…… il se colle encore un peu plus.
Le poil de son fourreau est très doux et lorsque du bouts des doigts, j’effleure sa bite encore bien cachée, il laisse échapper un gros soupir et son grand corps est parcouru d’un long frisson.
Cette réaction plutôt positive et prometteuse me rassure un peu et lentement, du bout des doigts, j’entreprends de la faire coulisser dans son étui.
Je n’ai jamais encore branlé de chien car avec Moky c’est une chose que ne fais pas, et même si ce n’est que pour la bonne cause, c’est à dire me débarrasser de cet encombrant compagnon au plus tôt, à la découverte de ce nouveau petit jeu…….. je me sens un peu troublé.
Mon visiteur semble se laisser faire avec une telle complaisance, que je ne tarde pas à m’enhardir et a prendre son membre à pleine main pour le masturber vigoureusement.
Si le membre de Moky et long et fin, celui-là me semble plus trapu et surtout beaucoup plus épais.
Au jugé alors qu’il ne bande pas encore, il est presqu’aussi gros que celui de Moky en pleine expansion et cette nouvelle découverte me trouble encore un peu plus..
Malgré la pénombre, je peux voir ma main qui branle cette bite que je sens vibrer et raidir sous mes caresses, jusqu’à ce que d’un coup elle jaillisse hors du fourreau.
Elle n’est pas totalement sortie mais déjà elle est impressionnante, impressionnante mais surtout très différente de celle de mon compagnon de jeu habituel.
Le bout plat et massif taillé en biseau avec une petite pointe légèrement décentrée vers le bas, se prolonge par une hampe épaisse avec un fort renflement vers le milieu, et au fur et à mesure que je la dégage, elle me révèle toute la puissance de son anatomie si particulière.
Elle me trouble, m’interroge, me fascine, et tandis qu’elle lâche ces premiers jets, je me surprend a imaginer les grosses sensations qu’on doit ressentir à se faire prendre par une chose comme celle-là, si bien sûr elle arrive a se faufiler dans le petit orifice, ce qui n’est pas évident au vu de sa forme massive et trapue en bout.
Dans mon esprit de plus en plus confus, une idée commence à se former insidieusement……. et si j’acceptais juste le contact pour voir comment ça fait ?
Je n’ai pas envie qu’elle me pénètre car je devine sans peine que ça risque d’être douloureux, dangereux peut-être même, non j’ai juste envie de la sentir se glisser entre mes fesses, pas plus !
Confiant en ma capacité à gérer une situation scabreuse, je cède brutalement à la pulsion, cette terrible pulsion qui revient sans crier gare, désirs et craintes mêlées, curiosité malsaine, tout remonte d’un coup !
Trop envie ! oui vraiment trop envie ! Cette bite m’appelle par ses mouvements convulsifs, elle me gicle dans la main, la tête me tourne, j’ai chaud, mon sang bouillonne, je suis à genoux, mes gestes sont maladroits, ma culotte colle, j’ai du mal à l’enlever, je m’énerve, m’acharne, l’arrache presque et elle est à peine à mi-cuisses quand je me fais brutalement ceinturer.
Sous le choc je bascule en avant et me retrouve en levrette, l’animal pesant sur mon dos de tout son poids.
Tendu comme un arc il envoie d’abord des coups reins au hasard dans le vide, puis voyant que ça ne donne rien, de ses pattes puissantes croisées sous mon ventre il m’attire sèchement en arrière pour mettre mon derrière au contact de son membre.
Moky quand il me tape les fesses avant de m’enfiler, ça ressemble à des coups d’aiguillons, mais avec lui c’est différent, du fait de la forme aplatie de son pénis, c’est comme des coups de bélier, de cet instrument que la police utilise parfois pour défoncer des panneaux de porte, et à ma petite porte à moi………… ça commence à frapper vraiment très fort !
Vu la force de l’animal, je comprend très vite que mon simple désir de contact ne va pas s’arrêter là, bon gré mal gré il va falloir assumer la suite, assumer les conséquences de mon imprudence et surtout de ma perversion.
Rudes et ciblés les impacts se multiplient, j’ai beau tenter d’esquiver de mon mieux pour gagner du temps, mon anus copieusement arrosé les reçoit en rafale en cédant peu à peu du terrain.
Dans les mêmes circonstances Moky m’aurait déjà pénétré, mais là ça résiste, c’est gros, massif et malgré l’intense lubrification et l’extrême souplesse du petit anneau……. ça n’entre pas !
Dans mon dos le chien s’active, s’acharne et tout à coup sur un nouveau pointage…..ma rosette explose !!!………. profitant sans doute d’un angle plus favorable, il vient d’introduire son membre sur une bonne moitié de sa longueur !
Comme à chaque fois j’en ai le souffle coupé, on a beau s’y attendre c’est toujours le même choc amplifié cette fois par le calibre du mandrin.
Bien ouvert par la baise précédente, mon petit cul encaisse plutôt bien et le cap critique de la pénétration franchi, l’action cesse d’être à proprement parler douloureuse, et je n’ai plus que l’énorme sensation d’être l’hôte d’un formidable engin de plaisir.
Cette agréable sensation ne dure pas longtemps, car bien évidemment le membre une fois introduit se met à gonfler, et ce qui se passe entre mes fesses devient très vite inquiétant et….. à nouveau douloureux !
Contrairement à Moky qui au début pistonne à toute vitesse, ce chien là pompe plutôt lentement, ce qui fait que je ressens tout des transformations qui s’opèrent et des transformations il y en a !
Sous la pression du membre qui enfle par à-coups, la rosette s’étire, se dilate et commence à envoyer des s.o.s sous la forme d’une douleur sourde et lancinante.
Pris d’une soudaine panique, dans un mouvement de recul je parviens à me libérer partiellement et me saisissant du membre qui me déchire, je tente de l’extraire complètement.
Ma main crispée sur la hampe épaisse et visqueuse ne parvient qu’a la maintenir pour une bonne partie à l’extérieur, mais mais le bout reste enfoncé et continue de s’agiter.
A peine dérangé par cette intervention le chien continue de piner et comme j’avais appris à le faire avec Moky (a l’exception de ce soir) , pour éviter le une catastrophe tout à fait prévisible, je bloque le noeud qui se forme à l’extérieur.
Deux ou trois soubresauts encore, et sous mes doigts la bite cesse enfin de gonfler.
L’anus brûlant et distendu à l’extrême, je suis en train de vivre une sodomie que je ne suis pas près d’oublier.
Agrippé à moi, haletant bruyamment, l’animal commence à jouir, son pénis agité de spasmes se contracte à intervalles réguliers, et de longs jets de sperme explosent avec force dans mon ventre.
Cette naturelle et abondante lubrification, a pour effet immédiat de permettre au membre de se mouvoir plus librement, mais aussi de façon plus surprenante d’atténuer la douleur.
Les fesses largement écartées par cette énorme chose qui s’active entre elles, je sens mon inconfort diminuer peu à peu, si bien que progressivement et sans vraiment m’en rendre compte, je relâche le pénis qui s’enfonce à nouveau profondément.
Elle est vraiment énorme cette bite, monstrueuse, mais en cessant peu à peu de la percevoir comme agressive et dangereuse, je découvre un nouveau plaisir…… le plaisir si particulier de la démesure.
Je ne jouis pas encore, mais je sens que ça ne va pas tarder car des prémices se manifestent déjà, non je ne jouis pas mais je suis heureux, heureux comme si j’étais en train d’accomplir un exploit, l’exploit d’être allé au bout de l’impensable, de l’impossible et d’y être arrivé sans trop de dommages……… du moins je l’espère.
Le troisième orgasme de la soirée finalement ne viendra pas, mais je le sentirai rôder aussi longtemps que la bite restera en moi, aussi longtemps qu’elle me remplira de sa semence et de sa chaude présence.
Mon partenaire d’un soir portait un collier et avant qu’il ne s’esquive, je pu y lire un nom et une adresse : Il s’appelait LOBO et ses maîtres n’habitaient qu’à quelques centaines de mètres à peine…………
Pour clore cet épisode, je voudrais m’adresser aux lecteurs qui pourraient penser que tout ceci n’est qu’inventions, qu’une telle perversion chez un jeune garçon tout juste pré ado relève de l’imaginaire, pour leur dire que tout est au contraire parfaitement véridique : Les noms, les lieux, les actes, les ressentis aussi bien physiques qu’affectifs…. Tout est vrai ! et si à défaut d’excuses je devais chercher une explication à un tel dérèglement de ma part, ce serait dans l’affectif que je la trouverai : LA SOLITUDE !
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