Depuis la naissance de son bébé, Madame Eva Satine a perdu en sensibilité et en musculature au niveau du bas-ventre. Elle, qui se vantait de procurer des sensations torrides à son homme lorsqu’il la pénétrait, souffrait de ne plus ressentir la même chose qu’avant lors de leurs étreintes. Coquine et avide de sensations, Eva ne tolère pas de perdre le contrôle de son vagin, et, par extension, de son plaisir. Elle prend donc rendez-vous chez le Docteur Explor, gynécologue récemment installé à proximité de chez elle.
La salle d’attente, petite mais néanmoins déjà occupée par trois femmes d’âges différents, la conforte quant à la qualité de ce docteur: une salle vide eût été de bien mauvais augure!
Lorsque vient son tour, la secrétaire médicale l’appelle au guichet puis l’emmène à la salle d’examen. Elle l’intoduit dans la pièce, et le médecin, un jeune homme élancé à la stature droite, s’avance pour lui serrer la main. Sa voix grave mais néanmoins accueillante se fait entendre:
"Bonjour Madame Satine…comment allez-vous?"
Prompte au trait d’humour, Eva lui répond en le saluant:
"Pas tellement bien, puisque je viens vous voir!"
le Dr Explor se fait rassurant avec un grand sourire:
"Allons allons, ma secrétaire m’a déjà expliqué la raison de votre venue: vous avez simplement un peu de relâchement post-accouchement! Nous allons très vite arranger ça, et vous retrouverez le vagin de vos 20ans!"
Eva a un petit rire. Voilà un médecin qui ne parle pas à demi-mots, pense-t-elle, et ce n’est pas pour lui déplaire. En l’invitant à rejoindre la table d’auscultation, il demande sur un ton un peu humoristique:
"On retire le bas s’il vous plaît! Je dois pouvoir accéder si vous voulez que je fasse mon boulot"
Eva s’exécute sans hésiter nullement: une beau jeune docteur tenu au secret médical, qui ne fait pas chichi ou de tralala avec ses patientes, cela lui convient parfaitement. Elle enlève donc son pantalon et son string orné de dentelle, et les pose sur un chevalet prévus à cet effet. Dans son dos, le Dr Explor pose ses yeux sur son joli petit cul et reste un instant interdit. Eva lui parle mais il est momentanément absorbé par la courbe de son postérieur.
"Hé ho, Docteur?!" fait-elle
-"Pardon! Vous dites?"
"Je demandais si j’avais besoin de mettre les pieds dans les étriers de la table, et auquel cas, il faudrait les ajuster"
Explor a un vif hochement de tête pour reprendre pleinement ses esprits. Le cas lui semble banal et il dit simplement:
-"Non non, asseyez vous simplement au bord en ouvrant les jambes, ça suffira!"
Elle s’exécute et il attrape une chaise à roulette pour venir s’asseoir devant elle, à bonne hauteur. Elle lui dévoile alors sa petite fente rose, soigneusement épilée. Elle ouvre les cuisses en grand, et le gynécologue, devant une aussi jolie vulve, peine à ne pas ressentir quelques émotions d’ordre sexuel. Déglutissant, comme s’il lui fallait prendre son courage à deux mains, il enfile une paire de gants en latex, et pose ses deux index sur les lèvres vaginales de sa patiente pour les écarter délicatement.
Il examine attentivement le minou de la belle. Ses gants effleurent timidement les rebords de cet antre délicat. Il prend le temps de masser, sous la pulpe de ses doigts, le sillon de sa patiente, en se surprenant à regretter qu’une fine pellicule de latex sépare sa peau de la sienne. Avec une précision chirurgicale – de circonstance – il palpe chaque petit recoin de la vulve d’Eva, qui pousse de petits soupirs aussi excitant que dérangeant aux oreilles de médecin.
Pour éviter de se laisser aller à d’impures envies, le Dr Explor commence à poser des questions à sa patiente pour compléter ses pistes de diagnostique.
-"Avez-vous des rapports sexuels fréquents?"
"Réguliers…comme dans toute vie de couple, j’imagine"
-"Et ça se passe bien? Je veux dire…vous avez du plaisir"
"Oui…plus comme avant-la-grossesse…mais j’ai un époux formidable, qui sait me faire jouir comme j’aime…bon évidemment il y a une petite routine qui s’installe dans la vie de couple, et parfois je voudrais un peu d’aventure…si vous voyez ce que je veux dire….mais au demeurant je suis une femme heureuse"
-"Bien, bien, bien…."
En imaginant ce qu’il peut bien se passer dans le vagin qu’il examine lorsque la vie de couple se traduit en étreintes, le Dr Explor ne peut réprimer un sérieux début d’érection sous son pantalon. Et le fait de caresser la vulve d’Eva ne l’aide pas à garder son calme. Il trépigne sur sa chaise, ne sachant plus comment s’assoir, ce que ne manque pas de relever sa patiente. Cependant elle ne dit trop rien, et se contente de jeter de furtifs regards sur l’entre-jambe de son gynécologue. Intérieurement, cela la flatte et la fait rire tout à la fois. Tachant de renvoyer une image flegmatique, Explor poursuit en remuant des fesses sur sa chaise.
-"Vous permettez que j’insère mes doigts?" dit-il sur un ton très professionnel. "il faut que j’inspecte….plus en profondeur"
"Allez-y docteur", répond Mme Satine sans aucune hésitation
Explor enfile alors deux doigts dans le vagin de sa patiente, et les fait lentement rentrer. Le gant de latex est glissant, ses doigts rentrent aisément. Une fois insérés à fond, Explor les fait aller et venir doucement, caressant la fente d’Eva, qui lâche un petit "mmmmmmm" très troublant. Explor continue, et cette palpation ressemble de plus en plus à un doigtage en règle. Il lui lime le vagin avec l’index et l’annulaire, et, ce faisant, lui pose à nouveaux des questions:
-"Vous ressentez bien mes doigts?"
"Oh oui je les sens bien….je les sens trop bien…."
-"Est-ce que vous pratiquez régulièrement l’insertion d’objets, type sextoys?"
"Oui de temps à autre….mmmm comme toutes les femmes j’imagine….des petits godes….surtout ceux qui vibrent, j’adore…"
Explor continue de lui insérer ses doigts en l’écoutant d’une oreille. Son érection se confirme de plus en plus, et devient tout ce qu’il y a de plus rigide lorsqu’il voit une goutte de mouille perler sur le rebord de la vulve qu’il examine. Tachant de reprendre une stature professionnelle avant de se laisser aller à ses instincts, il retire ses doigts et explique:
-"Madame Satine, le diagnostique est somme toute très simple: les sextoys que vous utilisez ne sont pas suffisants pour votre vagin. Si vous voulez redonner ses lettres de noblesse à votre fente, à l’origine si accueillante, il faut que vous travailliez non seulement le volume, mais aussi le mouvement, la gestuelle, la tonicité…
Tenez! Si l’on compare, par exemple, avec un exercice de musculation: il ne s’agit pas de lever un poids et de le tenir en l’air aussi longtemps que possible. Il faut le lever, le redescendre, le lever, le redescendre.
De la même façon, il faut que votre vagin soit rempli…vidé….rempli…vidé….
Et tout comme un poids plus lourd va augmenter l’intensité du mouvement, un gros sexe va augmenter l’ardeur de l’exercice…"
Eva coupe son docteur d’une simple syllabe:
"…toy"
-" Je vous demande pardon?"
"toy…un gros sex-toy! Vous avez dit un "gros sexe"…sans le toy!"
-"Au temps pour moi…ceci étant dit, rien ne remplace les attributs naturels, vous savez! Je vous recommande si vous le pouvez de pratiquer avec un homme bien monté, qui soit au fait des bons exercices à pratiquer. Je vais vous prescrire 1 heure d’exercice le matin, et 1 h d’exercice le soir, tous les jours pendant un mois, déjà."
La belle, étonnée mais plutôt contente du traitement conseillé, réfléchis déjà aux modalités et aux détails de l’ordonnance. Elle repense alors à la bosse dans le pantalon de son docteur, et prend un air faussement inquiet.
"Donc il faut déjà que je trouve un homme bien membré….et qui soit très endurant pour les travaux pratiques….et qui sache s’y prendre….j’imagine qu’on ne trouve pas ce genre de …médicament… en pharmacie"
Sur ces mots, toujours assise sur la table d’auscultation, elle écarte les cuisses en grands pour montrer à nouveau sa petite chatte rose. Sa voix se fait lascive, son regard ne laisse planer aucun doute sur ses attentes:
"Vous pourriez peut-être m’administrer la première dose, que je sois au moins sure d’être bien soignée aujourd’hui?"
Elle défait les boutons de son chemisier et l’ouvre pour lui montrer ses seins. Le Dr Explor, conscient des dangers pour sa carrière, et ne voulant pas céder à ses instincts primaires, tente vaguement d’esquiver ces avances audacieuses. Il dit, sans trop croire lui-même à ses paroles:
-"Eva…euuuhh je veux dire…Madame Satine, la déontologie médicale fait que…enfin vous savez entre un docteur et sa patiente….et puis en plus voilà quoi…le serment dHippocrate…et l’éthique…mon sens moral m’interdit de ….enfin…vous voyez…euuhh"
S’amusant à plonger le praticien dans une confusion dont elle se délecte, Eva prend un ton faussement niais et continue de draguer le brave docteur:
"J’espère que la déontologie vous autorise à être en érection pendant que vous auscultez les patientes, parce que ça fait bien dix minutes que je vois un barreau de la taille de mon avant-bras entre vos jambes…à moins que ce ne soit un instrument médical dans votre poche?"
Explor rougit et s’empresse de porter une main entre ses cuisses en bafouillant derechef:
-"Oh…bah…je….enfin…c’est sans aucun rapport….je vous assure…d’ailleurs je ne suis même pas…vous vous faites surement des idées"
Eva pose son pied sur le sexe du médecin qui sursaute et se tétanise aussitôt. Elle appuie fermement mais en dosant néanmoins son poids, juste pour éprouver la rigidité impossible à cacher de ce chibre gorgé de sang bouillonnant. Elle se met à caresser le tissu, cherchant sous ses orteils les contours de ce membre dont elle devine déjà les dimensions peu communes. Elle veut le voir. Elle veut avoir devant ces yeux cet objet de fantasme.
Alors qu’Explor se relève pour échapper au pied de sa patiente, cette dernière se laisse glisser de la table pour tomber devant lui à genou. Elle s’agrippe à la boucle de sa ceinture et la défait. La bosse, proéminente à quelques centimètres de son visage, la captive. Elle lance un trait railleur à son médecin ébahi:
"Une pareille raideur…c’est surement un cas rare! Je vais vous ausculter moi aussi!"
Elle défait la boucle, ouvre un premier bouton et, sans prendre la peine d’ouvrir la braguette, tire sèchement sur le pantalon de son docteur devenu patient. Dégringolant le long de ses jambes, son futal vient entraver ses chevilles. Son boxer, alors dévoilé, est déformé d’une bosse massive et rigide, que l’élastique peine à contenir. Et, en effet, à peine Eva a-t-elle tiré dessus du bout des doigts, pour regarder sous le tissu, qu’une queue solidement bandée se dresse comme un diable hors de sa boîte et lui heurte le bout du nez. Sursautant, la belle lâche le boxer qui se referme en claquant sèchement sur la peau du docteur, laissant son gland dépasser. Elle éclate de rire:
"Hihihi! Mais vous cachez un véritable anaconda là-dessous!!! Je ne vous ai pas fait mal au moins?"
Le docteur Explor n’a pas le temps de répondre: la sublime madame Satine, agenouillée devant lui, vient porter sa bouche sur son gland émergeant du boxer, et lui donne un coup de langue plein de tendresse pour se faire pardonner. Puis un autre, et un troisième…et ainsi elle commence à laper cette fraise rougeoyante, d’autant plus étranglée par l’élastique qu’elle grossit et se raidit encore davantage. Eva entortille sa langue dessus et le harcèle de petits assauts agaçants, excitants, implacables. Elle pose longuement ses lèvres dessus et l’embrasse langoureusement. Explor se contorsionne et ne sait plus comment se tenir. L’étreinte de son boxer lui est insupportable et ce que sa patiente lui fait est un délice interdit. Mais il comprend qu’elle n’entend pas abaisser elle-même ce bout de tissu. Elle veut qu’il le fasse. Qu’il s’abandonne à elle en lui donnant son chibre de plein gré. Elle veut obtenir sa reddition par le seul pouvoir de sa langue.
Elle est exaucée.
Comprenant qu’il est rendu "échec et mat", Explor perd toute inhibition, agrippe son boxer devenu trop pénible à porter, et l’abaisse sans qu’Eva ne cesse une seule seconde de lécher son gland. L’ultime pièce de tissu qui masquait son sexe vient rejoindre son pantalon sur ses chevilles. Cessant un instant de jouer avec le bout de sa bite, Eva lui administre un baiser sur le ventre en le regardant dans les yeux, puis s’exclame avidement:
"Voilà qui est mieux, Dr Explor… je vais pouvoir approfondir l’examen".
Elle le pousse. Les chevilles entravées, il tombe à la renverse, les fesses sur le rebord de son bureau. Eva s’empresse de serpenter entre ses jambes ouvertes et dattraper sa hampe dressée. Elle en agrippe fermement la base avec sa main droite et s’extasie un instant de la taille du chibre qui s’offre à elle. Elle pose sa main gauche sur la hampe,au dessus de la droite, qui à son tour lâche la base pour venir par-dessus. Puis la gauche vient par-dessus la droite, escaladant ainsi l’épieu d’Explor jusqu’au gland. Eva évalue ainsi, ébahie, qu’il faut plus de 5 fois la largeur de ses petites mains pour couvrir la longueur du sexe de son docteur. Ses yeux sont aussi grands ouverts que sa bouche, et c’est avec une gestuelle quasi-naturelle qu’elle vient engloutir le gland d’Explor et commencer à le sucer en hochant lentement de la tête. Ses lèvres font ventouse sur cette queue rigide qui lui remplit la bouche alors même qu’elle n’en a gobé tout au plus que le quart. Ses mains viennent en renfort, et en branlent la hampe d’un geste vif sur lequel la cadence de la succion vient s’aligner.
Défaisant sa chemise pour se mettre pleinement à l’aise, le docteur n’en croit pas ses yeux. Les gestes d’Eva sont fluides. Ses mains longent son membre de bas en haut en effectuant des rotations, telles de souples brûlures indiennes, qui stimulent l’afflux de sang. Sa bouche coulisse sur le haut de son chibre, venant parfois faire une jonction avec ses mains pour former un long tunnel qui couvre une bonne partie de cette interminable bite. Entre les lèvres de la belle, la queue d’Explor est enveloppée de chaleur. La langue de madame Satine est d’une agilité peu commune, et vient s’enrouler sur le gland du docteur pour lui prodiguer des caresses ensorcelantes. Et lorsque par moment elle cesse de s’entortiller en répandant une salive brulante sur ce membre, ce sont les joues de la belle qui se creusent, s’enferment comme un piège sur le gland d’Explor pour faire le vide et l’aspirer longuement. Avant qu’à nouveau, sa langue ne vienne l’envelopper de plaisir.
Le gynécologue, ayant perdu toute velléité de convenance ou de déontologie, regarde la belle dans les yeux. Et elle ne le lâche pas du regard. Son regard rivé sur sa proie, elle prend d’autant plus d’entrain à lui pomper la bite, alternant les sensations. Tantôt elle affiche un visage défiant en suçant et en branlant à grands gestes sont amant. Tantôt ses yeux se font doux et innocents tandis qu’elle prend le temps de faire glisser ses mains sur ce membre démesuré, cessant de lui téter le gland pour lui prodiguer d’adorables bisous mouillés. Elle s’amuse à casser toute forme de rythme. Lorsqu’il se laisse submerger par l’envie et entreprend d’agripper sa crinière, d’osciller du bassin pour lui baiser la bouche, ou d’essayer de s’échapper en vue de lui pénétrer d’autres orifices, elle le saisit, pose une main sur son ventre ou sa cuisse, le bloque, et le suce lentement, laissant langoureusement glisser ses lèvres sur son membre. Et lorsque, comprenant qu’elle mène la danse, Explor s’abandonne docilement, elle recommence de plus belle à le sucer comme un garce en chaleur. Son chibre bande à en faire mal, toutes veines saillantes, comme prêtes à exploser. Eva se sent ivre de cette rigidité virile dont sa bouche n’accueille guère qu’une faible portion. Elle veut découvrir les sensations qu’un tel engin pourrait créer dans sa chatte. Elle le flatte d’un dernier coup de langue, puis saisit cette hampe en se relevant. Tirant le docteur Explor derrière elle, elle l’emmène devant un fauteuil, s’y installe, bien au fond et ouvre les cuisses en grands, jambes en l’air et fente toute offerte. Avec un sourire mutin, elle supplie:
"Commencez le traitement docteur!"
Il ne répond pas. Il est déjà sur elle. D’une main, il dirige son dard dressé droit dans la chatte de sa patiente, puis en prenant appui sur les accoudoirs du fauteuil, il oscille lentement des reins. Son gland seul, entre et sort de la chatte d’Eva, pour qu’elle s’habitue au diamètre avant de subir la longueur. Par petits ramonages, il effleure les premiers abords de cette antre chaleureuse, étroite et humide. Son gland bien large oblige le vagin de la belle à sa dilater pour lui faire un chemin, et déjà elle gémit en sentant son amant lui limer tout au plus les rebords de son intimité. Sa vulve s’ouvre comme une fleur pour lui, et s’anime de mille sensations. Madame Satine ne résiste pas à l’envie de se caresser le clitoris pendant que son étalon la pénètre du bout du gland. Il entreprend alors de la fourrer plus profondément, plus durement. Son bassin se balance de plus en plus amplement, assénant des coups de boutoirs virils dans l’intimité de la belle. Chaque assaut la remplit un peu plus, et à chaque assaut, elle se demande jusqu’à quel point sa chatte pourra se dilater pour accueillir cette queue envahissante.
Explor la martèle. Son rythme est lent mais puissant. Le mouvement lancinant de ses reins, qui remontent et retombent sans cesse entre les cuisses ouvertes d’Eva, marque à la fois une envie de prendre son temps et, et néanmoins, de la défoncer brutalement. Chaque coup la cloue dans le fond du fauteuil, et elle ressent le gland de son amant la pénétrer jusqu’au plus profond de son ventre lorsqu’il s’engouffre jusqu’à la garde. Par instants, il reste au fond d’elle et se penche pour l’embrasser à pleine langue. Elle, comblée à tous les sens du terme, lui rend ses baisers avec fougue. Mais, consciente qu’il s’agit de son médecin et qu’elle doit poser certaines limites, elle décide "diplomatiquement" de couper court à ce genre d’effusion de tendresse. Pour le repousser, elle ramène ses jambes contre le torse du docteur et pose ses chevilles sur ses épaules. Un peu frustré de ne pas pouvoir l’embrasser davantage, Explor s’adapte à cette position et, en maintenant les jambes de la belle contre lui en point d’appui, il se met à la baiser plus fort et surtout, plus vite.
Il la saisit par les hanches, et il la serre comme un oiseau de proie tenant sa victime. En réponse, elle resserre ses chevilles de part et d’autre de son cou. Ils se lancent mutuellement un regard de défi, avant qu’Explor n’entame sauvagement une séance de pénétration des plus sévères. Ivre de désir, il oscille frénétiquement du bassin et ramone la belle, dont la fente, particulièrement bien offerte par la position, se trouve limée vigoureusement. Elle ne tarde pas à crier son plaisir à pleins poumons. La puissance des coups de marteau-piqueur que lui infligent son docteur lui hachent la voix, et ses cris de jouissance sont entre-coupés de tressaillements, glapissements et gémissements tutoyant parfois le borborygme.
Explor pousse des râles et respire bruyamment, il s’efforce de tringler la belle Eva avec toute l’énergie et la fougue que le traitement nécessite. D’une rafale à l’autre, il change légèrement de position, pivote, se recule, s’avance, se cambre plus ou moins… veillant ainsi à bien visiter chaque recoin du vagin qui accueille son engin. Il ajuste l’angle de sa pénétration selon les cris de sa patiente, et lorsqu’il la sent proche de se casser la voix…il ne change plus de place, et la pilonne comme un animal. Ressentant le membre viril du praticien visiter son antre et la remplir, Mme Satine est ivre de plaisir. Elle se caresse les seins en prenant soin de tortiller ses tétons, renverse sa tête en arrière. Il serait difficile de dire si Explor a trouvé le point G tant recherché, tant les sensations qui se mêle dans le bas-ventre d’Eva forment un feu d’artifice ou la dilatation crispée de son vagin le dispute au plaisir procuré par la caresse déchaînée de cet épieu massif. Elle ne sait qu’une chose: la jouissance est là, prête à exploser. Son corps tout entier s’enflamme, ses tétons s’endolorissent, sa colonne vertébrale est balayée d’un frisson, sa gorge se noue, sa tête tourne… Elle tente d’articuler, en tressautant sous les coups de rein du mâle:
"Ohh Docteur Explor…je crois…je crois que le trai….le traitement fait son effet…aah"
Elle achève sa phrase dans un hurlement de délivrance .Le pilonnage féroce exercé par son gynécologue est couronné d’un orgasme incontrôlable. Et plus elle crie, plus il la pénètre avec fougue. Son plaisir lui ôte toute sensation de fatigue. Pendant deux ou trois longues minutes, il la fourre inlassablement. Elle jouit si fort que des larmes lui monte aux yeux. Cet engin en elle devient source de douleur à force de heurter les tréfonds de son antre. Elle tâche comme elle peut de repousser Explor progressivement, posant ses pieds sur son torse pour le faire reculer. Il comprend qu’il lui faut cesser, et, comme s’il reprenait ses esprits d’un accès de rage, il finit par cesser progressivement d’osciller entre les chairs d’Eva. Celle-ci ne peut réprimer un souffle de soulagement en sentant l’organe de son docteur ressortir de sa chatte. Elle se caresse un bref instant pour apaiser son trou dilaté et brûlant. Puis s’affale dans le fauteuil en s’exclamant d’une voix soulagée:
"Pffffiouuuuu merci Docteur Explor….j’ai vraiment besoin de ce genre de traitement, c’est clair"
Elle se lève alors subitement hors du fauteuil. Explor s’approche d’elle et l’enlace, prête à continuer sur une autre position. Déjà il dirige son sexe bandé vers l’antre de la belle. Mais elle attrape ses affaires et commence à reboutonner son chemisier sous le regard incrédule du gynécologue, dont la queue dressée palpite de toutes ses veines affleurantes.
Se rhabillant à toute allure et se recoiffant à la va-vite, Mme Satine sort un chèque et le remplit rapidement, devant Explor, qui, sortant de sa stupeur, demande:
-"Euuhh…mais…euuhh…le traitement n’est….enfin c’est pas fini….j’ai pas encore…."
Coupant court à toute explication, sa patiente lui dit avec un grand sourire taquin
"Nous avions rendez-vous de 9h10 à 9h30…..et il est déjà presque 10h!!! C’est que j’ai un boulot moi, mon patron va pas être content…et puis….". Elle s’approche de son docteur et pose un bisou sur sa joue en lui caressant le sexe. "…et puis il faut que vous gardiez de la réserve pour la traitement de ce soir: l’ordonnance me demande d’avoir ma dose matin et soir, non?"
Sur ces mots, elle file en coup de vent, finissant de ré-ajuster son jean et de reboutonner son chemisier avant de passer la porte.
Explor n’a que le temps de remettre son boxer et son pantalon, déjà il entend sa secrétaire, dans la pièce adjacente, qui demande à la salle d’attente:
"Patiente suivante, s’il vous plaît"
Un bruit de talons sur le plancher s’approche. Explor agrippe sa chemise et la reboutonne de bas en haut. On toque à la porte. Son sexe encore droit comme un I ne veut pas retrouver sa place sous le tissu. Il a toutes les peines du monde à refermer sa braguette et à reboucler sa ceinture. On toque à nouveau. Il achève de se rhabiller dans la précipitation, et tachant de retrouver un semblant de tenue et de convenance, le médecin lance avec une voix peinant à masquer son émotion: "Entrez!". Il était temps: la porte était déjà en train de s’entrouvrir.
Prônant une posture droite et une voix assurée, le brave Docteur lance: "Ne soyez pas timide, entrez donc, Mademoiselle Angel!"
…