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Vie de famille – Chapitre 10

Vie de famille - Chapitre 10



VOYAGE AU SENEGAL

Déjà une semaine de passée et pour cette deuxième et dernière semaine, nous avons prévu d’aller en brousse et donc, de visiter le parc national des oiseaux au Nord du pays.

Arrivé à sur place, nous prenons possessions de nos cases de luxe que seuls les touristes habitent.

Ma mère qui en a connu d’autres décide que nous allions passer une nuit en brousse voir les oiseaux de prêt et coucher dans campement situé en périphérie du parc. Je ne sais trop comment elle s’est organisée mais après une journée de ballade dans les zones où les oiseaux pullulent, nous nous retrouvons le soir, les trois seuls blancs au milieu des six gardiens du site qui nous accueillent très gentiment et nous installe dans des vraies cases très rustiques, sans la clim. La douche collective se passe sous un bidon de 200 litres d’eau sous lequel est soudée une pomme d’arrosage et on y passe par quatre à la fois pour économiser l’eau.

Rustique mais efficace et ma mère a bien connu cette époque où l’Afrique c’était ça et rien d’autres.

Bref l’accueil est chaleureux et nous faisons connaissance des femmes des gardiens, où plutôt des copines car manifestement leurs femmes sont restées ?au village natal ? comme ils disent ; je suis un peu regardé de près par les nanas qui ne doivent pas avoir trop d’hommes blancs dans le coin.

Avant de passer au repas du soir, nous demandons de prendre une douche et nous nous retrouvons donc tous les trois sous la douche où un garde nous rejoint :

— ? C’est la consigne d’économie d’eau du chef nous dit-il avec un grand sourire ; on doit toujours être quatre sous la douche.

Passé quelques instants d’hésitation, on se retrouve tous à poils et je dois dire que Sanidaye, c’est son nom, n’hésite pas a exhiber fièrement son engin de compétition auprès duquel mes 22 centimètres semble dérisoire. Mais je m’y fais depuis une semaine, et je commence à être rôdé de partout.

Sanidaye ne tarde pas à bander comme un cerf à la vue des deux blanches qu’il a sous les yeux d’autant plus que ma mère commence à lui saisir la queue et à le branler en le regardant droit dans les yeux.

— ? mon salop tu as une belle et grosse queue noire comme je les aime, énorme et bien dure, je sens que je vais m’amuser avec, n’est-ce pas Lisa

— En guise de réponse ma petite Lisa se penche en avant et sans rien dire englouti le serpent monstrueux de notre ami Sanidaye qui se réjouit manifestement de voir ces deux salopes blanches se jeter ainsi sur sa queue.

Sanidaye me regarde sur le côté et me demande, tout en me caressant la queue, de le savonner si je veux bien.

Je veux bien d’autant plus que ses petites fesses musclées engage à la caresse ; je lui passe le savon dans le dos puis descend le morceau que je glisse entre ses fesses juvéniles. Je passe ensuite ma main dans le passage chaud de son entre-fesses en caressant au passage son anus puis atteint ses couilles énormes et gonflées de bonheur. Je reviens sur son petit trou que je pénètre facilement grâce au savon et lui demande si je peux l’enculer.

— ? vas-y, j’adore ça surtout lorsque deux salopes me sucent en même temps.

Ma queue étant bien raide et également savonnée, je la glisse entre ses fesses et sans que j’ai trop à forcer, Sanidaye se cambre et me facilite la tâche ; ma queue pénètre la bague annale de mon partenaire noir. Je l ’embroche jusqu’à ce que mes couilles touche ses fesses ;

il émet un son rauque de plaisir et je sens sa bague annale qui se resserre autour de mon sexe. Je l’attrape aux hanches et commence à le travailler comme une pute, avec ardeur en lui enfonçant le plus profond possible ma bitte excitée par la vue que j’ai de ma mère et de ma chérie en train d’essayer d’engloutir ce monstrueux sexe noir et raide. Je lui lèche le cou et le mordille à l’épaule ; il gémit comme une petite salope ce pédé.

Je remarque que par des trous excitant dans les fines cloisons de la douche je peux apercevoir des yeux voyeurs qui semble se régaler du spectacle : deux malabars surgissent totalement nu et la queue en l’air et se positionnant derrière mes deux femmes, le savon et le foutre aidant, les embrochent sans préavis d’un coup de reins. Ce sont deux géants de carrure et de sexe, on dirait deux bittes de cheval, tant elles sont longues ; Tiam à côté est un minus !

Maman et Lisa lâchent la bitte à Sanidaye pour hurler de douleur et manifestement de plaisir car les deux pieux ne font que s’enfoncer à moitié tant ils sont longs.

Ce doit être le village qui veux cela.

Sani se détache alors de ma queue, la rince et la savonne puis se mettant à genoux se met à me pomper la tige avec avidité.

Un des deux nouveaux arrivants parle fort dans la langue locale et je vois arriver deux petites femmes qui se déshabillent devant nous. On croirait des gamines tant elles sont menues et juvéniles ; renonçant à connaître leur âge, je me laisse faire lorsqu’elles se mettent à côté de Sani pour me sucer.

Leurs grands yeux brillent de plaisir lorsqu’elle enfourne ma queue jusqu’aux couilles dans leur bouche et je sens que je leur touche le fond de la gorges avec mon gland. Elles ne restent pas inactives sur mes couilles quelles triturent intensément pendant que Sani m’introduit un doigt dans le cul. Je leur caresse leurs petits tétons au passage et ferme les yeux de bonheur.

Cette triple pipe, ne tarde pas à produire ces effets car je largue ma cargaison de foutre sur le visage et dans la bouche de mes trois suceuses.

C’est le déclenchement de l’orgie car les deux ?cavaliers ? de mes femmes se mettent à crier fort dans leur dialecte, en redoublant leurs coups de queues dans les vagins respectifs de ma mère et de Lisa qui sont carrément décollée de terre sous la poussée des bittes noires. Elles sont comme accrochées à des portemanteaux.

Le foutre doit leur inonder la chatte car elles se retournent alors pour sucer leurs bienfaiteurs pendant que je vois la crème blanche qui dégouline de leurs chattes sur leurs cuisses, jusqu’au sol.

Voyant également cela, Sani en bon gastronome, me délaisse et se retourne pour les nettoyer pendant que mes petites compagnes noires poursuivent de me lécher le gland avec avidité.

Je constate avec plaisir qu’il y a toujours des yeux derrière les trous de la cloison et une de mes deux suceuses me précise :

— ? Tout le monde veux voir les blancs baiser avec nous, ça te fâche pas ?

— Non au contraire, nous, on aime bien être regardé par des amis quand on baise.

— Tout le village sera là ce soir, tu sais, c’est pas tous les jours qu’on a des blanches salopes comme tes femmes qui restent au camp.

— J’espère que vous serez là aussi ?

— Oui bien sur avec d’autres copines ainsi que des sours et des tantes à nous.

— Si elles sont aussi jolies et bonnes suceuses que vous, je vais aimer.

— Ici on apprend très jeune à sucer avec les hommes du village, dès 18 ans on est plus vierges me répondent mes deux copines souriantes de leurs belles dents blanches.

J’ai quand même un doute sur leur âge, mais je renonce à me poser trop de questions.

Nous réintégrons notre case pour nous relaxer un peu et je vois que ma mère et Lisa se laissent passer de la crème respectivement sur leurs chattes et anus par mes copines suceuses.

— ? Cela vous évitera d’être irritées et calmera l’échauffement, ainsi vous serez en forme pour ce soir ;

car il faudra être en forme avec les surprises que nous vous avons préparées.

Cela étant fait, elles viennent se blottir tout contre moi sur mon lit alors que je somnole déjà.

Le soleil est déjà très bas sur la lagune lorsque je me lève de cette petite sieste post-nocturne qui m’a fait beaucoup de bien.

La brousse est magnifique avec le soleil couchant et je me régale du spectacle des oiseaux qui passe au-dessus de l’eau de la lagune qui jouxte le village ; tandis que le bruit des femmes qui prépare le repas retentit derrière moi.

— ? Tu aimes la brousse ? me demande une voix rauque derrière moi,

— C’est mon enfance qui me revient en mémoire, je réponds en me retournant, constatant que le mec qui vient de me parler est un des deux costauds qui ont bourré mes femmes tout à l’heure.

— Je comprends que tu apprécies, on n’oublie jamais son enfance ; c’est donc pour cela que ta mère a préféré notre village à celui des touristes me répond-il.

— C’est surtout ce que l’on y trouve qu’elle a préféré ;

nous voyageons pour voir les pays mais aussi pour sympathiser avec leurs habitants je rajoute et ici nous sommes bien, l’accueil est rarement aussi parfait que dans ton beau pays, je lui rétorque.

— Vous serez toujours les bienvenus dans mon village, me précise-t-il, je comprends ainsi que c’est donc lui le chef du village et donc l’homme le plus important

— Sanidaye est un de mes fils, il est un peu pédé mais il aime aussi les femmes aussi cela ne me gène pas, de plus c’est moi qui l’ai initié lorsque nous partions plusieurs jours en brousse sans femmes, on se branlait mutuellement le soir et il y a pris goût, comme moi d’ailleurs. Ta mère et ta femme sont vraiment superbes, rajoute-t-il et elles ont l’air d’aimer baiser ?

— Elle ne pense qu’à cela, tu sais c’est ma mère et mon père qui m’ont déniaisé !

— Mon ami Tiam le sculpteur m’en avait parlé

— Ah, je comprends tout maintenant ! comment ma mère a connu ton village.

— Tiam est un vieux camarade d’école, nous étions ensemble à Saint-Louis et la vie professionnelle nous a séparés mais nous nous rencontrons au moins deux fois par an pour faire des fêtes de plusieurs jours ; tu vois un peu ce que je veux dire

— Effectivement je vois, vous devez faire de sacré baises tous les deux.

— T’as tout compris, j’ai pu voir que tu aimes aussi les hommes ?

— Occasionnellement si le courant passe j’aime bien m’en enculer un et toi ?

— Comme je te disais, mon fils Sani est bi sexuel comme moi, me fait-il remarquer, mais moi, devant les autres du village, je ne peux assouvir occasionnellement mon plaisir car je suis le chef et le chef ne peut se faire enculer devant tout le monde, c’est ainsi me dit-il avec une certaine tristesse.

A force de parler en marchant, nous sommes maintenant assez loin du village et prêt d’une espèce de paillote de pêcheur, Diop, c’est son nom, se met alors à genoux et pose la main sur mon short en me caressant la queue au travers et en passant un doigt par l’échancrure du bas.

— ? j’aimerais bien sucer ta queue, me dit-il – Si tu veux, je lui dis en baissant mon short tenu par un élastique. Ma queue excitée jaillit devant son visage que je distingue encore dans la nuit noire qui est tombée brutalement.

Sa bouche immense s’empare immédiatement de ma queue encore molle et commence une succion puissante et agréable qui me provoque très rapidement une érection forte il en profite pour me lécher les couilles de sa langue agile, je lui serre la tête de chaque côté et commence un mouvement de bassin synchronisé avec sa bouche.

— ? Ma queue doit te paraître bien petite, je lui dis.

— c’est pas un problème répond-il en lâchant ma bitte pour me caresser les couilles, ce qui compte c’est le plaisir de changement, habituellement, je suce mon fils ou Tiam lorsque je le vois, mais là, une bonne bitte de blanc, c’est aussi agréable que pour une blanche de sucer un noir, tu sais.

— J’imagine, j’aimerais bien te sucer également ta grosse queue, elle est énorme et doit être agréable à avaler si j’y arrive !

— si tu veux me dit-il en me poussant sur une natte de la paillote, couche-toi sur moi et suce-moi

Nous nous positionnons en 69, moi dessus, je sors sa queue monstrueuse moitié molle de l’ouverture son boubou et je l’embouche ; déjà j’ai de la peine à la prendre en entier, qu’est-ce que se sera lorsqu’il va vraiment bander ; il est encore plus gros que Tiam. Diop a repris sa fellation sur moi et m’introduit un doigt dans le cul, ce qui m’excite beaucoup

Lui aussi sans doute car son gland remplis maintenant entièrement ma cavité buccale, je suis obligé de le lâcher et de poursuivre ma pipe avec la langue sur son énorme gland que je distingue à peine dans le noir mais que je sens gonflé de bonheur je le branle à deux mains tant il est volumineux, il doit bien faire trente cinq centimètres de long, ce qui est plus grand que Tiam. je me régale à lécher ce long tube chaud et luisant qui frémit sous ma caresse.

Je lui relève les jambes et lui lèche son trou du cul chaud et humide ; il se met à gémir de plaisir tandis que je lui enfonce un doigt dans le passage de son anus

— ? j’ai jamais été enculé par un blanc, tu voudrais bien semble-t-il me supplier

— Avec plaisir je lui réponds pendant que nous changeons de position.

— je t’ai vu enculer mon fils, tu as l’air de savoir y faire avec les mecs

— C’est mon père qui m’a appris, je lui dévoile, il est le roi de l’enculade et m’a initier en même temps qu’il m’apprenait à baiser ma mère.

— Quelle chance, j’aurais bien voulu baiser la mienne quand j’étais jeune, car je l’entendais baiser avec mon père au travers des murs de la case, mais j’ai pas eu ta chance.

Vas y défonce-moi la bague, je suis ta femelle, ta petite pute me demande-t-il en se mettant à quatre pattes dans le noir, je le devine plus que je ne le vois. Après, tu pourras baiser toutes mes femmes tant que tu voudras, m’informe-t-il comme pour m’exciter la plus vieille est une vraie salope comme ta mère avec une chatte énorme et des mamelles monstrueuses et sa fille en jeune pute mince comme une gazelle mais avec une chatte et un clito démesuré, un régal.

— je vais te défoncer la bague petit pédé, je lui dis et tu vas hurler comme une pucelle

— Oh oui, parle-moi comme à une pute, ça m’excite, branle-moi en même temps.

je lui écarte les fesses et présente ma queue couverte de sa salive, je la lui enfonce dans l’anus sans grande difficulté et la chaleur forte de son antre secrète me provoque une augmentation brutale du diamètre de la queue

— ? tiens salope prend ça dans le cul, je lui administre en lui donnant de grand coup de bassin dans l’arrière, il gémit comme une pucelle quand je lui bouscule les fesses et s’accroche à mes mains qui lui enserre les hanches

Je lui ramone le cul tant que je peux en lui branlant son énorme baobab qui lui sert de queue et lui annonce que je vais pas tarder à gicler dans son cul tant il m’excite. Il se redresse et je m’accroche à sa grosse branche que je branle à deux mains tant elle est devenue énorme. Il doit sentir que je vais larguer ma cargaison de foutre dans son cul mais il a semble-t-il d’autres projets.

— Gicle-moi dans la gueule me dit-il et se retournant engouffrant à nouveau ma queue dans sa bouche pour avaler toute ma semence que je lui largue au fond de la gorge. Il avale alors mes couilles comme pour les vider de tout mon sperme, l’excitation prolonge mes giclées qu’il savoure en connaisseur

— maintenant à toi de m’inonder la gueule de ta sauce.

Il se relève sur moi à quatre pattes et sa longue bitte noire se positionne au-dessus de mon visage, il se met à se branler pendant que je lui gobe les couilles en lui fourrant un doigt dans le cul.

Ce grand gaillard se met à gémir de plaisir comme une petite salope dès que je me joins à lui et accélère mon mouvement de branlette sur son énorme pieu, je le lèche avec avidité et son gros gland n’arrive plus à entrer dans ma bouche dilatée au maximum. ; alors qu’un jet puissant de foutre chaud m’asperge le visage, il doit au moins larguer une dizaine de jet dont j’avale bien la moitié en m’étouffant. Je suis si excité que je bande à nouveau et lui lèche toute la tige afin de nettoyer parfaitement sa magnifique queue qui reste toujours droite ; il se déplace pour me lécher le visage et m’introduit sa langue dans la bouche ; le goût est agréable et nous nous suçons mutuellement nos langues imprégnées de foutre jusqu’à ce qu’elles soient propres.

Je me relève et nous deux queues s’entremêlent et se frotte l’une contre l’autre sans esprit de compétition de taille.

il me caresse les fesses et le dos et je sens qu’il en veut plus.

— ? Ils vont se demander où on est au village ?

— tu as raison, rentrons me répond-il sentant que je ne suis pas prêt à ce qu’il m’encule avec son tube monstrueux.

— tu pourras enculer ma mère et ma femme tu sais, se sera aussi agréable qu’avec moi

— merci, j’y comptais bien et je te remercie pour ce moment passé avec moi, mais promet moi de n’en parler à personne au village

— évidemment je lui réponds en caressant une dernière fois son énorme sexe encore bien raide.que je masturbe encore un peu, il m’excite tant que je ne peux m’empêcher de me pencher en avant et de le lécher encore et encore. le remords sans doute, je le remets dans ma bouche maintenant qu’il est un peu moins dur.

— Vas y encule moi je lui dis brutalement, j’en ai trop envie de ta grosse queue black dans mon cul de blanc, défonce-moi s’il te plaît, comme si j’étais ta petite pute.

— Tu es sûr ?

— Oui mais vas-y doucement lui dis-je en me mettant à quatre pattes, ne me déchire pas.

Il se met également au sol et me lèche le cul pour me lubrifier sa langue toute entière m’entre dans le cul et j’en sens la chaleur, il me prépare le trou avec son pouce déjà bien gros puis présente son énorme gland encore juteux de sperme qui coule de son canal et le frotte bien sur ma pastille pour graisser mon trou puis lentement me l’introduit dans le cul.

J’ai l’impression qu’une locomotive me déchire, la douleur se mellant au plaisir, une fois le gland pénétré, reste le tube à passer, je me mets à gémir à mon tout mon corps. Je comprends alors le plaisir de maman et Lisa lorsqu’elles se font déchirer l’anus par les noirs. Le paradis est là je le sais maintenant.

Très excité, Diop accélère ses coups de queue dans mon cul en hurlant de plaisir, ne tarde pas à m’inonder les intestins de jets puissants de foutre et s’enfonce jusqu’à mon estomac.il me branle la queue tout en me labourant et à mon tour je gicle à nouveau d’excitation et de plaisir en lui griffant les mains, j’espère qu’il en restera pour tout à l’heure.

— ? t’inquiète pas je te donnerais une potion magique pour bander et gicler toute la nuit si tu veux.

Je déchire la trame de la natte du sol lorsqu’il décide de se retirer de mon cul tans l’aspiration est puissante ; il me retourne sur le dos et me repénètre en m’embrassant à nouveau, il est moitié raide et continue de me labourer le ventre, je suis devenu sa pute à enculer et s’est vraiment bon de se faire limer par un gros calibre devenu plus souple, je positionne mes jambes sur ces épaules et me retrouve totalement à sa merci. J’ai l’impression qu’il me caresse l’intérieur tant mon plaisir est intense.

Puis il se redresse retire son tube monstrueux de mon cul et me dit qu’il vaut mieux rentrer au village.

Nous rejoignons le village, prétextant la visite de la lagune ; je ne sais pas si le prétexte est pris au sérieux mais personne ne dit mot.la nuit d’orgie peut commencer.

(à suivre)

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