Laurent travaillait depuis peu dans cette société immobilière. A son arrivée, il y avait 10 personnes dans le service juridique. Il était encore célibataire, avait 26 ans et on le disait pas trop moche. Après quelques mois, la DRH organisa une campagne de recrutement d’une nouvelle recrue. Laurent écrivit un rapport d’activité sur les besoins du service et décida de le soumettre à Chantal, sa chef de service. Il prit rendez-vous avec elle et fut introduit le jour venu dans le bureau : ’Prenez place’, dit-elle en demandant à la secrétaire, une jolie blonde très jeune et très timide, d’apporter du café. Laurent s’assit à une table près du bureau. La secrétaire apporta le café et ressortit en fermant la porte derrière elle.
Laurent et Chantal se faisaient maintenant face. Laurent la croisait tous les jours mais il n’avait pas vraiment eu le temps jusqu’à maintenant de la regarder de si près. Chantal était une femme de 36 ans, mariée, deux enfants, d’une taille moyenne, les cheveux châtains et longs, les yeux marrons, très bien faite, prenant visiblement soin de son corps et toujours très bien présentée, en tailleur et chemisier. Ce jour là, elle portait un tailleur violet avec un chemisier blanc. Elle enleva sa veste et la disposa sur le dossier de sa chaise, en décrétant qu’il faisait trop chaud aujourd’hui. Elle prit ensuite la parole :
— Cela fait cinq mois que vous êtes parmi nous et je suis satisfaite de votre travail, vous avez vu que ce n’est pas ce qui manque ici et le côté contentieux ne cesse de s’étendre, ce qui nécessite une personne en plus dans le service recouvrement.
— J’ai réalisé ce rapport et j’attends votre avis en espérant que vous accepterez de le soumettre à la DRH.
— Je vais de ce pas en prendre connaissance et nous allons en discuter; Au fait, est-ce que vous souhaitez un café ?
— Avec plaisir !
Chantal versa du café dans les deux tasses posées sur la table. Laurent remarqua un détail troublant : le bouton du haut du chemisier de Chantal était ouvert et selon la posture qu’elle prenait, on pouvait voir le haut de ses seins soutenus par un soutien-gorge blanc. C’était un spectacle qu’il aurait préféré plus complet mais néanmoins très sympa. Chantal commença à lire le rapport et, au moment où elle portait la tasse à ses lèvres, quelques gouttes de café tombèrent sur son chemisier et sa jupe.
— Je suis maladroite ! s’écria t’elle en reposant la tasse; Laurent, Vous voulez bien me donner une serviette en papier ?
Laurent s’exécuta et tendit quelques serviettes à Chantal qui le regardait bizarrement:
— Vous n’arrêtez pas de contempler mes seins, jeune homme.
— Pardonnez-moi répondit Laurent rouge de confusion.
Elle baissa les yeux vers le bouton dégrafé de son chemisier. Laurent resta bouche bée, et gêné de cette remarque. Chantal souriait:
— Essuyez moi !
Il se rapprocha d’elle et, tout en restant assis, se mit à frotter son chemisier . Sous ses doigts, il sentait les globes fermes des seins. Après quelques instants, il descendit sa main pour éponger les gouttes tombées sur la jupe. Quand il eût terminé, il reposa les serviettes sur le bureau. Chantal le toisait d’un regard de braise.
— Vos doigts sont bien agréables et adroits! Elle le regardait avec un regard très coquin.
— Il reste encore une goutte. Ajouta t-elle.
Elle lui montra une goutte restée sur sa cuisse. Laurent reprit les serviettes et, cette fois-ci, se leva pour atteindre cette goutte. Il se mit à genoux face à elle et passa la main sous sa jupe.
— Je m’assure que la goutte n’a pas traversé le tissu.
De la main droite, il souleva légèrement le tissu pour que la serviette puisse passer. Chantal portait des bas. Il jeta un oeil vers elle. Elle avait fermé les yeux pour apprécier le moment présent. Elle écarta légèrement les cuisses; Laurent démarra un doux massage de ses cuisses, sans jamais remonter plus haut. Elle lui prit la main et la conduisit plus haut; Il jeta la serviette de papier et continua de la caresser. Elle frissonna dès le premier contact. Il remonta un peu plus haut et ses doigts effleurèrent son string chaud et humide. Il passa les doigts sous le string et rencontra sa toison. C’est alors qu’on frappa à la porte… La personne qui avait frappé à la porte n’attendit pas le feu vert pour entrer et Betty, la petite secrétaire blonde, eût un haut-le-corps en voyant Laurent encore à genoux devant Chantal.
— Pardon !! Excusez-moi !! Je vous pensais seule !
— Entre !! Entre Betty !! Ce n’est rien. Je venais de faire une bêtise que Laurent essayait de réparer.
Visiblement Betty avait de la peine à croire l’explication. Elle avait eu le temps de voir la main de Laurent, à genoux, glissée sous la jupe de son chef de service. Elle avait si bien compris que sa mine se renfrogna et qu’elle sembla bouder soudainement. Laurent choisit cet instant pour tenter de se redresser, de reprendre une position plus convenable.
— Ne bougez pas Laurent !! On n’a pas fini !! Votre travail non plus n’est pas terminé. Continuez ce que vous faisiez je vous en prie.
Laurent fut bien en peine. Il ne savait que faire. Au moment où Betty était entrée il était en train de passer un doigt sous le string et atteignait une toison fournie. Il pensa judicieux de se remettre à frotter une tâche devenue imaginaire sur la jupe. Au moins cela lui donnait une contenance acceptable. Chantal s’adressa à Betty ’ Viens-là toi !! ’ Betty s’approcha du siège de sa patronne et celle-ci lui prit la main, lui embrassa les doigts et les garda emprisonnés.
— Si vous voulez bien reprendre votre travail là où vous en étiez exactement Laurent je vous en serais reconnaissante.
A la fois inquiet et troublé Laurent regarda Chantal, puis Betty, et remit sa main entre la jupe et la cuisse. Chantal rejeta la tête en arrière sur son fauteuil et écarta ses cuisses en poussant un soupir de bien-être. Laurent entendit deux mots. ’ Plus haut !! Vous étiez plus haut !! ’ L’ordre était clair. Laurent devait retourner à l’endroit exact où il était l’instant d’avant. Ses doigts moites retrouvèrent le bord du string qu’il souleva avec son majeur pour laisser le passage aux autres doigts et il se retrouva dans la toison. Là, il chercha le bord de la fente, la suivit de bas en haut, puis de haut en bas sans entrer plus avant. Chantal soupirait d’aise, laissait échapper de petits gémissements en alternance avec de petits oui, oui. Laurent regarda Betty. Celle-ci voyait Laurent en train de débuter une véritable masturbation de son chef de service et elle semblait peu satisfaite de cette situation. A cet instant Chantal, s’adressant à Betty, lui dit :
— Viens m’embrasser pendant que Laurent fait son boulot.
Betty s’approcha du fauteuil de Chantal et posa un baiser sur ses lèvres. Chantal en profita pour lui mettre ses bras autour du cou et le petit baiser furtif de Betty se transforma en un baiser passionné. Laurent, tout surpris de cette situation qu’il avait été bien loin d’imaginer, sentit une soudaine excitation et il reprit son travail manuel. Le doigt qu’il avait mis dans la fente s’incrusta un peu plus profond et refit des allés et venues entre les lèvres pendant que Chantal se mettait à bouger son bassin sous l’effet de la caresse. Vers le haut de la fente, un peu en dessous, Laurent trouva un joli petit bouton qui émergeait. Il joua avec, en fit le tour, le pinça, le sentit grandir, gonfler sous son doigt.
Chantal ne disait rien, et ne pouvait rien dire, mais son bassin parlait pour elle. Elle le poussait en avant, vers les doigts ; elle écartait ses cuisses du mieux qu’elle pouvait pour mieux s’ouvrir ; invitation explicite adressée à l’homme à genoux. Laurent décida d’aller plus loin. Il tourna sa paume vers le ciel et poussa son majeur jusqu’au fond. Sa décision fit de l’effet. Chantal eût un sursaut, abandonna les lèvres de Betty et poussa un cri de plaisir. ’ Oui !!Oui !! Laurent c’est si bon !! ’ Laurent replia l’extrémité de son doigt vers le haut, lui fit faire des mouvements circulaires et le sortit brutalement pour le remplacer immédiatement par son pouce tandis que sa paume appuyait sur le pubis en écrasant le clitoris. Le plus gros volume du doigt entré fit son effet sur la femme qui se rejeta en arrière brusquement en disant ’ Branle-moi !! Oui !! Branle-moi !! Je t’en prie branle-moi !! ’ Laurent ne se fit pas prier et se mit à branler énergiquement tout ce qu’il trouvait au creux de cette touffe trempée. Betty et Laurent regardaient Chantal approcher de l’orgasme ; elle devenait comme folle, s’agitait en tous sens en laissant échapper des râles mêlés à des encouragements. Elle jouit sous les doigts de Laurent, elle coula, elle l’inonda et resta prostrée dans son fauteuil. Betty quitta la tête du fauteuil, s’approcha de Laurent et s’agenouilla à ses côtés. ’ Je crois que j’ai vu quelque chose d’intéressant ’ dit-elle en posant la main sur la queue bandée de Laurent qui déformait son pantalon.
Betty s’approcha Laurent, défit sa braguette et sortit son membre à l’air. Il bandait très fort. La situation avait un côté extrêmement surréaliste et il arborait un air surpris, croyant rêver.
— Betty ! fit Chantal en se redressant après avoir repris ses esprits. Mais c’est une queue superbe que tu nous as sortie !
Elle se leva et rejoignit Betty qui avait commencé à branler Laurent, déboutonna sa robe, la laissa tomber à ses pieds. Betty se retrouva debout, en sous-vêtements, un soutien-gorge blanc, bien fourni, ses seins débordant sur les côtés, elle avait un porte-jarretelles, des bas et un string blanc. Laurent se laissa déshabiller par Chantal qui fit de même l’instant d’après, après avoir verrouillé la porte du bureau.
Ils étaient ainsi tous trois nus, ou presque, la queue de Laurent était fièrement dressée vers le plafond, Betty la branlait, la bouche ouverte, les yeux ronds, elle ne prononça pas un son. Chantal l’embrassa alors à pleine bouche, lui caressant ses gros seins laiteux à travers le soutien-gorge, caressant le torse de Laurent, puis ses fesses.
Ils s’embrassaient, se caressaient, se tripotaient partout. Chantal suçait l’un après l’autre les seins de Betty qui masturbait frénétiquement Laurent qui faisait aller ses mains entre les jambes des deux belles. Autant Chantal avait une toison brune et fournie, autant la chatte de Betty, entièrement rasée, était lisse et douce.
— Betty, on va peut être s’occuper de ce joli sexe à présent, je crois que Laurent l’a bien mérité, non ? Laurent, asseyez vous sur mon bureau, on va rapprocher les chaises pour être à votre hauteur.
Betty hocha la tête en souriant et se mit à sucer le sexe de Laurent. Chantal se mit à ses côtés et partagea avec elle la belle trique tendue. Laurent gémissait sourdement en sentant les deux langues s’agiter tour à tour sur son membre. Les yeux clos, la bite dressée, aspirée, avalée par deux bouches avides, humides, il sentait des picotements de plaisir lui envahir le bas ventre. Les deux garces n’en étaient pas à leur coup d’essai et il se demanda si elles avaient déjà fait ça ensemble ici ou si elles se voyaient en dehors du boulot pour se faire de fantastiques parties à trois… Chantal lui léchait les couilles, pendant que Betty lui pompait le dard. Lui, de son côté, caressait leurs corps. Betty et Chantal sentaient ses mains puissantes, sur leurs seins, leur ventre. Il enfonça un doigt dans la chatte de Chantal, joua avec son clitoris, lui massa les fesses, puis ce fût au tour de la secrétaire.
Betty poussat de petits cris quand la main de Laurent joua avec sa chatte. Chantal se redressa et prit les grosses mamelles de Betty dans ses mains pour les offrir en pâture à Laurent qui se mit à les lécher avidement. Bientôt, le désir augmenta d’un cran. Laurent, les jambes pendantes au bord du bureau, s’allongea sur le dos et Betty vint se mettre à califourchon au-dessus de lui. Elle écarta les cuisses en direction du membre que Chantal pointait vers elle et se laissa retomber sur cette colonne de chair, sur laquelle elle se mit à monter et descendre à vive allure. Très vite, elle fut prise de soubresauts, elle eut un orgasme bruyant, criant et griffant Laurent sur le torse. Elle se retira, le corps parsemé de petites gouttes de sueur, et laissa la place toute chaude à Chantal.
— Betty, tu regardes, hein ? lui dit Chantal tandis qu’elle se mettait à quatre pattes sur le bureau. Tu sais que ça m’excites quand tu regardes !
Laurent enfila Chantal entre les fesses, les écartant largement et la pénétrant sèchement. Il la laboura à grands coups de queue puissants, rudes. Betty regardait tout en se caressant les seins et la chatte et vint bientôt se placer sous Chantal pour lui présenter l’entrée dégoulinante de sa vulve imberbe et rose. Chantal enfonça sa langue entre les parois brûlantes de Betty qui jouit une deuxième fois sous sa langue. Chantal, quant à elle, avait toujours cette tige enfoncée en elle, qui lui perforait le ventre, et cette grosse paire de couilles velues qui venait cogner contre ses fesses. Laurent lui caressait l’anus avec le pouce. Chantal se sentait terriblement excitée d’avoir ce doigt à l’entrée de son cul et fit de petits mouvements suggestifs des fesses pour qu’il continue. Laurent ne se fit pas prier et lui logea le pouce dans le derrière, délicatement. Chantal sentait sa jouissance toute proche, lorsqu’elle sentit la bite de Laurent quitter sa chatte pour venir s’introduire dans son anus.
— Oh oui ! Encule-moi ! Viens me prendre le cul !
Elle se laissait aller complètement, en poussant des cris, le plaisir la submergeant en même temps que Laurent qui lui inondait le cul, éjaculant dans ses entrailles, la tenant fermement par les hanches, lui donnant encore quelques coups de reins avant de se laisser tomber près d’elle, à bout de souffle.
Betty s’agenouilla devant Laurent, la queue à l’air, et s’en empara pour la garda en main; elle souleva la hampe pour voir et toucher les couilles ; elle repoussa la peau pour voir le gland nu et humide, et quand elle eût terminé son inspection elle s’adressa à sa supérieure.
— Vous avez trouvé un beau morceau !! Voulez-vous que j’y redonne de la vigueur ? Chantal, essoufflée, lui répondit :
— Oui Betty, oh oui ! Elle se tourna vers Laurent :
— Vous voyez Laurent, je crois qu’on ne peut travailler qu’avec les collaborateurs qu’on connaît parfaitement. C’est ma politique. Je connais Betty de fond en comble depuis longtemps. Je veux qu’il en soit de même avec vous. On ne se connaît qu’à ce prix.
Betty entreprit de sucer le sexe de Laurent. Il regarda Betty penchée sur sa queue. Il voyait ses fesses admirables, blanches, un peu molles. Mais il sentait aussi que le travail fait sur sa queue par la bouche savante de la petite secrétaire lui redonnait force et énergie pour un deuxième round. Mais le plaisir montait aussi de nouveau. Au moment où il allait lui dire de cesser sous peine de jouir, Betty se releva, la bouche humide, et déclara : ’ Il est prêt !! ’ Chantal dit ’ Moi aussi ’ en écartant ses cuisses, et s’étendit dans son fauteuil en position horizontale. En baissant le dossier du fauteuil, elle avait dit que c’était là une invention bien pratique dans certaines circonstances. Sa toison brune et fournie, avec au milieu une petite ligne rose trempée qui marquait l’entrée de la fente, semblait briller et appeler à la bite. Betty fit pivoter Laurent pour le mettre de face devant Chantal et elle conduisit le gland couvert de salive vers la fente. Laurent se laissait faire, il se laissait conduire comme l’étalon qu’on guide vers la jument en chaleur.
Quand il fut bien dans l’axe, que sa queue raide pointa vers le ventre de sa supérieure, Betty le fit basculer sur le corps de Chantal et Laurent sentit son membre qui entrait dans la femme ouverte. La pénétration avait été parfaite. Chantal avait replié ses cuisses autour des reins de Laurent et ils étaient parfaitement emboîtés. Mais le travail allait être difficile. Ce n’était pas comme dans un lit, avec des possibilités d’appui pour les pieds et les genoux, il était quand même simplement sur un fauteuil sans appui possible. Laurent essaya bien de bouger, de faire aller et venir sa queue dans la chatte mais avec un résultat tout juste suffisant pour maintenir l’érection.
— Je n’y arriverai jamais. Je ne peux pas vous limer. ’ dit-il sur un ton désespéré. Betty dit alors :
— Mais je suis là moi !!
Et elle se mit derrière Laurent, posa ses mains sur les fesses nues de l’homme et, empoignant les hanches, elle poussa énergiquement vers l’avant, enfonçant ainsi le membre au plus profond de la chatte. Chantal poussa un cri. Betty tira sur les hanches de Laurent pour le retirer et recommença. Laurent était particulièrement excité de se sentir ainsi utilisé comme un outil par Betty qui rabotait la chatte de Chantal avec sa queue.
D’autant que Betty qui se donnait du mal pour pousser et tirer le bassin de Laurent faisait des commentaires.
— Là !! Vous le sentez bien Chantal ? Elle va au fond ? Je vais vous démolir la chatte avec ça. Il a une grosse bite ce Laurent. C’est la plus grosse que j’ai vu dans votre fente très chère !!
Chantal ne répondait pas. Elle s’était ouverte sur le fauteuil et se concentrait sur son plaisir, sur la queue qui la fouillait. Elle gémissait, criait, en réclamait plus en se malaxant les seins. Elle jouit plusieurs fois et Laurent se dit qu’il allait en faire autant bientôt. Il ne savait pas s’il pouvait oui non tirer là il était. Il prévint les femmes.
— Vous allez me faire jouir. Je ne vais pas tenir le coup. Je sens que je viens.
— Attendez lui dit Betty, ne tirez pas là tout de suite. Essayez de vous retenir, je ralentis.
En effet elle cessa de man?uvrer les fesses de Laurent et se contenta de lui caresser les fesses pendant qu’il reprenait le contrôle de lui. Betty en profita pour explorer le petit trou de Laurent, y introduisant son index enduit de salive aussi loin qu’elle le pût. Ce nouveau jeu pour Laurent eût pour effet de faire remonter son excitation.
— Je vais venir. Je sens que je vais venir. Je ne tiens plus. C’est parti, je décharge !!!
Chantal se prépara à recevoir le foutre de son collaborateur. Elle s’ouvrit du mieux qu’elle pût et le regarda sur le point de jouir.
— Allez Laurent !! Allez-y !! Venez !! Tirez-moi !! Je suis prête à vous recevoir !! Envoyez-moi votre jus.
Cette dernière invitation donna le signal pour Laurent. Il se contracta tout en gardant son gland le plus loin possible dans le vagin de Chantal dont il tenait les cuisses, et tenant son pubis collé à celui de sa chef de service, il laissa sa queue gicler, ses couilles se vider jusqu’au bout. Betty mit sa main sous les couilles pour les remonter et s’assurer ainsi que tout le foutre sortait bien pour aller dans le ventre de sa maîtresse. Une fois les sens de Laurent et de Chantal apaisés, celle-ci déclara :
— Votre rapport mon cher Laurent est excellent. Nous allons pouvoir avancer dans ce recrutement. Je vous engage à prendre contact avec cette personne amenée à faire partie de notre équipe. Vous voudrez bien me rendre compte.
J’ai écrit ce texte en collaboration avec Chantal qui se reconnaitra et avec qui j’aimerais de nouveau être en contact.
E-mail: [email protected]