La rentrée était faite depuis près d’un mois. Je suis prof d’Histoire-Géo et j’ai été muté, à ma demande, dans une ville universitaire.
Un jeudi midi, je trouve un mot dans mon casier. C’était Myriam, une élève de l’année passée, que j’avais pas mal aidé dans ses études. Elle avait eu, par mon ancien lycée, ma nouvelle adresse, et souhaitait me rencontrer.
Myriam est une fille brune très belle, cheveux courts, assez sexy. Elle venait souvent en cours en mai et juin en tshirt moulant et minijupe, ou alors mini-robe. J’ai souvent craqué, tout seul, pour elle.
Donc, je lui réponds qu’on pourrait se voir chez moi samedi après-midi. Il me tardait de la revoir.
Le samedi arrive… et Myriam aussi, vers 3 heures. Vêtue d’un pull léger en laine fine qui moulait bien sa jolie poitrine d’adolescente.En bas, elle avait une jupe écossaise à mi-cuisses, et apparemment les jambes nues.
D’emblée je l’embrassais, et elle n’en fut pas surprise. On s’assit sur le canapé, je lui servis un jus de fruit à sa demande. J’observais ses cuisses, dévoilées par sa jupette qui remontait assez haut. Elle essayait de la tirer vers le bas. Je lui dis : ’Tu sais, Myriam, tu es très belle, et si tu as mis une minijupe, eh bien c’est pour qu’on puisse bien voir tes jolies jambes, n’est-ce pas ?’ Elle rougit un peu et me sourit, non sans lorgner sur ma braguette qui commençait à gonfler un peu.
Je posais une main sur sa cuisse en lui souriant, puis approchais ma bouche de sa joue, de ses lèvres. Elle se laissait faire, ingénuement. ’Huum, que tu es mignonne’, lui dis-je. Elle écartait un peu ses cuisses bronzées.
Ma main quitta ses cuisses pour effleurer son pull en relief. Je sentais son soutien-gorge. Je lui dis : ’Tu veux bien te mettre en slip et soutif, ma chérie ? Maintenant, tu n’es plus mon élève mais une jolie jeune fille toute fraîche et si désirable’. Elle me dit :’Oui, bien sûr’, mais vous… enfin, toi aussi, mets-toi en slip torse nu. J’ai souvent pensé à toi depuis l’an dernier’.
J’étais un peu surpris, mais heureux, qu’elle me tutoie. On s’est déshabillés. La voir en sous-vêtements augmentait mon érection. Elle vint se coller contre moi, et la bosse de mon slip s’encastrait bien dans le creux de sa culotte. Je frottais mon slip contre le sien tout en caressant son soutien-gorge.
’J’ai envie d’embrasser tes seins’, lui dis-je. ’Dégrafe-moi’, qu’elle me répond, tout en caressant mon slip des ses petits doits.Deux jolis seins ronds surgirent du soutien-gorge blanc. Je les embrassais, en léchant les bouts qui durcissaient. Elle, pendant ce temps, jouait avec mon slip, effleurant tantôt ma verge dure, tantôt mes couilles hyperexcitées à travers le tissu.
’Mets ta main dans mon slip ma chérie’. Elle préféra faire glisser mon slip, et saisit ma verge à pleine main, la faisant aller doucement de haut en bas, décalottant mon gland.
’Oh oui, oh oui, continue, tu m’excites, petite fille’.
Elle se baissa : ses seins frottaient successivement mon torse, mon ventre, puis sa bouche posa un baiser sur mon gland humide, puis sur mon sexe, mes couilles. J’étais hyper excité. Elle me suça. A un moment, n’en pouvant plus, je lui dis : ’Attention, ça vient !’ Et j’éjaculas sur son visage. Elle s’essuya et vint se blottir contre moi.
Ma main caressait ses seins, puis son ventre. J’entrais un doit dans sa chatte toute mouillée. Je l’excitais tout en m’excitant, titillant son petit bouton. Elle eut un cri qui me prouva qu’elle était arrivée à l’orgasme.
On alla prendre une douche, puis on resta un moment assis en sous-vêt. à se caresser et à s’embrasser.
Elle me dit : ’Tu sais, si tu veux, je pourrai revenir un autre jour, seule ou avec Agnès, tu sais celle qui était à côté de moi l’an dernier’.
Elle avait deviné qu’Agnès m’attirait aussi. Je lui dis : ’Oui, bien sûr, ma chérie, je serai heureux de la revoir ; elle est très mignonne aussi.’
On s’embrassa une dernière fois en se touchant, puis elle repartit.
A suivre…