Il y avait longtemps que je ressentais en moi le besoin de découvrir le sexe. A presque dix neuf ans, à l?époque où nous vivons, cela paraît incroyable que je puisse encore être vierge. Et pourtant. Je suis une jeune fille ordinaire. Loin d?être un ? boudin ? je ne suis pas non plus un top model mais je sais que je plais assez au garçons.
Quand je sortait avec mes copines, bon nombre de mec tentaient de me draguer mais ils m?ennuyaient terriblement avec leurs histoires. Tout leur était prétexte à vous foutre dans leur lit, et c?est justement cela qui me gênait. Je ne me sentais pas capable d?exécuter cet acte n?importe comment avec n?importe qui. En résumé, j?étais un peu coincée du cul.
Mes amies avaient tenté de me faire sauter le pas par tout les moyens et elles avaient finit par abandonner. Pourtant je ne m?indignait pas de voir des films pornographiques, de feuilleter des bouquins de cul ou encore de me promener sur des serveurs réservés aux adultes sur le web. Je connaissais la masturbation, je la pratiquais même très souvent, me caressant avec passion le clitoris et m?enfonçant un doigt ou deux dans ma chatte mouillée. Un jour de grande débauche j?avais participé à un concours de plaisir personnel avec trois copines.
En effet, alors que nous regardions une bonne cassette de cul, nous en étions arrivées à dévoiler nos sexes et à nous caresser chacune pour soit. Au départ l?idée n?était pas de moi et j?ai eu du mal à exhiber ma petite fente et à me faire jouir devant les autres, mais comme tout le monde faisait pareil, je me fondit dans la masse, avant de fondre dans un orgasme.
C?était là ma seule expérience sexuelle en dehors de la masturbation solitaire. Mais quand j?ai croisé le regard de David, j?ai de suite eu envie de lui. Il faut dire que je n?en pouvait plus, il me fallait du sexe . De plus c?était un garçon très séduisant, le genre qui ne laisse indifférent aucune fille à la fac.
Je n?ai pas su comment l?aborder. C?est grâce aux copines que nous sommes sortis ensemble lui et moi. L?histoire à été un peu compliquée, mais le résultat était que je pouvais me vanter d?être sa nouvelle petite amie. C?était le genre de type à collectionner les conquêtes et je ne me faisait pas d?illusion quand à l?avenir de notre relation. Tout ce qu?il m?intéressait été qu?il me dépucelle afin que je puisse me sentir enfin une vrai femme.
Le soir où j?étais sûre que cela allait se produire, je me paraît de mes plus beaux sous-vêtements, fait de fine dentelles blanches. L?ensemble se composait d?un soutif si léger que mes tétons en dépassés, d?un slip brésilien quasi transparent et d?un fin porte jarretelle. Je complétais le tout d?une paire de bas blanc qui faisait ressortir ma peau teintée par le soleil.
Je me trouvais terriblement excitante ainsi parée devant ma glace. J?enfila ensuite un petit chemisier et une jupette suffisamment courte pour dévoiler le haut de mes bas quand je m?asseyait. J?hésita d?abord avant de sortir de la sorte, j?avais peur de passer pour une petite salope un tant soit peu provocatrice et de ne pas pouvoir assurer par la suite. Puis prenant mon courage à deux mains je me suis lancée et je rejoignis mon compagnon dans un pub où nous avions rendez-vous.
Après quelques verres, je ne buvait pas d?alcool de peur de ne pouvoir profiter totalement des événements à venir, David me proposa d?aller faire un tour dans un lieu plus calme. Nous nous rendions en voiture sur les berges du Rhône, pas vraiment dans un coin isolé. On s?embrassa, à l?intérieur du véhicule, longuement et langoureusement. Cela suffisait à me faire déjà frissonner de tout mon corps.
Sa main se posa sur ma cuisse, je sentais mon estomac se nouer et le désir montait en moi. Plus ses doigts s?approchaient de mon entrejambe et plus j?écartais les cuisses. Bien que totalement inexperte, je me laissais aller et tant pis si je devais passer pour une véritable garce. Les doigts du garçon me caressaient maintenant la chatte, déjà bien humide, au travers de mon slip.
Soudain, il me fit sortir de la voiture, me plaça devant le capot de celle ci et troussa ma jupe autour de mes anches. Ensuite il fit glisser ma culotte à mes pieds et me la retira entièrement. Je dévoilais à ces yeux mon sexe encore inexploré et la situation m?excitait tant que je pouvais sentir ma mouille couler le long de mes cuisses.
Il me bascula en arrière et plongeant sa tête dans ma touffe se mit à me lécher le clito. La sensation était si forte que je ne pu retenir mes gémissements bien longtemps. Il s?appliquait à passer sa langue entre mes lèvres et remontait jusqu?à mon petit bouton, avec lequel il jouait lentement. Sans m?avertir de quoi que ce soit, il utilisa mon jus pour lubrifier son index et commença à le plonger, non pas dans ma fente, mais dans mon cul.
J?étais dans un tel état d?excitation que je ne me rappelle pas avoir ressenti de douleur. Au contraire, je tortillais du bassin pour lui faciliter la tâche. Il s?employa à me dilater l?anus avec précaution tout en continuant à me sucer avidement la moule. C?était vraiment intense et je ne regrettais pas de m?offrir à ce garçon. Je mouillais maintenant comme une vrai petite salope et cela me plaisais beaucoup.
Sentant mon premier orgasme tout près, il cessa ses activités. Me releva et fourra sa langue dans ma bouche. Je pouvais sentir ma salive se mélanger à mon propre jus et la sensation qui en découlait m?électrisa. J?atteignais déjà le paradis. Sans ménagement David m?arracha la chemise et libéra mes seins gonflés de plaisir. Avec sa bouche il titillait maintenant mes tétons pointés et dur. Des frissons me parcouraient le corps, ma tête tournait et je pouvais sentir mon c?ur battre à mes tempes.
Je suais, des perles coulaient depuis mon front jusque dans mon coup et venaient mourir sur la langue de David dont les caresses buccales me faisaient complètement chavirer. Après de long moment de ces tendresses, il m?allongea de nouveau sur le capot de la voiture. Même dans un tel accoutrement, je me moquais bien de ce qu?auraient pu penser de moi d?éventuels promeneurs noctambules. La chatte et les seins à l?air, l?anus légèrement ouvert et ma mouille qui dégoulinait le long de mes bas, tout ça m?importait peu, tout ce qui m?intéressait : Jouir.
Jouir encore et encore? Il me souleva les jambes. Je passais alors mes mains sous mes genoux et ramenais ceci le plus en arrière pour m?ouvrir au maximum. Mon amant plongea immédiatement un doigt dans mon sexe trempé. Il commença un long mouvement de va et viens, puis de son autre main, il recommença l?exploration de mon cul. Cette double pénétration me provoqua presque instantanément un violent orgasme. Je hurlais de plaisir, gigotant comme la chienne que j?étais entrain de devenir.
Il laissa mes spasmes se calmer. Entre le jus de ma chatte et la sueur, mon corps entier étais mouillé. Il me releva, me regarda dans les yeux et, appuyant de ses mains sur mes épaules, me fit m?agenouiller. J?avais maintenant le visage à hauteur de son sexe. Sans hésiter une seconde, je défaisais son pantalon et sortais sa queue de son caleçon. Elle était magnifique ainsi tendue vers moi. Cela avait beau être la première bitte que j?approchais en vrai, je n?eus aucun mal à la prendre dans ma bouche.
Je m?appliquais à faire coulisser son pieu entre mes lèvres. Soutenant son sexe à sa base avec une main, je caressais de l?autre les couilles de David. Il semblait prendre un certain plaisir à emplir ma bouche de la sorte. Déjà bien excité par la situation lui aussi, il ne tarda pas à jouir dans un long râle. Une première giclée de sperme s?écoula dans ma gorge, puis une seconde. Je retirais alors sa bitte d?entre mes lèvres et le garçon finit de se répandre sur mon visage.
Ainsi souillée, exhibant mes parties les plus intimes, je paraissais vraiment être une pute. Si mes amies avaient pu me voir? Rangeant son attirail, il me pria de remonter en voiture. Je ne pris même pas la peine de m?arranger un peu, juste je fis glisser ma jupe le long de mes cuisses. Pendant le trajet je voulu le sucer de nouveau, ayant apprécié de sentir sa semence sur ma langue et couler dans ma gorge, mais il refusa catégoriquement.
Nous arrivions ensuite à la citée U. Depuis le parking jusqu?à sa chambre, je déambulais les seins à l?air, se promenant au dehors de mon soutif et très peu cachés par mon chemisier grand ouvert. Dans la précipitation du départ, j?avais oubliais de récupérer ma culotte et je pouvais sentir l?air frais me caresser le chatte et me faire durcir les tétons. Le sperme de David coulait toujours sur mes joues et les larmes de plaisir qui m?avaient remplies les yeux, avaient fait couler mon maquillage.
Encore dans un état second, c?est ainsi, d?une démarche un peu chaloupée, que j?arrivais dans la chambre de l?étudiant. Là il me déshabilla sauvagement. Je ne pu garder que mes bas et mon porte-jarretelles. Puis il se dévêtit à son tour et, me poussant sur le lit, s?allongea sur moi. Il retira un préservatif du tiroir de sa table de nuit et me le donna. D?une voix sèche, il m?ordonna de lui nettoyer la bitte avec ma langue avant de lui enfiler la capote.
Je m?exécuta avec dévouement et lui lécha la queue avec délectation, après quoi je la coiffa de son petit chapeau. Entre le travail de ses doigts un peu plus tôt et la vision de son sexe protégé, je me sentais prête pour ma première pénétration. M?efforçant d?écarter au mieux mes jambes, j?offrais à mon amant la vision de ma chatte encore engluée de mouille et de salive. Il faut dire que je recommençais à couler comme une fontaine.
Sans plus me ménager, il présenta son gland devant ma fente et se mit à me pénétrer doucement. A chaque millimètre supplémentaire d?avancement de sa bitte, je pouvais deviner dans ma fente étroite les moindre détails de sa queue. Il s?enfonça ainsi, avec précaution, jusqu?à la garde. La sensation que j?éprouvais de ma faire baiser pour la première fois déclencha une violente série de spasme et je connu un nouvel orgasme. Ceci eu pour effet de me dilater un peu mieux la chatte et David se mit à me pistonner.
Commençant lentement son mouvement, il accélérait progressivement. Je couinais comme une vulgaire salope, ma chatte étais si trempée que je ne ressentis aucune douleur pendant mon dépucelage. Puis des gémissements j?enchaînais sur des hurlements. J?étais en transe, je transpirais comme jamais. Il maniait de façon experte son pieu et me faisait découvrir des plaisirs que je n?avais même pas imaginés. Je jouis une fois de plus, pour éviter de réveiller tout le campus, je me mords la main jusqu?au sang. Il me retourne, me positionne en levrette et là s?enfonce d?un coup de rein au plus profond de moi. Je sens mes lèvres s?écarter encore. Je jouis tellement que je ne peux tenir dans cette position et m?affale sur le lit. On se positionne alors sur le coté et il se met à me défoncer puissamment.
Ce que je ressent et indescriptible, je voudrais que ça ne s?arrête jamais. Moi la petite vierge, je me conduis comme une véritable catin. David doit aimer ça, il accélère son va et vient, se retire subitement, d?un geste bref se défait de la capote et éjacule de longue saccade sur mon cul. Emportée par ma jouissance, je me précipite sur son pieu, l?embouche et récupère les dernières goutte de son précieux nectar . Je sens entre mes jambes des flots de mouille couler abondamment , je porte une main à ma chatte et tâte avec mes doigts le trou béant, témoin de mon passage dans le monde de la femme.
— Tu as aimé n?est-ce pas petite salope ?
— Oh oui ! Putain que c?est bon de se faire baiser. Je me languis la prochaine fois?