Anaïs resta ainsi les jambes bien écartées, me dévoilant une vision plus grande sur son pubis. Je ne pouvais voir son sexe caché par le tissus. Je posais une main sur son pied que je pris dans ma main. Je sentis Anaïs frissonner. Je caressais à présent sa cheville doucement. Anaïs ne disait toujours rien et se laissait aller à cette caresse que je lui prodiguais.
Alors je me décidais à aller plus loin. Lentement je soulevais sa jambe, lécartant encore plus afin d e mieux mâter son intimité. Japercevais un peu plus de son sexe nu sous son short.
Jétais dans une excitation extrême. Allait-elle réagir ? Elle se laissait faire, acceptant cette écartement livrant à mon regard en feu une grande partie de son sexe. Je restais un long instant ainsi, admirant toute la beauté sensuelle de cette jeune fille. Puis Anaïs resserra ses jambes lune contre lautre. Je lâchais sa cheville. Elle resta de longues secondes, ses deux jambes serrées lune contre lautre. Puis, alors que je ne my attendais pas, elle prit entre ses deux mains lélastique de son short et le fit coulisser sur ses longues jambes jusquà ses genoux. Puis elle le descendit sur ses chevilles. Je nen revenais pas ! Elle dégagea un pied, puis lautre, de son short. Elle resta encore un long moment ainsi. Je nosais bouger, presque paralysé par ce spectacle que je découvrais. Là, sans un mot, elle écarta ses jambes me découvrant son sexe merveilleux. Je fixais ce dernier découvrant sur le sillon de ses lèvres gonflées quelques gouttes de perle, prouvant que son excitation était grande. Elle écarta encore un peu plus ses jambes. Je navais pas vu de puis longtemps de sexe aussi beau, aussi frais, aussi juvénile .Voila quAnaïs me faisait ce merveilleux cadeau ! Elle navait toujours pas prononcé un mot, restant silencieuse son regard presque dissimulé entièrement par ses cheveux.
Mon sexe me faisait mal, javais une érection énorme. Puis Anaïs posa sa main sur son sexe et tranquillement se mit à se caresser devant moi, plongeant de temps en temps son index dans son sexe. Celui-ci souvrait de plus en plus, telle la corolle dune fleur de printemps. Elle était magnifique. Jamais je navais vu un tel spectacle de la part dune jeune fille. Les jambes écartées, elle continuait à se caresser devant moi. Jentendais de doux gémissements monter de sa poitrine, sa respiration semblait saccélérer de plus en plus, devenant presque haletante.
Alors je pris linitiative de poser mes deux mains sur ses genoux , écartant encore plus ses cuisses et les embrassant doucement . Elles avaient la texture de la soie. Je laissais couler ma bouche sur sa cuisse, maintenant fermement ses genoux ouverts.
Anaïs ne résistait pas. Ma bouche sur sa cuisse, que je parsemais de bisous lui tirait des gémissements de plus en plus forts. Elle continuait à se caresser de plus en plus vite ,ses doigts frottant avec frénésie son clitoris que je ne voyais pas. Ma bouche descendait de plus en plus vers son aine.
Le bassin dAnaïs se mit de plus en plus à onduler poussant sur ses pieds. Je savais à présent ce quelle attendait, mais je voulais faire durer ce plaisir et ce désir que je sentais de plus en plus intense dans le ventre dAnaïs. Cest alors quelle retira sa main, découvrant son beau sexe détrempé de cette saveur intime dont je percevais à présent les effluves.
Ses grandes lèvres gonflées étaient ouvertes comme un appel à lamour. Japprochais mon visage de cette fournaise que je sentais palpiter. Son bassin bougeait par saccades je posais un baiser sur son sexe détrempé, entrainant de la part dAnaïs un long soupir. Elle posa ses deux mains sur ma tête me plaquant ma bouche encore plus contre sa vulve humide.
Je pris entre mes lèvres, ses grandes lèvres et les faisant rouler avec délice dans ma bouche. Anaïs haletait, ce nétait plus des soupirs mais de petits cris qui séchappaient de sa bouche. Je savais à présent quil était temps que je lui donne le plaisir quelle réclamait. Entre mes deux pouces et index jécartais les douces lèvres découvrant de son capuchon un clitoris dun rose magnifiquement tendu Je posais la pointe de ma langue sur celui-ci . Là, Anaïs se mit à crier de plaisir. Jenroulais ma langue sur ce doux bourgeon, puis je descendis ma langue dans lentrée rosée de son vagin. J aspirais tout son liquide, jappréciais toute la saveur de celui-ci. Ma bouche était à présent collée entièrement à son sexe, telle une ventouse je la suçais avec avidité. Je revins sur son clitoris que je tétais entre mes lèvres. Anaïs éclata dans un orgasme foudroyant, entrainant des cris stridents et incompréhensibles, son bassin secoué de spasmes violents.
Elle avait pris ma tête entre ses deux mains. Anaïs avait beaucoup de mal à respirer, sa tête perdue sous sa chevelure brune dodelinait de droite à gauche.
« Encoreje ten prie encoreje veux encore sil te plait jaime tantjai jamais joui comme celacest grave comme cest bonoui cest bon..encore !
Je ne me faisais pas prier. Comme fou, jaspirais autant que je le pouvais ce calice merveilleux quelle moffrait, don sublime de son corps.
Puis jécartais à nouveau ses lèvres détrempées, libérant ainsi son clitoris qui ne manqua pas de reprendre de la vigueur
« Encoreencore fais moi encore jouirje ten prie
Avec frénésie ma bouche allait du fond de son sexe à son clitoris, puis nen pouvant plus, je la pris sous son bassin la forçant à se retourner. Elle se retrouva la tête dans le coussin du baldaquin les fesses relevées en position de levrette. Javais une vue merveilleuse sur cette jeune croupe ferme. Je posais mes deux mains sur chacune de ses fesses, je les écartais libérant son illet légèrement bruni. Je plaquais ma bouche sur son petit anus et ma langue chercha à sinsinuer dans son sphincter. Je la mangeais littéralement, je dirais goulument, appréciant chaque centimètre carré de cette beauté, puis , écartant au maximum ses deux beaux globes, jenfouissais ma bouche dans son sexe. Jenfonçais alors, un doigt dans son petit trou qui noffrit aucune résistance. Jappliquais un rythme comme un sexe, qui senfonçait dans ses deux orifices distendus.
Anaïs hurlait dans le coussin. Elle fut prise à nouveau dun tremblement de tout son corps, laissant celui-ci senvahir par un orgasme puissant. Je continuais jusquà ce quelle se calme, à boire la douceur de sa jouissance. Jen étais fou de plaisir.
« Cest bon Jesseytu mas donné mon dieu, tu mas donné un pied terriblejamais je nai joui comme celahummmmmm je suis morteJe peux dormir un peu ?
-Dors chérie reposes toi ! lui dis je en m essuyant ma bouche recouverte de sa jouissance avec un mouchoir en papier.
Jamais je navais autant sucé cette liqueur de femme, de jeune fille.
Anaïs était à présent allongée sur le ventre, laissant à nu sa belle croupe juvénile doù je remarquais un grain de beauté fort bien placé.
Je me mis à caresser le bas de ses reins, puis ses fesses et ny tenant plus jenfonçais mon index dans son petit trou secret et si délicat, à présent resserré.
« Je suis morte..Laisses moi à présent, je vais dormir un peu.
Je me levais la laissant ainsi allongée, repue de ses deux jouissances. Je repris mon verre de rhum et je sortis sur la varangue, appréciant la douceur de cette fin daprès midi .
Le soir, au repas, Anaïs vint me rejoindre sous la varangue. Désiré y avait disposé notre table, comme nous le faisions tous les soirs. Anaïs mangea comme une affamée, silencieuse.
« Anaïs ?….
-oui Jessey ?
-Tu es magnifique dans cette robe
-Si je te disais que je nai pas mis.de culotte !
-Cest vrai ?
-Tu veux voir ?
-Chut Désiré peut nous voir
-Mais il nest pas là !
Ni une ni deux, elle se leva et remonta sa robe au dessus de ses reins, dévoilant ses belles fesses dénudées et bien cambrées.
« Pour toirien que pour toi.
-Tu mexcites Cette après midi, cétait superJadore ton sexeJen rêve encore tu sais ?
-Faut pas abuser des bonnes choses quant as-tu fais lamour, pour la dernière fois, Jessey ?
-Tu es une curieuse coquine ! Pourquoi veux tu savoir cela ?
-Comme cela ? Tu as une copine ?
-Ouiune hôtesse dAir France
-Elle est jolie ? Quel âge a-telle ?
-Elle est très jolieelle a 36 ans.
-Tu as déjà fait lamour avec une nana comme moi de seize ans ?
-Non, jamaisPourquoi as-tu acceptée ?
-Je te trouve très attirant comme hommetu es sécurisant pour une femme.
-Tu sais à mon âge on nest pas aussi actif quun jeune de vingt ans !
-Tu aimerais me faire lamour ? Tu aimerais être en moi ?
-Tu es coquine et toi ?
-Moi ? Jen ai envie mais il y a un problème !
-Ah et lequel ?
-Je prends pas la pilule
-Il faut que tu fasses attention.
-Je me moque de toi ! Je prends la pilule depuis un an sur les conseils de maman.
-Je naime pas les préservatifsje nai jamais pu my faire.
— Celui qui ma prise non plus
-Il a joui en toi ?
-Oui deux foisCela tennuie ?
-Tu n as pas eu peur des conséquences ?
-Jétais tellement excitée que je nai pensé à rien. Jai pris une pilule du lendemain.
-Tu as aimé ?
-Cest super de sentir un sexe en soi.
-Et quand il a joui ?
-Jai joui en même temps que luijétais gênée aprèspour aller danser.
-On ta déjà prise comme moi cette après midi ?
-Non jamaistu mas fait aller au septième cielGénial ! Je crois que je suis faite pour lamour.
-Pourquoi mas-tu laissé faire ?
-Jen avais trop envie, jétais trop excitéejavais envie de te provoquer !
-Ton corps ton sexe est magnifique :
-Tu mas bu Tu aimes le gout de mon sexe.
-Son parfum est torride. Parfum de femmejadore.
-Humm tu es un coquin. Arrêtes ! Tu me fais mouiller encore !
-Cest vrai ?
-Tu veux que je te le prouve ?
-Je ten prie !
Je devinais qu Anaïs était en train, sous la table, de soulever sa jupe et de passer ses doigts sur sa vulve juvénile. Elle me tendit ses doigts humidifiéscomme pour me provoquer.
-regardes
Sans réfléchir, jenfouis ses trois doigts dans ma bouche et les suçais avec avidité.
-Anaïs ? demandais-je, en embrassant le dos de sa main
-Oui ?
— As-tu déjàAs-tu déjà sucé un homme ?
Anaïs éclata de rire.
-Oui une fois.javais dix ans et mon cousin ma fait sucé son engin !
-Alors jamais ?
-Non
Un silence plana sur nousChacun, imaginant ce quil avait à imaginer. Anaïs se leva dun bond.
-Tu veux bien que jaille me baigner ?
-mais tu nas pas de maillot ?
-Et alors ? Je peux me baigner nue non ?
-Si tu veux, mais on ne sait jamais, Désiré peut être là !
-Il nen mourra pas ! Tu viens avec moi ?
— Alors jéteins la piscine. On se baigne au clair de lune
-Super ! En un tour de main Anaïs enleva sa robe, la jeta sur la barrière de la varangue et couru vers la piscine. Jentendis son plongeon.
Je terminais mon verre de vin tranquillement et me décidais à la rejoindre. Je retirais mon pantalon, ma chemise et en caleçon jallais la rejoindre sur le bord de la piscine. Anaïs revenait vers moi dans un crawl parfait.
-Tu es une bonne nageuse, dis donc ?
Anaïs saccrocha au rebord de la margelle, repoussa sur sa tête ses cheveux en arrière
-Alors tu viens ?
-Ouiiii
-Montres la moi ?
-Quoi ?
-Enlèves ton caleçon ! Tu es ridicule comme celamontres la moi !
Je mexécutais en abaissant mon caleçon que jenvoyais promener sur la pelouse. Je libérais aux yeux coquins dAnaïs mon sexe à demi érigé.
-Elle est belle !
-Que dis tu ?
-Je dis que ton sexe est beau
-Tu trouves ?
— Tu as eu beaucoup de femmes dans ta vie ?
-Ouije ne men plains pas.
-Tu suces et tu lèches merveilleusement bien. Jen ai encore envie tu sais !
Je massis au bord de la piscine, les deux jambes pendantes dans leau. Anaïs traversa le bassin pour venir sagripper à mes deux genoux. Elle écarta mes jambes et vint mettre sa tête entre celles-ci à la hauteur de mes bourses. Mon sexe était en semi érection et commençait à se redresser.
-Je nai jamais vu un sexe dhomme aussi près. Cest beau.
-Donnes moi du plaisirjaimerais tant.
a suivre